Comment Je Me Suis Fait Soumettre Par Une Tête À Claque
Dès le début ça avait commencé comme une sale journée : réveil tardif, sale temps, moral dans les chaussettes...
Le genre de journée que l'on est content de laisser derrière soi, en somme.
On a tous nos petits trucs dans ce genre de cas-là, pour essayer d'égayer un peu le tout, enfin je crois.
Moi en tout cas j'essaie de me concentrer sur des petits plaisirs sans me prendre la tête : un bon petit déjeuner au lit,
un bouquin et le chat... Ce jour-là, ou plutôt ce soir-là, j'avais simplement décidé que j'allais sortir draguer
et, avec un peu de chance, m'envoyer en l'air. Autant dire que je n'ai pas été déçu.
Voilà pour l'ambiance, pas top quoi. Donc l'horloge digitale du four affiche 19:13, je sors tout juste de la douche et je m'habille.
Frais et propre malgré la fatigue de la veille, je décide donc de décoller de mon nid douillet pour me mettre en route d'un bar gay
où j'ai mes habitudes, dont je tairai le nom pour plus de mystère (eh oui, ça ne rigole pas) réputé un peu "chaud lapin" : en général
ça ne manque pas, quand j'y vais je ne finis que très rarement seul. C'est très rare que je sorte seul le soir,
mais là je ne suis pas d'humeur festive, je veux juste conclure.
Je pénètre dans la salle pour me rendre compte que, malgré l'heure peu avancée, l'ambiance est déjà échauffée. Il y a du monde,
les gens boivent, on sent même que certains commencent à être pompette. Tant mieux.
Après un bref passage au bar pour commander un verre de vin rouge, je prends mes quartiers à une petite table, en fond de salle.
J'ai choisi cette table à la suite d'un raisonnement logique infaillible : je suis dos au mur et j'ai la vue sur toute la salle,
au moins coup d'oeil aventureux à mon égard, je peux identifier la source, et si nécessaire répondre favorablement
d'un petit sourire lubrique. C'est ma stratégie, je l'ai peaufinée, j'en suis fier. Claire, simple, efficace.
Je commence à siroter mon verre, tout doucement, le but n'étant pas de finir ivre. Et je ne peux pas m'empêcher de le remarquer,
à deux tables en diagonale. Ce type parle fort, il fanfaronne, il a l'air d'avoir une confiance en lui infaillible. Il a aussi l'air
très énervant. Vraiment très énervant.
L'ambiance est bonne, la musique pas trop forte, et j'ai l'air d'avoir un peu de succès au vu des regards que l'on me lance. Soit, tant mieux,
mais pas intéressant pour le moment, ces mecs ne sont pas à mon goût.
Au bout d'une vingtaine de minutes, mon verre est presque vide. Je le termine d'un trait et file au bar m'en commander un autre.
Je traverse donc la salle, non sans tortiller du cul, sait-on jamais. Et m'appuie sur le bar, en attendant que l'on prenne ma commande.
Je tourne la tête sur ma droite, et, quelle coïncidence, c'est Monsieur le Fanfaron qui est accoudé juste à côté de moi, seul cette fois.
Je le dévisage un instant, songeur. Il a l'air vraiment très jeune. Encore plus que moi. C'est même à se demander s'il est majeur.
Il dégage une impression générale horripilante : assez grand, les cheveux blonds, mi-longs, il est très mince, voire-même chétif. Il se tient
magnifiquement droit, la tête haute, ce qui confirme mon impression de tout à l'heure : ce mec a vraiment confiance en lui. Impressionnant.
Son regard croise le mien et je ne peux pas retenir un frisson. Il a le regard froid, ses yeux gris me transpercent comme des lances.
En moins d'une seconde, je suis à poil au milieu du bar, le tout en gardant mes vêtements. Je m'empresse de détourner le regard. Pire, sans même
m'en rendre compte, j'ai baissé les yeux. Honteux.
Il y a un mélange de dédain et de fierté dans ce regard gelé, ce type doit être vraiment insupportable. Le portrait type de la tête à claque, avec qui
on a envie d'être méchant, et en même temps il dégage une telle autorité...
