Série « Les Voisins » Épisode 11 : « Claire » Baisée Par Un Jeune Métis.
Je mappelle Claire, je suis une femme de 55 ans vivant en couple avec un homme charmant de 10 ans mon ainée. Je vous ai narré dans la dans la série « Les voisins » épisode 10, la première partie de mon récit, je vais continuer à vous raconter la suite de mon histoire. Si javais eu la chance de pouvoir me venger de Pierre, mes trois années dabstinence et cette soirée dansante du mois de juin 2006 avaient réveillé le feu qui se consumait lentement dans mon ventre, javais une envie folle de faire enfin lamour avec un homme. Me disant quà quarante ans, jolie comme jétais, ma vie nétait pas foutue. Malgré les déboires que javais vécus, je pensais encore que tous les hommes nétaient pas tous des salauds.
Quinze jours plus tard, jétais retournée dans la même discothèque dans lespoir de revoir ce jeune inconnu de 25 ans qui avait su mexciter sur une danse très érotique. Ce fut le cas, ce garçon était venu très tard dans la soirée et lorsquil mavait aperçue, entourée de cinq ou six danseurs, il mavait pris la main et nous étions remontés ensemble sur le podium où là encore, nous nous étions déchainés. Cette fois-ci, ses mains furent beaucoup plus magiques que la fois précédente, se baladant sur ventre, passant dun sein à lautre, du haut de la cuisse droite, à la cuisse gauche, javais ressenti sa forte excitation, lorsquil se pressait contre mon ventre ou contre mon fessier, jétais en feu, je bouillonnais, je mouillais littéralement.
Pendant plus dheure, javais pensé lamener chez-moi pour finir la nuit, jen avais bien lintention et personne ne pouvait me priver de ce plaisir. Vers quatre heures du matin, nous étions sur la piste de danse, il me serait contre lui, descendit ses mains sur le bas mes reins et entama des pas très lents. Hypnotisée par la musique et par ses caresses, je fermais les yeux et me laissait allé dans ses bras. Je ne contrôlais plus mon corps, me frottant contre sa verge, nous nous embrassions à pleine langue, tout en avant en reculant et en tournoyant, nos corps ne faisaient quun tellement nous étions collés lun à lautre.
Avant la fin de la danse, il me prit par la main et mattira vers le bar. Cependant nous avions bifurqué pour nous diriger vers les toilettes. Je fus surprise, cependant je navais opposé aucune résistance. Je comprenais quil avait très envie de moi et quil ne pouvait attendre plus longtemps. La situation était toute nouvelle pour moi, mais tellement excitante, je naurais jamais imaginé quun jour je ferais lamour dans une cabine de WC. Il mattira à lintérieur et ferma à clef, avant de me plaquer contre la porte pour membrasser passionnément. Cétait génial, je mimaginais tourner dans un film X. Je ne pensais pas être capable de me laisser embarquer dans un endroit pareil.
Pourtant le désir montait en moi, malgré que je sois tétanisée par cette situation, jétais bouillonnante. Il attrapa mes poignets dune main ferme et plaqua mes bras sur la porte au-dessus de ma tête. Il commença à membrasser dans le cou. Jétais en extase. Sa main droite passa sous ma courte robe et remonta au-dessus du porte jarretelles pour caresser mon entrejambe. Jétais en ébullition, javais envie de lui dire quil me prenne tout de suite, sauvagement, cependant je me tus, ce nétait pas mon genre. Mes poignets toujours maintenus, jétais à sa merci, javançais mon bassin afin que ses doigts sinsinuent dans ma fente, je mouillais fortement.
Il membrassa une nouvelle fois, son corps sappuyait contre le mien, je ressentais son érection. Il se recula et dune rapidité incroyable, il dégrafa sa ceinture et descendit son pantalon, il remonta ma robe et écarta mon string mais juste avant quil me pénètre : « Mets un préservatif. » Lui ordonnais-je, avant de lui proposer daller chez-moi pour finir ce que nous avions si bien commencer : « Ils sont dans ma veste. Suce-moi alors, je ne peux plus attendre. » Doucement, langoureusement je lavais sucé, ce nétait pas ma spécialité mais javais très envie de lui faire ce plaisir avant quil me rende la pareille à la maison.
