Ma Jeunesse ; Episode 2 : Frères De Sperme.
Dans lépisode1, jai raconté mes « premiers émois » au Lycée technique. La moitié de lannée scolaire est passée. Nos envies se bousculent mais la peur de se faire prendre et dêtre traités dhomos nous freine.
Nous sommes le mercredi précédent les vacances de février. Un surveillant est malade, un autre sest absenté pour un entretien dembauche et le club délectronique est annulé car le chauffage du local est en panne. Je ne vois pas de surveillant et me dirige donc vers notre chambre. Elle est ouverte, bien chauffée. Gildas est là. Cest vrai quil prend ses aises avec le planning. A peine suis-je rentré quil va fermer à clé derrière moi.
- « Dis Rémi, début janvier, quand je tai retrouvé avec Joël, soi-disant à faire les Sumo
Que sest il passé exactement ?
- Mais rien, je tassure ;
- Je ne te crois pas Rémi, montre-moi exactement ce que vous avez fait.
- Il ma demandé de me mettre en tenue et comme je ne savais pas il ma enlevé chaussures et chaussettes, ma mis torse nu et ma aidé à enlever mon pantalon.
- Bien, pour vérifier la cohérence, je vais faire ce que tu dis !
En disant cela il me déshabille, je suis en caleçon.
- « Continues à raconter ce qui sest passé et on vérifie au fur et à mesure.
- Il était déjà torse nu après un combat avec toi, nous nous sommes mis face à face et nous avons commencé la lutte.
- Bien déshabille moi ! »
Cest ce que je fais et nous sommes maintenant en slip pour lui et moi en caleçon. Nous nous mettons en position de combat et les mêmes causes produisant les mêmes effets nous nous retrouvons tous les deux à terre. Gildas est allongé sur moi, jai les épaules à terre.
- « Et après ?
- Joël ma mis une main sur les fesses et lautre sur un téton. Après il ma fait une bise sur la joue
Cest tout
et tu es arrivé
»
Gildas me fait la même chose et me dit :
- « Cest bon, je te crois
mais le mercredi où je suis sorti pour un rendez-vous familial, que sest-il passé ? Ne me ment pas ! fais la même chose !
- Et bien ça a commencé pareil, mais il ma embrassé sur la bouche
et mis sa langue à lintérieur, nos langues
»
Je ne peux plus parler, Gildas membrasse goulûment, me caresse les mamelons et passe sa main sur mes fesses.
- « Ça ne sest pas arrêté là, nest-ce pas ?
- Non, il a dit denlever les slips
- Fait-le maintenant, les deux. »
Gildas est devant moi, grand et peau mate, le contraire de Joël et il est poilu, surtout autour du sexe avec des poils très noirs. Sa bite est raide, tendue, bien plus grande que la mienne et même plus que celle de Joël que jai vue de très près.
Nous sommes complètement nus, corps à corps. Nous avons roulé sur le côté. Il mordonne de prendre sa tige et sempare de la mienne. Gildas continue à me branler doucement et de lautre main, il caresse mes fesses. Je sens quil tente de passer un doigt entre mes lobes.
- « Je larrête : Oui, il a fait comme ça mais je nai pas voulu quil touche mon
et je ne veux toujours pas.
- Tu es sûr ?
- Oui, Gildas, Non Gildas, je ne veux pas !
- Cest bon Rémi, mais tu ne sais pas ce que tu rates ; »
Un bruit à la porte, des petits coups comme un code toc, toc
toc, toc
Gildas se relève et mordonne de ne pas bouger et il ouvre la porte à Joël qui ne semble pas vraiment surpris. Gildas referme la porte, il est nu, fier de lui, moi je cache mon sexe. Sans poser de questions, Joël se déshabille. Aujourdhui, il porte un slip noir en dentelles, ajouré à larrière. Cest élégant sur son corps blanc moucheté de taches de rousseur. Gildas lui fait signe de le garder et de se mettre sur son lit :
- « Bon Rémi, on continue, tu avais refusé que Joël te touche le trou du cul, alors quavez-vous fait ensuite, montre-moi ! »
Je suis rouge de honte quand je dis que jai branlé Joël pendant quil me suçait la queue.
- « Alors on va faire comme ça mais avec une variante... Vous allez me sucer tous les deux, comme ça Rémi, tu vas apprendre avec Joël ».