Visiblement je ne suis pas le seul à avoir été frappé par son apparente jeunesse, car le barman lui demande illico une pièce d'identité.
habitué.
Il la sort et le barman approuve, puis paye. C'est à mon tour de commander, et je vais remettre la même chose. Au moment où
Mr Tête à Claque prend son verre pour retourner en salle, il s'arrête net puis se tourne vers moi.
"- Pourquoi tu as baissé les yeux ?"
Il a du culot. Plus ça va, plus il m'énerve.
"- Je te demande pardon ? je lui réponds
- C'est pas grave tu sais, je fais souvent cet effet là. Benjamin enchanté."
Je rêve où il me drague ? De quel droit il me drague ?
J'essaye de couper court à la discussion, je ne lui retourne pas ses questions. Il s'en fout, il répond quand même.
On "discute" ainsi pendant près d'une heure, et plus ça va, plus je me rends compte que j'ai complètement perdu le contrôle. Il a une telle présence, je n'ai même pas la volonté
suffisante pour partir, le recaler. Je suis sa petite chose. Il me pose des questions indiscrète, je réponds mécaniquement.
Mon cerveau lui assène des violents : "Ça te regarde pas, fous-moi la paix." mais ma bouche lui répond timidement.
Étant très amateur de jeux de dominations, je dois avouer que je comprends très bien ce qu'il se passe. Le fait de saisir ce qu'il est en train de faire, et néanmoins de ne même pas réussir
à m'en détacher, m'excite à mort. Ce jeune est à la fois insupportable, et insupportablement excitant.
Il devient de plus en plus insistant, me laissant entrevoir qu'il daignera peut-être me laisser finir la soirée avec lui si je suis très gentil. Tout ça alors que je lui ai même pas demandé,
je ne me suis même pas montré ouvertement intéressé. Et pourtant il sait qu'il peut m'avoir en un claquement de doigt, il le sait sans même que moi je ne le sache vraiment.
Puis finalement il rentre dans le vif du sujet : "Bon, on peut aller chez moi, c'est pas loin."
Voilà le moment décisif. Est-ce que je vais m'abandonner complètement à son petit jeu, ou est-ce que j'aurai la volonté de le recaler,
et de me remettre en chasse.
Devant ce cruel dilemme ma bouche n'a pas attendu avant de trancher, sans même se préoccuper de la réponse de mon cerveau, je me penche vers lui et lui susurre : "Ça me va très bien mais je suis à pied."
En tout cas il ne m'a pas menti, en à peine dix minutes de marche, on se retrouve au milieu des beaux quartiers, au pied d'un immeuble clairement aisé.
Ce jeune a les moyens, ce sont sûrement ses parents qui lui payent son loyer.
Au moment de pénétrer dans le hall de l'immeuble, il se tourne vers moi et me lance, inquisiteur : "Je te préviens tout de suite, je suis actif et j'aime prendre les devants... Si tu vois ce que je veux dire.
Si ça ne te convient pas on laisse tomber tout de suite."
Le contraire m'aurait étonné. Il m'énerve toujours autant, mais il m'excite. Bordel qu'est-ce qu'il m'excite. Il a gagné, son petit jeu doit-être rodé,
il m'a complètement sous son emprise : "Tout ce que tu voudras." je lui réponds, et j'essaye de m'avancer pour l'embrasser. Échec critique, il fait volte-face avant même que je n'ai pu y arriver, et il monte
les marches quatre à quatre jusqu'au troisième étage.
Arrivé en haut, on pénètre dans un appartement d'au moins soixante-dix mètres carrés. Décoré très finement, il a du goût. Il a du avoir une éducation bourgeoise.
Un coup d'oeil à sa bibliothèque me permet de constater Sade aux côtés de Sénèque, et d'en conclure qu'il est aussi cultivé.
"Regarde-moi. lance t-il sèchement. Il n'y a rien d'autre à voir dans cette pièce."
Il a coupé court à toutes mes réflexions, en l'espace d'un instant il n'y a plus que lui. Jeune dominateur d'à peine dix-neuf ans, face à moi. Me regardant de haut, avec son air
hautain.
