Hétéro Tenté... Pour De Bon.
Il y a environ deux ans, moi, Malik, jai assisté, en tant que voyeur, au dépucelage du fils de mon boss qui est aussi un ami. Bien quhétéro, jai été excité par cette scène, je me suis branlé et jai joui dans un mouchoir que jai bêtement laissé tomber au seuil de la porte. Le jeune Julien la récupéré et a appris à qui il appartenait. Depuis, nous partageons un secret, je sais quil est gay, il sait que je me suis branlé en le matant, ayant beaucoup à perdre lun comme lautre, nous nous comportons comme si de rien nétait.
Je connais Julien depuis quil est gamin, il a aujourdhui 19 ans. Avant de le surprendre, je ne métais jamais imaginé quil puisse être attiré par les mecs, encore moins quil soit passif ! A vrai dire, je ne métais jamais intéressé à sa sexualité, il était le fils de Pascal ! Maintenant, cest un beau gosse de presque 1m80, il est mince mais baraqué, il a un look très classique, rien ne laisse entrevoir quil est gay, cest comme ça, cest son choix !
Pour fêter les vacances dété, son père, Pascal, a organisé une grande fête chez lui. Jy suis allé en famille, Julien nous a accueillis chaleureusement comme à son habitude. Il nous a présenté ses potes, jai reconnu son « dépuceleur », Martin, 21 ans, sûr de lui, avenant, souriant. Pascal nous rejoint et nous dit que Julien va passer la première semaine daoût avec Martin, un de ses oncles possède une maison sur la côte dazur, un bon plan pour des vacances pas trop chères. Jai pensé que ça allait être un bon plan cul aussi ! A cette pensée, jai esquissé un sourire, Julien la vu et a compris. On a fini par se retrouver un peu à lécart, il me dit :
- Ça va Malik, tout se passe bien ?
- Super ! Dis-moi, tes vacances à la mer, tu vas les passer allongées je pense !
- Ya des chances. Tas pas idée ! Martin me baise encore parfois mais cest surtout son cousin Emmanuel qui m'en fout plein le cul. On peut dire que, pendant cette semaine, je vais me faire éclater !
- Amuse-toi, cest de ton âge.
- Ten as toi des regrets ?
- Non, aucun. Je suis très heureux et épanoui.
- Dommage ! Tu sais ma proposition tient toujours. Tu peux être le prochain quand tu veux.
- Arrête tes conneries, je ne suis pas gay.
Il ma mis la main au paquet et ma massé :
- Tes pas gay mais tu bandes. Tas joui pour ma première fois, timagines pas les progrès que jai fait depuis. Tu te viderais encore plus les couilles, penses-y !
Il est parti en me laissant là comme un con, la bite raide. Jen revenais pas de son audace, ce petit con mavait bien chauffé et excité. Jai regardé son petit cul et, lespace dune seconde, jai voulu le baiser puis je me suis repris. Cétait pas possible, je ne suis pas attiré par les mecs, ma femme et mes s sont là et il est le fils dun ami qui se trouve être mon boss. Malgré tout ça, jai eu du mal à me calmer.
Six mois après, en plein mois de janvier, je suis mobilisé pour aider ma belle-sur à déménager, elle sinstalle avec son mec, ils organisent une pendaison de crémaillère le samedi soir suivant. On appelle la baby-sitter habituelle mais elle ne peut pas venir, ma femme pense alors à Julien, il nous a déjà dépanné et il accepte. On rentre vers 3 h du mat, Julien est dans le salon, il dormait dans le canapé du salon, on lui propose de le ramener dans la matinée, il me dit quil préfèrerait partir tout de suite car il doit se lever tôt pour aller faire un tournoi de tennis. Ma femme est claquée, elle file au lit, je le reconduis donc chez lui.
On navait pas fait 500 mètres quil attaquait déjà :
- Tu sais Malik, tes vraiment un beau mec, tu me plais vraiment, je ne plaisantais pas quand je tai proposé de me baiser.
- Ecoute, je suis flatté mais pas intéressé. Oublie ça !
Alors que je conduisais, il me met une main sur la cuisse et remonte.
- Arrête ça tout de suite avant que je ménerve pour de bon.
- Je men fous !
En me disant ça, il déboutonnait sa ceinture de sécurité, il a plongé entre mes jambes, a déboutonné ma braguette en un temps record, il a sorti ma bite et la gobée :
- PUTAIN, mais tu vas me lâcher, je suis pas pédé, dégage de là !
