Hélène 3 : Découverte
Hélène 3 : Découverte.
Résumé
Hélène, quinqua divorcée est séduite par Pierre au cours dun invraisemblable concours de circonstance. Quant à Pierre, il devine sous cette timidité, une sensualité cachée et il entreprend de la lui révéler.
Après avoir cru perdre Pierre, Hélène est rassurée sur les sentiments de son amoureux. Elle entame avec lui une ronde des plaisirs de lamour où se mêle jeux de soumissions, instant de tendresse et opportunités sensuelles
Nous retrouvons Hélène et son sultan, au restaurant après une shopping de lingerie.
Récit de Pierre
Nous attaquons notre dessert quand Hélène me fait cette demande étrange.
-Pierre, je veux faire un truc de couple.
- Que veux-tu dire.
- Emmène-moi au cinéma. Ca fait une éternité que je ny suis pas allée avec un homme gentil et attentionné. Allons voir un film romantique.
Arrivés à Belle-Epine, Je laisse Hélène choisir le film, une comédie pétillante et tendre. Quand nous entrons dans la salle, les publicités se terminent. Je guide ma chérie vers deux places contiguës, sans accoudoir les séparant, un vrai petit divan pour amoureux.
La lumière séteint, le film commence. Hélène pose sa tête mon épaule, att ma main gauche et glisse ses doigts entre les miens. Après dix minutes, elle lâche ma main, sagite, puis repose sa tête sur mon épaule. Doucement, elle soulève sa robe, et dépose ma main à lintérieur de sa cuisse, à cheval sur le bas et la peau satinée, puis elle rabat le tissu sur ma main. Elle membrasse dans le cou, repose sa tête, et reprend mon bras. Une ou deux scènes plus tard, elle déplace doucement ma main vers son pubis.
- Ma chérie, tu nas rien oublié.
- Mon amour, je suis ta salope, sans culotte, ça rime.
- Ma chérie, je préfère le mot sultane.
-Mon Sultan pervers, caressez votre sultane amoureuse.
Ma main gauche commence à fouiller son intimité, je glisse mes doigts dans sa fente déjà humide, je chiffonne ses lèvres.
Je dégage le clitoris. Je pose mon index dessus et je le frictionne doucement.
Elle avance son bassin, son anus devient accessible.
-Sil te plait, Chéri, occupe-toi de mon petit trou.
Je tords mon poignet et je fais glisser mes doigts pour atteindre chacune des clés du plaisir. Mon index pénètre sans peine son illet lubrifié par son propre suc. Mon majeur sagite dans son vagin, mon annulaire dans son illet. Mon pouce stimule son bourgeon. Hélène étouffe ses gémissements, entrecoupés de « Chéri, mon amour, encore.» Puis elle se crispe dans un spasme violent, étouffant son cri en me mordant le biceps. Puis elle sapaise, se redresse dans le fauteuil, et repose sa tête sur mon épaule.
- Je tai fait mal, mais tu mas fait tellement de bien.
- A charge de revanche, mon amour. Lui répliqué-je.
Nous profitons sagement du reste du film, puis prenons le chemin de la sortie et du parking en nous tenant par la taille.
- Cétait bon, Chéri, merci. Puis, elle ajoute.
- Cest la première fois, que je me fais caresser au ciné. Tu dois me prendre pour une salope.
Je marrête, et je lui fais face.
- Hélène, nous nutiliserons plus jamais entre nous ces termes péjoratifs. Les mots comme salope, Radasse, et tous les mots en asse seront bannis de notre vocabulaire amoureux.
- Oui, mon maitre, je suis votre humble esclave.
- Je préfère que tu utilises des formules comme soumise, sultane. Evite aussi le mot maitre pour me qualifier.
- Mon sultan, votre odalisque vous obéira.
Et elle me pose un délicat baiser papillons sur les lévres.
- Au fait, tu as aimé le film.
- Quel film ? Me répond mon amoureuse.
Je ne suis pas pressé de rentrer, nous prenons lautoroute. Hélène laisse sa robe remonter et que ses cuisses charnues se découvrent jusquau-dessus de la lisière des bas.
