L'Enfer 5b
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Deuxième dimanche de captivité
J'ai les membres douloureux et ankylosés, j'ai passé une mauvaise nuit, il fait jour depuis un moment quand mon maître me libère enfin de ma position inconfortable et tirant sur ma laisse m'amène enchaînée dans la pièce du sous-sol qui sert de geôle.
Il retire les chaînes qui maintiennent allongée sur un matelas Viviane l'autre putain qui est captive pour le weekend. il menotte ses poignets et ses chevilles puis nous amène tenues en laisse dans la cuisine.
A genoux, en nous relayant nous lui faisons une pipe et c'est dans ma bouche qu'il éjacule.
Nous déjeunons et libérées de nos entraves nous allons dans la salle de bain ou chacune doit laver l'autre sous la douche.
De nouveau enchaînée et bâillonnée je m'accroupis sur le sol, il attache ma laisse à un pied de table puis ramène Viviane dans la geôle.
Ensuite j'attends patiemment la suite des événements sachant d'avance ce qui va se passer ce matin.
Des hommes arrivent un à un. Ils sont maintenant quatre assis autour de la table.
Ils boivent un verre avec Mathieu tout en discutant et je suis en grande partie le sujet de leur conversation et de leurs rires moqueurs.
Ils ne comprennent pas comment une femme peut devenir soumise comme je le suis et accepter de souffrir ou d'être traitée comme un animal.
<<c'est le résultat d'un bon dressage sur une truie qui avait de bonnes dispositions pour être soumise>>.
<<on ne se voit pas faire ça avec nos femmes>>.
Mon maître prend l'initiative concernant ce que ses invités doivent me faire subir ensuite.
<<maintenant c'est le moment de vous vider les couilles, la putain à besoin d'assouvir ses envies de mâles, emmenez la au sous-sol et faites en ce que vous voulez mais ne touchez pas à celle qui est enchaînée au mur elle est en cours de dressage>>.
Débarrassée des chaînes et de la muselière/bâillon, tenue en laisse je les suis et nous pénétrons dans la geôle.
Le matelas sur lequel ma consoeur dort est posé à champ contre un mur pour faire de la place et un plaid est étalé sur le sol.
Sous le regard de Viviane qui est en bonne place pour ne rien rater des événements je vais subir les assauts des invités de mon maître sans que cela ne me dérange, maintenant je suis habituée à servir de vide-couilles à un ou plusieurs mâles en même temps et je commence à être bien conditionnée.
Debout ils commencent par mettre leurs mains partout sur mon corps, ils malaxent mes seins, triturent et pincent les tétons, enfoncent un doigt dans ma chatte et mon anus.
Je me retrouve à genoux une queue dans la bouche et une autre dans la chatte et je suce pendant que je ressens le va-et-vient du membre dans mon intimité.
Rapidement le sperme coule dans mon vagin puis également dans ma gorge.
Ma bouche est de nouveau investie ainsi que mon anus et il se passe peu de temps avant que les deux hommes qui m'ont prise se soulagent.
Un homme s'est couché sur le dos, à genoux sur lui je guide sa verge pour la faire pénétrer dans mon vagin ensuite une queue s'enfonce dans mon anus. Le défonçage de mes orifices commence pendant que je fais une fellation à un troisième individu.
J'apprécie les sensations quand je suis pénétrée en même temps dans la chatte et l'anus, les hommes aussi d'après leurs commentaires.
Dés qu'un assaillant à éjaculé en moi il est remplacé et pendant un bon moment tous mes orifices sont occupés.
A force d'être sollicitée le plaisir monte dans mon ventre puis devient insupportable et les jouissances commencent. Elles sont de plus en plus rapprochées car les hommes éjaculent de moins en moins vite et s'acharnent pour arriver à leurs fins surtout celui qui me défonce le cul.
Je me sers surtout de mes mains quand ils me demandent de les remettre en forme.
Je ne suis plus très lucide quand mon ventre se fait arroser une dernière fois.
Les hommes sont partis, je me nettoie dans le lavabo.
Mathieu vient me bâillonner et enchaîner puis tenue en laisse je le suis jusque dans la cuisine ou je m'accroupis pendant qu'il attache ma laisse à un pied de table. Il va chercher Viviane et se soulage dans sa chatte avant de la ramener menottée et de la mettre dans la même position que moi.
Pendant que notre maître prépare le repas je dois lui lécher les cuisses et la chatte qui dégoulinent de sperme pour éviter qu'il ne coule sur le carrelage.
Nos assiettes posées sur le sol nous mangeons silencieusement à genoux.
Ils nous entraîne à l'extérieur de la maison ou il attache mon collier à un lampadaire.
Il ramène Viviane dans la geôle.
Debout je patiente en plein soleil pendant un moment.
L'après-midi six hommes passent devant moi (les mêmes que le dimanche précédent). Ils me parlent et rient des bagues et allusions qu'ils font.
Seul Antoine le gagnant du concours du dimanche précédent et avec qui j'ai fait l'amour (un bon souvenir) le mardi passé a des paroles modérées à mon égard.
