La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°852)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°784) -
Je pouvais sentir les yeux du Doc sur moi. Il me fixait sans sourciller une seule fois. Je me mis en position et la musique commença tout de suite. J'étais sur le dos, les jambes pliées de chaque côté. Je bougeais les bras en tenant le foulard bleu devant moi tout en redressant mon buste doucement. Je me redressais debout puis je commençais à avancer devant moi en bougeant mes hanches. Je me retournais toute en volupté et je m'approchais gracieusement du Doc. Celui-ci me fixait toujours de ses yeux Dominants. Je plaçais mes mains sur ses épaules et je relevais une jambe, ce qui exposa ma chatte complètement humide à toutes les personnes présentes. Pendant ce mouvement, je ne quittais pas les yeux du Médecin qui avala sa salive alors qu'il avait une vue imprenable sur ma poitrine. Je me mis à tourner autour de lui. Je souriais grandement en voyant sa verge former une tente sous son pagne
Je me demandais pendant combien de temps, Le Dominant allait pouvoir se retenir de me sauter dessus, tellement il me paraissait excité par ma danse érotique et sensuelle. Alors que j'effectuais un quatrième tour, tout en me déhanchant de plus en plus vicieusement, je sentis que l'on tirait sur mon poignet que l'on venait d'attr. C'était le Doc, il s'était levé et de son autre main, il enlevait les attaches de son pagne qui tomba rapidement au sol. Il s'était rassis sur la chaise et je pus observer sans problème son érection proéminente. En voyant cela, je ne pus m'empêcher de me lécher les lèvres. Il me fit m'approcher de lui. Je compris tout de suite ce que j'avais à faire. Je me baissais tout en laissant mes fesses bien relevées et les jambes écartées. Je pris cette volumineuse queue dans ma bouche qui me faisait tellement envie.
- C'est ça, la chienne, prend-moi bien profond, annonça-t-il alors qu'une de ses mains appuyais sur ma tête. Tu me suces tellement bien ! Arrête-toi et viens t'empaler sur ma grosse bite.
J'obéis rapidement aux ordres du Dominant et je me laissais tomber sur sa turgescence sans la moindre hésitation. Je sentais ma cyprine partout sur mes cuisses, je savais donc que faire rentrer la grosse queue du Doc dans ma chatte se fera sans problème. J'étais plus que prête pour l'accueillir. Un gémissement, nous échappa en même temps quand je sentis sa bite cogner au fond de mon vagin. Je me laissais tomber plusieurs fois sur lui le chevauchant avec excitation et cadence, puis au bout d'un moment je me mis à danser. Je bougeais mes hanches en effectuant des ronds. Je sentais sa queue toucher chaque coin de mon utérus. Je me déhanchais de plus en plus vite, de plus en plus frénétiquement.
- Continue salope ! Tu te baises toute seule en utilisant ma grosse bite hein ? Mais j'aime ce que tu me fais ressentir
dit-moi qu'est-ce que tu aimerais là tout de suite ?, me susurra-t-il à l'oreille.
- Eh bien Monsieur, j'aimerai pouvoir crier et faire partager à tout le monde comment je me sens ! déclarais-je.
- Alors cest accordé, oui tu peux crier et je lexige de toute façon ! Tu ignores les sensations que cela me procures ! ajouta-t-il en donnant un coup de reins plus profond encore.
Je me mis à crier sans retenue mon bien-être. Le Doc de redressa d'un coup et me baisa debout. Il s'enfonçait toujours plus profondément. Je sentis d'autres mains venir sur mon corps. On caressait mon dos et mon cul doucement.
- Partagez-vous, cher ami ? demanda une voie d'homme que j'avais déjà entendu.
- Bien sûr cher ami, je vais m'allonger sur le sol et je vous ferai de la place, répondit-il, en liant ses gestes à la parole.
Une fois allongé, le Doc s'immobilisa pour laisser l'autre homme me prendre. Le Doc était dans ma chatte et moi allongée sur lui ma poitrine plaquée contre la sienne.
- Elle est toujours aussi bonne cette chienne ! Son cul est tellement chaud et serrée ! dit l'homme derrière moi tout en m'embrassant le dos.
- Je suis tout à fait d'accord, mon cher ! Elle est divine ! Salope, chienne et divine, je dirais même ! ajouta le Doc tout en accélérant ses coups de boutoirs.