Il bandait très fort, il était, comme il lavait annoncé, très excité car après quelques minutes seulement, il me demanda si javalais, quil allait jouir dans ma bouche : « Non ! je ne préfère pas. » Dis-je gentiment. Il se retira de ma bouche et éjacula une grande quantité de sperme sur le papier toilette que javais déroulé juste à temps. Nous nous étions embrassés de nouveau et lui dis-je de sortir en premier et de mattendre à lextérieur, le temps que je passe au vestiaire : « Nous finirons la nuit à la maison. » Il sortit discrètement de la cabine et me répondit : « Désolé, ma copine doit mattendre. Merci à plus. »
Jétais déciment maudite, dans létat dexcitation dans lequel jétais, ce garçon dont je ne connaissais même pas le prénom, mobligeais à me masturber. Si physiquement cela mavait soulagée un peu, moralement jétais écurée par le comportement de certains messieurs qui se foutaient bien de ma poire. À partir de là, je décidai de prendre mon destin en main, plus aucun homme ne me ferait souffrir. Plus le temps passait, plus je me demandais comment faisaient les bonnes surs : « Se masturbaient-elles ? Couchaient-elles en cachette avec les prêtres ? car pour le moment, les seules relations que javais, étaient avec mes sextoy. Au moins, ceux-ci ne me trahissaient pas et me procuraient le plaisir dont javais besoin.
Au fil des années, mes pulsions sexuelles satténuaient mes s avaient grandi et je néprouvais plus le besoin de rencontrer un homme même si ceux-ci me courtisaient toujours. Jétais restée tant dannées sans quaucun homme ne couche dans mon lit, ni ailleurs, si vous voyez ce que je veux dire. Au printemps 2009, je métais faite une belle entorse en sortant du travail qui mobligea à être immobilisée trois semaines dans un plâtre. Ma charmante voisine guadeloupéenne dont le fils métis travaillait dans les espaces verts, mavait gentiment proposé son aide pour la tonte de mes pelouses et lentretien de mes fleurs et mes plantes.
Le samedi 23 mai, javais fini ma rééducation et je devais reprendre le travail le mardi 2 juin de la semaine suivante. Cet après-midi-là, il faisait un temps magnifique, il était 16 heures lorsque javais décidé de me faire bronzer sur le transat au bord de ma piscine à larrière de ma maison. Étant complètement à labri des regards, je faisais seins nus ne portant que mon monokini avec mon bouquin, une romance érotique que jappréciais depuis que je navais plus dhomme à la maison. Je prenais un peu de plaisir en me caressant, la main à lintérieur de mon petit slip de bain, je me caressais en lisant lorsquil me sembla entendre du bruit à lentrée de la maison. Nayant pas prévu de recevoir, javais attendu quelques minutes puis ne voyant personne apparaitre, je métais remis à la lecture toujours en me masturbant.
Après ma jouissance, je me retournai sur le transat le dos au soleil qui avait baissé dintensité. Deux minutes plus tard, jentends Jonathan, le fils de la voisine des îles me dire : « Voulez-vous que je tonde votre pelouse Madame. » Rien que de voir son visage, je compris tout de suite, que ce jeune métis mavait observé. Jen étais très gênée, quallait-il penser de moi ? Me demandais-je. Pourtant en y réfléchissant de plus près, depuis quelques semaines, ce jeune garçon à la peau café au lait de 22 ans me semblait bien attiré par ma personne, il venait de plus en plus me demander si javais besoin de ses services :
Si tu veux Jonathan car demain cest dimanche, silence oblige. Fais celle de devant uniquement, je me débrouillerai pour faire larrière dans la semaine.
