L'Enfer 6
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Deuxième semaine de captivité
Retourner chez Amandine m'effraie car je sais que ça va encore se passer de la même façon avec son chien qu'elle ne veut pas faire tenir tranquille et éloigné de moi.
Je suis pourtant e les lundi et jeudi matin d'aller faire son ménage, de la faire jouir, de me masturber jusqu'à l'orgasme et de supporter ce que me fait endurer le chien.
Dés que j'arrive chez elle elle confisque ma robe, je dois sortir à l'extérieur pour aller chercher le matériel utile au ménage et à chaque fois quand je reviens elle me frappe à l'aide d'un martinet me reprochant de m'exhiber à la vue des gens pour lui faire honte.
Pendant que je nettoie je reçois des coups de martinet car elle est toujours mécontente de mon travail ou parce que j'essaie de repousser son chien quand il devient trop gênant.
Je reviens de chez elle de plus en plus abattue et j'ai la haine quand je la vois rire quand elle observe ce que m'arrive avec max attiré par ma mouillure après que je me sois masturbée et fais jouir allongée sur le sol. Ce n'est pas sain surtout que l'hygiène de l'animal laisse à désirer et que je n'apprécie pas ce genre de contact.
J'ai compris que c'est une femme méchante qui n'a qu'un but: m'humilier et me rabaisser au rang d'animal et de nullité.
Le mercredi après-midi mon corps sert de récompense au vieux jardinier qui apprécie de me sodomiser et qui malgré ses envies et la vigueur que je mets à le masturber et le sucer n'arrive pas à rebander après avoir difficilement joui une deuxième fois.
Les mardi et vendredi matin je fais le ménage chez Mathieu sous la surveillance d'Amandine qui n'hésite pas à critiquer mon travail, m'insulter et me frapper les fesses avec son martinet. Ensuite je dois lui faire l'amour et la faire jouir.
Quand elle est mal lunée elle me prive de repas le midi.
Le mardi après-midi il fait très chaud et survient un violent orage, le vent et la pluie qui s'abattent sur mon corps me glacent.
Dans la journée soit je suis prisonnière du carcan debout dos courbé ou à genoux car l'engin est réglable en hauteur, soit je suis enchaînée au palan les bras levés ou écartés poignets fixé aux extrémités d'une tige métallique accrochée au palan.
Je reçois la visite d'hommes, des connaissances de Mathieu qui souvent sont accompagnés de leur(s) ami(s), je suis devenue une curiosité et un moyen d'assouvir ses envies sexuelles.
Certains me demandent mon prénom je leur réponds "la putain".
Nous sommes le vendredi, aujourd'hui j'ai droit à un repas le midi car selon elle je dois être en forme l'après-midi.
Ensuite elle me conduit à l'endroit ou se trouve le carcan dans lequel elle emprisonne mon cou et mes poignets.
En début d'après-midi Amandine vient me chercher et m'amène tenue en laisse dans la maison.
Dans l'allée je vois un camion de livraison.
Arrivées dans la cuisine elle me libère de la muselière et des bracelets de cuir.
<<tu vas aller t'arranger un peu pour être présentable et servir de pourboire aux deux hommes qui sont venus livrer des meubles que Mathieu a payés avec ce que tu lui a rapporté lors de ton précédent séjour>>.
Je vais dans la salle de bain, je me lave et me maquille puis reviens je dans la cuisine.
J'entends Amandine qui parle aux livreurs.
<<installez vous sur le canapé, la bonne à tout faire va vous apporter un rafraîchissement et s'occuper de votre pourboire, profitez en>>.
Elle reviens dans la cuisine.
<<prends le plateau et sers leur à boire ensuite donne leur le pourboire>>.
J'obéis, je prends le plateau et me dirige vers la salon.
Les deux hommes restent la bouche ouverte, incrédules quand ils m'aperçoivent.
Je pose le plateau sur une table basse, remplis deux verres et leur tends puis je m'assois entre eux.
Ils sont tétanisés et ne savent plus quelle attitude adopter.
Je pose mes mains sur une cuisse de chacun d'eux.
<<je vous fais peur>>.
<<non mais c'est bizarre de vous voir nue, on n'a pas l'habitude>>.
<<on ne vous a jamais fait des avances ou des propositions>>.
<<si mais directement comme ça>>.
<<je suis la bonne à tout faire, vraiment tout et monsieur a décidé que je serais votre pourboire, je ne vous plais pas>>.
<<si vous êtes belle mais on ne peux pas accepter, ça ne se fait pas>>.
<<vous me faites de la peine, ça me fais plaisir de vous servir de pourboire. je peux vous faire tout ce que vous voulez et vous pouvez vous servir de mon corps à votre convenance. Ma bouche, ma chatte et mon cul sont à votre disposition>>.