- Chérie, on va avoir un accident. Dis-je en doublant un routier.
- Tu nas quà regarder devant toi. Et provocatrice, elle remonte lourlet de sa robe.
- Le routier va te voir.
- Mais non penses-tu.
Et grand coup de Klaxon nous répond. Eclat de rire général. Ma sultane relève la tête et envoie un grand sourire à ce routier sympa, et voyeur. Jaccélère pour finir de doubler le camion accompagné du rire de ma compagne et des tut tut désespérés du 36 tonnes.
Une fois arrivés à la maison, et la porte fermée, je glisse la main sous la robe de mon impudique, et avec un accent mal imité de Gabin dans la bête humaine, je balance.
- Alors la ptite dame, on na pas peur de senrhumer les miches à lair.
- Cest pour exciter mon pervers préféré, mon ptit monsieur.
Puis, elle me prend la main et me tire vers la cuisine.
- Je nai pas très faim, que me proposes-tu.
- Apéritif dinatoire, sur la terrasse.
- Ça marche, tu prépares tout, et tu me rejoins sous la douche.
Récit dHélène.
Une fois sous le jet, je marrose abondamment, le dos et les fesses.
Puis, je pose une noix de savon dans ma paume, et je me frictionne.
Ensuite jattaque lentrainement, avec mon savon intime, je lubrifie mon petit trou, et je glisse un doigt dans mon cratère. Rien, pas de douleur, mais je ne retrouve pas la sensation agréable que me procure le majeur de Pierre. Lindex rejoint son voisin, même pas mal, mais aussi aucun plaisir. Jessaye avec un troisième doigt, je réussis à le faire pénétrer, mais je sens comme une brulure. En moi-même, je mencourage.
- Allez ma fille, tu peux le faire, fais le pour Pierre.
Peine perdue, mon troufignon me lance, jai mal, un mélange de brulure et de frictions. En plus, cette douleur me crispe. Je renonce à mes essais dauto-sodomie. Pourvu que Pierre soit plus doué que moi.
Pierre me rejoint. Je ne lui dis rien de mes tentatives. Je le savonne, sa belle verge se gonfle dans ma main. Mon sultan est vraiment vigoureux, jamais il nentrera en moi par derrière. Ou il va me déchirer.
Je me retourne pour régler leau sur plus chaud. Le traitre en profite pour me caresser les fesses, puis sa main se faufile dans ma raie, et dans la foulée, son index mencule. Et ça marche, je ressens cette douce chaleur. Son majeur le rejoint dans mon illet, et me pistonne. La bulle de douceur se forme et commence à monter. Mais mon sultan interrompt son pistonnage et retire ses doigts. Je vais protester contre cet abandon, quand sa langue me pénètre.
Cest trop bon, jen ai un spasme de plaisir. Pas un orgasme, mais une petite bouffée de bonheur.
Je relève mon Pierre, je me penche sur lui. Je veux lui rendre ce quil ma donné, je lembouche, il est vaillant, il passe à peine entre mes lèvres. Comment va-t-il rentrer dans mon orifice le plus étroit. Sa voix interrompt mes réflexions métaphysiques.
- Si on allait manger, gardons le meilleur pour la fin. Me propose mon garçon de bain.
Essuyage, tripotage, peignoirs, puis nous nous vautrons sur un grand coussin rouge installé sur la terrasse et nous attaquons un mélange dantipasti, de légumes crus, de charcuterie de Savoie et de Persillé de Tignes. Une fois rassasiée, je minstalle dans les bras de mon chéri, je prends sa main gauche et la pose dautorité sur mon sein, et nous profitons du soir qui tombe.
- Rentrons mon chéri, jai froid, viens me réchauffer.
Je lentraine dans la chambre, je lui murmure à loreille.
- Je veux essayer, mais sois très doux.
Pierre mallonge sur le ventre, avec un petit polochon pour me cambrer. Je pose ma tête sur loreiller de mon chéri, les bras sous le coussin. Je sens lodeur merveilleuse de mon sultan. Jattends, heureuse et passive, tout ce que mon amant voudra me faire subir.
