La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°853)
Marion au Château (suite de l'épisode N°847)
- Position prosternée Ma chienne ! Ne bouge plus et laisse-moi te regarder
Jobéis évidemment instantanément ! Durant de longues minutes Il mobserva attentivement sous toutes les coutures. Je pouvais le voir par-dessous mon bras. Je me repaissais de Lui ne sachant pas quand est-ce que je le reverrai
après avoir mangé dans ma gamelle à Ses pieds, Il me ramena jusquau Perron du Château, membrassa tendrement, et remonta les marches du Perron. Et je repris la route
Lorsque je marrêtais à la gare de péage, je reçus un texto. Regardant dabord vaguement mon téléphone, je lattrapais rapidement et y fixais mon attention lorsque je lus le nom du Maître.
- Ma chienne, arrête-toi sur une aire dautoroute toutes les 4 stations-services. Cela te fera cinq arrêts au total. Accepte et obéis à tout ce quon exigera de toi. La première se trouve dans 25kms.
Je me remis donc à rouler, inquiète et en même temps excitée. Chaque « surprise » du Maître me faisait de leffet dans le bas ventre. Mais je ne métais pas encore habituée à être débauchée en public
A environ cinq kilomètres de la première station-service, un panneau lumineux suspendu annonçait « Prudence, perdue sur une aire dautoroute, petite chienne en chaleur, si vous la trouvez, merci dappeler au 06 69 67 -- --. ». Je trouvais étrange de préciser sur une annonce que la chienne était en chaleur, sans donner plus de détails sur lanimal ! A deux kilomètres de ma première étape, nouveau panneau lumineux « La chienne a été aperçue dans la voiture immatriculée SE-069-XE. Si vous la voyez merci dappeler au 06 69 67 -- -- et dirigez-vous vers la prochaine station-service. » Et là, je me rendis compte que le numéro dimmatriculation était celui de ma voiture, et que donc la chienne en chaleur
cétait
Moi ! Mais par quel prodige, cela pouvait-il être possible ? Déjà plusieurs automobilistes me faisaient des appels de phares.
- Ah te voilà, la chienne ! Quest-ce que cest cette histoire de faire une fugue ? Tu sais ce quon fait aux mauvaises chiennes de ton espèce ? On les fouette, longuement ! Il y a 12 personnes qui ont appelé le numéro de téléphone inscrit sur les panneaux. Ils auront chacun cinq minutes pour te fouetter. Suis-moi, chienne !
Et lhomme me conduisit dans larrière-boutique. Dans le vestiaire, on mordonna de me déshabiller. Quatre anneaux de fortunes avaient été enfoncés rapidement dans le mur. Lhomme attrapa une corde et mattacha les membres écartelés. Douze autres personnes étaient aussi dans la pièce, deux femmes et dix hommes, séparés en deux groupes de six, une femme dans chacun deux.
- Mesdames et Messieurs, suite à vos discussions téléphoniques avec Monsieur Walter, Majordome de Monsieur le Marquis dEvans, Maître de cette chienne, vous avez tous manifesté lenvie de nous aider à la corriger. Le premier groupe pourra la fouetter côté face, le second groupe côté pile. Je vous en prie, ne retenez pas vos coups.
Je tremblais en entendant ces mots ! Pourquoi ? Je navais certes pas essayé de fuguer et mon vu le plus cher était de pouvoir vivre ma soumission aux pieds du Maître en permanence. Et puis je ne pouvais me permettre de perdre une heure à chaque fois que je devrais marrêter ! Lucie, ma copine qui me gardait mes s, était bien gentille, mais elle allait sinquiéter si je devais avoir 5h de retard, voir plus ! Mais mes pensées revinrent à linstant présent.
- Regarde petite chienne, comme tu mouilles ! dit-il dune voix douce. Monsieur le Marquis dEvans avait supputé que tu puisses apprécier ! Ne tinquiète pas pour la suite, Il voulait te faire connaître ces nouveaux « plaisirs » ! Ton corps nest pas si endommagé que tu dois le supposer.
Complètement perdue, jobéissais ! Je fus détachée et retournée. Les coups dans le dos furent plus doux, excitants, comme ceux que javais déjà pu recevoir du Maître quand Il voulait me procurer de divines sensations. Cependant je me demandais pourquoi il avait été choisi le dos pour la douceur et non le devant, ou pourquoi pas faire moitié moitié ? Ensuite, on me détacha puis on exigea que je me rhabillasse et de partir. Mais lorsque je massis dans ma voiture pour reprendre la route, je compris pourquoi ! Mon dos et mes fesses me chauffaient déjà alors quils navaient pas subi grand-chose ! Il fallait que je puisse tenir assise pour pouvoir conduire avec une douleur restant supportable. Maintenant que je reprenais la route, javais très peur de mon prochain arrêt ! Je regardais chaque panneau, tout ce qui pouvait laisser un indice sur ce qui pourrait suivre. Mais je ne vis rien
Arrivée au deuxième arrêt exigé, jempruntais la voie de décélération, et me garait juste devant la porte dentrée de la station. Jhésitais à sortir de ma voiture, je ne pouvais pas imaginer devoir subir la même épreuve que précédemment ! Mais je neus pas à réfléchir longtemps. Une jeune femme souriante vint frapper à ma fenêtre. Après un échange de politesses, elle me demanda de la suivre à lintérieur. Je la suivis sans poser de question. Sur les vitres de lentrée, il ny avait aucune affiche. Je fus conduite encore une fois dans les pièces interdites au public, et je dus me mettre à nouveau nue et mallonger sur le dos sur une table rembourrée. On me banda les yeux et on me plaça un casque sur les oreilles. Une musique de relaxation se fit entendre. Puis au bout de quelques minutes, le volume de la musique baissa légèrement et la voix que jaurai reconnue nimporte où, au milieu de nimporte quel bruit, raisonna dans mes oreilles.
- Ma chienne, je ne suis pas sûr que tu ais apprécié au premier arrêt ma première surprise, mais comme tu le sais, Mes exigences sont là pour Mon plaisir et non le tien.
(A suivre
)
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