April 1
Bonjour à tous. Pour cette histoire, jutilise un personnage crée et inventé par mon collègue auteur Cleeydl, que je vous encourage tous à découvrir ici : http://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=CleeydL
Un beau jour, je reçus un SMS de Scott, un de mes amis datant du collège. Il me proposait de venir le voir vite fait un jour où il navait pas trop cours. Jacceptai avec plaisir. Cependant, jeus des problèmes de transport, et jarrivai avec une bonne heure de retard. Scott mavait donné le numéro de sa chambre étudiante, alors je décidai de le rejoindre là bas. Je toquai à la porte et entrai.
Scott sembla surpris de me voir.
« Ah cest toi ? »
« Oui, excuse jai eu des problèmes de transport. »
Je ne pus mempêcher de noter quil navait pas lair spécialement ravi de me voir. Je comprenais pas trop : cétait lui qui mavait demandé de le rejoindre après tout
Je minstallai sur une chaise on se mit à discuter de choses et dautres pendant une vingtaine de minutes environ. Je trouvais cool de reprendre contact avec lui, par contre je nétais pas sûr quil soit si content que moi : il ne cessait de regarder sa montre, et de jeter des coups doeil à la porte, comme il était pressé que je men aille. Je finis par men agacer, et étais sur le point de lui faire une remarque désagréable, quand quelquun toqua à la porte, et entra sans attendre.
Cétait une fille aux cheveux blonds mi-longs, qui faisait environ 1,68 m, avait un très beau visage, et un corps de rêve : une poitrine assez imposante (95D), et un cul parfaitement bombé. De plus, elle était vêtue dun mini débardeur et dun mini short, qui dévoilaient largement son corps de rêve. Elle posa ses beaux yeux bleus clairs sur moi, et lança à Scott :
« Euh
je croyais que tu serais seul... »
Scott rougit, lair gêné. Je mesclaffai et lançai :
« Excuse moi, il ma rien dit, je vais vous laisser.
Je me levai, et marrêtant devant la belle blonde, je me présentai avec un sourire. Elle me sourit dun air charmeur, et répondit :
« Enchantée, moi je mappelle April. »
Avec un sourire, je lui pris la main, et la baisai en véritable gentleman. Elle me lança un coup doeil intéressé, qui acheva de me convaincre : en plus dêtre sexy, cette fille était une chaudasse, cétait parfait.
Je quittai la chambre de Scott, ravi de cette rencontre que je voulais approfondir
Le lendemain, jenvoyai un SMS à Scott, afin de plus lui parler, et den apprendre plus sur April. On se retrouva à la cafétaria de sa fac. Il était assis à une table, je ly rejoignis.
« Salut ! Alors tas passé une bonne soirée ? »
Scott eut un petit sourire.
« Oh oui ! »
Je souris, mais ne posai pas plus de questions sur April. Pour linstant
Je me contentai de prendre des nouvelles de Scott, lui parler de choses et dautres. Puis, on en arriva enfin au sujet qui mintéressait le plus.
« Et la fille dhier cétait ta copine ? »
« April ? Non, cest plus un plan cul régulier. »
« Donc ça te dérange pas si je te « lemprunte » pour une nuit ? Ou plusieurs ? »
Scott eut un sourire.
« Jétais sûr quelle tavait tapé dans loeil. Non ça me gêne pas, tu fais ce que tu veux. »
« Cool, tu sais si je lui ai plu à elle ? »
« Je pense, elle ma posé pas mal de questions sur toi. »
Cétait intéressant ça. Je décidai de suivre mon instinct concernant April, et je demandai à Scott
« Cest quoi son numéro de chambre ? »
Scott me lindiqua, et je décidai de foncer. Une fois devant la porte, je toquai à la porte un peu nerveux. Jespérais que mon instinct ne me trompait pas
A mon grand plaisir, ce fut April qui ouvrit la porte. Elle était vêtue dun t-shirt et dun jean, une tenue classique, mais elle était toujours sexy.
« Hello toi ! Je mattendais pas à te revoir si vite... »
« Déçue ? »
« Comblée au contraire
Mais ça tombe mal, jai cours là. »
Je mapprochai delle jusquà me trouver à quelques centimètres, elle se raidit, et je perçus une lueur coquine dans son regard.
« Et tu penses que faire
connaissance avec moi serait moins intéressant que ton cours ?»
« Hmm je sais pas, en tout cas ça vaut le coup dessayer non ? »
Sur ce, elle me tira par le t-shirt, mattira contre elle, et se mit à membrasser avec fougue. Je lui rendis son baiser avec ardeur, tout en étant ravi : je ne métais pas trompé à son sujet, cétait vraiment une chaudasse. Elle mentraîna dans le fond de sa chambre, et me jeta sur son lit.
« Attends deux secondes, faut que jenvoie un SMS à ma colloc pour la prévenir. »
Elle sortit son portable, et se mit à pianoter dessus. Je me redressai, et la tirant par son jean, je lattirai sur le lit. Elle tomba dessus en riant, et je me mis à lembrasser avec fougue. Elle me rendit mon baiser avec fougue avant de me repousser.
« Attends je tai dit. »
Elle se remit à pianoter sur son portable, et pendant ce temps, je me mis à embrasser son cou avec avidité, la faisant frissonner de la tête aux pieds. Lorsquelle eut fini décrire son SMS, elle làcha son portable, et se jeta sur moi. Elle me plaqua contre le matelas, et vint sur moi.
