Un Cadeau De Noël...
« Trixie, dans trois jours, nous débutons des fêtes de fin d'année et vois-tu, de par ce monde il y a plein de personnes qui n'ont pas la chance que j'ai... Elles sont seules, souvent tristes... Te souviens-tu de mon ami Jules ? Nous avions fêté son anniversaire, il y a trois ans... Eh bien, il est entré en maison de retraite, il est veuf depuis longtemps et n'a plus personne... Aussi pour Noël, j'ai pensé l'inviter pour le réveillon avec trois autres résidents qui ont sympathisé avec lui. Et je pense, tu pourrais jouer les Pères ou plutôt les Mères Noël pour ces quatre pauvres et malheureux petits vieux solitaires... de quatre-vingts ans passés!!
- Oui, c'est une bonne idée... pleine d'attention pour ton vieil ami... Et tu voudrais que son Noël ressemble à ce que je lui avais offert pour son anniversaire...
- Et si tu voulais, ses amis pourraient en profiter aussi !
- Je ne peux rien te refuser... Mais à cet âge... Je ne crois pas que je vais leur faire beaucoup d'effet !
- Attends ! Regarde... J'ai réussi à avoir cette boîte de viagra, c'est du 50 mg... Bien sûr, il va leur falloir une stimulation sexuelle... mais là, je te fais confiance... ! Es-tu d'accord ?
- Oui, ça sera un merveilleux cadeau... !! »
Le soir de Noël juste avant que ses invités n'arrivent, dans le living-room à côté du sapin illuminé, Alfred me fit entrer dans un grand carton, Victor s'occupa de l'habiller de papier cadeau et entoura la grande boîte avec quatre rubans multicolores. Les invités arrivèrent. Ils étaient tous tirés à quatre épingles, costume cravate. Jules 78 ans, petit, trapu au ventre proéminent, présenta ses amis à Alfred. Il y avait Jacques 82 ans le bout en train de l'équipe assez grand, mince, complètement chauve avec de petites lunettes lui tombant sur le nez, des yeux bleus. Robert, 81 ans des cheveux blancs, une moustache fournie, une bedaine conséquente et vraiment pas très grand, pour finir Marcel, le haut du crâne chauve des cheveux poivre et sel sur les tempes, de grandes oreilles, les joues creuses, un nez aquilin, il portait un nud papillon tirant sur le rose.
« Bien, nous allons prendre lapéritif. Mais avant je voudrais que vous repartiez avec un petit souvenir...Voilà, il y en a une pour chacun. »
Il leur tendit une enveloppe, leurs yeux s'écarquillèrent lorsqu'ils l'ouvrirent. Il y avait une photo, grand format ou de face les jambes écartées au maximum, la chatte béante, j'étais en train de me faire sodomiser par Victor.
« Jules peux-tu lire le petit papier...
- Il y a écrit... Porte-jarretelles ?
- Marcel ?- Moi... Soutien-gorge !
- Robert ?
- String...
- Jacques, il doit rester les bas ?
- C'est cela... On va se déguiser ?
- Mais non... !! Chacun à la fin de soirée pourra emporter un morceau du cadeau que je vais vous offrir... Victor des ciseaux pour couper les rubans... »
Chacun coupa son ruban, et comme des s, huit mains impatientes déchirèrent le papier... le carton s'ouvrit comme une fleur. Des quatre bouches fusèrent des OOOOOHHHHHH d'étonnement. Je leur apparus dans toute ma blondeur, perchée sur mes hauts talons blancs, je fis quatre pas en avant pour les laisser m'admirer, je me plantais devant eux jambes ouvertes. Sous une nuisette à bretelle complètement transparente s'arrêtant au ras de mon mont de Venus, j'avais passé un court bustier en dentelle blanche qui encerclait mes seins les laissant libre de toute entrave. N'ayant besoin d'aucun soutien, ils tendaient le tissu de la nuisette. Un porte-jarretelles blanc assez fin soutenait des bas blancs, un string avec une ouverture qui laissait apercevoir la fente de ma chatte bien épilée complétait ma tenue. Mes cheveux blonds étaient relevés en un savant chignon deux accroches curs pendaient sur mes joues. De mes yeux bleu-vert, je les regardais tour à tour langoureusement, en passant ma langue sur mes lèvres...
