Leçons Privées De Natation Particuliere
A dix neuf ans je ne sais toujours pas nager, jai toujours eu une sainte horreur de leau mais cet été jaimerais bien méclater avec mes amis a la mer, vu mon âge jai honte de prendre des cours a la piscine municipale parmi des gamins de cinq ans, jen ai parlé a mes parents, mon père a eu une idée de génie
- Veut-tu que je demande a Louis ?
- Ton copain ?
- Bien sûr, il était prof de natation et possède une piscine couverte et chauffée même en plein hivers, nous somment au mois de janvier tu seras au top pour le printemps
- Mais enfin André tu connais mieux que personne la réputation de ce gars ?
- Boff a la retraite il ne doit pas être bien dangereux et puis il noserait pas sattaquer a ma fille tout de même !
- Si tu le dis
tu ne te souviens pas de lhistoire que jai eue à lépoque
- Tu te faisais surement des idées
je vais lui demander ma petite Sophie
- Merci papa !
Louis
un homme séduisant malgré son âge, tempes grisonnantes, un regard vous déshabille ma toujours troublée, mais ce que maman vient de lâcher me questionne, je vais essayer den savoir plus
- Maman ?
- Oui Sophie ?
- Quas-tu voulu insinuer papa a propos de louis ?
- Rien de bien important
- Tu en as dis trop
- Daccord, tu es en âge de comprendre, mais surtout pas un mot a ton père
- Juré !
- Un jour il nous avait invités comme souvent à passer laprès midi a sa piscine, sous prétexte daméliorer mon niveau il est venus prés de moi, trop prés de moi, il na pas hésité un instant à laisser trainer ses mains aux bons endroits
- Et papa ne disait rien ?
- Ton père ? affalé sur un transat, à moitié ivre, il était trop occupé à siroter des bières pour surveiller son copain
- Ça a été jusquoù ?
- Ça me gêne de tout tavouer
- Il ta pénétrée ?
-
. Ouuuuuuiiiiiiii
debout avec de leau jusquaux seins
- Et ?
- Jai trouvé ça tellement bon et subit que je nai pas été capable de crier
- Huuummm ! ça devait valoir le coup si jose dire !
- Effectivement il était
il est très bien pourvu coté
- Queue ?
- Sophie ! oui et il savait faire le bougre, jai jouis en une minute
- Sans doute a cause de linterdit
- Sans doute
je revois la scène comme si cétait hier
maintenant sauve-toi et garde ça pour toi
- Bien sûr, tu as bien fait de te laisser faire maman !
Si elle est encore bouleversée par ce récit ce nest certainement par le remord, après ces aveux je jurerais quelle est partie se caresser dans sa chambre
le soir dans mon lit je me mets à fantasmer sur cet homme, oserait-il sen prendre a moi ? que ferais-je ? le repousser ? accepter ces avances, en tous cas ma chatte sen trouve toute humide, le lendemain a midi mon père tout joyeux sexclame
- Il a accepté ! tu commence demain à dix huit heures
- Chouette ! merci papa
- Tu mettras mon maillot une pièce
- Ce grand truc noir immonde ? beuurck !
- Cest ça ou tu reste là, moins il verra tes formes mieux ça vaudra
- Bon, ça va je le mettrais
Louis ma accueillie avec ferveur, déjà en maillot, un maillot qui doit avoir de lâge il me parait assez distendu, jouant des muscles je ne peux mempêcher de diriger mon regard vers où vous savez
et je ne suis pas déçue
- Tu as mis ton maillot ?
- Non
- Alors change-toi vite fait
- Où ça ?
- Nous nallons pas commencer à faire des manières, bon, va derrière ce paravent je tattend dans leau
Il a un rire nerveux lorsquil me voit dans ce maudit maillot
- Hahahahahaha ! je rêve ou cest un maillot de ta mère ?
- Bien vu.
- Tu nen a pas dautres ?
- Si, demain jen mettrais un autre, jai honte ainsi
- Entre parenthèse tu es aussi bien roulée quelle, sinon pas mieux !
- Merci
- Bon, où en est tu question apnée ?
- Apnée ? je nai jamais essayé !
- Alors à leau jolie sirène, tu va te tenir à moi et descendre la tête sous leau pour y rester le plus longtemps possible,
- Je me tiens où ?
- Ha très bonne question ! a ton avis ? par les cuisses pardi !
Me voilà cramponnée a ses cuisses musclées pour arriver devinez où ? face a la bosse de son maillot, le nez a vingt centimètres de cette fameuse protubérance, je fais un effort pour ne pas remonter trop vite et la détailler a loisir, elle est grosse, lovée et tournée vers lélastique de la jambière qui commence a donner des signes de fatigue, sil se met a bander la tête sort immédiatement dans laine, hélas le souffle me manque
- Hé bien ? et tu dis que tu nas jamais pratiqué ?
- Absolument pas
- Alors chapeau ! tu recommenceras pour linstant a plat ventre
- Mais je vais couler ?
- Je vais te soutenir
- Dans ce cas
- Respire calmement, pas de mouvements inconsidérés
Pour être soutenue je suis soutenue ! une main sous les seins et lautre tout prés du pubis je ne risque pas de couler, de temps a autre son paquet se colle a mes hanches alors pour me concentrer sur les mouvements quil mindique cest une autre histoire !
- Met-y du tien que diable ! allonge les bras écarte un peu les jambes, attend je vais te montrer
- Jai peur !
- Pour autre chose tu ne connais surement pas la peur !