Il sassoit sur son lit et jimite Joël qui sagenouille devant lui et le prend en bouche. Comme la tige est prise, jhésite. Joël pousse ma tête vers ses bourses poilues, je les lèche, les suce mais je napprécie pas vraiment tous ces poils dans ma bouche, je les caresse donc avec les mains et fais tourner ses olives entre mes doigts.
Je mapplique donc et nous astiquons le poireau de Gildas. Cest le nom adéquat compte tenu que la touffe qui tapisse son sac fait comme des racines sur loignon. Je les sens bien dans ma main. Gildas sallonge et replie ses jambes alors nous changeons de position. Joël passe au pied du lit
il mindique de reprendre Gildas en bouche et de lui peloter les couilles, ce que je fais puis il sinstalle entre ses jambes, joint sa bouche à la mienne pour astiquer cette belle colonne de chair. Une de ses mains couvre la mienne pour lui apprendre les bons gestes sur le sac autour des testicules. Gildas ne reste pas inactif. Il se branle les mamelons, caresse son ventre et portes souvent ses doigts à sa bouche : « continuez les gars, je nai jamais été branlé par quatre mains et deux bouches
» Il ne pense quà son plaisir, pourtant je trouve agréable de sucer sa queue quand mes lèvres et ma langue se mêlent à celles de Joël. Ce dernier a maintenant passé une main entre les fesses de Gildas en partant des bourses et en descendant plus bas. Il descend et remonte à plusieurs reprises puis ressort pour prendre ma main et la diriger vers le fondement de notre ami. Je résiste un peu et il me dit que cest doux comme la poitrine et chaud surtout entre les deux. Je me laisse faire et peu à peu nos doigts croisés sinsèrent entre les lobes. En effet, la sensation est agréable
Tout à coup mes doigts touchent la rondelle et par réflexe je retire ma main ! Joël me fait une bise sur la joue : « excuse-moi, tu nes pas encore prêt pour ça ! ».
Il me dit alors : « tu dois apprendre que pour bien sucer, il faut beaucoup mouiller ». Il prend une de mes mains, la porte à sa bouche et suce mes doigts, les inonde littéralement de sa salive puis la replace autour du sexe offert
pour mettre ses doigts dans ma propre bouche « je ne lui ai pas touché le trou du cul, cest propre
.
Joël retire ses doigts de ma bouche : « maintenant prend le bien entre tes lèvres, continues à bien saliver et quand tu remontes vers le gland, tu aspires et tu frottes la langue. Tu vas devenir une bonne sucette ! ». Alors que je minstalle pour ce faire, Joël enfile ses doigts mouillés directement entre les fesses de Gildas et me regarde dans les yeux. Je ny crois pas
Dans cette position, il touche le fond. Gildas a un gros soupir. Joël tourne sa main et semble appuyer. Maintenant il écarte les fesses, et tire la langue
Il ne va pas ??? Si
il lui lèche le fion. Le nez sur le scrotum, Joël lèche lillet, tourne sa langue sur le trou du cul offert puis il en pointe le bout sur lorifice qui sentrouvre. Il dit : « cest entré... Gildas, ta rondelle est souple
je vais toucher ta prostate ! ». Je le vois alors entrer son majeur pour le caresser de lintérieur. Je dois dire que je connais ce vocabulaire depuis mes lectures de lencyclopédie en 5 volumes
je ne pense pas que les parents y avaient pensé en lachetant. Gildas souffle de plus en plus fort. Je suis à la fois absorbé par ce que je vois et perturbé par ce qui est nouveau. Toucher sa prostate à travers le canal rectal après avoir léché lanus
Je me demande sils lont fait lautre nuit avant de
et maintenant ?
Cest Gildas qui prend la parole, : « Rémi, tu es distrait, applique-toi, allez-y les gars, je suis bien, plus vite
» Joël avance sa bouche vers les couilles que je tripote toujours. Quand je retire ma main, il les gobe.