« Voilà, c'est Trixie... Ce soir, c'est votre cadeau, vous allez pouvoir jouer à ce que vous voulez.
Il me tendit les quatre pilules. Je leur fis passer à chacun une coupe de champagne, je m 'approchais de Jules. Je me mis à califourchon sur ses genoux, je posais mes lèvres sur les siennes, ma langue se faufila dans sa bouche, ses mains se plaquèrent sur mes fesses, il les écarta son majeur s'insinua dans ma chatte. Je ressortais ma langue et fis glisser le cachet entre ses lèvres, je lui tendis la coupe de champagne... Je glissais sur les cuisses de Jacques, pour aller embrasser Robert, je lui ouvris la bouche et y déposais la pilule... une gorgée de champagne la fit glisser. Jacques frustré se mit à me malaxer les seins... Je me mis sur le dos, la tête sur les jambes de Marcel, tandis qu'une de mes mains caressait son sexe, de l'autre, je lui tendis la petite pilule qu'il s'empressa d'avaler. Les mains de Jacques, impatientes, écartaient le tissu de mon string, élargissant la fente qui découvrait ma chatte. Son index titillait mon clitoris...
« Jacques, voulez-vous prendre le comprimé ?
- Oh oui bien sûr !!
- Alors mangez le... »
Je déposais, le denier cachet dans la fente de ma chatte qui commençait à devenir moite, je sentis sa langue s'y insinuer et ses lèvres aspirer la pastille...
« Bien, dit Alfred, normalement dans une heure, si mademoiselle Trixie veut bien nous stimuler pendant la durée du repas, le principe actif du Viagra inhibera l'effet de phosphodiestérase et pourra nous permettre de maintenir notre érection pendant quatre heures... ! Je vous propose de vous mettre à l'aise. Nous allons voir s' il y a déjà quelqu'un qui bande... !! »
Aussitôt dit, aussitôt fait... En un rien de temps, les quatre vieux se retrouvèrent nus comme des vers. Je me rappelais que Jules, le jour de son anniversaire m'avait sodomisé, il avait un sexe pas très long mais extrêmement large.
« Avant de passer à table, vous allez pouvoir récupérer, les petites babioles promises... »
Ils s'étaient a nouveau assis sur le divan. Je baissais doucement les bretelles de ma nuisette et la laissais tomber sur le sol. Je m'approchais du grand Jacques, mis un pied sur le canapé.
« Je crois que mes bas sont à vous... »
Les mains tremblantes, le yeux fixés sur la fente du string, il défit les attaches, me quitta mes chaussures et fit rouler doucement les bas le long de mes jambes fuselées. Ce fut ensuite le tour de Marcel, avant de me quitter le bustier seins nus, il caressa les deux globes fermes, pinçant mes mamelons en érection. Je présentais ensuite mon dos à Jules et lui demandais de me dégrafer le porte-jarretelles, ses mains se plaquèrent sur le devant de mes cuisses, remontèrent à l'intérieur, effleurant ma chatte moite, et comme a regret avec un petit soupir il récupéra son bien.
« C'est dommage... je te préfère avec un porte-jarretelles... »
Ce déshabillage avait du un peu émoustiller Robert, il bandait un peu plus que tout à l'heure. « Regardez à quoi sert l'ouverture sur ma chatte... »
Je lui attrapais son rouleau de chair semi-rigide et le frottais le long de ma fente humide, il donna un coup de reins.
« Non, ne soyez pas pressé... Quittez-le-moi... »
Je me retrouvais nue au milieu des quatre vieux, qui maintenant étaient debout, huit mains se baladant sur ma peau. Je les repoussais gentiment, et me dirigeais vers le divan. Victor arriva avec un plateau sur lequel il y avait des talons aiguilles noirs ainsi que des bas et un porte-jarretelles de la même couleur.
