Terma- Djaffar Et Sousou
Par la suite, notre soirée s'est totalement modifiée. Djaffar nous a invités à nous mettre, tous les trois, à poil, ce que nous firent en vitesse et dans les rires et la joie. La suite sera certainement des ébats inédits en perspective.
Jai enfin observé le corps de Sousou. Par devant, Sousou na pas été gâté, un pénis moyen, bien plus petit que le mien et recroquevillé sur lui-même, il nétait pas tentant. Par contre, de derrière, Sousou était bien rempli, surtout sur les hanches et les fesses blanches, avec un long sillon provocateur qui cachait des trésors de plaisirs et de jouissances. En somme, une très bonne terma qui a du subir les outrages de centaines de zob. Daprès ce que je voyais, ce gars ne pouvait donner son cul quà de gens pourvus de gros zob et professionnels de la sodomie. Je ne sais pas pourquoi je fantasmais sur ce gars que je viens juste de connaitre.
Nous étions donc tous nus et la séance a commencé par moi. Nous nous sommes installés sur le grand lit à deux places de Djaffar. Il ma pris entre ses bras : « Garbi laya ya kahabti jdida ! hatili foumok ! hahou zebi mtannnane ! moussih ! moussih kaamel mlih !» (approche toi ma nouvelle putain ! donne moi ta bouche ! regarde zébi qui est bandé !suce le ! suce le complètement et bien ! ) Et voila, j'ai été le premier à recevoir sa queue dans la bouche, elle était monstrueusement gonflée par le désir. Son choix ma fait un grand plaisir ! jétais heureux (se) de lempoigner, la gouter, la sucer jusquà sa racine et la lubrifier. Cinq minutes de plaisir buccal, pendant que Djaffar me titillait le cul avec ses mains et ses doigts.
Puis, comme on dit, on est passé aux choses sérieuses ! « Hatili dhorka teremtek enikha ! entartagha ! zebi raah skhoun bezzannna ! » (donne moi ta terma pour la niquer ! lexploser ! mon zob est brulant de sperme !) En position levrette, le cul en lair, les fesses dégagées et lanus gentiment ouvert, Djaffar a honoré ma terma de ce zob si délicieux, dont je commençais à connaitre les désirs, les palpitations et les soubresauts à lapproche du plaisir.
Trop rapide pour mes sens, dommage, mais il devait être à cran, car, soudain, dans une dernière secousse de son zob, une crispation passionnée, les couilles de Djaffar ont déversé leur plein de sperme par des jets puissants et brulants qui ont arrosé et rempli mes fondements. Et comme dhabitude, jai profité de ce choc brutal, quoique rapide mais délicieux, pour crier librement et fort mon plaisir, sans retenue. Mon cul coulait de son suc et de sperme. Encore une fois, ce fut une sensation douce, chaude et de remplissage de mes entrailles. Oui ! Jétais, tout à la fois, agréablement et largement ouvert, mais aussi rempli, totalement et jusquau fond de mon cul.
La présence de Sousou ne nous a, en aucun cas, dérangé et pour moi, bien au contraire, elle a ajouté un nouveau frisson de plaisir, un autre type de sensations agréables dêtre sodomisé en public. Dés que Djaffar sest retiré de ma terma, alors que mon plaisir continuait à secouer ma terma ensemencée de sperme, Sousou a pris la relève. Il sest jeté sur le zob luisant de Djaffar pour le nettoyer avec une langue gourmande. Il a sucé et léché si adroitement et avec passion le zob jusqu'à le faire bander dur à nouveau, puis il sest mis, lui aussi, en levrette pour le recevoir dans son fondement. Merveilleux, ce zob de Djaffar ! surtout lorsquil est debout, long et gonflée ! une image qui vous secoue terma !
Alors, Djaffar, toujours prêt, a repris sa danse du sexe et du plaisir. Moi, tout en messuyant succinctement le cul et les cuisses, je les observais.
Ils ont des cadences et des changements de vitesses assez étonnants. Les mouvements daller et retour du zob de Djaffar avaient des arrêts et des départs brusques, qui me semblaient désordonnés, et les légères rotations de la terma de Sousou faisaient de même. Les deux mouvements étaient parfaitement synchronisés. Ils baisaient dans une union parfaite de leurs organes et de leurs sensations internes. Jobservais ce spectacle avec admiration.
