La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°847)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°846)
Le lendemain cest Walter, lui-même, qui vint me chercher et memmena au Château, après que le Maître eut quitté les lieux. Il memmena dans une salle de soin, où se trouvaient en position dattente soumise Laïs MDE, esclave Phryné MDE et esclave Endymion MDE. Lun fut chargé de me laver, voir même récurer au gant de crin, lune de traquer le moindre poil à la pince à épiler, et la dernière de me maquiller. Auparavant le Majordome avait vidé mes orifices. Mes trois frères et surs de soumission maccompagnèrent ensuite à la cuisine où Marie, la sévère cuisinière, nous attendait, pour un travail dorfèvre. Je fus transformée en gâteau ressemblant à un chien. Ma tête fut enfermée dans une cagoule afin de ne pas salir les cheveux et surtout par mesure dhygiène avec la nourriture, un masque de chien fut placer sur mon visage pour ne pas que lon puisse me reconnaître, sans pour autant abimer le magnifique maquillage que soumise Laïs MDE mavait fait. Je fus installée sur un large plateau, en position standard, à ceci près quau lieu davoir la tête tournée sur le côté, je dus la garder droite regardant en face de moi.
- Chienne écoute moi bien, me dit Marie. Tu nas pas intérêt à bouger de tout le temps où tu seras sur ce plateau ! Oui ce sera dur, et tu ressentiras rapidement de la douleur dans tes muscles ! Mais si tu bouges, tu vas casser le chef duvre que je vais faire. Tu subiras le courroux de Monsieur le marquis, et nen doute surtout pas, le mien aussi ! Alors concentre-toi. Cest un immense honneur que dêtre à ta place ! Tous nont pas cette chance, car les arrivées sont nombreuses dans une année, et être la dernière chienne venue nest pas donné à tout le monde.
Je baissais la tête un peu plus pour montrer mon acceptation, nayant reçu aucune autorisation de parler. Mes frère et surs aidèrent Marie, sous ses directives strictes, à poser sur moi fond de gâteau aux amandes, couche de praliné croustillant et couche de mousse au chocolat
Il était tard, le repas avait commencé à être servi.
On me mena vers la grande salle à manger, et nous entrâmes au moment où commença à résonner la chanson traditionnelle danniversaire. Les parts du dessert avaient été préalablement découpées afin que je ne sois pas blessée par la suite. Je fus amenée devant le Maître, qui essayait avec un petit sourire espiègle de deviner qui se cachait derrière le masque. Mes frère et surs de soumission se prosternèrent devant Lui en triangle autour de la desserte. Après des caresses tendres à chacun, Il les envoya en attente derrière Lui, et Il put souffler Ses bougies, sur les bravos et les applaudissements de Ses convives
Avant denlever mon masque, le Marquis remercia les personnes présentes mais aussi Walter et Marie pour le travail effectué. Puis Il plongea Ses yeux dans les miens à travers le masque, Il eut lair surpris, voir dubitatif, puis Il se décida à soulever la tête de chien qui me recouvrait. Un sourire tendre et radieux illumina Son visage. On aurait cru un aux grands yeux ouverts devant sa surprise ! Jétais heureuse dêtre venue, jaurai donné nimporte quoi pour voir lexpression de pur bonheur sur Son visage à ce moment-là !
- Que voilà une chienne bien appétissante, dit le Châtelain à voix haute. Que tout le monde soit servi de ce merveilleux dessert concocté par Marie que je félicite encore. Nul doute quil ravira nos papilles et plus encore par la suite !
Effectivement une fois tout le monde servi, de nombreux Dominants et Dominantes, vinrent me lécher, mais aussi se faire lécher, sucer.