« Mais passons à table, dit Alfred, les entrées sont servies... on pourra tout autant profiter du spectacle ! »
Il avait installé ses convives d'un côté de la table face au divan. J'agrafais le porte-jarretelles sur mon ventre, et en leur souriant, je le fis tourner sur mes hanches, je m'assis sur le divan, passais un bas, le laissant tire-bouchonner sur ma cheville, puis l'autre et je chaussais mes hauts-talons. Mes mains partant des chevilles caressèrent lentement à tour de rôle mes jambes jusqu'au haut de mes cuisses. Je déroulais ensuite le bas sur ma jambe gauche avec une lenteur calculée, je fis de même pour la droite. Puis j'attrapais une lanière et accrochais l'agrafe sur le devant de ma cuisse, je fis semblant d'avoir de la difficulté à le faire ce qui me permit d'écarter les cuisses. Leurs regards, leurs respirations saccadées, m'excitaient, je mouillais de plus en plus.
« Victor pourrais-tu venir me fermer les attaches de derrière s'il te plaît ? »
Je me levais, avec dextérité le vieux domestique boucla les fermoirs, puis il attrapa les deux lanières élastiques les tira et les relâcha sur mes fesses, je poussais un léger cri de douleur. C'est à ce moment-là que dans le couloir une grosse voix se fit entendre.
« HOOOO, HOOOO, HOOO, c'est le père Noël... »
Et Santa Claus fit irruption dans la pièce. Très corpulent, il était vêtu d'une houppelande rouge bordée de fourrure blanche, qui lui descendait à mi-mollet. Sa bedaine proéminente écartait largement les deux pans du vêtement qui baillait largement sur ses jambes. Un pantalon rouge ne dissimulait pas l'énorme bosse qui se profilait entre ses deux cuisses. Une grande barbe blanche, des lunettes demi-lune sur un gros nez épaté, et posé sur sa tignasse un bonnet rouge à pompon blanc complétaient la panoplie... Seul un détail clochait ! Il était noir !
« Et oui, dit Alfred en riant, lorsque j'ai téléphoné à l'agence... Ils n'avaient plus rien en stock
! Mais je crois que celui-là ira très bien !! »
Le père Noël se dirigea vers moi.
« Hooo, Hooo, Hooo... les s d'habitude m'offrent des carottes ou des pommes pour mes rennes et des biscuits et un verre de lait pour moi. Mais nous sommes entre adultes ! Je pense que vous êtes mon cadeau, je sens que ma pause va être super... vous êtes vraiment très appétissante !! »
Il me plaqua le dos contre lui, face aux invités. Il défit mon chignon, mes cheveux blonds tombèrent en cascade sur mes épaules. Je passais mes bras derrière lui, cambrant les hanches en avant. Je sentais sa queue à travers son pantalon, elle était énorme et rigide. Sa main noire se glissa entre mes jambes et il commença à me masturber la chatte doucement écartant mes lèvre bien épiléess, tandis que l'autre me caressait les seins l'un après l'autre. Il avait sa tête enfouie dans mon cou. Il me chuchota à travers sa barbe.
« Ça fait une heure que ton patron m'a donné la pilule de viagra, putain ma trique est tellement grosse que celle d'un renne n'est rien à côté de ce que je vais t'enfiler... Allez montre leur ma bite. »
Il me mit face à lui, je débouclais son pantalon, il tomba sur le sol, il s'en extirpa. En effet, sa bite malgré son âge avancé, était d'une taille phénoménale, mais son diamètre et sa rigidité me surprenaient vraiment. Les plis de sa peau sur ses cuisses noires mettaient en valeur ce monstrueux rouleau de chair tendu. Je m'écartais pour que tout le monde puisse bien admirer ce phallus exceptionnel. Ce fut le cri du cur, de la part des quatre vieux.