Gildas ne donne aucun signe qui pourrait nous faire penser quil va nous rendre la politesse au contraire : « je vais faire une sieste ». Alors Joël me prend par la queue, mentraîne sur son lit retire son slip et mallonge sur le dos pour se coucher sur moi. Il membrasse profondément en bouche, dans le cou, mordille le lobe de mes oreilles et me dit : « nous sommes frères, allons plus loin ensemble ». Jaime son odeur et ses petits bourrelets qui sont comme des petits coussins soyeux. Nous tournons sur le côté, il me caresse le dos et les fesses puis prend mon sexe en main. Je limite de façon moins expérimentée. Alors que je le sens bien raide, Joël se détache de moi, me tourne sur le ventre et sinstalle entre mes jambes quil a écartées. Il me masse les épaules et le cou avant de descendre très lentement vers le creux de mes reins. Ça me chatouille un peu. Il contourne mon cul jai eu peur - masse lintérieur de mes cuisses, passe la main sous mon ventre et tire par larrière mon trois pièces quil commence à lécher. Je suis bien, encore du nouveau pour moi. Joël est vraiment très doux et attentionné. Sa langue et ses lèvres remontent régulièrement de mon gland vers mes bourses en passant par la tige. Ses mains tiennent fermement mes deux lobes légèrement écartés
et sa langue sy promène également. Perdu dans un océan de douceur je me rends compte que parfois mon sillon est mouillé de salive, épongé par Joël avec sa langue. Par petits à-coups, au début imperceptibles, cest maintenant mon illet qui est touché
mouillé... cerné
caressé
dégusté. Je respire à fond car le bout de la langue insiste sur le centre et je sens que ma rondelle me trahit. Mon corps et mon cul demandent ce que ma raison ne voudrait pas. La langue insiste sur mon trou et quand elle part sucer mon sexe cest un nez qui sy frotte. Que cest bon et moi qui trouvait ça inconvenant voici peu de minutes. La bouche revient et jessaie délargir laccès puis cest le nez, à nouveau la langue puis le nez
Non cest quoi ? Cest un doigt qui entre ! Je suis pris dune peur panique devant le risque quensuite une bite suive. Je me dérobe, me recroqueville en chien de fusil. Je pleure. Joël me laisse quelques instants et se penche vers moi : « excuses moi
jaurais dû te demander
mais je croyais que tu aimais mes caresses
Pardonne moi
Laisse-moi tembrasser gentiment
» Il me fait une bise sur la joue. Je me calme et lui réponds « oui jai aimé, oui je te pardonne mais nessaie plus de forcer mon trou. Jaime tes caresses mais je ne suis pas homo et
le cul, ce nest pas normal
Enfin cest ce que je crois ». Gildas semble dormir, Joël sest blotti contre moi et laisse passer un peu de temps puis : « réconcilions-nous si tu veux, met toi sur le dos, serre les jambes si tu préfères, laisse-moi regarder comme tu es beau. Tu nes pas homo moi non plus, ni Gildas. Seulement des garçons qui ont des envies, qui ont besoin de découvrir, dessayer, de se préparer à lamour. Je sais que tu es en recherche et ce que nous faisons cest gérer nos pulsions et passer du bon temps ensemble. » il membrasse à nouveau au coin des lèvres. Je fonds en larmes à nouveau et lui rend son baiser : « oui, je suis désolé, je veux que tu trouves du plaisir avec moi mais
» Il me coupe : « jai compris jusquoù il ne faut pas aller. »
A ce moment, Joël sallonge sur moi tête-bêche, prend ma bite dans sa bouche et mes bourses dans ses mains. Je durcis rapidement. Comme son sexe est devant moi, je fais de même. Nous sommes dans un rythme endiablé. Trop dattente, trop de sentiments qui débordent font quil ny a ni douceur ni préliminaires. Nous nous suçons, nous mordons, nous griffons. Ce nest ni de lamour ni de la tendresse, seulement un désir animal, un feu qui dévore. Ce que ne fait pas Joël cest de toucher à mes fesses. Pourtant ce que je ne veux pas, cest moi qui vais le lui faire, je deviens fou, je trépigne, tremble de tout mon corps, embrasse son cul et lui enfonce un doigt. Cen est trop, il jouit longuement, marrose de semence et mentraîne dans une explosion des sens, de cris, de jets et dodeurs de foutre.
Nous sommes repus de plaisirs et restons encastrés lun dans lautre. Chacun buvant avec gourmandise le miel de lautre jusquà satiété.