"Mets-toi à genoux et déshabille-toi. Je t'ai prévenu avant de monter, tu as accepté mes conditions. Maintenant tu m'obéis."
Comme ça, sans détours.
En tout cas, cette journée commence à prendre un tour intéressant.
avoir une tête à claque, il n'est pas laid. Et je dois avouer que son tour de force psychologiquement sur moi me laisse pantois. Le fait de m'être fait retourner le cerveau de la sorte,
par quelqu'un d'aussi énervant, au point d'en venir à lui obéir au doigt et à l'oeil, m'excite au plus haut point.
Alors je m'exécute, à genoux, devant lui, j'ôte ma chemise et le regarde, docile, attendant la suite.
"- C'est bien. me dit-il en ôtant son t-shirt à col en V et ses chaussures, dévoilant un torse fin, orné de deux tétons si petits qu'ils sont pareils à des boutons, et deux pieds complètement
lisses et dénués de poils. Je parie que tu connais la chanson, tu as l'air d'être un habitué de ces choses là, donc à partir de maintenant
tu sais comment tu dois m'appeler. Pas vrai ?
- Maitre ?"
Il me donne une douce caresse sur la joue et termine en m'effleurant le menton.
"- Exactement. Tu m'appartiens donc pour la soirée, je ferai de toi ce que je veux. Je te ferai du bien... et du mal. Si tu ressens le besoin de ralentir les choses, que tu penses que j'y vais trop fort
tu diras le mot 'Jaune' si tu veux que j'arrête complètement et que je te libère, tu diras le mot 'Abeille'. Sache que dans le cas suivant, tu ne pourras plus jamais me revoir, et je considérerai
que tu me mérites pas."
Sur ces mots il s'approche, me saisit les tétons et les tournes avec force. Je ne peux retenir un petit gémissement.
"- Est-ce que c'est bien compris ?
- Oui Maître.
- J'aime mieux ça. Tu gardes tes mains dans ton dos tant que je ne te dis pas de t'en servir.
- Comme vous voudrez Maître."
Il recule d'un pas, puis baisse sa braguette. Il a une bite magnifique, elle n'est pas particulièrement grosse, mais son gland dont la teinte rose donne un air
particulièrement appétissant est parfaitement formé.
"- Suce. Et prends ton temps."
Je m'approche, à quatre pattes. Saisis l'engin et l'engouffre dans ma bouche, serrant bien mes lèvres autour, et titillant le bout du gland avec ma langue.
La sanction ne se fait pas attendre, il se retire et me lance sèchement :
"Non. J'ai dit prends ton temps. Retourne-toi et lève le cul."
Ce-disant, il commence à retirer sa ceinture de son pantalon. Je comprends que ça va chauffer pour mon matricule, et je m'exécute fissa, baissant mon pantalon.
Il plie la ceinture en deux et me lance : "Tu en auras cinq, en punition. Je veux que tu comptes à voix haut. Ne te trompe pas sinon je recommence à zéro."
A peine a t-il prononcé ces paroles que la ceinture s'abat sur mon derrière relevé. Je ne m'y attendais pas, j'en oublie de compter.
"Je croyais t'avoir dit de compter. Celle-ci ne compte pas. Si tu n'es pas obéissant ça ne va pas bien se passer entre nous tu sais."
Je ravale ma salive. Bon Dieu qu'il est sévère. Lui, il ne rigole pas. A croire qu'il a fait ça toute sa vie.
Il recommence... Clac ! "Une"... Clac ! "Deux"... Clac ! "T... trois" je tressaille, je sens que mes fesses commencent déjà à rougir. Il n'y va pas de main morte.
Clac ! "Quatre."... CLAC ! "Cinq. Merci Maître." la dernière est une apothéose, il y a mis toute sa puissance. J'ai le derrière qui brûle.
Et dire que ce n'est que le début.
"Bon, on reprends. Et cette fois tu prends ton temps, sinon ce sera dix."
Je relève mon pantalon, et me retourne. "Non, enlève-le complètement, je veux que tu sois nu." Je m'exécute le plus vite possible de peur de reprendre une correction.
Je suis désormais complètement nu, alors que lui est simplement vêtu de son pantalon. Je me sens humilié. Être là, à genoux devant lui, nu, alors que lui est habillé et debout.
