Table De Sapin 5
Depuis quelque temps nous avions décidé avec Colette, pour pimenter notre relation daller faire nos cochonneries à lextérieur. Dans les bois, tout proche de chez elle, pour être plus précis. Comme à chaque fois jétais venu la chercher en voiture au pied de son portail. Deux kilomètres plus loin, je quittais la voie principale pour mengager sur une départementale déserte. Des deux côtés de la route, les arbres défilaient. Colette à mes côtés, gardait le silence. Moi au volant, jétais aux aguets pour repérer le chemin où je devais m'engager. Ceci fait, je morientais jusquau bouquet darbres. Là où nous avions pris possession les fois précédentes. Lendroit avait la particularité dêtre désert. Mais avant dy arriver, je me cramponnais au volant pour éviter les profondes ornières creusées par le passage des tracteurs.
Encore quelques mètres et je stoppais. Le chemin rétrécissant ne nous permettait pas de nous aventurer plus loin. Il nous fallait continuer à pied. Couverture sous le bras nous nous dirigions vers notre lit damour.
Sur place, je lai étendu sur le sol. Très excitait, sans perdre de temps je me suis déshabillé. Et ce fut nu que je mallongeais sur la couverture.
À aucun moment, Colette ne mavait quitté des yeux. Son regard noir sétrécissait. Un sourire rusé découvrait sa denture irrégulière, alors quelle se déchaussait. Elle sortait de son silence pour mordonner de me placer sur le dos. Restait debout, elle me tendit son pied pour que je le les lui lèche.
Comme toujours, et cela à nimporte quelle saison de lannée, il était gainé de nylon couleur pêche premier prix. À travers je pouvais apercevoir ses orteils, ainsi que ses talons calleux.
Une lueur excitée allumait ses petits yeux noirs. Je pris une grande inspiration. Il sen dégageait une odeur de propre mélangée à celle du corporelle musquée. Machinalement, je me mis à lécher son gros orteil. Enchainant sur tout son pied.
- Jadore ce que tu me fais
menvoya-t-elle. En fermant ses yeux.
- Cochonne-je paris que tu aies en train dhumidifier ton fond de collant.
- En voilà des manières. Ce n'est comme cela quen cause à sa gentille belle-maman .
- Oui. Cest comme ça que je parle à une Vilaine qui ne pense pas et respire que cul
- Tu lauras cherché.
Reprenant son pied de mes mains, elle se précipita sur moi. Alors que jétais toujours allongé sur le dos allongé sur le dos. Elle se servit de moi, comme elle laurait fait avec un paillasson. Me piétinant. Finissant sa riposte par une fessée. Sèches et dures, à l'aide de sa main. Il men fallait pas plus pour faire grimper un peu plus mon excitation.
- Tu mas fait mal. Me plaignais-je.
- Tu ne las pas volé celle-là.
Puis elle prit appui sur la couverture, en y posant ses genoux. La gourmande, comme elle le faisait à chacune de nos rencontres, enroula ses doigts autour de ma queue dur. Sensuivait une empoignade ferme, et pour finir me branla. Dun va-et-vient très virgulant. Jétais aux anges. Dinstinct ma main lui caressait la raie de ses fesses. Après quelques va-et-vient, elle méchappa. Pour se placer de nouveau debout, face à moi. Mexposant son large fessier. Puis elle se pencha en avant. Jambes tendu et écartées. Retroussa sa jupe jusque sur sa taille. Le collant moulait son postérieur. plaquant sa forte toison.
Tout en gardant sa pose, elle me regarda par-dessous ses jambes.
- Alors tu attends quoi ?
Je ne pouvais que me lever pour me placer derrière elle. Pris le temps de caresser ses cuisses, grasses. Et cela pendant quelques minutes, dans un silence de cathédrale. De temps en temps je maventurais à masser la fente vulvaire à travers le nylon imbibée de mouille. Puis pris dune pulsion ravageuse, je crochetais le nylon avant de le déchirer. Empressé, je cherchais sa vulve, pour y enfoncer sans précaution deux doigts dans le vagin qui céda
mollement sous leffraction.
Il était temps pour moi de jouir aussi. Jattendais delle, quelle prenne les choses en main. Et ce fut ce quelle fit. Guidant ma queue au centre de sa fourche. Jy trouvais mon compte. En menfonçant doucement en elle. Savourant mon bonheur. La sensation que plusieurs bouches me suçaient. Mille picotements délicieux parcouraient ma queue.