Et au moment de finir, ils ont poussé, en commun, de grands râles de plaisir, tellement profonds, qu'ils m'ont secoués, et encore une fois, mon corps a réagit par mon pénis qui s'est bandé tout seul. Ils sont restés collés pendant un bon moment, il me semblait même quils étaient étourdis, mais je voyais le sperme couler sur les cuisses de Sousou, par dessous les couilles de Djaffar, dont le zob était toujours au fond de la terma.
Enfin ils se sont désunis, et ça coulait chez lun comme chez lautre de ce nectar, résultat de nos amours et de nos désirs. Une sodomie presque muette mais tellement entraînante ! Si Djaffar pouvait encore
jétais prêt à le recevoir immédiatement dans ma terma excitée. Mais laissons cela pour ce soir.
Puis, tout le monde a accouru, dans le rire et la joie commune, vers la salle de bain pour un nettoyage collectif. Ensuite, Djaffar sest rhabillé et est sorti pour acheter quelques provisions pour notre diner. Profitant que jétais seul avec Sousou, je lai questionné sur sa technique de sodomie. Avec un sourire complice, il m'a informé que ce sont des années d'expérience qui lui permettent de tirer le maximum de ces rencontres d'amour et qu'il se fera un plaisir de me les apprendre.
Jétais très intéressé et voulant connaitre beaucoup plus, alors il m'a invité de venir chez lui un jour. Comme j'étais un peu étonné il m'a rassuré qu'il vivait seul depuis sa séparation avec sa femme il y a plus de huit ans. A ma question sur les gens qu'il recevait chez lui, il m'a aussi rassuré qu'il ne faisait jamais l'amour chez lui mais toujours chez ses clients comme le cas avec notre ami Djaffar ou dans un endroit spécialisé comme dans certains hôtels et pensions particuliers. Et il m'a promis de me faire ses confidences sur ses expériences de sodomie. Il m'a donné son numéro de téléphone et rendez vous pris pour le samedi prochain à onze heure dans un bar connu.
Djaffar étant revenu avec quelques provisions et boissons, nous avons repris le chemin de nos plaisirs pour une nuit chaude à trois. Mais Djaffar en a décidé autrement. Pour me faire plaisir encore une fois, et, selon ses dires, pour « méduquer », Djaffar m'a donné un avantage pour la nuit : « emmaym ti ! ezzouenti ! elayla laytek ! » (mimi ! bella me ! cette nuit est pour toi !) « zebi rah leik ! nikiih ! koulih beteremtek esskhouna ! » (mon zob tout à toi ! nique le ! mange le avec ta terma si chaude !). Sousou, sil le désire, devra se contenter pour cette nuit, seulement de sucer et branler le zob de Djaffar avant chaque sodomie. Et, pour mon bonheur et celui de ma blanche terma, j'ai reçu, par quatre fois, le zob de Djaffar dans mes entrailles et il a éjaculé autant de fois. Je vous conte quelques détails de cette performance.
Les deux premières fois, en début de soirée, il ma sodomisé sauvagement mais le résultat a été pour mon corps follement agréable. La première fois, en levrette, avec forte éjaculation. La seconde fois une demi heure plus tard, une sodomie face à face avec mes jambes bien levées pour faciliter l'accès de mon anus à la grosse queue de mon amant.
Ces paroles chuchotées, en complices, ont ébranlé, en moi, des tabous ancestraux ! Elles sont plus graves que ce quil mavait dit auparavant. Me considérer non plus comme simple putain, simple sujet ou partenaire de plaisirs sexuels, mais comme femme, cest passé à un autre stade qui casse les tabous. Jai eu de la difficulté, au début pour accepter ces mots, mais je nai rien dit. Puis il a ajouté : « bach tdhougui zébi ! wenrafadlek elkarch ! » - (pour que tu goutes mon zob !et pour tengrossir !) .