« Je te connais à peine, mais tu me rends déjà dingue toi ! Je sens que ça va être très chaud... »
Je profitai dêtre sous elle pour ladmirer : ses yeux bleus brillaient dexcitation, ses seins étaient moulés par son t-shirt bleu, et ses fesses bombées étaient collées contre mon sexe tendu sous mon pantalon et caleçon. Effectivement, ça sannonçait très chaud avec une bombe pareille
Je me redressai dun coup, et la renversai. Jétais curieux de voir ce quelle ferait.
« Hmm, il est de belle taille ton engin
Apprécia-t-elle. »
« Tu ten rendras encore mieux compte quand il sera en toi. »
Et sur ce, je la pénétrai du vigoureux coup de rein. Elle était suffisamment mouillée pour que ça entre aisément. Je me mis à aller et venir en elle à un rythme effréné, jétais super excité ! Je la baisais très fort, tout en la regardant bien droit dans les yeux, en massant ses gros seins, et en lembrassant de temps en temps. Jadorais presser mon corps contre le sien, lécraser à moitié. April gémissait, et se tortillait de plaisir, et me murmurait à loreille « cest trop bon continue ! », ce que je faisais bien évidemment. Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules, pour la baiser en enclume, la pilonnant sauvagement, cognant le fond de son intimité à chaque coup, la faisant hurler de plaisir. Je me mis à changer de technique, et lui donnai des coups de reins circulaires, qui la firent se cambrer et pousser de véritables hurlements de joie. « Oh bordel quest ce que cest bon, jadore ça ! », ravi dentendre cela, jaccélérai encore le rythme, tout en la regardant bien dans les yeux, my délectant de la voir chavirer sous lextase.
Sur ce, je la retournai pour la mettre à quatre pattes, et je me mis à la baiser comme un fou, la culbutant à fond. La vision de son cul si bombé me dopait littéralement, et je ne me privais pas de le claquer, me délectant de sa rondeur et de sa fermeté. Je tenais fermement April par les hanches, et frissonnai à chaque aller retour que je faisais en elle. Mon sexe la limait avec vigueur, la faisant crier comme une folle, on devait nous entendre dans tout le campus ! Pour rendre les choses plus plaisantes encore, et peut être reprendre un peu le contrôle, April se mit à donner des coups de reins par derrière, secouant son magnifique postérieur. Mais javais trop dexpérience des filles dominantes pour me laisser surprendre. Après avoir bien profité de son initiative, je me remis à accélérer le rythme la baisant trop fort pour quelle puisse continuer son manège. Elle se raidit, se cambra et poussa un puissant cri de plaisir. Comprenant que je lui faisais perdre la tête, je mis à lui administrer une série de coups de reins secs et rapides, qui la firent vibrer de la tête aux pieds. Décidé à lui administrer le coup de grâce, je me mis à lui titiller son clito avec vigueur. Son corps se cambra une nouvelle fois, et elle explosa dans un délicieux orgasme qui la fit sécrouler sur le lit, mais seulement après que jaie joui moi aussi.
Épuisés et comblés, nous nous écroulâmes sur le lit, ravis de cette baise si intense.
« Tes doué tu sais, y a pas beaucoup de mecs qui mont fait ce que tu viens de me faire. »
« Jai aucun mérite : tes tellement bonne que je pourrais te faire ça toute la journée. »
Elle eut un sourire, et vint se pelotonner contre mon épaule. Avec un petit rire je lui dis :
« Tiens regarde ! Tu me fais déjà rebander ! »
Elle jeta un coup doeil à mon sexe, et put voir quen effet, il recommençait déjà à durcir. Elle eut un sourire gourmand, et dit :
« Parfait ! Ça va être à mon tour de te montrer ce que je sais faire... »
Et sur ce, elle se mit à quatre pattes devant moi (jétais toujours étendu sur le lit), et se mit à me lécher le sexe du bout de la langue. Elle ne mit pas longtemps avant de me faire bander à fond. Elle me prit alors complètement en bouche, et se mit à faire des va-et-vient buccaux, me faisant tressaillir de plaisir. April mit de plus en plus dentrain dans sa fellation, tout en me regardant bien droit dans les yeux, guettant mes réactions. Sa bouche coulissait sans cesse sur mon sexe, à un rythme de plus en plus élevé, sa langue me parcourait le membre, me faisant trembler de plaisir. Je ne tardai pas à gémir, de plus en plus fort, ce qui fit sourire April.
« On va passer à la vitesse supérieure, accroche toi ! Me lança-t-elle. »
Elle sempala sur moi, et se mit à me baiser avec force. Javais décidé de me laisser faire, histoire de voir ce quelle valait, pour ensuite reprendre le dessus quand je le voudrais. Mais dés quelle commença à me chevaucher, je compris que je venais de commettre une grave erreur : elle me baisait super bien, avec une vigueur et une technique parfaites. Elle était comparable dans cet exercice à Katherine, Marie-Laure ou autres. Je me sentis partir sous ses coups de reins dévastateurs, et ne tardai pas à crier tout mon plaisir. Ravie de me voir prendre mon pied, April accentua la puissance de ses coups de reins, allant de gauche à droite, se déhanchant comme une belle diablesse. Ses gros seins se secouaient sous leffet de sa terrible danse, et cela mhypnotisait à moitié. Mon sexe était ballotté dans toutes les directions, et cétait terriblement plaisant. April me toisait dun regard dominateur et sournois, ce qui la rendait encore plus sexy. Elle tenait les rênes de cette baise, et si je voulais que ça change, je devais agir maintenant. Je la saisis par les hanches, et voulus diriger le rythme de la baise, mais impitoyable, April me saisit les poignets, et accéléra le rythme de ses assauts, décidée à me donner le coup de grâce. Je poussai un grand cri, et compris que je ne pourrais pas reprendre le dessus. April se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, déclenchant une terrible vague de plaisir en moi, qui me submergea, et me fit exploser dans un délicieux orgasme. Ma terrible cavalière se plut à faire prolonger cet orgasme encore et encore, se déhanchant sur moi sauvagement, jusquà ce quelle jouisse elle aussi.