Un nouveau cri de plaisir m'échappa. J'avais toujours les yeux fermés quand je sentis des mains caresser ma poitrine doucement. Je trouvais qu'il y avait beaucoup de mains sur moi pour n'appartenir qu'à une seule personne. Au bout d'un moment, une autre main attrapa une des miennes et la posa sur une queue en érection qui se situa à ma gauche. Je commençai à branler celle-ci alors que la main retourna à ma poitrine dénudée. Je continuais de pomper et alors que je rouvrais les yeux et je vis une autre personne à ma droite. J'avais donc raison, quatre personnes s'occupaient de mon plaisir et de mon corps. Je me devais de leur donner à mon tour de ma personne. Je tendis alors ma main droite et attrapais l'érection de l'homme qui se situait là. Je gémis de plaisir encore une fois, je me sentais pleine et comblée, javais quune envie, celle de me donner, dêtre prise par tous mes orifices ...
- Prend-moi dans ta bouche, je vais jouir ! dit l'homme qui se trouvait à ma gauche.
Je tournais alors ma tête et sentis le sexe de lhomme se présenter à mes lèvres, sa verge était dressée et gorgée de sang par son impressionnante raideur, il fallait que je le prenne en bouche.
- C'est bien la chienne, nous revoilà juste nous deux ! Je veux continuer à te besogner pendant très longtemps !
- Mon corps est à vous si c'est ce que Le Maître Vénéré exige et si vous le voulez ! répondis-je comblée.
- Bien, comment te sens-tu, sinon ? me demanda-t-il avec gentillesse tout en nous faisant nous relever.
- Je me sens comblée, Monsieur. Mais je dois vous avouer que j'ai maintenant un peu froid et faim.
- Bien, viens avec moi, Le Maître m'a désigné une chambre et je veux t'avoir pour moi tout seul !
J'acquiesçais doucement et m'apprêtait à me mettre en quadrupédie, quand il m'en empêcha.
- Tu restes prêt de moi debout ! Inutile de te fatiguer plus, annonça le Doc.
- Avez-vous un souci, Mon cher ami ? Demanda une voix qui s'était rapprocher de nous et que je reconnaissais sans difficulté.
- Aucunement, Monsieur Le Marquis. Je voulais partir dans ma chambre et profiter encore et toujours de votre chienne soumise. J'aime la faire crier ! Enfin, si vous êtes d'accord, très cher ?
- Mais bien sûr, mon cher ami, que je suis d'accord, ajouta Le Maître un sourire aux lèvres et avant de se retourner vers moi. Je suis fier de toi Cypris MDE. Je te laisse aller avec mon ami, mais demain tu seras à moi pour toute la journée et tu sais ce que j'attendrais de toi, regarde et répond-moi !
- Oui Maître. Je sais ce que vous attendrez de moi et j'espère que je serais vous satisfaire corps et âme ainsi que votre ami.
- Tu seras très bien le faire ! Quand à Marc car il est temps que tu saches le prénom de celui qui veut te faire crier, je suis sûr que tu seras le satisfaire. Et il se fera une joie de me le dire demain matin, ajouta Le Maître avec un autre sourire plus pervers et en regardant le Doc.
- Pas de soucis, cher Edouard. Puis-je solliciter la possibilité d'apporter deux trois choses dans ma chambre, demanda-t-il au Maître
- Bien sûr ! De quoi aurez-vous besoin ?
- De chantilly, de fraises, enfin vous voyez de quoi je parle ? J'ai envie de manger et de jouer avec votre soumise ce soir !
- Je vois tout à fait, Marc. Je fais porter tout ça ! Termina Le Maître avant de partir.
- Viens maintenant Cypris MDE.
Je suivis Le Doc jusqu'à sa chambre. En le suivant, je vis les Invités du Maître tous occupés sur les autres soumis et esclaves donnant et recevant du plaisir. A ma vue toute cette soirée, cétait transformé en une extraordinaire orgie et je sentis ma cyprine recouler entre mes jambes. Nous avions traversé le parc et le Château quand Marc, nous dirigea vers la salle de bain. Il me fit entrer dans la douche après m'avoir débarrassé des voiles sur mes bras et des bijoux. La douche se passa tendrement. J'avais pris une éponge et lavais le corps du Doc. Il en fit de même avec moi et nous sommes sortis doucement de celle-ci. Le Doc, nous fit aller vers le lit et je vis qu'une table avait été apportée dans la chambre.
- Tu te mets sur le dos, les bras et les jambes écartées et les yeux fermés, exigea-t-il sur un ton dautorité...
(A suivre ...)
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