Une sensation de fraicheur précède une douce pénétration anale. Pierre me lubrifie, cette sensation na rien à voir avec celle ressentie lors de mes essais précédent. Il introduit en moi un cylindre oblong dans ma dernière virginité, puis il le fait glisser davant en arrière. Japprécie ce massage mais il ne me procure pas une volupté comparable à lindex et au majeur de Pierre.
- Pierre, ce nest pas terrible !
- Ma chérie, tu vas essayer autre chose. Me répond il.
Quelque chose pousse sur mon anneau, qui souvre et se referme aussitôt quil est passé. Puis un seconde poussée, mon anus souvre un peu plus et se referme.
- Cest quoi.
- Ce sont des billes, de plus en plus grosses.
A la troisième, je sens une délicate excitation, qui samplifie avec la quatrième...
Une cinquième ? Me propose Pierre.
Jémets un oui alangui. Mon anus est dilaté au-delà de ce quil a déjà subi. Jentre dans linconnu.
- Encore une ! Demandé- je.
Pierre sexécute. Mon excitation croit, accompagnant les dilatations et rétractions successives.
Mais la dixième et dernière est trop grosse, la pénétration est douloureuse, je me crispe et me bloque, ma bulle de plaisir seffondre.
- Arrête Chéri !
- Tu veux que je les retire.
- Pas tout de suite, jai un peu mal.
Pierre me cajole, puis tire sur le cordonnet. A chaque boule, je soupire de plaisir. Quant à lui, il se delecte du spectacle de mon anus , souvrant en rythme avec mes gémissements. Jexpulse la dernière bille.
- Prête, ma chérie !
- Sois doux mon amour.
- Je veux te voir. Me dit Pierre en me retournant et en ajustant le coussin sous mes fesses.
Il prend mes jambes et les pose sur ses épaules.
- Tu me dis si ça va.
Et il présente son membre à mon petit illet. Il pousse doucement sa verge lubrifiée contre mon anus. Celui-ci résiste. Je lencourage.
- Viens mon chéri, viens.
Mon sphincter sentrouvre, et Pierre en profite pour me pénétrer. Il est trop gros, je me mors la main et jétouffe un cri. Jai mal et malgré tout je veux aller jusquau bout.
- Continue mon Chéri.
Son épieu est quasiment entré en entier, mais il mécarte trop, je narrive pas à e relacher, je serre les dents, mais la douleur est telle que jai les larmes aux yeux, ma mâchoire est si serrée que je ne peux rien articuler. Je geins doucement, Pierre saperçoit de ma souffrance.
- Ça ne va pas, je vais me retirer doucement.
Il glisse hors de moi, mon anus est tellement crispé que même son retrait est une brulure. Il est sorti, il sallonge à côté de moi. Je me pelotonne contre lui.
- Chéri, jai eu si mal, tu dois penser que je suis un mauvais coup. Il faut peut-être que tu mélargisses avec des trucs de plus en plus gros. Ajouté-je
- Et pourquoi pas avec un bouchon de champagne tant quon y est. Me répond-il.
J éclate de rire. Et dun coup toute la tension sévanouit, jai toujours mal à mon petit (gros ???) derrière. Mais je me sens bien.
Cinq minutes se passent, collée à mon amour, la douleur nest plus quune sensation lointaine. Jai posé la main sur le sexe de Pierre, qui sest ramolli. Je me glisse vers son ventre et je prends sa verge entre mes lèvres et la lèche. Mon amoureux reprend de la vigueur, et écarte mes mâchoires.
- Chéri, par devant, jai envie de ton beau membre. Lui fais-je avec mon plus beau sourire de chatte gourmande.
- Met toi sur le côté, ma beauté callypige.me répond-il
Je lui obéis, une main soulève ma fesse, une sensation de fraicheur sur mon petit trou. Et Hop, Monsieur menfonce une boule, puis une autre, et une troisième. Je ne proteste pas, je retrouve la sensation agréable de tout à lheure.