Pour une plus grande stabilité, elle posa ses mains sur ses genoux. Puis se balança davant en arrière. Mais très vite elle se lassa de cette position, loin dêtre reposante pour son physique. Elle se redressa d'un bloc. Dun violent coup de cul, elle méjecta de son intimité. À en perdre léquilibre. Je me retrouvais assis le cul sur la couverture. Il nen fallait pas plus pour la faire rire.
Je lai saisi alors par les hanches, et lattirer à moi. Elle profita dêtre sur moi pour guider pour la seconde fois ma queue dans ses entrailles. Bien emmanché, jinfiltrais mes mains sous son pull. Me saisissais de ses seins. Un dans chaque main. Les malaxant. Ils étaient comme toujours doux et fermes. Mes coups de reins se faisaient désordonné, mais violents. Colette haleta. Un masque bestial effaçait toute trace de bonté sur son visage. Son souffle saccéléra. Sa tête se balançait de droite à gauche.
À ce moment, je me suis aperçu quune fois encore nous n'étions pas tout seul. Une jeune fille pas très loin de nous tenant en laisse un chien noir. Elle nous fixait comme hypnotisait. Sans se cacher le moins du monde. Son autre main enfouit dans son jean. Il men fallait pas plus pour répandre ma semence dans la chatte de Colette. Giclant fortement.
La belle-mère chamboulée par le plaisir, ne sétait pas aperçue de rien.
- Le spectacle ta plu.
Elle ne répondait pas sur-le-champ. Ce contentant de nous regarder, avec audace. Je soutenais son regard. Puis dun signe de tête elle me fit que oui. Elle navait vraiment pas froid aux yeux, la chipie. Je lui ai demandé si elle voulait participer. Là, elle répliqua :
- Non. Je ne compte pas bouger dici. Je suis bien où je suis.
Les sourcils de Colette se haussaient détonnement. Ouvrait la bouche. La refermait sans rien dire.
- Tu peux toujours dapprocher. Tu verras mieux.
Elle na pas souhaité suivre mon conseil. Un sourire indéfinissable jouait sur ses lèvres.
- Non, je suis bien où je suis.
Pour son hardiesse, javais envie de donner à la jeune fille, un complément dinitiation. Tout en la regardant droit dans les yeux, jordonnais à Colette :
- Suce-moi.
Comme honoré de montrer son savoir-faire dans la matière, elle ne se fit pas prier pour se pencher vers mon bas-ventre. Prenant entre ses doigts ma queue à demi-dressée, souillé de nos jouissances. Jémis un râle de satisfaction, alors que ses lèvres effleuraient ma queue polluée de plaisir. Et criais quand sa bouche maspira.
De son poste de voyeuse, la jeune fille continuait à se faire du bien. Je distinguais nettement sa main sactivait dans son jean. Exerçant des mouvements rotatifs.
Mon regard vint se poser sur ma suceuse. Elle avait les joues gonflaient comme celles dune gamine gavée de bonbons. Une impression indescriptible sempara alors de moi. À men faire fermer les yeux de plaisir. Emporté par une pulsion venue de plus profond de moi-même. Je poussais un long râle de satisfaction. Frappé dun orgasme foudroyant. Souffle court, haletant je déversais ma seconde semence, moins copieuse dans la bouche de Colette.
Quand jai ouvert les yeux la jeune fille, c'était fait la belle. Jai cru un moment que javais rêvé. Mais Colette me réconforta sur le sujet, tout en se rajustant.
- Tu crois quelle va le raconter .
- À qui veux-tu qu'elle le dise. Tu la connais toi .
- Non
jamais vue dans le quartier. Fit Colette en pliant la couverture.
Que fut ma surprise, quelques jours plus tard, alors que je sortais de mon boulot je tombais nez à nez avec la branleuse des bois au chien noir. À son visage qui sétait éclairé, je compris tout de suite quelle mavait reconnue.
- Cest vous ! Sexclamait-elle.
- Oui cest moi. Comprenant où elle voulait en venir.
Leffrontée prit même la peine de sapprocher de moi à me toucher, pour me murmurer :
- Alors
je ne vous pas revu dans les bois avec votre vieille. Menvoya-t-elle.
- Non. Nous ne sommes pas retourné.
- Oui. Je men suis aperçu.
- Alors pourquoi poser la question. Répondant au tac.
Je la contournais pour aller rejoindre ma voiture. Mais la gamine ne se démonta pas, et me colla à mes Basques.
- Ça vous déplaît .
Je me retournais dun bloc. Elle sarrêta devant moi. Affectant une mine presque miséreuse. Elle lança alors :
- Je ne vous ennuie pas jespère.