Enfin les convives se dispersèrent et alors que je vis le Maître sortir de la pièce les laisses de mes frère et surs en main, certainement pour une après-midi torridement D/s. Je fus emmenée par dautres esclaves afin dêtre nettoyée. Et on menvoya au Grand Chenil, jusquaprès le repas du soir. Nayant rien dautre à faire, je me reposais. Après la longue route et la matinée chargée, jétais épuisée et jaccueillais ce repos avec plaisir, même si ma frustration ne me laissait pas tranquille ! Jaurais voulu pouvoir me caresser, mais je savais que je ny étais pas autorisée
Assez tard, à la vue de la nuit qui était tombée, (bien quétant bien avancé en automne et après le changement dheure, la nuit était présente désormais tôt !) jentendis des bruits de pas approcher. Je me mis donc en position standard et attendait. Je ne voyais pas lentrée du chenil, ne me permettant donc pas de savoir qui arrivait.
- Ma petite chienne adorable ! Quelle surprise ça a été de te voir en Ma Demeure aujourdhui ! Une bonne surprise ! Suis-moi ! Je ne veux pas passer ma soirée et ma nuit danniversaire tout seul.
Et il saisit ma laisse pour mentraîner vers Sa chambre. Lorsque nous y fûmes, le Maître exigea que je le dévêtisse.
- Cest mon anniversaire, mais je vais te laisser éteindre ma bougie, petite chienne !
Je magenouillais donc devant Son noble membre dressé et déjà bien épais. Je commençais par lécher, palper Ses couilles, ma langue remonta le long de Sa verge, je tétais son gland violacé. Le Marquis me laissait faire, un sourire aux lèvres. Puis, je le pris enfin en bouche, doucement, plus je faisais de vas et viens, et plus je lenfonçais profondément en bouche, jusquà lavoir enfoncé le plus profondément possible. À ce moment-là, Il ne me laissa pas me retirer, Il bloqua ma tête, restant au fond de ma gorge à men ! Puis reprenant entièrement les rennes, Il mintima lordre de ne pas bouger et me baisa la bouche jusquà lâcher Son sperme chaud et épais au fond de ma gorge.
- Lèche-moi bien, ma petite chienne ! Nettoie-moi bien !
Et sous mes nouveaux coups de langues le noble sexe se débarrassa des dernières sécrétions et commença à reprendre de la vigueur. Le Maître me fit grimper sur le lit et mattacha écartelée aux quatre montants. Il me banda les yeux, me mit un bandeau. Il commença à me caresser avec la douceur dune plume, me chatouillant, me faisant frémir. Puis Sa langue prit la suite, titillant mes tétons, les mordillant, puis descendant vers mon sexe trempé. Mon clitoris reçut le même traitement que mes tétons ! Il me léchait, me mordillait, me fourrageais
. Je me débattais dans mes liens, sous les décharges électriques quIl me provoquait. Les vagues de plaisir se faisaient de plus en plus présentes, je contenais difficilement mon orgasme. Le Maître releva la tête, juste le temps de dire « jouissances autorisées à volonté ma chienne ! » et Il reprit son savant cunnilingus. Je ne tardais pas à hurler ma jouissance, longuement !... Je passais des moments magiques en Sa compagnie. Tous mes orifices furent utilisés, par Lui-même, par différents accessoires, godes, plug, pinces, manches de fouet, cravache.
- Aller ma chienne, maintenant au panier, coucher !
Et je descendis du lit, me dirigeant avec bonheur au pied du lit et me couchait dans la panière qui y était installée. Je lendormis épuisée, mais heureuse, sereine et épanouie. Peu de temps après mêtre endormie, il me sembla sentir Sa main me caressant doucement la joue et déposant de nombreux baisers légers. La courte nuit, ou plutôt le début de journée, se passa sans quIl ne me réveille, fatigué sans doute Lui aussi par Sa journée de la veille. LorsquIl me réveilla, il était proche de lheure du déjeuner. Jallais bientôt devoir repartir.
- Position standard Ma chienne ! Ne bouge plus et laisse-moi te regarder
Jobéis évidemment instantanément ! Durant de longues minutes Il mobserva. Je pouvais le voir par-dessous mon bras. Je me repaissais de Lui ne sachant pas quand est-ce que je le reverrai
après avoir mangé dans ma gamelle à Ses pieds, Il me ramena jusquau perron du Château, membrassa tendrement, et remonta les marches du Château. Et je repris la route
(A suivre
)
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