- Ne mets pas les plus grosses.
Puis il me retourne, et madresse son sourire carnassier. Il me pénètre, mon vagin est rétréci par le chapelet. Son gland, puis le reste de sa queue appuie sur mes billes au travers de la membrane séparant mon rectum de mon vagin. Je ressens comme une petite décharge chaque fois que sa verge heurte puis repousse une boule.
Il est rentré en entier, ses allers retours stimulent mon vagin mais aussi mon rectum. La bulle de chaleur se forme à la fois dans mon ventre mais aussi dans mon cul. Doucement, mon pervers préféré tire sur la ficelle et dilate mon anus pour sortir la première bille. Il marrache un « aaaah » de plaisir, il attend quelques secondes, puis il sort la deuxième, je me contracte autour de sa bite dans un spasme de jouissance, je gémis sans arrêt.
Une par une, il retire les boules sans cesser de me pistonner. A chaque expulsion, je crie, et mon plaisir monte dun cran. Encore une et jexplose. Je jouis convulsivement en même temps que Pierre. Son orgasme est tellement intense quil sabat tremblant à côté de moi.
Nous reprenons notre souffle ensemble.
Je suis repue, rassasiée, je me roule contre mon chéri, et comme les fois précédentes, je mécroule comme une masse.
OOOOO
Au matin, Pierre dort encore quand je me réveille. Il est sur le dos, paisible. Je fais glisser la couette, et jobserve attendrie son membre au repos. Je dépose un baiser sur son vit, ensuite un deuxième, puis ny tenant plus jembouche sa demi-molle qui aussitôt reprend de la vigueur.
Je commence à le sucer quand jentends.
- Chérie, je ne préfère pas, jaime mieux quand je suis propre. On se douche, ajoute til
Sous la douche, pendant que nous nous adonnons au plaisir du savonnage mutuel, je lui demande.
- Qua tu prévu pour ce lundi ?
- Je voudrais aller au centre commercial pour acheter des draps neufs. Je veux me débarrasser de ceux de ma femme.
- Tu veux bien me laisser faire. Cest ma partie après tout. Quel genre veux-tu.
- Fleuri, avec une pointe de rouge. Me répond-il
- Mais il faut aussi quils te plaisent ajoute-il.
- Et sinon quest-ce quon fait. Reprends-je
- Jardinage, ça te dit, on va à la jardinerie. On achète pour faire le potager.
- Super, mais Chéri, et lamour physique dans tout ça ?
- Quand tu veux, où tu veux, comme tu veux. Allez, habille toi, on prendra le petit déj, au bistrot sur le chemin.
Je mhabille rapidement, une robe jaune et rouge vaporeuse, à bretelles en tulle jusquaux chevilles, serrée sous les seins. Un décolleté qui me découvre un bonne moitié de la poitrine, et plus si je me penche. Un gilet assorti complète le tout. Je garde mes jambes nues, sans bas, ni collant.
Pierre mattend, assis dans un fauteuil, je ne vois pas ce quil tient dans ses mains. Je me penche sur lui pour lui prendre les lèvres. Il en profite pour plonger son regard sur mes seins exposés. Il se lève.
- Hélène, pose tes deux mains sur le dossier du fauteuil et penche toi en avant.
Puis il trousse ma robe jusquaux épaules. Il fait glisser ma culotte jusquaux chevilles. Je lenvoie valser dun coup de pied.
- Ouvre-toi.
Jécarte mes fesses à deux mains, heureuse de mon impudeur, puis mon pervers préféré me masse mon anneau avec du gel, je soupire, il introduit son majeur et je roucoule.
Il appuie un objet ovoïde contre mon trou mignon. Il pousse à peine, et mon muscle anal cède. Lobjet est gobé par mon rectum et la partie la plus épaisse se loge dans mon ampoule rectale. Une tige fine le relie à une rosace qui lempêche dêtre avalé. Je me sens envahie.
Je me redresse. Je sens quelque chose qui pèse sur mon illet, de lintérieur.
- Cest quoi.