Pris de cour, je ne sus pas quoi répondre. Ce qui ne fut pas son cas. Enchainant :
- Vous avez un charme très particulier. Jaime les hommes de dans votre genre.
Jusque-là, je navais pas montré de réaction. La surprise était grande de me faire aborder ainsi. Je me sentais totalement
désarçonné. Ce qui nétait pas souvent le cas chez moi. Linvite était directe. Et ne pouvait pas prêter à confusions. En outre jappréciais cette jeune fille pour le moins originale.
- Vous pensez y retourner un jour. Sonda-t-elle.
- Pourquoi ça tintéresse. Lui dis-je. Reprenant peu à peu du poil de la bête, alors que je glissais ma clef dans la serrure de la portière.
- Faut-voir. Répliqua leffronté.
- Comment ça faut voir ? Fixant mes yeux dans les siens.
- Depuis votre petite partie de jambes en lair
Comme un groupe de personne que je connaissais arrivait à notre hauteur, je me suis permis de couper la conversation. Après les saluts, jai suggéré à la jeune fille de prendre place à mes côté dans la voiture, pour faire un brin de causette. Dun air amusé elle ouvrit la portière et se laissa tomber sur le siège passager.
- Bon
tu disais quoi. Fis-je alors que je fermais la mienne.
- Que je nai cessé de regretter de ne pas mêtre amusée avec vous. Pas un soir en me couchant. Je me suis même traiter de conne. Tu avais une occasion et tu la foirée. Je suis retournée sur le lieu et à chaque fois je fus déçus de ne pas vous y trouver. Alors jai capitulé. Mais voilà quaujourdhui la chance me sourit. Je trouve ça très
marron. Pas toi.
- Oui
très. Bon ce n'est pas tout ça, mais il faut que jy aille.
- Alors pour quand ?
- Pour quand quoi ?
- Eh bien vous moi est la vieille.
- Tu parles sérieusement.
- Et comment que je suis sérieuse. Je lai jamais été autant quà cette seconde. Si vous me le proposeriez je vous suivrais sur le champ
tiens !
- Ce ne serait que moi, pourquoi pas. Mais il faut que jen parle à ma partenaire de cul.
- Alors je compte sur vous pour être dissuasif. Sachez tout de même que je suis une vraie cochonne, quand je le veux. Ceci dit, à très bientôt.
Elle pesa sur la poignée de la portière, ouvrant en grand sur cette dernière. Elle pivota sur le siège avant de sextraire. Mais avant de fermer la portière, elle se pencha pour me dire :
- Je peux vous posez une question ?
- Oui.
- Jaimerais seulement savoir pourquoi vous vous tapez une vieille
alors que
- Je pourrais me taper de la viande fraîche. Cest ça.
Cela me fit sourire.
- Cest tout simple. Une femme mature, cest doux. Cest attentionné. Ça fait des cadeaux. Et ça obéit. On peut tout obtenir dune vieille. Et pas seulement du fric. De lobéissance à tous les désirs secrets. Cest soumis, une vieille. Ça ne peut plus faire autre chose. Ça na plus que ça, la soumission pour espérer obtenir encore ce cadeau qui s'appelle plaisir. Et comme cest le cas avec les moins belle, se mettant Martel en tête, que cette chance ne ce reproduira pas de si tôt elles se surpassent pour le plus grand plaisir de leurs partenaires. Ça te va comme réponse ?
- Oui.. Enfin. Nêtes-vous entièrement satisfaite sexuellement par votre femme ? Que vous manque-t-il.
- Nous sommes en parfait accord sur le plan sexuel. Là nest pas le problème. Je recherche quelque chose de supplémentaire. Et mon épouse ne peut en faire partie. Étant la mère de mes s. Alors cela nécessite daller voir ailleurs.
Elle me souriait et fit claquer la portière. Je lavais regardé séloigner. Pensif. Cette gosse avait vraiment du tempérament.
Le soir, javais eu du mal à dormir. Allongé sur le dos, les yeux ouverts dans le noir, je me souvenais de toutes les paroles de la jeunette. Je revoyais aussi et surtout son physique. Je regrettais un peu de ne pas lui avoir fait lamour. Un mal pour un bien, cela me permis de réfléchir pour organiser un triolisme.
Mais avant de prendre la route me menant jusquà mon travail je fis un décrochement pour aller rendre une petite visite à Colette. Des idées plein la tête. Elle ma complice. Aussi branché cul que moi, c'est dire. Elle qui ne pouvait rien me refuser. Étant le seul à lui donner de violents orgasmes en lui mangeant la chatte.