Il me regarde d'en haut, son regard est plein de dédain. Je m'approche de lui, saisis sa bite en le gratifiant de mon plus gros air de salope et le décalotte tout doucement,
en couvrant son gland de baisers langoureux. Je pose mes lèvres haletantes de toutes parts, en le branlant en rythme. Le tout sans briser le contact visuel,
il doit avoir une sacré vue de là-haut : un esclave dévoué, prêt à tout pour le satisfaire, embrassant son engin comme si c'était l'amour de sa vie, et le regardant, droit dans les yeux,
d'un regard à la fois soumis, et lubrique au possible.
Je crache sur son attribut et, d'un coup, je l'enfourne dans ma bouche, procédant à une série de va-en-viens avec mes lèvres bien serrées. Je vais crescendo, toujours plus vite,
toujours plus profond, luttant contre mes réflexes de régurgitation. La taille de son engin me permet de l'engloutir dans sa totalité, non sans difficulté cependant.
Je continue de plus en plus vite jusqu'à ce que, finalement, j'entende "Bon, ça ira. T'es une bonne suceuse."
Comblé, je me retire tout doucement, laissant au passage un dernier baiser sur son gland luisant. Un mince filet de salive subsiste, lien connectant la bite de mon nouveau Maître à ma bouche.
Comme la laisse qui tient le chien au pouvoir de son Maître.
Je repositionne mes mains dans mon dos, comme mon Maître me l'a imposé, en symbole de soumission. Je le vois s'approcher
et je crains une nouvelle punition. Mais au lieu de ça, il se penche et m'embrasse langoureusement.
"- Voilà ta récompense. Tu vois, tu as tout intérêt à te soumettre totalement et à m'obéir si tu veux être récompensé.
- Merci Maître. Je saurai me montrer très obéissant. Pitié, embrassez-moi encore."
Le sourire sur son visage s'effaçe net. Je savais que je m'exposais à une punition en formulant une telle demande, c'est d'ailleurs pour ça que je le fais. C'est ma manière à moi
de titiller. De chercher les limites, quitte à subir sa colère. D'ailleurs je ne vais pas vous mentir, j'aime bien ça, être puni.
"- Retourne-toi, cambre-toi bien et offre-moi ton cul, dépêche-toi. Tu restes dans cette position je reviens."
Il parle vite, sèchement. Il rentre dans une pièce, et en ressort avec une boite. J'en reviens pas, il a des accessoires. Si jeune et déjà si habile dans l'Art de la Domination.
Il pose la boite à côté de ma tête, à travers le plastique teinté, je distingue vaguement quelques objets. Il ramassage sa ceinture et se lance dans une nouvelle punition exemplaire.
"Cette fois ce sera dix. Je vais t'apprendre à me donner des ordres, petite pute. Et n'oublies pas de compter."
Il m'att le cul, m'écarte les fesses et crache bien entre les deux. Puis il se redresse et commence son office :
Clac ! "Une"... Clac ! "Deux"... Clac ! Je ravale ma salive et rate le coche !
"Raté ! On recommence !"
Clac ! "Une... Clac ! "Deux"... il continue, de plus en plus force, mon cul me brûle... Clac ! "Six"... de plus en plus fort,
de plus en plus vite... Clac ! "Dix..." le dernière compte sort dans un gémissement, comme un soupir de soulagement.
"Merci Maître. Je suis désolé Maître."
Ça m'a passé l'envie de titiller, mon cul est rouge, luisant de sueur, je sens que je vais avoir du mal à m'assoir avant un moment.
Il ouvre la boite, et en sort une corde.
"- Pour être sûr que tu gardes bien tes mais dans le dos, je vais les attacher."
Alors ça ça me plaît. Le bondage m'a toujours fait fantasmer au possible. C'est l'étape suivante dans la soumission : l'abandon total de soi
à quelqu'un. Lorsque l'on est attaché on est totalement impuissant, on ne peut qu'obéir dans le plaisir ou la contrainte. Mais impossible de se défiler.