Je ne comprenais toujours pas pourquoi Jonathan était venu, il avait tondu mercredi et la pelouse nétait pas haute avec la chaleur de ses derniers jours. Je me disais quil était beau garçon, grand et costaud, il ne devait pas manquer de conquête féminine : « Que pouvait-il bien me trouver ? » Vingt minutes plus tard, je le revois passer pour ranger la tondeuse, jétais à plat dos, il jeta un il sur ma poitrine que je ne pus cacher.
Habituellement, je nétais jamais là lorsquil se baignait, mais jétais curieuse de voir son corps que je trouvai magnifique et lorsquil sortit de leau, mon regard ne put sempêcher de se porter sur le tissu fin, mouillé de son bermuda qui adhérait sur son membre au repos. Dun geste vif, il tira sur le tissu, cependant avec ce que javais pu voir, cétait impressionnant. Avec son mètre quatre dix, son corps en V, leau coulant sur ses muscles, une sensation de désir remontait de mes entrailles, javais envie de me lever et de le serrer dans mes bras mais je ne pouvais pas, je nétais pas ce genre de femme et mes pensées me faisaient honte, javais remis mon haut de maillot, afin de ne pas le perturber.
Il sortit une serviette de bain et je ladmirais se ressuyer, je nen loupais pas une miette. Il était de dos lorsquil enleva son bermuda, ses fesses étaient sublimes et je fus déçue lorsquil était revenu vêtu. Ce garçon nétait pas du tout timide, il revint vers moi, sassis à même le sol et me demanda ce que je lisais en prenant mon livre de poche dans la main :
Cest des histoires à leau de rose. Lui dis-je un peu embarrassée. Lis-tu des récits érotiques Jona ? Osais-je lui demander.
Il ny a pas de mal à se faire du bien, vous savez Madame. Moi cest plutôt les vidéos X que je regarde, la lecture ce nest pas trop mon truc.
Ce garçon mintriguait, naurait-il jamais toucher une femme ? me demandais-je, à son âge cela métonnais, jinsistai sur le même sujet :
Tu nas pas de copine Jona ?
Si Madame mais je suis bien avec vous.
Tu sais, je dois être bien moins attirante quune jeune de ton âge.
Depuis que je suis adolescent, je kif sur vous Madame. Me dit-il de but en blanc en me posant la main sur mon genou.
Une vague de de frissons parcoururent mon corps tout entier, les pointes de mes seins sérigèrent subitement et une petite coulée de cyprine humidifia lintérieur de mon intimité : « Que désirait-il vraiment ? » Je nosais pas y croire et pourtant. Je ne pouvais pas mabandonner à lui, il était bien trop jeune et franchement, javais peur de le décevoir. Dun autre côté, jaimais sa compagnie, javais envie de poursuivre cette discussion :
Viens Jona allons à lintérieur, on ne sait jamais.
Par courtoisie, je linvitai à boire un verre, Jonathan était aux anges, il avait bien lintention de faire bien plus que de prendre une bière. Étant complètement à laise, installés sur le canapé, je lui expliquai mes déboires de femme divorcée et déçue par les hommes, que javais plus lintention de me remettre en ménage et que labstinence ne me posait aucun problème. Ce que je venais de lui dire le perturba un peu mais il ne sétait pas avoué vaincu pour autant. Ce fut lui qui fit le premier pas, il voyait bien que je nétais pas prête à faire lamour avec le premier venu.
Jona tenta sa chance, il était persévérant et tout en me fixant dans les yeux, il posa la main sur ma cuisse et avec un peu dhumour, il me dit :
Cest vrai, je nai jamais vu de bonhomme chez vous, je croyais même que vous étiez lesbienne.
Je me mis à rire, jétais séduite par lidée de plaire encore à un jeune homme de vingt-deux ans. Je ne retirai pas la main de mon voisin mais posa les deux miennes sur ses joues en souriant lui répondit.
Non Jona ! Jaime que les hommes. Tu es un amour mais que ferais-tu avec moi ? Je pourrais être ta mère. Lui dis-je en lui donnant un petit baiser.
Je pourrais vous apporter le plaisir que vous recherchez tant, vous ne croyez pas ?