Elle sécroula sur son lit, épuisée mais ravie.
« Tes super douée, la complimentai-je. »
« Merci, et tu as pu voir que javais des ressources, et que je me laisse pas faire. »
« Tes une vraie amazone, et tas un sacré coup de rein, confirmai-je. »
April sourit sous le compliment. Nous restâmes un moment étendus sur le lit. Puis, après mêtre rhabillé et avoir échangé mes coordonnées avec April, je rentrai chez moi.
Pendant quelques jours, nous échangeâmes pour savoir quand nous revoir. Car nous avions tous les deux hâte de recommencer une baise si fantastique, et même de lapprofondir. Nous étions daccord pour dire quil fallait quon se voie longtemps, un week end entier serait lidéal. Celui de la semaine prochaine, mes parents ne seraient pas chez moi, aussi, April et moi nous donnâmes rendez vous à cette date. Javais hâte de revoir cette bombe, et mon impatience grandit encore lorsque je parlai delle à Scott : il mapprit quApril avait un vrai caractère de dominante, et me dit que la prochaine fois, elle chercherait certainement à me dominer. Jen étais plus quexcité, car je navais pas lintention de me laisser faire, et me lidée de me livrer à une bataille acharnée pour la domination avec une bombe comme April avait de quoi réjouir
Le samedi, en fin daprès midi, on sonna à ma porte. Jallai ouvrir, et cétait April. Elle était vêtue dune brassière blanche qui dévoilait largement son corps de déesse, et dun mini-short qui semblait peiner à contenir son imposant cul bombé. Nous prîmes quelques secondes, le temps pour chacun dadmirer lautre. Je nen revenais pas comme elle était sexy, cétait dingue.
Je laurais bien complimentée, mais April se jeta sur moi, avant de menlacer et de membrasser, rendant toute discussion inutile. Elle me poussa contre le mur le plus proche, et me plaqua contre avec un brin de violence. Je frémis dexcitation devant tant de sauvagerie, javais hâte que les choses sérieuses commencent
« Jai trop envie de toi, souffla-t-elle, on va dans ta chambre tout de suite, jattends ça depuis trop longtemps ! »
Je souris, et lentraînai dans ma chambre, à létage. Là, je la saisis par les hanches, et la poussai sur mon lit, et elle sy écroula à plat ventre. Je vins sur elle dans son dos, et lui embrassai la nuque, remontant jusquà son oreille et lui soufflai :
« Tu es à moi ce week end. »
Elle réagit avec une vivacité peu commune. Elle se retourna, me renversa et vint sur moi, avant que je naie eu le temps de dire ouf. Elle marracha mon pantalon et mon caleçon avec brusquerie, avant de se défaire de son mini-shot et de son shorty, ne conservant que sa brassière. Elle sempala ensuite sur mon sexe, et se mit à me baiser avec sauvagerie. Elle se démenait sur moi comme une diablesse, allant davant en arrière très vite, et très fort. Je poussai de grands cris, tout comme elle, mais je ne perdais la tête pour autant. Au moment où elle sy attendait le moins, je la saisis soudainement par les hanches, et me mis à donner des coups de reins par en dessous. April poussa un gémissement, et simmobilisa temporairement. Avec un sourire, jaccentuai encore la puissance de mes coups de reins, prenant complètement le contrôle. April me saisit les poignets, et voulut me retirer les mains de ses hanches, mais je my agrippai fermement. Elle se mit alors à me donner de puissants coups de reins de gauche à droite, bien décidée à reprendre le dessus. Nous nous lançâmes dans une furieuse bataille, qui ressemblait fort à un rodéo : jétais en dessous, et ruais de toutes mes forces pour baiser April furieusement, tandis quApril, au dessus de moi massénait de terribles coups de reins, déhanchant son magnifique corps. Nous gémissions tous les deux, et prenions un plaisir fou. Chacun de nos coups de reins, faisaient monter lextase encore et encore, cétait délicieux ! Mais aucun de nous deux ne voulait céder. Nous nous regardions droit dans les yeux, nous défiant du regard. Cétait très dur pour moi, car je devais soulever le poids de April à chaque coup de rein, et en plus, elle me faisait un bien fou en se déhanchant de gauche à droite. Si je navais pas lhabitude des amazones, notamment avec Katherine, jaurais fini complètement dominé par une telle tigresse. Cependant, elle nétait pas la première fille dominante et très douée que je rencontrais, si bien que je réussis à tenir le choc, et magrippant aux hanches dApril, je parvins à lobliger à ralentir le rythme de ses assauts, tandis que je maugmentais le mien. April se cambra à nouveau, et poussa un gémissement de plaisir. Puis, elle tenta de se débattre, chercha à me donner de gros coups de reins, mais je la tenais trop fort pour quelle puisse beaucoup bouger. Elle voulut à nouveau me retirer mes mains de ses hanches, mais je la saisis par le dos, et la fis se pencher sur moi, avant de lattr par nuque dune main, et par les cheveux dune autre. Je lobligeai à me regarder droit dans les yeux, et je me mis à lui administrer une série de puissants coups de reins par en dessous la limant avec vigueur. Je la regardai droit dans les yeux, et eus limmense satisfaction de voir son regard chavirer, et son beau visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeai. Je la baisais ainsi jusquà la faire crier, puis, quand il fut évident et indiscutable que javais gagné notre rodéo, je la renversai.
