L'Enfer 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Premier jeudi de captivité
Le jeudi matin j'attends Amandine enchaînée, bâillonnée et attachée par mon collier à un lampadaire dans l'allée.
Elle me délivre de mes entraves et me tend mes vêtements, je m'habille et la suis.
Je fais le ménage chez elle. Ce qui me gêne énormément, surtout que je dois laver et essuyer le carrelage à genoux, c'est Max son chien qui me suis en permanence, il fourre sa truffe entre mes fesses et à tendance à les lécher et je n'arrive pas à m'en débarrasser.
Une fois la corvée terminée, non sans qu'elle ne m'aie frappée sur les fesses plusieurs fois pour travail mal fait, je dois faire l'amour à ma tortionnaire et la faire jouir plusieurs fois.
Une fois satisfaite elle m'affuble de la muselière/bâillon puis je dois me doigter et masturber jusqu'à ce que j'aie un orgasme..
Automatiquement comme je suis allongée sur le sol le chien continue à me renifler et lécher partout comme il la fait pendant que je faisais le ménage, Amandine m'interdit de le brutaliser.
Elle prépare le repas et à un moment elle peste car apparemment il lui manque un ingrédient et elle doit sortir pour aller l'acheter.
je ramasse une fifle car elle estime que c'est de ma faute car elle doit s'occuper de moi et de ce fait néglige son intérieur.
Elle décide de m'entraver. Je replie mes jambes et elle attache ma cheville gauche au poignet gauche puis ma cheville droite au poignet droit.
<<comme ça tu n'auras pas l'idée de te sauver sournoise que tu es, espèce de putain tu es capable de me créer des ennuis avec Mathieu>>.
Entravée je ne peux pas empêcher le chien de me lécher partout surtout qu'il est attiré par l'odeur de ma mouillure et ce que je redoutais arrive.
Amandine revient, elle me détache et râle parce que je pleure, elle sait pourquoi mais s'en moque au contraire ce qui m'arrive lui fait plaisir.


Elle donne son repas à Max puis elle pose le mien sur le sol. J'ai à peine commencée à manger que le chien dont l'écuelle est déjà vide engloutit mon repas.

Ma tortionnaire apporte ma robe que je revêts puis elle me ramène chez mon maître.
<<aujourd'hui tu vas inaugurer un nouveau jouet qui va te plaire>>.
Elle me guide et je vois le carcan que le jardinier a fabriqué fixé dans les rainures de deux poteaux plantés dans le sol.
Une fois déshabillée et affublée de la muselière/bâillon, dont elle a introduit la boule dans ma bouche sans ménagement, je me retrouve debout courbée en avant,le cou et les poignets enserrés dans l'engin ainsi que les bracelets en cuir de mes chevilles accrochés à des chaînes fixées en bas des poteaux.
Elle rit et se moque de moi puis s'en va à mon grand soulagement.

En cours de l'après-midi je vois surgir trois hommes qui n'en reviennent pas de voir la position dégradante dans laquelle je suis.
<<quand Mathieu nous disait qu'il n'avait jamais vu une putain comme toi et qu'il te faisait faire tout ce qu'il voulait sans que tu te rebelles on ne voulait pas le croire mais là on constate qu'il disait la vérité>>.
Ils tournent autour de moi mettant leurs mains partout sur mon corps et mettant leurs doigts dans ma chatte et mon cul, malaxant mes seins et triturant les tétons.
<<sa tête est trop haute pour une pipe, on la libère du carcan>>.
<<non,il n'y a qu'à baisser la planche, elle est réglable>>.
Ils modifient ma position et je dois courber plus le dos.
Ils retirent ma muselière.
Ensuite en commentant ils se soulagent plusieurs fois dans ma bouche, ma chatte et mon cul.
Pendant ce temps je ne prononce pas une parole.
Ils me quittent après m'avoir remis la muselière/bâillon.
Ils partent en riant et plaisantant, évidemment c'est moi qui paye.

Plus tard deux autres hommes apparaissent.

Ils me libèrent du carcan et de la muselière et me prennent par tous les orifices dans différentes positions avant de me remettre dans l'état d'esclave ou j'étais à leur arrivée.

Quand mon maître arrive il me dit:
<<je suis sur que tu as passée une bonne journée, mes copains m'ont dit qu'ils avaient appréciée ma grosse putain et que je suis doué pour avoir fait de toi l'esclave que tu es devenue>>.

Deuxième vendredi de captivité
En fin de journée Mathieu tarde à venir me voir.
Je le vois arriver tenant en laisse une femme brune assez grande avec des hanches larges et des gros seins. elle a les poignets et les chevilles menottés plus une boule bâillon dans la bouche.
<<je viens montrer à ta consoeur, une putain elle aussi, qui entre parenthèse s'appelle Viviane comment tu te plais bien dans le carcan. Dis lui si tu te plais ou pas>>.
Je hoche la tête de haut en bas pour dire oui.

Deuxième samedi de captivité
Le jour est levé depuis un moment quand mon maître vient me chercher pour aller prendre le petit déjeuner et faire ma toilette.
Tenue en laisse je le suis supportant mes grosses et lourdes chaînes.
Dans la cuisine je vois que Viviane, la deuxième putain qui passe le week end comme captive, est là à genoux, bâillonnée, les chevilles et poignets menottées, la laisse qui est accrochée à son collier est attachée à un pied de table.
Mathieu retire nos bâillons puis s'assoit, il regarde Viviane:
<<toi la putain brune occupes toi de ma bite avec ta bouche et bois la liqueur jusqu'à la dernière goutte>>.
A genoux elle sort la queue du pantalon et lui fait une fellation, elle se retire quand il a éjaculé dans sa bouche.
<<maintenant à toi la truie blonde, tu me fais la même chose. Si tu n'y arrives pas tu seras punie et pas de déjeuner pour vous deux>>.
Je prends rapidement la place de Viviane pour éviter qu'il ne débande trop.