Il m'attache donc les mains dans le dos, la corde est salement serrée, ça me fait presque mal. Il sait même faire des noeuds, vu son âge c'est à se demander
à quel âge il a bien pu commencer.
De sa boite, il sort également deux pinces. Évidemment qu'il a du matériel, vu son logement il doit être plein aux as, ce ne sont pas quelques accessoires
de domination qui vont le ruiner. Les pinces, il me les colles sur les tétons, bien serrées. Ça me lance terriblement,
il faut dire que je suis très sensible des tétons.
Je suis donc là, attaché, cambré au possible, le cul tendu vers lui, offert, avec des pinces sur les tétons. Situation cocasse s'il en est,
mais affreusement excitante. Rien que d'y repenser j'en ai des frissons.
Il m'ouvre les fesses et crache à nouveau dedans. Puis fouille dans sa boite et en sort un tube de lubrifiant. Ouf. Il n'a pas prévu de me ruiner l'anus.
C'est déjà un bon début.
Il s'enduit la main de lubrifiant, et me lance :
"Je vais te préparer un peu. Mais n'y prends pas trop de plaisir, c'est juste pour que tu puisses recevoir ma bite sans que j'aie à forcer. Le devoir premier de tout bon soumis est de pouvoir servir de trou à bite pour son Maître."
Sur ces mots il m'enfonce directement son majeur dans l'anus. Il commence à faire des va-et-viens, doigt moqueur, dans mon fondement, je me sens humilié.
Il me travaille comme ça pendant quelques temps, puis insère un deuxième, puis un troisième doigt. Il va de plus en plus vite, me claquant fréquemment le cul de sa main libre.
Au bout d'un moment, il retire tous ses doigts d'un seul coup. Je sens au courant d'air frais sur mon trou que je suis ouvert, prêt à recevoir mon châtiment.
Mon Maître aussi doit le sentir, car ni une ni deux, il ôte son pantalon, saisi son membre bien bandé et l'enduit de lubrifiant.
Il ne perd pas une seconde et force l'entrée de mon fondement, lentement mais avec vigueur.
Je ne peux retenir un gémissement qui le fait rire.
"- Alors, tu aimes ça ? Prendre des bites ça te plaît ?"
Je ne réponds pas. Il me flanque une gigantesque fessée.
"- Réponds !
- Oui Maître, j'adore prendre des bites dans le cul. Merci beaucoup Maître."
Il veut vraiment me faire renoncer à toute dignité. Il m'att par les cheveux et commence à faire des va-et-viens. Il augmente la vitesse crescendo, sans jamais ralentir.
Cela dure un petit moment que je ne saurais quantifier, étant complètement ailleurs à ce moment là. Finalement, il atteint sa vitesse de croisière, une vitesse plus élevé que ce que je n'aurais pensé supporter.
Il me défonce comme ça pendant un long moment, une main me tenant par la corde qui lie mes poignets, l'autre sur ma fesse, m'envoyant de temps à autres une bonne fessée. Il n'est peut-être pas formidablement bien monté, mais quelle vigueur, et quelle endurance !
Puis, il se remet à accélérer le rythme dans ce que je qualifierais d'un véritable bouquet final, qui s'accompagne d'une série de fessées bien plus violentes que les précédentes.
Je gémis. Je n'en peux plus. La sueur perle sur mon corps.
Finalement, dans un râle bestial, il décharge tout le fruit de sa jouissance dans mon cul. Je suis rempli.
Il reste une petite vingtaine de secondes comme ça, le vit toujours planté en moi. Puis il se retire, se relève et se dirige vers ce qui semble être sa salle de bain. En partant il me lance :
"Tu vas rester ici pendant que je prends ma douche, je te détacherai ensuite, si tu es sage."
Il est resté une bonne demi-heure sous la douche. Et moi pendant ce temps attaché, le cul rouge sang, dégoulinant de sperme, tendu en l'air, des pinces torturant mes tétons. Puis il est sorti et m'a détaché. Nous avons passé la nuit ensemble, nus.
Le lendemain matin, je me suis rhabillé, et je suis rentré chez moi, à la fois honteux de m'être soumis aussi facilement à cette tête à claque, et affreusement excité de la soirée que j'avais passée.
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