Je la mis sur le dos, et vins sur elle. Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules. Je la pris en enclume, et me mis à la baiser aussi sauvagement que possible, je lenfonçai dans le matelas et rebondissais avec elle, la limant avec encore plus de vigueur. April se mit à gémir à plaine voix, ce qui me tira un sourire satisfait. Je la saisis par le menton, et lobligeai à me regarder, me réjouissant de voir ses yeux chavirer sous le plaisir que je lui infligeai. Elle chercha à me renverser, mais je lavais bien en main, et elle ne put me faire bouger. Je lui massai les seins avec vigueur sous sa brassière mémerveillant de les sentir si ronds et si fermes. En même temps, je lui assénai une série de coups de reins circulaires, qui lui arrachèrent de grands gémissements. April se tortillait dans tous les sens rendue folle par le plaisir que je lui infligeais. Son corps se raidissait, et sa respiration devenait de plus en plus saccadée. Je sentais que son orgasme approchait, alors, décidé à la provoquer, je ralentis brusquement le rythme de ma baise. Je la sentis sagiter, frustrée. Elle se redressa dun coup, visiblement décidée à reprendre le dessus, mais je la saisis par le cou et la plaquai contre le matelas. Elle se débattit un peu, mais je la tenais fermement, et recommençai des coups de reins rapides et puissants qui la refirent crier. Je la toisai dun regard dominateur, et accélérai comme un fou pour le sprint final. « Oooh cest tellement booon ! Hurla April », ce qui me donna des ailes pour la baiser encore plus fort. April eut un terrible orgasme, qui la fit littéralement chavirer, et que je fis durer encore et encore jusquà ce que je jouisse moi aussi.
Je mallongeai, pas mal essoufflé. April elle, semblait un peu sonnée.
« Tes vraiment un dieu au lit, dit-elle dune voix mielleuse. Cétait super bon. »
« Cest toi qui minspires avec ton physique de rêve répondis-je.»
Elle membrassa et me répondit :
« Merci ! »
Nous nous reposâmes un bon moment après notre baise de folie. Puis, nous nous rhabillâmes, et allâmes dîner. On discutait beaucoup, et je réalisai avec plaisir quApril était pas seulement une bombe sexuelle au corps de déesse, mais aussi une fille vachement sympa et très agréable. Pendant le dîner, le portable dApril sonna. Elle eut un sourire, et dit :
« Excuse moi, je vais répondre, cest Scott. »
Elle sortit de la cuisine un bref moment avant de revenir.
« Il voulait quoi ? Demandai-je. »
« Quon se voie demain. »
« Ah
et alors ? Tu vas y aller ? »
Elle eut une moue coquine, et dit :
« Je sais pas... »
Décidé à jouer le mec sûr de moi, je lançai :
« Il doit être sacrément doué pour que thésites... »
« Hmm
il se défend. Me fit elle avec un clin doeil. »
« Non sérieusement, je suis curieux : il est doué ? »
« Oui, très. Surtout si on considère quil était puceau y a pas si longtemps. Et il sait se servir de sa langue comme personne ! »
« Tiens ça me fait penser que je tai pas encore montré ce que je valais avec une langue. »
Elle sourit, et je vis que lidée lexcitait.
« Ca serait avec plaisir. »
« Alors ? Tu restes demain, ou tu retournes à ta fac pour aller voir Scott ? »
« Non. Jai trouvé un nouveau jouet trop bien, et jai envie de lessayer
Dautant que je le maîtrise pas encore complètement... »
Je souris dun air provocateur.
« Tu le maîtriseras jamais complètement tu sais... »
April se pencha au dessus de la table et souffla :
« Cest ce quon verra... »
Nous nous levâmes tous deux en même temps, et contournant la table, nous nous jetâmes lun sur lautre. J'enroulai mes bras autour de ses hanches, dénudées par sa brassière, et lembrassai furieusement. Elle menlaça par le cou, et me rendit mon baiser avec une passion dévorante. Je la saisis par son mini-short, et lemmenai dans ma chambre le plus vite possible. Une fois là, je la jetai sur le lit. Je voulus venir sur elle, mais elle marrêta en plein geste. Elle baissa mon pantalon puis mon caleçon, avant de saisir mon sexe, et de lentement le glisser sous sa brassière, dans sa merveilleuse poitrine. Jeus un petit frisson dexcitation qui se transforma en tremblement de plaisir lorsquelle se mit à faire des mouvements de va-et-vient avec sa poitrine enserrant mon sexe et le branlant délicieusement. Je restai un temps passif, histoire de profiter, avant de soudainement aller et venir dans sa poitrine tout en lui tenant la nuque. Elle frissonna elle aussi de plaisir, ce qui mencouragea à accélérer. Sa poitrine était si grosse, et si resserrée avec sa brassière que cette branlette espagnole était aussi délicieuse quune pénétration classique. Nous ne tardâmes pas à soupirer de plaisir, et lorsquelle utilisa sa langue pour me lécher le gland quand le haut de ma bite ressortait de sa poitrine, je poussai même des gémissements de plaisir. Cétait tout simplement merveilleux. Mon sexe était un peu à létroit, écrasé par ses deux magnifiques collines, mais cen était plus délicieux. Je tirai un peu sur les cheveux dApril pour quelle me regarde dans les yeux, pendant que je baisais sa poitrine de folie. Je lui fis un sourire et lui dis :
« Alors ? Cest qui le jouet de qui ? »
Pour illustrer mon propos, je donnai de forts coups de reins dans la poitrine dApril, qui en gémit de plaisir. Je prenais tellement mon pied que je sentais lorgasme approcher. Je continuai alors ma branlette vigoureuse tout en la tenant par le menton et en continuant à la fixer dans les yeux car le plaisir intense que jy lisais mexcitait encore plus. Le plaisir était intense, et je ne tardai pas à jouir dans ses seins, inondant sa poitrine. Cétait très plaisant, mais ce nétait pas non plus lorgasme dévastateur qui vous laissait à moitié évanoui. Je bandais toujours, et étais encore dattaque.