Alors la, je me suis fâché ! Et je lai repoussé alors quil venait de finir la première sodomie brutale avec éjaculation : « Kifach taj3alni mratek ! wana bzébi ! » (comment peux-tu me considère comme ta femme ! alors que jai une bite !) et jai ajouté la preuve par un geste brusque : « chouf ! hahou zébi waguef ! mtannnane 3la termet Sousou ! » - (regarde ! ma queue debout ! gonflée pour le cul de Sousou !) et toujours courroucé, jai ajouté :« lla ! lla ! ana sahabtek ! kahabtek ! » - ( non ! non ! je suis ton amie ! ta putain !) et pour bien fixer les droits que je lui octroyais : « teremty hahi leik ! nhaar wleil ! » - ( ma terma est à toi ! jour et nuit !) «nmoussek wtferek fi teremty ! wfi foumi ! » - (je te suce et tu te soulage dans ma terma ! et dans ma bouche !) et les limites à ne pas dépasser : « lakine ana mazalte rajel ! wa nike termate erjal ! el3atayne kima ana !) (mais je suis encore un homme ! qui baise les terma des hommes ! des pédés comme moi ! )
Il devint tout rouge et se confondant en excuses, il mentoura de ses bras, membrassa sur les joues et la bouche en murmurant presque craintivement : « raha eneyka lahlouya hya li dawkhouni ya habibti ! » - (cest notre baise si douce qui ma étourdit ! ô mon amie) et avec quelques caresses sur mon visage, sans oublier mes fesses : «khlass ! ma natlach enawyk ! » - (ça y est ! je ne te fâcherais plus) « haya ! nzidou nayka ! li tsalehna! » - (viens ! on va faire une baise ! qui va nous réconcilier !) .
Puis augmentant ses caresses sur ma terma et multipliant ses baisers un peu partout sur mon corps, il ajouta avec une voie rauque, pleine de désir : « hatli ! hatli teremtek ! enikek mine goudam, 3ayni 3ala 3ayniek !) ( donnes moi ta terma ! je vais te niquer par devant, face à face !) . Sincèrement, le ton de sa voie ma ému et je me suis, alors, abandonné à ses désirs, ses fantasmes, sa force brutale et si douce.
Et on est reparti pour une seconde sodomie face à face avec mes jambes largement ouvertes et haut levées. Son zob pointe mon anus et sans préparation, il me pénétra ! Son amour semblait sincère et excuse sa brutalité. En tout cas, il ma enflammé les sens. Jai accueilli la force de sa grosse queue dans mes entrailles comme une preuve de passion pour moi et pour ma terma. Et jétais prêt (ou prête, ce serait plus correcte) à reconsidérer mes conditions et ma saute dhumeur.
Pendant quil me pilonnait de son gros engin, je continuais à penser. En réalité, me considérer comme femme nétait pas aussi grave que jai dit, mais je voulais créer une frontière dans nos relations et surtout dans les considérations que nous avions lun de lautre. Je voulais certes gouter à fond les joies de la sodomie, mais aussi garder un espace pour les autres plaisirs, aussi bien sur les terma des autres, et je pensais déjà à Sousou, mais aussi pourquoi pas des femmes. Je ne suis quà mes débuts et je ne vais pas restreindre, si tôt, toutes les possibilités de plaisirs sexuels. Voila, cest clair maintenant.
On a gouté ensemble cette seconde sodomie, comme racontée plus haut et on sest couché ensemble, serrés étroitement sur le même lit. Sousou ronflait déjà depuis un bon moment. Je crois quil na pas assisté à notre esclandre et surtout à mes vues sur lui ! On verra plus tard si mes possibilités seront à la hauteur de mes désirs avec lui.
Djaffar sest bien racheté et notre sodomie fut à la hauteur. Baisé par devant, javais son visage pratiquement collé au lien, ses lèvres sur ma bouche et mon cou et sa respiration rauque soufflaient en concert avec la mienne. Ce fut une baise presque bestiale dans sa violence, mais avec amour dans sa jouissance.
Quant il a fini son pilonnage, il sest soulagé les couilles dans mes entrailles et, comme tout à lheure, on na pas pu retenir notre jouissance sonore. Même nos baisers furent violents. Et, entourant son corps avec mes bras, je maccrochais à Djaffar pour retenir au maximum son zob dans mon cul et ressentir à fond la chaleur et la puissance de ses jets de sperme. Ensuite, je me suis endormi bien satisfait de ma soirée.
Mais, un peu avant laube, Djaffar ma réveillé. Il avait envie certainement, dune seconde sodomie. Il ma murmuré doucement : « Rani 3atchane btermetek ! rani choufoutha fi mnami ! » (Jai soif de ta terma ! je lai vue dans mes rêves !) . « zébi raah mtannnane ! griib nferak ! » (mon zob est debout ! gonflé ! prêt à juter !).
Puis il me poussa avec ses mains et ses cuisses, pour me retourner en criant presque : « fissa3 ! fissa3 ! soud menheih ! garrab teremtek !ah ya zébi !zébi !» (vite ! vite !tournes toi ! approches ta terma ! zob ! zob !) Il hoquetait presque ! Il semblait pris de folie ! Et il mempoigna les hanches et enfonça son zob au maximum dans mon cul. Son jus de la soirée et le suc de ma terma lui ont facilité la pénétration. Je nai presque rien senti, juste son zob losquil ma rempli le cul.