- Je viens de te placer un rosebud, un bijou danus. Il va te masser ton petit trou du cul.
- Mais ça va me dilater.
- Non, il técarte juste à la pose, mais après tu te refermes sur la tige.
- Il est gros comment.
- Trois à quatre centimètres dans la partie la plus large. Me répond Pierre.
Il prend ma main et écarte mon pouce et mon index. Cest à peu près le diamètre de ma verge préférée. Je veux me rendre compte par moi-même et je me place dos au miroir de lentrée. Dune main, je me trousse, et de lautre jécarte mon derrière. Je me tords pour regarder mon reflet dans la glace. Une pierre rouge est sertie au milieu de ma mappemonde. Je relâche ma fesse. Le volume de ma croupe camoufle mon bijou.
Jen profite pour vérifier si une transparence indiscrète ne révèle pas ma nudité. Malgré la doublure, il faudra faire attention aux éclairages trop révélateurs.
En tout cas, je suis heureuse davoir retrouvé cette robe. A cause de mon ex, je lavais bannie au fond de mes placards. Sans culotte, et avec sa taille très haute, jai limpression dêtre nue de la poitrine aux pieds. Je ressens la délicieuse caresse du tissu sur mon popotin en liberté, jen ai des frissons.
- Pierre, au fait, que penses-tu de ma tenue.
- Très sexy.
- Mais elle me couvre presquentièrement !
- Justement cest ce quon imagine en dessous. Tout est dans le suggéré, limaginaire. Tiens, à propos de bijou
.
Pierre sagenouille et att ma cheville gauche, et lencercle avec un petite chaine en or.
- Merci mon Chéri, je me sens de plus en plus sultane avec toi.
- Allez en route, ma beauté, allons voir dautres belles plantes.
Je ne fais que quelques pas et je sens lengin diabolique se manifester. Il bouge avec le même rythme que londulation naturelle de mon croupion, mais il bat le contretemps, ce qui accentue encore plus le ressenti de sa présence.
En revanche, une fois assise, je men aperçois à peine quil mhabite.
Pendant que Pierre conduit, à haute voix, je débite la liste des achats.
- Ce serait bien si on trouvait un rosier.
- Et si on avait des salades.
- Et de courgettes rondes, tu aimes les courgettes.
- Et il ne faut pas oublier les to
..
Je marrête net, Pierre vient de passer sur un ralentisseur, presque sans freiner. Je jette un coup dil à mon chauffeur, un demi-sourire retrousse le coin droit de ses lèvres. Demi sourire qui se transforme en un éclat de rire. Pour le punir de se moquer de moi, je lui lance un coup de poing dans le gras du biceps, son rire redouble.
- Arrête de te moquer de moi.
Mais je ne fais pas attention à la route et au deuxième dos dâne, la surprise me coupe le souffle. Mon pervers rit aux éclats. Je ne peux pas faire autrement que de me joindre à lui.
- Sil te plait fais attention, je ne voudrais pas lavaler.
Pendant toutes les courses, lintrus ne cesse de se manifester. Dabord son poids, qui appuie sur mon il de bronze, comme sil voulait sortir, et qui me prodigue une sorte de massage interne. Et aussi son mouvement, à la fois provoqué, et amplifié par mon ondulation naturelle et qui fait rouler mon beau cul sous ma robe flottante.
Cette stimulation physique, et ce phantasme de nudité en public mexcite en permanence. Je suis pressée de rentrer. Pierre, qui doit le sentir, règle les achats sans bavarder avec les caissières.
Nous rentrons à toute vitesse, en ralentissant juste ce quil faut sur les dos dâne.
A la maison, Pierre et moi nous déshabillons en courant à la chambre, ma robe vole dans lescalier, jarrache les vêtements de mon chéri.
Il me libère les seins et me place à quatre pattes sur le lit, il mappuie sur le dos, entre les omoplates, pour que ma joue touche loreiller, et que je lui offre mon cul dans toute sa splendeur.