Je me retirai de la poitrine dApril, et la plaquai contre le matelas. Javais la ferme intention de continuer à mener la danse. Je minstallai sur elle tout en lembrassant avec passion, et en retirant nos vêtements. Je me débarrassai de mon t-shirt, pendant quelle retira son mini-short et son shorty. Je la pénétrai, et commençai à la baiser en missionnaire, tout en lui retirant sa brassière, libérant enfin sa poitrine. Je commençai à aller à un rythme élevé et sauvage, la limant avec passion, mais April en avait visiblement assez dêtre soumise. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me renversa, revenant au dessus. Avec un sourire sournois, elle se mit à se déhancher sur moi, me baisant avec passion, bien décidée à reprendre le contrôle. Elle allait de gauche à droite très vite, bougeant son corps de rêve comme si elle faisait une danse du ventre, moffrant une vision de rêve, en plus de me procurer une bonne dose de plaisir. Progressivement, April accélérait la cadence, ses gros seins se secouaient, au même rythme que mon sexe quelle ballottait délicieusement dans toutes les directions. Je ne fus pas long à pousser de grands cris, ce qui tira un sourire satisfait à April. Je voulus alors lui saisir les hanches, pour lui refaire le « coup du rodéo », comme tout à lheure, et elle me laissa faire. Car elle se mit à aller et venir davant en arrière à fond, et jeus beau essayer de ralentir le rythme avec mes mains, de lui donner des coups de reins par en dessous qui la faisaient gémir, rien ny fit. Ses coups de reins à elle étaient magistraux à chaque fois, elle me faisait crier comme une fille. Je tâchai de résister au tourbillon de plaisir qui memportait, et de reprendre le contrôle, mais rien ny fit. Je dus lâcher prise, et ravie de sa victoire, April se déchaîna comme jamais, sautant sur mon sexe de haut en bas, avant de recommencer à aller davant en arrière, de gauche à droite, de droite à gauche. Elle se démenait sur moi comme une diablesse, gémissant à fond, tout en me griffant le torse ce qui me faisait frissonner. Cependant, elle fut victime de son succès : elle me baisait extrêmement bien, et finit donc par avoir un terrible orgasme qui la fit hurler, et la laissa écroulée sur moi. Impitoyable, jen profitai pour reprendre le dessus.
Elle était encore sous le coup de son dernier orgasme. Je décidai de me montrer vicieux, et me mis à la baiser en position de lenclume très vite, et très fort, pratiquant un véritable sprint qui la fit crier à fond. Je lui procurai bien vite un deuxième orgasme, qui venant sajouter au premier, la laissa sonnée pour un bon moment. Totalement maître de la situation, je la fis se mettre sur le côté, face à moi. Je la baisai dans cette position, nous étions tous les deux sur le côté, sa volumineuse poitrine se pressait contre mon torse, et April gémissait, et son regard se voilait au rythme de mes assauts, toujours plus rapides. Je lembrassai avec ferveur, tout en la limant, me délectant de la sentir frémir. Je la retournai ensuite, pour quelle me tourne le dos, et que lon passe à la position plus classique de la cuillère. Je me collais contre son dos, et la prenais avec force, augmentant progressivement le rythme, me délectant de lentendre gémir. Je massais aussi ses gros seins, me pressais contre son cul bombé, et lui dévorais la nuque et lépaule. Lorsque lune de mes mains ségara vers son intimité, et que je commençai à jouer avec son clito, tout en accélérant le rythme de mes va-et-vient, April se tortilla dans tous les sens en gémissant.
« Non stop arrête ! Cest trop
oooh stoop ! »
« Chut ! Laisse toi faire comme un bon jouet que tu es ! Répliquai-je, moqueur. »
Elle se dégagea aussitôt de mon étreinte, pour venir se mettre sur moi. Surpris dune telle réaction, alors que je la pensais sonnée, je ne pus réagir.