Jai pilé, je me suis garé comme jai pu au bord de la route avec lidée de lui coller mon poing dans la gueule mais cétait déjà trop tard ! Voir la tête de ce petit minet monter et descendre entre mes jambes et me faire une pipe ma fait perdre toute contenance, je bandais à fond, jai fermé les yeux et jai dit :
- Ten veux, alors vas-y suce-moi. Tas intérêt à être une bonne suceuse !
Il a relevé la tête pour me fixer, il tenait ma bite dans sa main et la branlait doucement, il avait de la salive tout autour de la bouche et un petit filet allait de sa lèvre inférieure à mon gland, il ma dit :
- Tinquiète, je suis le meilleur. Tu vas ten rendre compte et jespère que tu pourras plus ten passer.
Il a repris sa fellation, il faisait ça très bien, sa langue senroulait autour de mon gland en sattardant sur sa base puis, dun coup, il avalait ma queue entièrement, je sentais son nez senfoncer dans mes poils pubiens, il inspirait et expirait très fortement. Une de ses mains était entrée sous mon pull et me caressait les tétons. Javais posé mes mains sur sa tête et jappuyais dessus pour lenfoncer un peu plus à chaque fois.
Jai commencé à lui caresser le dos, puis jai glissé ma main sous son jogging et son boxer pour aller toucher son petit cul. Ses fesses étaient bien fermes, je les ai massées un long moment, sa peau était très douce, jai ensuite glissé mon majeur dans sa raie. Il a lui-même baissé son pantalon, jai sucé mon doigt pour quil coulisse mieux dans sa raie, jai commencé à titiller sa rondelle, il a réagi en gémissant tout en bouffant ma queue.
- Ça fait trop longtemps que tu me chauffes. Ce soir je cède et tu vas te faire défoncer comme une vraie pute. Allonge-toi sur le ventre sur le siège passager, baisse le dossier au maximum et écarte les cuisses !
Jai enjambé le levier de vitesses, je me suis couché sur lui et je lai pénétré dun coup. A cet instant, je me suis senti bien, comme si jévacuais une frustration, au fond javais eu envie de lui depuis le jour où je lai surpris en train de se faire dépuceler dans sa chambre. Il nétait plus le fils de mon pote, je ne me tapais pas un mec, je réalisais juste un fantasme vieux de deux ans.
Je lai baisé comme une brute. Grace à sa salive sur ma bite et à sa mouille, ma bite coulissait parfaitement en lui, je menfonçais au maximum en poussant bien, je ressortais presque entièrement et je recommençais, le tout à un rythme très soutenu. Jadorais cette sensation, je navais jamais fait une sodomie, cétait étroit, serré mais terriblement excitant. Il gueulait de plaisir en mencourageant :
- Han, vas-y, encore plus fort, han, démonte-moi, cest bon !
Moi je lui répondais en linsultant, je voulais lhumilier :
- Tes quune salope, un garage à bite. Ya quune pute comme toi pour se faire tirer au bord dune route et taime ça hein, dis-le !
- Oui, je suis ta pute, jadore me faire baiser par ta belle bite de rebeu, démonte-moi.
Il régnait une chaleur torride dans cet habitacle, il y avait de la buée sur toutes les vitres et la voiture bougeait au rythme de mes coups de reins, on était en sueur. Ny tenant plus, je me suis retiré, jai ouvert la portière passager, je suis sorti, le jeans sur les chevilles. Julien sest mis sur le dos, il a basculé pour moffrir son cul que jai voulu bouffer.
Cest le bruit du moteur dune voiture qui approchait qui nous a réveillés. Julien sest planqué, moi je me suis retourné face au fossé comme si je métais arrêté pour pisser, la voiture est passée sans ralentir. Je me suis vite rhabillé et réinstallé au volant puis on est repartis, jétais frigorifié !
Comme javais retrouvé mes esprits, la culpabilité et le dégoût davoir trompé ma femme me titillaient déjà. Non seulement je lavais trompée mais avec un mec en plus ! Jai voulu faire une mise au point :
- Bon Julien, on sest bien éclatés, ten avais envie et moi aussi. Maintenant, cest terminé, tu redeviens le fils de mon pote. Ok ?
Il ma mis la main sur la cuisse, ma souri et a répondu :
- Ok Malik, comme tu veux. Nempêche, quel pied ! Jai adoré et je suis sûr que tu me rappelleras, tas trop kiffé !
Je me suis dit quil avait peut-être bien raison !
Le lendemain, jétais mal foutu, fiévreux et courbaturé. Le lundi, je nai pas pu aller bosser, jai fait une bonne bronchite, mon médecin ma dit quun grand coup de froid pouvait en être la cause.
Les mecs, cest dangereux de baiser dehors en plein mois de janvier !!!
Merci pour vos messages dencouragements, ils mont donné envie de vous raconter la suite
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