Ce garçon avait de la suite dans les idées, il ne me laissait pas du tout indifférente, de plus il était beau comme un dieu et pas du tout gêné de la différence dâge. Je navais pas eu rapports sexuels depuis si longtemps et son sexe aperçut au bord de la piscine me mettait en appétit. Malgré cela, je ne sus que faire lorsquil mattira à lui et menlaça pour membrasser. Jessayai sans grande conviction de le repousser gentiment au début mais je me laissai emporter dans ce baiser passionné. Je fermai les yeux et me laissais aller sur le divan. Il enleva le haut de mon maillot en déposant ses lèvres sur mon cou, puis sur sa gorge en descendant au fur et à mesure sur mes mamelons durcis.
Je vibrais sous ses gestes délicats, javais la chair de poule, jamais un homme ne fut si doux avec moi ou je ne men rappelais plus, le contact de sa langue sur ma peau et les caresses des mains de ce merveilleux métis, sur mes seins étaient efficaces, elles me procuraient que du bien-être et mon désir pour lui se manifestait par une moiteur certaine dans mon intimité. Jouvris enfin les yeux, je me transformais, de la petite bourgeoise prude et innocente, je devenais une vraie femme et pris Jonathan à bras le corps et lembrassa fougueusement, avant de dire :
Viens Jona ! Allons dans la chambre, nous y seront plus à laise, jai envie de toi.
Afin que lon ne nous voie pas de lextérieur, la première chose que je fis en arrivant dans la chambre, fut de fermer les volets et ce fut dans une demi obscurité que jenlevai mon monokini et vint mallonger aux côtés de Jona déjà nu sur le lit. Il reprit là, où il avait commencé puis était descendu sur mon ventre pour se retrouver, la tête entre mes cuisses, je navais pas le souvenir quun homme sétait autant préoccupé de mon propre plaisir dans un cunnilingus où je jouis vraiment. Avec des gestes gauches, jessayais de donner le change à mon jeune amant. Mais son phallus était si gros et si beau que je nosais pas le mettre entre mes lèvres, je métais contentée de caresser ce pieu de chair tout en déposant des petits baisers sur son gland turgescent avant de mallonger à plat dos en lattirant à moi :
Viens maintenant. Lui demandais-je timidement.
Lentement, très délicatement, il pénétra son pénis énorme dans ma grotte secrète, mouillée par la jouissance précédente et avec de longs allers et retours, il allait et venait dans mon intimité sous les gémissements de plus en plus bruyants. Je pris un deuxième orgasme en même temps que lui qui enleva son préservatif pour éjaculer en longs et puissants jets de sperme atterrissant sur les poils soyeux et entretenus de mon pubis. Jamais je navais joui de la sorte, je ne me reconnaissais plus, je navais quune envie, cétait de recommencer.
Je lui proposai de rester diner avec moi, le courant était passé, nous avions ri de mon abstinence, il se moquait de moi. Puis nous nous étions retrouvés une nouvelle fois dans mon lit où nous fîmes lamour une bonne partie de la nuit. Jona nétait pas rentré chez-lui, nous nous étions levés le matin après quil mait une nouvelle fois satisfaite avant que Jonathan traverse la rue pour retrouver sa mère qui lattendait devinant très bien où il avait passé la nuit.
Tout le restant de la semaine, il dormit chez moi. Nous nétions pas amoureux, néanmoins je fus plus que comblée par mon jeune amant. Il était si résistant que je me rendis vite compte que je ne pouvais pas suivre toutes ses envies de sexe. Je métais même surprise de messayer à la sodomie, javais très envie dy gouter pour moi mais surtout pour lui faire ce plaisir. Toutefois après plusieurs essais, il était trop bien membré pour quil parvienne à me pénétrer lanus sans me déchirer. Je savais que cette aventure ne serait que passagère mais en attendant, ce jeune métis de vingt-deux ans fut pour moi la providence, ma bonne étoile. Non seulement il mavait permis de retrouver la confiance en moi mais grâce à lui, javais rencontré son patron, lhomme avec lequel je vis aujourdhui depuis plus de dix ans.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Claire, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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