Mais avant de passer à son domicile. Je me suis alors rendu à la boulangerie près de chez elle, pour acheter des croissants. Au moment de franchir son portail, je sentais une bosse naissante dans mon pantalon. Jétais tout de même un peu anxieux. À lidée de ce que jallais lui proposer. Elle mavait entendu arriver et elle mouvrait la porte. Comme toujours sa tenue vestimentaire avait été le cadet de ses soucis.
- À quoi me vaut ta visite ?
Comme je ne répondais pas, elle crut devoir ajouter :
- Besoin de vider tes couilles peut-être ?
Après avoir verrouillé la porte pour plus de sécurité, elle se précipita jusquà la fameuse table de sapin. Avec des gestes fébriles, elle retroussa sa jupe écossaise.
- Je ne sais pas pourquoi mais je savais que tu allais passer aujourdhui.
Et cétait pour cela, connaissant mes exigences, elle avait négligé de mettre une culotte sous son collant. Je me fis un plaisir de me fabriquer une fenêtre à travers les fines mailles. À lendroit de son intimité. Comme pour laisser lair frais dissiper la touffeur de sa toison dense et sombre.
À plat ventre sur le plateau de la table, elle se cambra. Dégageant le profond sillon de sa croupe. Moffrant une vision affolante de son intimité embroussaillée. Il men fallait pas plus pour que mon cur tape dans ma poitrine. Dune voix faible, elle dit :
- Quest-ce que tu attends ? Tu sais que je ne tiens plus. Fais ce que tu veux de moi.
Avec une fébrilité concertante, je pus me débarrasser de tout ce qui me gênait. Faisant jaillir mon sexe rigide. Elle ne put retenir un gémissement rauque quand mes mains prirent contact avec ses hanches. Les empoignant. Mon regard se porta sur son anus mauve, légèrement boursouflé sur les bords.
- Pousse ! Je veux le voir ton trou du cul souvrir. Je veux qui me parle.
Colette tout en poussant sur ses sphincters, ajouta :
- Tu veux quil te dise « viens me ramoner, je ne suis pas quun trou à merde.
Lanneau trié palpitait un instant. Puis se dilata, obscène. Au point de sévaser. Une invite que je ne manquais dhonoré. Elle gémissait de nouveau en sentant lextrémité de ma queue venir buter contre louverture la plus secrète. Ma queue senfonça lentement dans son cul. Une odeur chaude montait jusquà mes narines. Sa rondelle grimpa sur ma bite. Maspira, mentraîna jusquau fond. Colette tremblait de tous ses membres. Je lentendais haleté, alors quelle secouait sa tête.
Cétait linstant idéal pour négocier ma petite affaire. Alors dans un lent va-et-vient où ma queue explorait chaque interstice, je collais ma bouche à son oreille, et lui exposais mon dilemme. Très vite je fus réconforté par sa réponse.
- Un trio. Pourquoi pas. Sextasia-t-elle. Je lai trouvé mignonne cette gamine. Comment sappelle-t-elle.
Jétais tout de même dans lexpectative. Je pensais tout connaître sur limagination débordante de ma belle-mère. Mais là, elle mavait surpris. Elle me parut manier avec talent le sens de lesquive et de lembuscade.
- Je ne sais pas. Et dailleurs je men fous à vrai dire. Rétorquais-je.
Euphorique, je conférais à mon membre une envergure décuplée. Je ne métais jamais senti aussi gros. Aussi puissant. Pour le plus grand plaisir de Colette. Qui râlait. Balançant son fessier davant en arrière. Proche de lévanouissement.
- Oui, vas-y ! Encule-moi
encore
putain que cest bon
défonce-moi. Souffla-t-elle dune voix presque méconnaissable.
Puis, comme soulé par lobscénité de ses paroles, jaccélérais le rythme à en perdre le souffle. Il nen fallait pas plus pour quelle soit
prise de quelques convulsions de bonheur. Ses plaintes se transformaient en cris de jouissance, déclenchant mon propre orgasme.
Mon corps sarqua. Je mentendis pousser un long gémissement rauque, alors que ma sève gicla dans lanus avec une force et une impétuosité qui me parurent presque surnaturelles.
Une douche plus tard, je suis ressorti de chez elle heureux et soulagé davoir eu une réponse affirmative. Javais décidé de mettre mon amante qui désormais était plutôt mon esclave de cul, à lépreuve. Au volant de ma voiture, je souriais en pensant quelle était doucement mais sûrement devenu ma cochonne. Nous formions un couple sulfureux. Provocateur et surtout, IGNOBLE
À suivre
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