Mon maître vient me chercher et nous gagnons la pièce qui sert de geôle, là il me libère des chaînes et de la muselière.
<<plusieurs d'entre vous ne veulent pas de concours car ils disent qu'ils n'ont aucune chance>>.
<<c'est dommage j'aurais bien voulu gagner une deuxième fois et refaire l'amour avec elle>>, c'est Antoine qui parle.
<<pourquoi, c'était si bien que ça>>.
<<mieux que ça, quand on peut faire l'amour avec une femme douée comme elle on la garde et on ne va pas besoin d'aller chercher ailleurs>>.
Les commentaires graveleux et désobligeants fusent.
<<comment va t'on procéder pour agrémenter l'après-midi>>.
<<on va quand même chronométrer les différentes phases: fellation, éjaculation dans sa chatte puis dans son cul et aussi le temps mis par chacun pour la faire jouir>>.
<<ça semble bien et chacun doit y arriver>>.
Je dois me laver avec de l'eau citronnée et utiliser une poire à lavement après chaque pénétration pour niveler les chances entre les concurrents.
Et si un homme ne bande pas quand ce sera son tour de me prendre Viviane à qui notre maître a enlevé son bâillon doit lui faire une fellation pour le remettre en forme.
Allongée sur le plaid le premier concurrent s'évertue à me faire jouir en masturbant mon clitoris, doigtant ma chatte et agaçant les tétons de mes seins avec sa bouche et ses dents. Il faut un certain temps pour que le plaisir monte dans mon ventre puis devienne intolérable jusqu'à ce que des spasmes agitent mon corps et que des jets de cyprine s'échappent de mon vagin pendant que j'ai un orgasme.
C'est son tour de s'allonger et je m'active en lui faisant une fellation qui ne dure pas longtemps car il est très excité, ma gorge est arrosée de son sperme que j'avale.
Son sexe est toujours en érection, je me couche sur le dos, il s'allonge sur moi et pénètre ma chatte puis nous remuons en rythme jusqu'au moment ou sa semence coule dans mon vagin.
Il se retire et sa queue ramollit rapidement, je me lève et vais me laver.
Ensuite la même chose se passe avec chacun des six hommes.
Puis je me mets à genoux et chacun leur tour ils me sodomisent. Comme ils ont déjà éjaculé deux fois cette pénétration prend plus de temps avant qu'ils ne se libèrent dans mon cul.
Ils font les comptes: l'un est content car il a été le plus rapide pour me faire jouir, un autre parce qu'il a le mieux résisté à la fellation. Un troisième parce qu'il a le mieux tenu dans ma chatte et un quatrième dans mon cul.
Viviane a du faire une fellation à deux hommes qui avaient du mal à bander.
Ensuite pendant que Mathieu se fait faire une pipe par Viviane puis la sodomise (d'après ce que je vois) en levrette ses compères s'occupent de moi.
Ils me prennent à trois en même temps occupant mes trois orifices cédant leur place dés qu'ils ont éjaculé dans mon corps.
Déja échauffée par ce qui s'est passé avant je jouis plusieurs fois puis les hommes une fois assouvis abandonnent les uns après les autres.
<<c'est l'heure du lavage, elle est trop sale our rester dans cet état>>.
De nouveau bâillonnée et allongée sur le dos ils amènent le rondin de bois équipé de crochets sur lesquels ils fixent les anneaux des bracelets qui ne quittent pas souvent mes poignets et mes chevilles.
Ils me soulèvent et me transportent à l'extérieur puis posent le rondin sur les deux poteaux plantés dans le sol à cet effet puis après avoir déroulé le tuyau d'arrosage ils ouvrent le robinet et dirigent le jet d'eau sur moi ce qui me glace car l'eau n'est pas chaude.
Ils me laissent pendue pour que je sèche et s'en vont boire un verre.
Le temps m'a semblé bien long avant que mon maître ne me décroche, me mette les chaînes et m'emmène dans la cuisine manger en compagnie de Viviane.
Retour sur la litière de paille pour la nuit une chaîne fixée à mon collier, après qu'il aie enduit mes tétons, mon clitoris, ma chatte et mon anus de produit chauffant je me retrouve couchée à plat ventre les membres bien tendus, les poignets et les chevilles attachés à des piquets par des cordages.
Longtemps le produit me picote et échauffe mes sens, j'ai des envies de bites.
Le lundi matin
Nous déjeunons et nous lavons.
Pendant que j'attends de nouveau bâillonnée et enchaînée Viviane se rhabille et touche son dû, avant qu'elle ne parte Mathieu lui dit:
<<si tu en as envie tu peux revenir>>.
<<oui ça m'intéresse>>.
<<sans subir le même sort que la truie tu devras satisfaire les hommes qui viennent me voir et ce sera plus rentable pour toi>>.
<<ça ce n'est pas le plus difficile à supporter mais je ne veux pas être maltraitée comme elle et puis ça m'intéresse financièrement>>.
<<pas de risque, pour la truie c'est un traitement spécial, elle sait pourquoi ça se passe comme ça>>.
Ils prennent rendez-vous pour le mois suivant puis elle quitte la maison.
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