« Je tai déjà dit que cétait toi le jouet ici ! Lança-t-elle. »
Elle se mit alors à me chevaucher avec fureur, allant davant en arrière très vite, me baisant comme une dingue. Ses cheveux blonds mi-longs se secouaient au rythme de ses va-et-vient de même que ses merveilleux seins, qui mhypnotisaient à moitié. Je voulus reprendre le dessus, et me redressai dun coup : elle me saisit par le cou et me plaqua contre le matelas. Je voulus lui faire le « coup du rodéo », mais cette fois-ci, elle nétait même pas dhumeur joueuse, me saisit les poignets, et me les colla au dessus de ma tête, avant de m avec sa poitrine. Je tentai bien de me débattre, mais elle se mit à onduler du bassin, et le plaisir (en plus du reste) me paralysa littéralement. La situation était tout simplement délicieuse : April se démenait sur moi, me faisant un bien fou, moi pendant ce temps, je ne pouvais pas bouger, et cerise sur le gâteau, ma tête était coincée sous sa merveilleuse poitrine, que tant quà faire, je léchais à fond. Au bout dun moment, April se redressa, libérant ma tête, mais me tenant toujours les mains. Elle reprit ses va-et-vient davant en arrière, avec un tempo très rapide quelle accélérait progressivement. Je ne tardai pas à pousser de grands cris, auxquels se mêlèrent ceux dApril. Elle semblait en proie à un intense plaisir, elle se tortillait dans tous les sens, tout en me baisant, et se passait la main dans les cheveux, visiblement elle était aux protes du 7ème ciel. Je voulus en profiter pour la renverser, mais une fois de plus, elle me refoula, me plaquant fermement contre le matelas. Elle se mit ensuite à ralentir le rythme de ses va-et-vient, et avec un sourire démoniaque me dit « pour te punir dêtre indocile », souffla-t-elle. Elle me frustrait complètement, ses coups reins lents étaient juste suffisamment bons pour me donner envie den avoir plus. Je me débattis dans tous les sens pour tenter de reprendre le dessus, mais April me tenait en son pouvoir. Ce ne fut que lorsque elle aussi fut trop frustrée de cette baise lente, quelle se remit à me chevaucher rapidement. Elle me fit la totale : davant en arrière, de gauche à droite de haut en bas, elle alternait au gré de ses envies, me culbutant férocement tout en me regardant bien droit dans les yeux. Je ne cherchais même plus à reprendre le dessus, je me contentai de maccrocher au drap et de me laisser envoyer au 7ème ciel. Je tâchai de résister le plus longtemps possible, mais devant sa sauvagerie, cétait tout simplement impossible. Au bout dun moment, elle sentit que je lui résistais, que je cherchais à ne pas jouir, et alors elle entreprit de me donner une série de coups de reins rapides et secs qui me firent crier. Elle eut un sourire narquois, et accéléra encore, me défiant du regard. Je ne pus tenir très longtemps, et explosai dans un terrible orgasme qui me laissa effondré sur le lit. Le pire, fut quApril nen navait pas fini avec moi, et continua de me baiser encore et encore jusquà ce quelle jouisse elle aussi. Ce fut tellement bon que jeus limpression de mévanouir.
Essoufflée, April vint sallonger à côté de moi. Elle avait un air ravi.
« Tes vraiment doué, mais cette fois-ci, cest moi qui ai dirigé. »
Je souris, et décidai dêtre de bonne fois.
« Oui, je reconnais quil y a pas beaucoup de filles qui ont su me mâter comme tu las fait. »
April eut un sourire ravi, et sétendit sur le lit, épuisée. Je vins me coller contre elle, et nous nous endormîmes paisiblement.
Le lendemain, tôt le matin, alors que je dormais encore je fus pris de frissons incontrôlables. Je finis par me réveiller, pour découvrir quApril était entrain de me branler. Elle profitait de mon sommeil et de mon érection matinale pour jouer avec moi. Lorsquelle vit que jétais réveillé, elle me sourit, et sempala sur moi. Je poussai un grognement de plaisir, mais protestai :
« Arrête ! Je suis crevé là ! »
Mais elle ne tint pas compte de ma protestation, et se mit à aller et venir sur moi davant en arrière. Elle démarra doucement, lentement, avant daller vite et fort, me ballottant au rythme de ses assauts qui augmentait sans cesse. Trop fatigué, je restais les yeux fermés, et savourais linstant, cétait en effet super bon, April me faisait fondre de plaisir. Elle se mit ensuite à alterner ses assauts, allant aussi de gauche à droite, et variant le rythme, allant parfois lentement pour me frustrer. Je gémissais, tantôt de plaisir, tantôt dinsatisfaction, elle jouait avec mes nerfs et me rendait fou ! Lorsquelle se mit à me griffer le torse, comme pour me provoquer, je décidai quil était temps de reprendre le dessus. Je fis semblant dêtre trop fatigué pour pouvoir réagir, poussant des gémissements, et ne bronchant pas lorsquelle me torturait. Et soudainement, je me redressai, la saisis par les hanches, et la renversai. Je la tirai jusquau bord du lit, et la retournai. Tout ce quelle put faire, cest pousser des cris de surprise
et dexcitation. Une fois quelle fut à quatre pattes, jeus envie de la prendre en levrette, mais me ravisai : si je voulais la soumettre, il fallait que je lui procure un traitement spécial. Je mis donc mon sexe à lentrée de son cul, et lentement, je la sodomisai. Elle poussa un grand cri de plaisir, qui saccentua encore lorsque je démarrai des va-et-vient puissants dans son cul. Cétait absolument délicieux, jétais à létroit, mais mon sexe coulissait quand même aisément en elle (ça ne devait pas être sa première sodomie). Je pus donc la limer avec vigueur, tout en lui tirant les cheveux pour quelle me regarde. Je lui lançai dun ton provocateur « ici ma belle cest moi qui dirige, il va falloir ty habi, je vais te mâter moi ! ». Elle ne put répondre, car au même moment, jaccélérai brutalement le rythme, la pilonnant comme un sauvage, jusquà avoir un merveilleux orgasme, qui me fit jouir dans son cul.
Ravis de cette partie, nous nous recouchâmes pour nous rendormir que quelques heures plus tard. Jétais alors en pleine forme, et plus confiant que jamais : April me donnait du fil à retordre, mais je pensais pouvoir la dominer. Il y avait déjà Katherine qui me dominait tout le temps, Marie-Laure qui mavait complètement mâté la dernière fois, Sarah qui rêvait dy parvenir, et Francesca qui était un peu imprévisible. Si en plus je me faisais dompter par April, je ne men sortirais plus, et deviendrais un gros soumis !
