Alice, Fabien Et Vincent (1) : Le Quiproquo
ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO
Bonjour je m'appelle Vincent. Je vais vous raconter comment a débuté mes relations peu orthodoxes avec le couple d'Alice et Fabien.
Tout commence une journée de printemps un peu maussade. Je venais de commencer une semaine auparavant un boulot de consulting dans une boîte à Paris et pour me changer les idées, ce midi-là, je décide de manger un sandwich dans un jardin proche de mon lieu de travail. J'aime mater les nanas qui font leur jogging car elles sont souvent au naturel, peu maquillées et sans artifice. Non seulement, ça me permet de souffler loin de lagitation des bureaux mais en plus, on repère très vite les plus jolies nenettes, surtout avec la mode des leggings qui ne laissent rien échapper au regard. A 30 ans passés je n'ai toujours pas de nana officielle. Jaime ma situation de célibataire endurci. Je suis plutôt beau gosse : je suis très grand pour la moyenne (1m91) et d'allure sportive sans être musclor non plus. Habillé en chemise et costume sans cravate, j'attire le regard avec mon bronzage permanent, mes yeux dun noir profond, mon visage rasé mais où un très léger duvet pointe en permanence et mes cheveux châtains foncés un peu fous. Les femmes aiment perdre leurs mains dedans. J'attire les femmes folles de sexe et jolies mais pas cérébrales pour deux sous. Du coup, je n'ai toujours pas trouvé chaussures à mon pied et ce n'est pas avec les horaires à rallonge que je fais au boulot que j'arrive à sortir les soirs de semaine.
Bref je suis tranquillement installé sur un banc quand lune des nanas que je préfère dans le lot, une belle brune à la peau blanche impeccable, aux petits seins et avec un cul à damner un saint, s'asseye à côté de moi.
- Bonjour Maître, me lance-t-elle
-...
Je reste complétement interdit et n'ose pas lui demander de répéter. Ai-je bien compris, a-t-elle bien dit « Maître » ?
- Je suis tellement contente que tu aies pu venir finalement ! Je suis nue sous mon pantalon comme tu me l'as demandée, Maître et dailleurs courir ainsi ma fait mouiller comme une dingue ! Mon entrejambe est trempé de cyprine, je sens lair froid passer dessus !
-.
-vu le temps, j'imagine qu'on se retrouve dans les toilettes hommes du musée d'ici 2min? A tout de suite, Maître. Je bave d'impatience ! Ponctua-t-elle avant de partir
Et elle séloigna en petites foulées gracieuse avec son petit popotin qui se trémoussait sous son pantalon moulant. Ces dernières phrases confirment ce que javais cru comprendre la première fois. Elle mappelle « Maître ». En plus de la savoir nue dessous jai une trique pas possible. Jimagine que les coutures la branlent doucement. Mon gland dépasse même du boxer, je sens l'élastique le caresser au gré de ses soubresauts.
Non mais c'est quoi cette blague ?! Je regarde mon téléphone pour essayer de découvrir le pourquoi du comment. Peut-être que quelqu'un me fait une farce. Je me rappelle soudain que samedi soir j'ai posté un commentaire sur les réseaux sociaux comme quoi je me sentais seul et isolé alors qu'on est si nombreux. Peut-être que des amis me font une surprise pour ma dernière semaine dans cette boîte à Paris ?
Le rouge me monte aux joues et jobserve à la dérobée les alentours pour voir si quelquun a surpris notre conversation. Je décide de la rejoindre. Je n'ai pas grand-chose à perdre. Je termine en quatrième vitesse mon sandwich et pars en direction du musée à grandes enjambées. Je me sens gauche et apprêté quand jy entre. Jessaye dêtre le plus naturel possible en disant bonjour aux gardiens qui fouillent les sacs à lentrée. Je trouve les toilettes sur la gauche derrière les caisses. Ces toilettes sont étonnamment propres pour des toilettes publiques. J'ouvre la porte du côté hommes et alors que j'avance, une petite main me prend par le col et m'entraîne dans les toilettes les plus proches. La demoiselle a retiré son manteau et je devine ses seins qui pointent sous son t-shirt. Cela me fait un effet boeuf en plus de me retrouver dans ce lieu si insolite! Je bande encore plus dure si cest encore possible. Elle émet un petit rire ravi quand elle passe la main sur ma queue raide d'excitation : je suis en effet du genre bien membré.
- comment puis-je te remercier? Je lui demande.
- mmm en m'embrassant sur la bouche peut-être.
Je suis surpris de sa demande mais après tout ce que je viens de vivre, je ne suis plus à ça près ! Je me penche donc en avant pour me mettre à sa hauteur et ses lèvres qui quelques instants plus tôt étaient sur mon dard viennent se plaquer sur ma bouche.
-mmm oh oui c'est bon, ne put elle se retenir de dire alors que jusqu'à présent elle faisait attention à ne pas se faire repérer dans les toilettes.
Je la pistonne avec force et vigueur tout en touchant son clitoris. Pendant ce ramonage en règle, elle n'arrête pas de gémir et ne contrôle plus ses paroles. "Encore" "vas y encule moi" "c'est bon" "oh oui continue" « jaime quon méclate la rondelle » jusqu'à son explosion finale. Ses jambes flageolent. Je la retins et dans un dernier soubresaut, retire la capote, la fais pivoter pour qu'elle avale de nouveau mon nectar. Je jouis comme jamais auparavant en six longues giclées. Cette cochonne avale tout avec plaisir en me regardant droit dans les yeux de manière effrontée. Vraiment quelle bonne salope!
Mais contre toute attente, l'envie qui m'a pris de posséder cette nana qui m'appelle Maître, me donne également l'envie de la protéger contre d'éventuels prédateurs qui peuvent voir et profiter de son côté soumis.
Quand je rentre au bureau cet après-midi-là, j'ai l'impression que ce que je venais de faire est imprimé noir sur blanc sur ma tête. Il me semble même que le regard des femmes a changé à mon encontre. « C'est dans ta tête, pauvre fou » je me répète inlassablement.
Mais qui est cette pute? Qui me l'a envoyée? Même en tendant la perche en écrivant un commentaire sur les réseaux sociaux « on fait des drôles de rencontres parfois dans les jardins de Paris » Aucun de mes copains ne répond. Ce silence est des plus étranges. Au boulot, je suis en mode automatique, je narrive plus à me concentrer à rien. Je n'arrête pas de repenser à ce moment intense et j'ai la trique du matin au soir. Je suis même obligé de me décharger dans la journée en me masturbant aux toilettes tellement mes couilles deviennent bleues de tout ce jus accumulé. Je ne peux même plus attendre la délivrance du soir.
Le lendemain midi je n'ai pas le temps de faire mon escapade dans le jardin mais le surlendemain, si. Avec une certaine excitation je m'asseye sur le même banc qui est de nouveau libre mais ma jolie brunette n'est pas là... et dire que c'est mon dernier jour sur Paris. Comment la retrouver ?
Le soir même, en furetant sur les réseaux sociaux je vois quun ancien camarade de master, Fabien, a changé de photo de profil. Mon cur manque un battement : il est avec sa femme et quelle stupeur en reconnaissant ma suceuse hors pair ! Mais comment cette histoire a-t-elle pu avoir lieu ? Je ne vais quand même pas lui demander sil sait quil est cocu ? Jétais en train de me décider à contacter son épouse quand je reçus un message privé de Fabien avec pour objet « explication ».
[La suite au prochain numéro !]
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