Une ou deux gouttes de gel entre la rosace et mon illet et il commence à retirer mon bijou. Celui-ci dilate mon petit trou au passage de la partie renflée. Il le renfonce et le retire pour de bon.
Mon anus reste ouvert, puis commence à se refermer. Je prends sa verge et la guide vers mon iris. Ses mains sont libres, et il en profite pour me saisir les seins et les pétrir. Je pousse ma croupe en arrière, et il me pénètre. Je me sodomise moi-même. Mon illet souvre progressivement, se moulant autour du gland, puis cest la tige qui coulisse dans mon rectum. Enfin je sens ses boules contre mon sexe, sa toison frotte contre ma raie. Voilà cest fait, je suis enfin enculée, Et je nai même pas mal.
Je me sens remplie. Pierre amorce un mouvement. Dune pression de la main sur sa cuisse, je larrête. Je veux profiter de cet instant. Pierre ma prise en douceur, je me suis donnée à lui sans douleur. Je suis bien.
Apres quelques minutes, je lui donne le signal, dun léger coup de cul en arrière. Il me prend en cadence, ces deux mains me pétrissent les seins ; puis il se saisit de mes mamelons. Il les tire, je mavance, il les pince, je me recule.
Je mencule moi-même en répondant à la cadence imposée. Mes seins menvoient comme des décharges électriques. Mon anus émet des vagues de plaisir. Tout ceci se mêle en moi, et un premier spasme me secoue, et je mécroule à plat ventre. Pierre est toujours en moi, il dégage ses mains et me pistonne davant en arrière. Cest trop bon, je mords loreiller pour ne pas crier. Sa cadence saccélère, mon illet, sollicité de plus en plus énergiquement, se transforme en organe à jouir, jhalète, je geins, je gémis, je miaule.
Le deuxième spasme explose en moi et machève. Pierre se crispe et propulse sa semence qui percute mes membranes internes. Il sécroule. Je chavire.
Je me pelotonne contre lui comme une chatte heureuse. Je me retourne et me met sur le côté. En lui prenant la main, je lentraine dans mon mouvement. Je lui pose sa main sur mon sein gauche, un petit gigotage et je suis emboitée contre lui. Il a son visage enfoui dans ma chevelure, je sens sur ma nuque le souffle de sa respiration. Dort-il ? Ou comme moi profite-t-il de ce moment ?
Nous passons une bonne partie de laprès-midi enlacés, jusquà ce quune petite faim nous ramène à des considérations plus prosaïques.
Nous passons la fin de la journée en amoureux : Jardinage et pelotage.
Ce nest que le soir, dans le lit, blottie contre lui que javoue.
- Mon amour, tu es le plus doux des amants, reprends moi souvent comme ça. Jaime que tu me sodomises, je serai toujours ta petite enculée.
Et sur cet aveu qui lui donne tout pouvoir sur mon corps, nous laissons la nuit nous étreindre. Au matin, Pierre est déjà parti. Je trouve un petit mot sur la table de la cuisine.
- Ma Chérie, tu étais bien crevée, mes baisers nont pas réussi à te réveiller. Garde les clés de la maison. Ceux sont les tiennes maintenant. Avec les clés de mon cur, ça te fait un beau trousseau. Je passe ce soir à la boutique. Mille baisers. Pierre.
OOOOOOOOOOO
- Donc la maitrise des couts passe par lappropriation des objectifs par les managers
Bla Bla.
reporting
bla bla Contrôle de gestion
- Quest ce je me fais c
r pense Pierre pendant la réunion de stratégie de sa boite au moment où une sonnerie discrète lui annonce un SMS.
Cest un selfie.
Hélène est penchée en avant, tournant le dos au smartphone, elle se tord pour sourire à lobjectif, elle a troussé sa jupe. La lisière dorée de ses bas met en valeur la peau blanche et satinée de sa croupe en liberté. Elle écarte ses fesses de ses deux mains pour montrer léclat rouge du rosebud planté dans son illet.
- Vous rêvez, Pierre. Linterrompt sa voisine chargée des projets.
- Oui, je rêve à mon week-end passé et celui à venir
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!