J'embrasse et lèche la grosse queue gluante sur toute sa longueur pendant un moment puis tout en caressant ses cuisses je la prends dans ma bouche.
Je commence une fellation énergique en enfonçant le plus que je peux la verge au fond de ma gorge, les aller-retour de ma bouche sur sa queue sont rapides.
Mathieu est long à venir et je dois beaucoup m'employer, je suis soulagée quand enfin sa queue augmente de volume dans ma bouche et est agitée par des soubresauts pendant que le sperme envahit ma gorge.
J'avale et continue à sucer, il repousse ma tête.
<<tu n'en a jamais assez espèce de truie>>.

A genoux nous déjeunons puis direction la salle de bain ou chacune doit laver l'autre.
De nouveau bâillonnées et enchaînée pour moi, menottée pour elle nous attendons accroupies au pieds de Mathieu.

Comme d'habitude c'est Jacques qui arrive.
<<une putain ça ne te suffis pas il t'en faut deux maintenant>>.
<<les putes c'est comme les chiennes, on siffle et il y en a plusieurs qui arrivent>>.
<<tu es un veinard d'avoir tout ça à ta disposition>>.
<<tu veux t'amuser, choisis en une>>.
Jacques pointe son doigt vers moi.
<<celle-ci, elle est vraiment bonne>>.
Débarrassée de la muselière et des chaînes et tenue en laisse je le suis dans la chambre habituelle et comme d'habitude je l'embrasse, le déshabille tout en léchant et embrassant son corps puis après qu'il aie éjaculé dans ma bouche je le fais jouir deux fois en me mettant à califourchon sur lui et m'empalant sur sa queue. Je ne suis pas avare pour les fellations lors de la troisième étreinte car comme d'habitude il a tendance à débander.
Ensuite j'attends qu'il se rhabille et me ramène à mon maître.

De nouveau entravées, nos laisses attachées à un pied de table nous attendons accroupies l'heure du repas.
Nous mangeons les assiettes posées sur le sol sans nous parler.


Mathieu nous amène en laisse dehors jusqu'à l'arbre ou est fixé le palan, il accroche les bracelets de mes poignets à la barre fixée au crochet du palan et actionne celui-ci, je me retrouve suspendue.
Mathieu s'adresse à Viviane:
<<tu vois comment elle aime être traitée la truie, si tu veux la même chose dis le>>.
Elle baisse la tête.
Il tire sur sa laisse et la ramène dans la geôle me laissant seule en larmes avec mes douleurs.

L'après-midi comme d'habitude des hommes arrivent.
Mon bourreau m'emmène dans la pièce du sous-sol tenue en laisse.
Viviane est là bâillonnée et attachée aux chaînes fixées au mur.
Il me débarrasse des chaînes et du bâillon.
<<vas dire bonjour à ta consoeur>>.
Je m'approche de Viviane.
<<embrasses et lèches lui la chatte ça va lui faire plaisir>>.
Il tire sur les chaînes pour qu'elle écarte bien les cuisses.
Je me mets à genoux, j'embrasse puis lèche l'entre-cuisses et le sexe de Viviane ensuite je fouille son intimité avec ma langue.
Mon maître me tire en arrière.
<<je ne t'ai pas demandé de lui faire l'amour>>.

Ses visiteurs nous ont suivis.
<<enlevez le matelas (sur lequel Viviane couche) et étalez le plaid, se sera suffisant pour la truie>>.
Je me retrouve à genoux une chaîne attachée à mon collier.
<<faites ce que vous voulez à la chienne, moi je vais m'occuper de l'autre femelle>>.
Il sort sa grosse queue, se colle contre Viviane et la pénètre d'un coup de reins violent.
Il la défonce sans ménagements pendant qu'elle nous regarde gênée. tout le monde le regarde faire jusqu'à ce qu'il éjacule dans son vagin.
Il se retire et rajuste sa tenue pendant ce temps on aperçoit le sperme qui s'écoule du vagin de sa victime.
<<allez les gars la truie attend et réclame de la bite, il ne faut pas la priver>>.
Les hommes se ruent sur moi et me prennent à deux ou à trois en même temps suivant leurs envies pendant que Viviane observe la scène.
Ils se servent de ma bouche, ma chatte et mon cul, au bout d'un moment je me sers de mes mains pour remettre leurs queues en forme.
Je jouis plusieurs fois ce qui les amusent.
Quand enfin ils me délaissent je reste allongée pour récupérer.

Je suis de nouveau bâillonnée et le rondin de bois refait son apparition.
Ils y accrochent les anneaux de mes bracelets en cuir et me soulèvent pour me transporter à l'extérieur.
Ils posent le rondin sur les crochets les plus hauts des piquets plantés dans le sol.
<<maintenant il faut la laver>>.
Il déroulent un tuyau d'arrosage puis ouvrent le robinet dirigeant le jet d'eau vers moi et tournent autour de moi m'arrosant abondamment tout en s'amusant.
L'eau est froide et me glace.
Ils s'en vont me laissant en pleurs dans cette position ou mes membres sont étirés et douloureux.

Le soir mon maître vient me voir accompagné de Viviane menottée et bâillonnée qu'il tient en laisse.
Il retire ma muselière et elle me fait manger une fois que Mathieu a changé le rondin de position pour que mon dos touche le sol sans me libérer.
Et c'est parti pour une nuit dans cette position très inconfortable mais à laquelle je suis habituée.

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