Cette fois il a carrément passé un bras entre mes cuisses, son poignet frotte sur ma chatte, intentionnel ou pas ? en tout cas ça me fais mouiller, instinctivement je serre les cuisses sur ce bras comme si cétait un membre
- Arrêtons tout ! tu nes pas a ce que tu fais, fais moi encore de lapnée
- Ça je sais faire !
Cest presquavec plaisir que je mets la tête là elle était, prés du membre
qui a grossi ? cest bien un bout arrondi qui effleure laine ? je fais semblant de faire un faux mouvement pour cogner mon visage sur le slip, comment a-t-il interprété ça ? toujours est-il que sa main plaque ma tête sur sa queue désormais grossissante, la bite énorme sort du maillot et sallonge vers la cuisse, toujours maintenue a ses cuisses javance ma bouche vers cette trique qui bat en cadence, mais lorsque jouvre la bouche tout lair emmagasiné part vers la surface, je suffoque et avale de leau chlorée, cest la panique, Louis me fait remonter en catastrophe
- Hé bien Sophie ?
- Jai paniqué, excusez moi jai envie de vomir
- Je vais tallonger sur la margelle, reprend ton souffle
- Cest ma faute jai fais une erreur en ouvrant la bouche
- Que voulais-tu avaler ?
- Rien
- Bon, tu va rentrer, nous nous revoyons demain ?
- Je ferais encore de lapnée ?
- Si tu veux
Le lendemain, après avoir rassurés mes parents sur le comportement de Louis, jai troqué en cachette le vieux maillot contre un plus sexy qui ne tient que par des ficelles, le maitre nageur jubile de voir mon corps a moitié nu, comme la veille il me fait allonger pour nage avec ses mains bien positionnées
,un pouce titille un sein, lautre lentrecuisse, et son membre frotte ma hanche ! cette fois je mapplique et ça marche, voyant cela il me lâche, évidement je coule a pic, pour essayer de me rattr il accroche par mégarde ? la ficelle de mon soutien gorge qui surnage sur leau, me voilà collée a lui dos contre ventre, ses mains me servent de soutien-gorge, il me ramène là où jai pied avant de me lâcher a regret, pour lui et pour moi
.
- Cest un bon début, tu tien a remettre ce bout de tissu ?
- Boff non
- Alors apnée
- Jaime bien ça !
Une surprise de taille mattend sa verge est sortie de moitié par le haut, il bande
comment me suis-je débrouillée ? certainement en accrochant son maillot, toujours est-il quil glisse vers le bas
la queue libérée et très tendue vers moi ondule au gré des remous, cette fois je maitrise ma respiration et gobe le gland sans que je ne boive la tasse, Louis se raidi mais ne refuse pas mon initiative, lentement il me ramène vers le bord afin que jai pied et que je puisse me relever a lair libre sans lâcher le morceau de chair, ses mains sur ma tête guident la fréquence des vas-et-viens ainsi que la profondeur, je sens léjaculation imminente et me tiens deux fois lus fort a lui, mes amygdales sont copieusement arrosées, je nose relever les yeux vers lui
- Ce genre de tuba nest pas efficace pour respirer cest pour cela que je tai emmenée a la surface, bravo petite
- Cette fois à moi de te prouver lefficacité de mon apnée, accroche toi de dos à la paroi
- Vous devez être balaise...
- Tu va en juger, prête ?
- Prête
Linstant daprès le bas de mon maillot surnage, il me fait écarter les pieds, sa bouche se ventouse a ma minette sa langue force la barrière de mes lèvres, jaurais aimé que ça ne sarrête pas si tôt, mais il nest pas si fort quil le prétend en apnée, avant de voir sa tête je vois les bulles remonter et finalement son corps collé au mien, je perçois son membre pointer sur ma chatte, par réflexe, portée par leau je maccroche a lui telle une liane, une seule poussée et sa queue pénètre ma chatte gorgée de suc engouffrant au passage de leau chaude immédiatement rejetée par limposant membre qui prend la totalité du volume accepté par mon vagin, ce tsunami ravageant mes muqueuses me provoque une jouissance immédiate , nous poussons de concert un râle de bienêtre, ensuite il me ramone méthodiquement, comme si je flottais dans lair, il peut ainsi chercher mon point G sans efforts tandis que ses doigts taquinent mon anus
- Je ne crierais pas au scandale si tu essaie de me sodomiser
- Il y a des années jai baisé ta mère exactement au même endroit au nez de ton père !
- Je sais, baise la fille sans témoins, dévaste-moi la chatte
- Jai comme limpression que tes leçons prendront plus de temps que prévu
- Pourquoi ne pas essayer de prendre en faisant les mouvements de la brasse
- Je vais te faire faire la grenouille
- Après tu feras le périscope je mallongerais sur ton ventre
- Je tapprendrais pleins de trucs à faire dans leau, en quarante ans jai baisé plus souvent dans leau que dans un plumard
- Ne tarrête surtout pas, je vais jouir
- Serre ta chagatte sur mon manche je vais décharger au fond de ton con
Accrochée à lui comme une moule sur un rocher il me gratifie dune dose de sperme qui fait gonfler mon étui à bite, le trop plein ondule entre deux eaux comme des fils de la vierge
combien de litre de foutre a-t-il envoyé dans cette piscine
combien de femmes y ont vidangé la cyprine de leur vagin
dire que jai bu la tasse
la bite qui force mon cul me fais revenir a la réalité !
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