Tout cela a réveillé Gildas
Mais dormait-il ? Il parle : « Belle baise, je vois que la leçon en est restée au 69. Rémi, je te promets quavant la fin de lannée scolaire tu demanderas à aller plus loin et sans te violer je te sodomiserais ». Puis il prend une serviette et pars à la douche. Quelques minutes plus tard Joël se lève et lui aussi se prépare pour la douche. Je le regarde et lui dit : « Merci de mavoir compris, je ne sais pas si un jour je pourrais
mais si ce jour arrive, jaimerais que ce soit avec toi ». Joël sapproche, membrasse et sort de la chambre.
Je suis resté longtemps rêveur dans mon lit. Lorsque Gildas revient, il me dit : « il va falloir faire attention, nos ou vos gémissements ont attiré lattention et comme Joël est venu après moi à la douche, certains font des remarques et des sous-entendus ». Nous nous sommes donc tenus à carreaux jusquaux vacances dautant que le jeudi lors de la présentation de la nouvelle raboteuse, une grosse machine qui amincit le métal dans un mouvement davant en arrière, le lycéen que nous appelons le doyen a proposé au prof que Joël et Gildas fassent le premier essai car ils aiment limer ensemble.
Deux semaines plus tard, nous nous retrouvons à lécole. Je suis arrivé en retard à cause du train. A la récréation Gildas est très entouré et Joël surveille les alentours. Je vais le voir.
- « Que se passe-t-il ? »
- « Je surveille larrivée des surveillants car Gildas est en train de prouver quil nest pas homo. Il veut que les blagues cessent
Va les voir. »
Jai du mal à mapprocher car les rangs sont serré, je vois seulement que Gildas montre des photos. Joël vient de siffler et le groupe se sépare. Un surveillant sinquiète de ce qui a provoqué cet attroupement. Gildas se borne à répondre : « une série de blagues que jai apprise durant les vacances » comme le surveillant est perplexe, Gildas ajoute en rigolant : « sur les filles ». Lincident est clos. Le soir Gildas me montre les photos. On le voit aux sports dhiver, embrassant une fille sur la bouche. Elle est grande comme lui et blonde comme Joël. Sur une autre photo moins nette, ils dansent et Gildas a passé la main sous sa jupe. « Cest un cousin qui a fait les photos ». Il y en a plusieurs comme ça dont une où cest la main de son cousin qui est
dans la culotte de la blonde. Les autres photos sont prises dans une chambre, la fille est nue, un garçon (le cousin) nu lui aussi lui caresse les seins, Gildas dit quil a pris la photo, les suivantes cest le cousin qui les a prises. Gildas est sur le dos, nu ; la fille est assise sur sa bite et Gildas lui caresse les seins ; la dernière cest la fille qui est sur le dos et Gildas la pénètre. Il nous explique : « je voulais prouver que je ne suis pas homo et mon cousin voulait être sûr que je suis hétéro alors il a payé une fille, il lui a fait lamour et jai eu droit à mon tour. Sur la pellicule de 36, 4 ratées, jen ai 6 et mon cousin les autres. Il a payé la grande partie de laprès-midi et jai pris 28 photos
Jen avais la bite en feu ».
Voilà qui devrait calmer les sous-entendu en tout cas sur Gildas qui est devenu un mec, un vrai, dans le lycée. Par contre pour Joël et peut être moi, la prudence reste de mise. Le reste du trimestre est calme côté sexe à part quelques séances de branlettes rapides en solitaire ou en ronde et discrètement avec la peur au ventre de se faire surprendre par des élèves ou des pions. Gildas lui semble parle de plus en plus des filles.
A la rentrée après les vacances de Pâques, Gildas est devenu demi-pensionnaire. Il a désormais une chambre en ville car il a un job en ville le Week-end. Il nous a invité à venir un mercredi après-midi! Le deuxième mercredi de mai nous sommes neuf chez lui dont 3 externes. Compte tenu du déplacement jarrive à 14h30 et devrais repartir à 16h30. Cest en fait un petit studio, je dirais 20 ou 25 m² en tout avec une seule pièce qui fait chambre avec un lit de 140 et coin cuisine. Il y a aussi un placard et une salle de douche WC. Assis sur le lit, ou par terre car il ny a quune chaise
nous parlons de son organisation, des repas, du lycée et des filles
Evidemment les fameuses photos passent et repassent de main en main. Gildas leur raconte une autre histoire. Cette fois cest lui qui aurait dragué et emballé la fille puis, après lavoir bien baisée, il laurait offerte à son cousin, lequel, comme un idiot a raté plein de photos. Peu mimporte, lessentiel cest que nous soyons tous des hétéros assumés.