Ils hésitent, je fais le premier pas. J'en embrasse un qui finit par répondre à mon baiser et à mêler sa langue à la mienne puis j'en fais autant avec l'autre.
Je caresse leur sexe par dessus le pantalon et constaste que leur pénis commence à réagir.
Je déboutonne leur pantalon et baisse la fermeture. je glisse les mains dans leurs slips et me saisis de leur membre que je triture puis que je mets à l'air.
Ils s'animent et commencent à me caresser partout.
J'en profite pour leur retirer pantalon et slip en les assurant qu'on est tranquilles dans cette pièce et que la femme qui les a reçus ne nous dérangera pas.
A genoux sur la moquette je fais une fellation à l'un et je demande à l'autre de se positionner derrière moi et de me prendre par l'orifice de son choix, il choisit l'anus qu'il se met à défoncer. Ils ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'ils n'éjaculent.
Je suce la queue de celui qui m'a enculée pendant que l'autre pénètre ma chatte, il se passe plus de temps avant qu'ils ne se soulagent dans ma bouche et mon vagin.
Je les masturbe pour qu'ils rebandent et ce n'est pas difficile car ce sont deux jeunes hommes vigoureux.
Je demande à celui qui s'est occupé de mon cul de s'allonger sur la moquette et à califourchon sur lui je me plante sa queue dans le vagin puis à l'aide d'une main je dirige la verge de son collègue sur mon anus qu'il investit d'un coup de reins.
Ils rythment leurs coups de reins et je ressens des sensations très agréables pendant qu'ils ont l'impression que leur queue frotte l'une contre l'autre.
Excités par cette pratique nouvelle pour eux ils ne sont pas trop longs à atteindre la jouissance et à éjaculer dans mon cul et mon vagin.
Ils se relèvent.
<<vous pouvez continuer à m'utiliser si vous en avez envie>>.
<<non, c'était bien mais nous avons encore du travail et maintenant nous sommes en retard>>.
<<je suis désolée c'est de ma faute>>.
<<ça en valait la peine>>.
Leurs vêtements rajustés ils regagnent leur camion.
A l'extérieur Amandine leur parle.
<<pas trop déçus de votre pourboire>>.
<<non, c'était super, si ça pouvait nous arriver plus souvent>>.
Le camion démarre.
Amandine me rejoint et m'affuble de nouveau du gros collier pour chien, des bracelets en cuir, de la muselière/bâillon et des grosses chaînes tout en me disant que le livreurs sont repartis déçus par ma nullité et que je ne sais même pas baiser.
Elle m'emmène à l'extérieur en me tirant par la laisse, j'ai du mal à la suivre car elle marche vite et je suis gênée par les lourdes chaînes.
Arrivées sous le palan je dois m'allonger sur l'herbe.
elle accroche mes chevilles au palan qu'elle actionne, je ne touche plus terre et suis pendue par les pieds la tête en bas.
<<tu vois ce qui arrive quand on est bonne à rien et puis ça me fait plaisir de te punir car je n'aime pas les putains dans ton genre>>.
Elle s'en va après avoir frappé mes fesses.
Plus le temps passe et plus je me sens mal.
Quand mon maître arrive et me libère de ma position très inconfortable je reste un moment allongée par terre à récupérer.
Mathieu vient me chercher pour le dîner, dans la cuisine une femme est à genoux menottée, bâillonnée, son collier pour chien est relié à une laisse accrochée à un pied de table.
<<tu vois ce weekend tu ne seras pas la seule putain captive ici>>.
C'est une femme aux longs cheveux blonds, mince avec des petits seins, elle se prénomme Nadine.
Il retire ma muselière.
<<pendant que je prépare votre pâtée lèches toi la truie lèches lui le cul pour lui souhaiter la bienvenue, ça se fait entre bêtes et tu aimes ça>>.
Nadine se couche sur le dos, replie et écarte ses jambes, je me mets à genoux entre ses jambes, je lèche sa chatte et fais pénétrer ma langue pour fouiller son vagin et alterne avec le léchage de son anus jusqu'à ce que Mathieu nous interpelle.
<<les gouines, mangez sinon j'enlève vos assiettes. A genoux nous prenons notre repas puis de nouveau réduites au silence nous attendons le bon vouloir du maître accroupies à ses pieds.
Puis vient l'heure ou notre maître doit aller dormir.
Ma consoeur de captivité se retrouve enchaînée sur le matelas dans la geôle au sous-sol et moi dehors couchée sur le ventre; jambes repliées et bras tirés en arrière, chevilles et poignets attachés ensemble.
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