Il était chaud et dur. Il devait bander depuis un bon moment, vu la manière dont il me niquait avec passion car il me dit : « ra7 3lya enoum ! zébi nawadhni ! chahi hbibtou teremtek eskhouna ! hatha ! » (jai perdu le sommeil ! mon zob ma réveillé ! il veut son aimée ta chaude terma ! donne !).
Et voila encore la preuve que Djaffar est totalement entiché de ma blanche et douce terma jusquà hanter ses rêves ! Ses mots mont bouleversé et il me semblait que mes entrailles jutaient déjà leur suc de désir. Après cette attitude de Djaffar, et pour accepter son pardon, son aveu si sincère, jétais prêt à lui donner tout ce quil veut ! Je devrais accepter ses désirs, ses gestes même brusques, et peut-être même, ses intentions pour me considérer comme sa femme et mon cul comme une chatte à niquer et à semencier !
Cette sodomie va être merveilleuse, surtout dans ma situation de demi-sommeil ou ma chair est reposée, chaude et douce. Et Djaffar va en profiter et moi aussi, amplement et sans retenue. Et en effet, je sentais bien mon corps reposé et mon cul très disponible. Dès quil ma pénétré, ce fut merveilleux ! Une sensation douverture de lanus douce et jouissante et un remplissage chaud et viril de mon sphincter. Nos gémissements et nos râles affolaient nos souffles. Le zob de Djaffar allait et venait dans mes entrailles et mes propres mouvements du derrière amplifiaient nos jouissances. Je voudrais tellement que ces moments de jouissances durent éternellement, mais la hâte de Djaffar se manifesta trop rapidement.
Il éjacula chaudement et en quantité folle. Son sperme giclait dans mon cul et sur le lit. Dommage que je ne puisse voir et gouter cette liqueur virile, à cause de nos positions soudés lun à lautre par mon derrières et mes fesses. Puis il sest retiré doucement de ma terma. Gêné par le sperme entre mes fesses et sur le lit, je me suis levé pour aller aux toilettes.
Jétais nu et assis sur le bidet, je me suis vidé au maximum tout en me doigtant le cul par plaisir. Jai fermé les yeux pour fantasmer. Soudain jai senti une présence et ouvrant les yeux, Djaffar était devant moi, nu et tenant son zob qui était toujours au garde à vous. Il voulait se nettoyer, mais jen ai décidé autrement. Mes touchers de cul et cette queue qui me narguait ont réveillés ma flamme sexuelle.
Jai empoigné la bite de Djaffar pour la sucer, la lécher et la branler. Mais elle navait pas besoin de ma main pour se réveiller, elle était déjà gonflée, dure et douce et même lisse à cause du sperme. Mes gestes et mon intention visible dune autre baise ont poussé Djaffar à vouloir me saillir, la, debout dans les toilettes, mais jai refusé. Je désirais, si Djaffar en avait encore la force, gouter encore, une sodomie comme celle de tout à lheure, bien couché sur le ventre et avec Djaffar sur mon dos. Limage même de ce désir ma donné des frissons.
Jai empoigné Djaffar par le zob et je lai tiré, franchement vers la salle jusquau lit. Jai recouvert, avec ma couverture, ma partie de lit polluée par le sperme et je me suis recouché sur le ventre. Jai écarté au maximum mes cuisses pour offrir le spectacle de ma terma à mon amant et jattendais cette saillie que jai vue dans les yeux de Djaffar.
Il sest couché sur mon dos, et je ressentais tout son corps me couvrir. La pénétration de sa queue dans mon cul a été presque un simple glissement, presque insensible, mais je savais quil était déjà arrivé jusquau fond de ma terma. Ensuite il ma niqué doucement, avec des vas et viens très lents et langoureux. Je ressentais aussi ses poils qui me brossaient les fesses avec douceur et le poids de ses couilles sur lintérieur de mes cuisses. Larrivée de son plaisir a été aussi rapide quauparavant mais avec moins de sperme. Je le sentais fatigué.
Nous sommes restés un long moment sans mouvements, Après cette longue pause pour gouter à fond le poids de mon amant sur mon dos et dur mon derrière, je voulais me dégager, mais, surprise, jentendais Djaffar qui ronflait doucement. Il sétait endormi sur mon dos, sur mon cul. Il a pris ma terma comme lit douillet. Je nai pas voulu le réveiller, alors, je me suis endormi sous mon amant.
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