Deux mercredi plus tard, seuls Joël et moi sommes invités en toute discrétion. Déjà dans le bus au fond duquel nous nous sommes installés, Joël a posé sa main sur mon paquet et me mordille loreille : « jai très envie de toi » me dit-il. Heureusement aucun voyageur ne remarque. Arrivés à destination, Gildas nous attend. A peine sommes-nous entrés quil referme à clé, les rideaux sont tirés. Joël ne perd pas une minute et membrasse sur la bouche tout en déboutonnant ma chemise. Comme il fait chaud, je nai rien dessous. Comme je lui rend son baiser, il défait ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Gildas nous coupe : « Bon les gars, que ce soit clair, je suis un hétéro total, jaime faire lamour aux filles et aux femmes. Je vous ai invités parce que je vous aime bien. Vous voulez baiser ensemble cest daccord ! Alors, si je participe, cest seulement parce que la semaine je suis en manque de filles. » Joël rigole : « pas de problème, on est tous des hétéros sexuels convaincus ici et il ny a pas de mal à se faire du bien entre mecs. »
Jai baissé mon pantalon, Joël remarque : « tu as mis un mini slip aujourdhui, il est très joli sur toi ». En effet jai profité des vacances pour aller discrètement lacheter en prenant soin que personne de ma connaissance ne me voie. Je lai évidemment essayé depuis et me suis caressé dans mon lit, par-dessus et par-dessous le tissu, je me suis branlé et jai éjaculé dedans. Jai sucé ce slip rempli de mon sperme. Je lai lavé à leau et au savon dans le lavabo de la maison. Le plus difficile a été de le faire sécher, la nuit sur un cintre dans mon placard.
Alors que je délace mes chaussures pour retirer mon pantalon, Gildas parle à voix basse à Joël puis me demande daller prendre une douche. Cest vrai quen ce jour de mai, il fait chaud et le bus navait pas la clim. Je me mouille, me savonne et comme jallais me rincer Gildas et Joël entrent dans la pièce dont le verrou est cassé. Ils sont nus tous les deux. Joël sassoit sur les toilettes et Gildas entre dans la douche : « Rémi, tu vas me mouiller et me savonner
Sans gant de toilette, frotte à la main... noublie pas les aisselles, les couilles, la bite et ma raie du cul
Ah Rémi, regarde Joël, rien ne le gêne, même pas de chier devant nous ! » Joël sans pudeur se lève, nous montre son cul et lessuie avec du PQ. Puis il tire la chasse deau et entre lui aussi dans la douche. Nous sommes à létroit et ils mempêchent de sortir.
Je dois maintenant laver Joël tandis que Gildas prépare de la mousse à raser et un rasoir mécanique. Il explique « Comme je lai dit à Joël, jaime ses mamelons blancs, rembourrés et ses tétons qui pointent. Sans son sexe on dirait une fille
Bon les bites ne me déplaisent pas, ce qui me gêne ce sont vos poils autour. » Joignant le geste à la parole il rase le pubis de Joël après lavoir badigeonné de mousse. Puis il sadresse à moi : « enlève la pomme de douche et visse à la place le tube qui est dans la boite à savon
réduit la pression de leau et enfile le tube dans le cul de Joël pour le laver. » Joël ne dit rien, il écarte les cuisses. Jy vais doucement
Joël contrôle mes mouvements et régulièrement il fait ressortir le tube. Je vois alors couler de ses fesses un mélange deau et dexcréments. Après quelques séances leau reste claire.