« Ohhhhhh putain ce n'est pas vrai... C'est monstrueux !! »
Ma main faisait tout juste le tour de la hampe que je branlais doucement, calottant et décalottant son gland presque violet tellement il était gorgé de sang. Il déboucla son ceinturon. Alfred poussa le divan, monté sur roulettes, à un mètre de la table pour que les hôtes puissent profiter pleinement de ce qui allait suivre. Il fallait les stimuler... Le Père Noël promenant son énorme virilité alla s'y asseoir, jambes écartées. Sa bite turgescente pointant vers le plafond. Un mélange enivrant de pure adrénaline, de luxure et de convoitise traversa mon corps, me faisant frissonner, érigeant encore plus mes tétons, tandis que je fixais l'énorme tronc noir.
« Hooo, Hooo, Hooo... jeune demoiselle venez vous asseoir sur mes genoux... regardez la grosse friandise noire qui vous attend !!
- Putain dit Robert, je croyais que la mienne était grosse, mais alors là !! Elle doit faire pas loin de trente centimètres et vous avez vu le diamètre !! »
Je m'approchais de l'énorme bonhomme et tournant le dos aux invités d'Alfred, enjambait les monumentales cuisses. Je me mis à genoux sur le divan. Il passa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles. Je n'entendais plus que leurs souffles saccadés. Je déboutonnais lentement la houppelande, et exposais son corps noir et obèse à la lumière crue des néons. Me penchant vers l'avant et je saisis d'une main l'énorme rouleau de chair dur comme du bois. Je frottais doucement le gland le long de ma fente humide, effleurant mon anus et roulant des hanches, le positionnais à l'entrée de mon orifice vaginal.
Par petites saccades, j'abaissais mon bassin, faisant semblant de forcer pour faire pénétrer la colonne noire monstrueuse. Jémettais des gloussements de satisfaction non feints, au fur et à mesure que ce phallus s'enfonçait dans mon vagin. Avec mes doigts, j'écartais mes grandes lèvres pour en permettre l'intrusion complète. Je poussais un long cri primaire lorsque je sentis la tête de sa bite pousser fermement et profondément écartant avec force mes parois vaginales. Jaccélérais la cadence, le Papa Noël se mit au Diapason. Cela m'excitait au plus haut point, j'en oubliais sa laideur et son obésité. Je n'avais jamais senti une queue aussi ferme et aussi grosse. Je mouillais de plus en plus, ça facilitait les allers et retours du sexe éléphantesque qui me pourfendait. Je regardais langoureusement tour à tour les quatre petits vieux, puis j'embrassais sauvagement le vieux noir qui me baisait, me penchant bien en avant pour bien dégager la vue de nos sexes... Ma bouche descendit sur son torse glabre et graisseux. Ma langue lécha ses pectoraux adipeux, mes lèvres aspirèrent ses tétons, lui tirant des gémissements de plaisir. Son énorme bite bien calée au fond de ma chatte, j'ondulais lascivement des hanches tandis qu'a son tour, il me mordillait la pointe des seins. Puis, je me levais et me rabaissais sur la hampe noire monstrueuse, tantôt en m'empalant d'un seul coup, tantôt en engloutissant très lentement la verge exorbitante qui de plus était boostée par le viagra.
« Putain, les gars ! La bite de ce gros noir, à l'air de faire prendre son pied à cette petite Salope, vous avez vu comme elle mouille, ça déborde de partout et ça dégouline le long de sa queue jusque sur ses couilles !!
- Oui, vas-y défonce la !
- Met lui bien ta grosse vieille bite noire au fond... »
Ils étaient intarissables, tous les superlatifs y passaient... Émoustillé par ces encouragements, mon partenaire était déchaîné... Il me tirait des râles de jouissance, ce qui avait l'air de ravir encore plus les quatre vieillards. Jacques se leva de table et s'approcha de notre couple. Je sentis l'index et le majeur de sa main droite réunis, prélever autour de ma chatte le mucus translucide et légèrement blanc, des sécrétions produites par mes glandes périurétrales de Skene et mes glandes de Bartholin. L'énorme queue dopée au viagra me procurait une excitation physique extraordinaire et d'offrir les effets de mon exaltation sexuelle en spectacle aux copains d'Alfred me procurait une stimulation psychologique hors du commun et ma vulve coulait littéralement.