Pendant le petit déjeuner April semblait tout simplement ravie, comblée. Elle navait pas lair vexée davoir été dominée tout à lheure, juste heureuse davoir eu une bonne baise. Elle me demanda ce que je voulais faire aujourdhui. En attendant que lenvie de baiser revienne (ne pas oublier quon avait baisé deux longues fois hier, et une fois ce matin), je proposai quon regarde un film. Une fois celui-ci terminé, nous déjeunâmes. Après le repas, je vis que le temps dehors était magnifique : il faisait beau et chaud, si bien que lon pouvait se baigner dans ma piscine. Lorsque je proposai ça à April, je vis un petit sourire coquin se former sur ses lèvres : elle se doutait quune baignade dans la piscine finirait par une partie de jambes en lair sauvage
Je me mis en maillot de bain, et attendis April. Lorsquelle vint, et que je la vis dans son bikini bleu cil qui dévoilait largement son corps de déesse, je neus quune envie : la prendre sur le champ. Je me retins néanmoins, désirant prolonger les choses pour les rendre meilleures encore.
Nous nous baignâmes sagement pendant une bonne demi-heure. Le désir sinstallait entre nous, je ne pouvais mempêcher de mâter son corps de rêve, sa poitrine, ses fesses, que le bikini couvrait à peine. Et elle était tellement sexy, mouillée de la tête aux pied ! Elle, je voyais bien quelle me dévorait des yeux, et javais hâte darriver à la suite
A un moment, alors que nous jouions à nous poursuivre dans leau, comme des gamins, April me coinça contre la paroi, et se colla à moi. En voyant ses yeux briller, je compris alors que nous allions jouer à un jeu nettement plus adulte
Elle enroula ses bras autour de mon cou, et membrassa sensuellement. Je lui rendis son baiser sur le même ton, et nous accélérâmes le rythme, jusquà en perdre le souffle. Alors, April me retira mon maillot de bains, et enleva sa culotte de bains, gardant le haut de son bikini. Pendant ce temps, moi, je lui dévorais le cou et le buste, la faisant haleter de plaisir. Lorsquelle sempala sur moi, et me saisit par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, je compris quelle navait clairement pas renoncer à me dominer. Elle se mit à onduler du bassin, tout en plaquant fermement contre la paroi de la piscine. Elle bougeait en saidant de leau, nageant à moitié, me baisant comme le ferait une sirène, me faisant frémir de la tête aux pieds. Tout son corps était en mouvement, son ventre et ses hanches bougeaient de façon circulaire, et mon sexe suivait ce rythme infernal. Elle me tenait par le cou, et mobligeait à la regarder droit dans les yeux, avec un sourire diabolique aux lèvres, qui me faisait clairement comprendre quelle aimait ça, avoir le contrôle. De plus, elle était encore plus sexy que dhabitude, avec ses cheveux mouillés qui dégageaient son visage, et son corps trempé qui brillait au soleil. Elle accélérait progressivement le rythme, gémissant de concert avec moi. Régulièrement, elle venait me coller sa poitrine (toujours recouverte par son bikini) en plein dans le visage, me rendant complètement fou. Elle changea ensuite de technique, et se mit à aller davant en arrière me culbutant contre la paroi de la piscine, tout en me tenant par les cheveux, et en me griffant le torse avec son autre main. Ses coups de reins déclenchaient à chaque fois de grosses vagues de plaisir en moi, et je me mis à crier à fond. Jétais entrain de me faire complètement dominer, je devais réagir.
Je mappuyai contre le mur, et je repoussai April. Elle poussa un cri de surprise, mais sembla aussi excitée. Je la repoussai à travers toute la piscine, jusquà la plaquer contre la paroi den face. Je me mis alors à la baiser avec force, davant en arrière. Je me tenais à la paroi de la piscine et à la force de mes bras, en maidant de leau, jallais et venais en elle très sauvagement. April gémissait de plaisir, mais navait pas encore capitulé : elle enroula ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de ma taille, bien décidée à me gêner. Si je la laissais faire, elle allait reprendre le dessus. Je me collai à elle, et la plaquai contre la paroi de la piscine, et ce contact me rendit fou. Je me mis à lui donner des coups de reins circulaires sans grande amplitude, mais qui allaient profondément en elle et la faisaient crier de plaisir. Elle cherchait toujours à reprendre le dessus, et me tira les cheveux, et me mordit lépaule. En réponse, je la saisis par le menton, et lobligeai à me regarder lorsque je me mis à accélérer encore plus le rythme, me libérant de son étreinte, et lui donnant cette fois de gros coups de reins à un rythme effréné. April gémissait, gémissait encore, lorsque jaccélérai une toute dernière fois le rythme, elle eut un terrible orgasme qui la fit se cambrer pendant de longues secondes, avant quelle sécroule sur mon épaule, épuisée.
« Jai pas joui moi ! Dis je sur un ton faussement indigné. »
Elle eut un sourire :
« Mets toi sur le rebord de la piscine, je vais te faire jouir. »
Je sortis de leau, et massis sur le rebord. Je me dis quApril allait sans doute me sucer pour me faire jouir, mais ce nétait pas exactement ça. Elle sortit elle aussi de leau, et me plaqua au sol. Elle sempala sur ma queue, et se mit à me chevaucher avec force. Javais déjà pris comme ça, ici même, par Léa. Mais ça avait été avec mon consentement, là, April me prenait de force, me violant littéralement
à ceci près que jadorais ce quelle me faisait. Elle allait et venait davant en arrière, son corps de rêve sagitant merveilleusement. Elle accélérait le rythme progressivement, mais nallait pas trop vite non plus, elle voulait prendre possession de mon corps lentement. Même sans aller vite, elle me baisait avec suffisamment dadresse pour que jen perde la tête, elle était décidément très douée ! Ses coups de reins étaient secs et puissants, et me faisait vibrer complètement. Elle suçait son doigt tout en me baisant, mexcitant au plus haut point.