« Cest à ton tour Rémi » me dit Gildas qui commence à raser mon pubis -je nose pas protester puisque Joël a accepté- Ce dernier se penche vers moi, membrasse dans le cou, lèche le lobe de mon oreille et me dit : « Rémi, jaimerais toucher tes fesses et ton cul, dis-moi oui sil te plait
parles plus fort
ta rondelle aussi, juste toucher ! ». Joël me caresse déjà les lobes et le haut de la raie, il me trouble avec sa petite voix et ses bisous. « Oui, je veux bien
que toi
oui, ma rondelle aussi
Oui ». Il me passe la main entre les fesses et effleure mon anus, le caresse, lécarte et y enfile le tube. Je sens mon rectum se gonfler deau tiède puis si vider lorsque Joël le retire. Un eau saumâtre coule entre mes jambes. Gildas a terminé et après avoir remis la pomme de douche, nous nous rinçons abondamment. Cest curieux Gildas, le plus poilu ne sest pas rasé et il ne sest pas fait laver lintestin.
Une fois essuyés, nous nous regardons. Inconsciemment Joël et moi avons mis nos mains devant nos sexes. Sans poils, nous nous sentons encore plus nus. Pourtant mes poils étaient récents mais javais limpression quils étaient comme un rempart ou un pare vue. Gildas embrasse Joël à pleine bouche : « jaime les pétasses avec des petits seins blancs comme les tiens, des tétons pointus, une boule rebondie, blanche elle aussi. » Puis il me regarde : « Nai pas peur Rémi, je ne tobligerais à rien, à toi de donner ce que tu veux. Toi tu es différent, plus viril
Cest ta jeunesse que jaime, tu es le débutant et on se damnerais pour te posséder
Viens ici, embrassons-nous tous les trois. ». Nos lèvres se cherchent, nos langues se mélangent. Sur et dans la bouche, dans le cou, les épaules les poitrines, les langues sagitent et lèchent, les dents mordillent. Les mamelons sont excités par les bouches et les doigts. Les trois sexes se dressent pointant comme des cierges qui voudraient monter au ciel.
Nous tombons sur le lit. Joël sest mis derrière moi. Il caresse mon dos, mes reins, descend vers mes fesses. Il me tourne sur le côté. Gildas sest mis devant moi et jimite Joël. Je nai pas trop dimagination. Gildas se déplace lentement pour former un cercle et rejoint le bas du dos de Joël. Ce dernier a inséré des doigts entre mes fesses sans chercher à forcer. Moi, je préfère tirer la queue de Gildas en arrière pour la sucer ce qui amène Gildas à se retourner. Du coup Joël et moi bougeons également. Je peux bouffer la bite et les couilles de Gildas à mon aise et il a lair daimer. De son côté Gildas mange celle de Joël et lui a passé la main dans le troufignon. Joël nest pas en reste, il me suce bien, cest un expert, il lèche et aspire
Il pousse un « HOoo ! » de surprise quand les doigts de Gildas le pénètrent plus loin. Je suis gré à Joël de ne pas me forcer, il caresse bien mon illet. Dans cette position nous restons un moment, cest doux, cest fort, cest bandant.
Pourtant Gildas se relève, badigeonne sa queue de gel, me pousse sur le côté, tire Joël sur le bord du lit, lui lève les jambes, écarte ses cuisses, dépose une noix de lubrifiant sur le trou et appuie son engin sur lopercule pour le pénétrer progressivement. Je regarde attentivement le gland qui entre puis ressort, entre à nouveau suivi dun centimètre de la hampe, ressort
Cest maintenant deux en avant et un en arrière comme dans la chanson. Il nous dit quil aime pénétrer les filles, cest pour ça quil nous a rasé et caresse ce quil appelle le mont de Vénus imberbe de Joël. Je ne reste pas spectateur et pour soutenir Joël, je vais lembrasser et lui caresser les mamelons.
Cest vrai quil a deux petits seins clairs. Il me dit : « Regarde comme Gildas est bien et moi aussi. Cest un bonheur de soffrir ainsi à la jouissance. Si tu veux mon bonheur laisse-moi te prendre et je saurais aussi ten donner ». Que répondre à une telle déclaration dautant que je sais quil sera précautionneux avec moi. Japproche donc de sa bite pour la sucer. De son côté Gildas accélère, ses couilles butent maintenant régulièrement sur lentrée. Il pousse un cri de jouissance ; je regarde Joël dont le corps est tendu comme un arc, la figure crispée avant de se détendre. Son visage apaisé exprime un sentiment de plénitude, ce qui finit de me convaincre. Jembrasse Joël et lui dit : « OUI ! ».