Jacques étalait la cyprine qu'il recueillait sur laréole de mon sein droit, il la badigeonna largement jusqu'à ce que le liquide coule sur le globe de mon sein. Mon téton érigé d'au moins deux centimètres et dur comme du fer eut droit lui aussi à être recouvert du liquide poisseux, jusqu'à ce qu'une goutte perle au bout du mamelon. Puis je sentis sa langue parcourir mon aréole gonflée de sang, léchant consciencieusement mon liquide séminal, ses lèvres aspirèrent mon téton brun, ses dents en mordillèrent le bout me tirant des gémissements de plaisir.
Le Santa Claus noir m'avait saisi aux hanches et me tenait clouée sur son immense sexe noir enfoui au fond de mes entrailles. Ses halètements courts et rauques annonçaient qu'il allait jouir !
« Éjacule en moi ! Criais-je, je veux sentir ta grosse queue noire exploser et déverser son sperme à l'intérieur de ma chatte... »
Longtemps, il déversa son sperme tiède avec des énormes râles de satisfaction. Les soubresauts du phallus démesuré à l'intérieur de mes entrailles déclenchèrent la contraction de mes muscles vaginaux, je me cambrais et une boule de plaisir extraordinaire me traversa le corps me faisant crier de jouissance. J'entendis comme dans un rêve les quatre spectateurs être stupéfait par le déluge de sperme qui coulait hors de ma chatte.
« Hooo, Hooo, Hooo... Le vieux Père Noël vient de déposer son cadeau... La jeune fille est comblée ... Il va pouvoir continuer sa tournée... »
Tremblante, je me levais, il sortit de la pièce. Jacques s'était mis à genoux et sa langue se faufila entre les lèvres poisseuses de ma chatte. Robert arriva à son tour passa derrière moi et me saisit les seins à pleines mains. Il me prit une main et me la mit sur sa queue, il bandait déjà énormément, je le masturbais, tandis qu'il m'embrassait dans le cou. Jacques aspirait avec délice dans mon sexe, le sperme du noir mélangé à mon liquidé séminal...
Dans la continuité de mon orgasme, ces massages mammaires et vaginaux me tiraient des râles de plaisirs, mon corps était parcouru de frissons Jacques me fit mettre à genoux sur le divan jambe largement ouvertes face à Marcel et Jules qui étaient restés à table. Il écarta les lèvres de ma chatte dégoulinante. Sa langue s'insinua dans mon orifice anal, tandis que son pouce glissait dans mon vagin, faisant de délicieux allers et retours. Il laissa la place à Robert qui me caressa le clitoris de sa main droite tandis que son majeur gauche tournait doucement autour de mon orifice vaginal, et il enfonça trois doigts réunis dans mon anus palpitant. Face à la tablée, il glissa sur le tapis appuya sa tête sur le divan, je me mis à genoux et lui léchant la bite, je le masturbais doucement.
« Allez Robert, sodomise là... Elle n'attend que ça !!
- Aujourd'hui vos désirs sont des ordres, leur répondis-je en souriant... »
J'enjambais Robert et face à eux les cuisses grandes ouvertes, positionnais la bite tendue à l'entrée de mon orifice anal. Celui-ci n'attendit pas, me saisissant aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles, d'un grand coup de reins, il enfonça sa queue jusqu'à la garde. Je poussais un hoquet de plaisir. Il attaqua aussitôt des pénétrations très rapides, pour l'exciter encore plus je gémissais sans discontinuer. Le viagra faisait effet, il avait retrouvé une seconde jeunesse et tel un étalon fougueux, il m'empalait sans discontinuer.
« Salope, salope... Tiens... Tiens... Tu as aimé te faire baiser par ce gros noir... Tiens prends ma vieille bite dans ton joli petit cul...
- Eh, Robert dit Marcel, écarte-lui la chatte, branle là... »
La main droite de Robert se plaqua sur mon sexe...
A suivre...
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