« Tu prends ton pied ? Me demanda-t-elle en souriant. »
« Oh oui, jadore ! »
« Alors on passe à la vitesse supérieure ! »
Elle accéléra le rythme furieusement ses hanches sactivant très vite. Le plaisir sintensifia, et de petites étoiles se mirent à danser devant mes yeux. April se mit à gémir, et augmenta encore la cadence, me secouant le sexe comme jamais. Puis elle me griffa, et se mit à me donner des coups de rein de gauche à droite, tout en me tenant par le cou. A voir son sourire sournois, je compris que dans son esprit, elle était entrain de dominer définitivement. Je devais réagir. Je la saisis par les hanches, mais ne la renversai pas pour venir sur elle : je la jetai tout simplement dans la piscine.
Elle coula dans leau et ressortit en toussant, surprise de ce qui venait de se passer. Je plongeai dans leau pour la rejoindre, et la saisis par les hanches. Elle se débattit, mais cétait peine perdue. Je la retournai, et la plaquai contre la paroi de la piscine. Je vins dans son dos, et approchai mon sexe de son cul.
« Je crois que tas besoin dune nouvelle correction. »
Et sur ce, je la sodomisai à nouveau. Jétais bouillonnant, et pressé de jouir après notre baise intense dans la piscine. Aussi, je mis immédiatement à la baiser avec force, allant aussi vite que possible en elle. Elle se mit à crier de toute ses forces, ce qui mencourageait à accélérer encore et encore. Je glissai les mains dans son bikini, et lui massai les seins avec vigueur, appréciant leur rondeur et leur fermeté, tandis quApril se tortillait dans tous les sens, sous leffet de ma baise. Je lui embrassai la nuque, et joueur, je la mordis un peu, lexcitant au plus haut point. « Jadore ce que tu me fais, cest tellement bon ! ». Jétais ravi dentendre ça, alors accentuant la pression de mes mains sur ses seins les écrasant presque, tout en accélérant légèrement le rythme de la sodomie. « Maintenant ma belle, tu vas admettre que cest moi le chef », lui lançai-je provocateur. Elle gémit à cause de ce que je lui faisais, mais je sentais quelle ne capitulait pas. Alors, avec une de mes mains, je me mis à lui titiller le clito, la faisant hurler fortement, et lorsque jaccélérai le rythme, elle cria « oh bordel ! cest toi le chef, oui cest toi ! ». Ravi de ma victoire, jaccélérai encore le rythme, pour le sprint final. Je la limais plus fort que jamais, mon sexe comprimé dans son cul vibrait sous leffet de la jouissance à venir. Nous explosâmes dans un merveilleux orgasme, qui nous laissa écroulés dans leau, ivres de plaisir.
Nous mîmes longtemps à nous remettre de cet orgasme. En fin daprès midi, alors que le soleil se couchait, April et moi nous promenions dans le jardin. Elle voulait visiter. Soudain, elle me dit :
« Jai quelque chose à te demander. »
« Vas-y. »
« Je te préviens, tu vas trouver ça fleur bleue. »
Jétais un peu intrigué.
« Vas-y, répétai-je. »
« Voilà : je vois ton jardin, il est vachement beau, au coucher du soleil tout ça
ça me donne envie que tu me reprennes le cul
là maintenant tout de suite. »
Je rigolai.
« Cest sûr que cest très fleur bleue ça ! »
Elle sourit, et se jeta sur moi, membrassant comme si ça faisait trois semaines quelle navait pas baisé. Elle était encore en bikini, autant dire que je ne fus pas long à bander
Je lui rendis son baiser avec passion, lui dévorant la bouche, tout en lenlaçant. Puis, je la fis se mettre à quatre pattes dans lherbe. Très excité je lui arrachai son bas de bikini, et la sodomisai une fois de plus. Elle poussa un gémissement de plaisir, qui se transforma en cris, lorsque je me mis à aller et venir en elle, très rapidement. April bougeait elle aussi, donnant des coups de fesses qui amplifiait nos sensations. Nous parvînmes à tenir ainsi un tempo rapide, jusquà ce que soudain, April, le corps tremblant se cambra. Frissonnant de plaisir, jaccélérai le rythme, et lui fis avoir un bel orgasme qui lui arracha un grand cri. Cependant, nous continuâmes. Je la fis se mettre à genoux, et tout en la sodomisant, avec force je lui massai vigoureusement sa belle poitrine qui me plaisait tant. April gémit, et jaccélérai mes mouvements de mains, ainsi que mes coups de reins. La belle nen pouvait plus, il était temps den finir. Je la remis à quatre pattes, et entamai la dernière ligne droite. Je lui donnai de puissants coups de reins, tout en lui claquant les fesses pour la stimuler. Mon sexe coulissait sans effort dans ce cul qui décidément nen nétait pas à sa première sodomie. Bon sang, quest ce que cétait bon ! Nos gémissements samplifiait, nos corps se cambraient, et finalement, ce fut lexplosion finale et libératrice. Lorgasme fut intense et magnifique, et nous laissa effondrés dans lherbe, comblés à vie semblai-il.
Une fois remis, April et moi retournâmes à la maison. Elle shabilla, prit ses affaires, et partit, non sans membrasser langoureusement avant, me promettant quelle reviendrait bientôt
Voilà cette histoire est maintenant terminée, nhésitez pas à me laisser en commentaires vos compliments, vos critiques ou remarques !
Je remercie Cleeydl qui ma sympathiquement « prêté » son personnage, et vous encourage vivement à aller le découvrir.
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