Nous soufflons un moment
Gildas me propose ensuite de relancer la vigueur de Joël. Cest avec plaisir que je le prends dans mes bras, sa peau est si douce, autour du sexe labsence de poils augmente les sensations. Cest un plaisir partagé de caresser et sucer et comme nous sommes deux à le faire, Joël retrouve vite ses capacités. Il se lève, jai compris, il va prendre ce que je lui offre. Il me met à quatre pattes, la tête basse, le cul relevé, les jambes écartées. Gildas sest écarté, il a compris que ce nest pas pour lui. Joël me caresse maintenant la bite et les olives, ses doigts sur mon bas ventre effleurent ma peau glabre, je me sens à sa merci. Ses mains écartent mes fesses et sa langue vient fouiller la profondeur.
Il salive largement et tourne autour du trou. Je me détends. Ma peur se transforme en envie. Moi, le garçon qui ne veux pas être homo, jai accepté que mon ami devienne mon amant. Jaime lécouter quand il me parle, jaime lembrasser, le caresser, le sucer, jaime quil me dirige. Le bout de sa langue a entrouvert la porte. Il y pose du gel. « Rémi, mes ongles sont coupés très ras, je vais te mettre un doigt » ; « Oui Joël ». Il présente son doigt, doucement il entre, il tourne, cest bon ; Un peu de temps et quelques mouvements et « Rémi, je vais ten mettre un autre » ; « Oui Joël ».
Cest un peu difficile, ça me tire et il me faut quelques minutes pour mhabi. Les doigts vont et viennent, tournent et sécartent faisant se distendre le muscle. « Rémi, es-tu prêt pour trois doigts ? » ; « Oui, Oui ». Lextrémité passe, ensuite cest douloureux, Jai débandé ! Il ajoute du lubrifiant et recommence. « Rémi, jai élargi au maximum, ça va ? » ; « oui » ; « veux-tu que je continue ? » ; « oui, continue ». « Rémi, tu dois me dire ce que tu veux, dis-moi ce que tu désires
» ; Cest le moment de vérité ; « Joël, je désire que tu
je veux ta bite
Que tu me baises ! ».
Son gland se présente froid, couvert de gel et entre progressivement, tout en douceur. Après quelques aller-retours il accélère. Je suis heureux de lui donner ce plaisir même si pour le moment je reste passif. Dans cette position ses burnes frappent les miennes, sa hampe se fraie un chemin dans le conduit tandis que son gland me ramone. Ça me chauffe. Gildas est allé embrasser Joël puis est venu me masser dos et épaules. Joël se tend, me donne un grand coup de rein et inonde mon cul de son sperme. Cest chaud et agréable. Je lui ai offert ma virginité et il a pris du plaisir avec moi.
« Ce nest pas fini » dit Gildas « Au bar on ne termine pas sur la tournée du patron, ici on ne termine pas sur le jeunot ». Sans nous laisser souffler, il commence à me caresser, je bande vite. Il me mange la bouche, suce mes tétons, passe du temps sur la zone quil a rasée. Joël nous regarde puis intervient. « Rémi, je tai promis de te donner du bonheur, cest le moment de le prendre ». Il sallonge sur le dos au milieu du lit, cuisses ouvertes et me dit : « Viens, Rémi, nai pas peur, je suis bien prêt, entre
». Je pense à ce qua dit Gildas. Joël avec sa blancheur, ses seins, ses taches de rousseur et ses poils rasés serait presque une femelle si ce nétait pas mon ami.
Je prends le temps de lui caresser la chatte, jutilise ce mot car nous devenons des amants. Je la lui embrasse et la lèche avant dy passer du gel et den mettre sur mon sexe. Je rentre doucement dans un endroit déjà habitué, ça glisse facilement. Ma tige est moins grosse que celle de Gildas. « OUI, continue » me dit Joël. Je magite et jai limpression que ma bite grossit, cest bien mieux que la branlette et même mieux que le 69. A laller tout le conduit serre ma hampe, au retour mon gland sexcite sur les parois. Quand je suis au bout le méat semble souvrir. Gildas sallonge sur le lit, caresses Joël, lui suces le gland jusquà ce que les bites soient bien dressées. Puis, il passe derrière moi, jentends le bruit du flacon de gel, il me bloque les reins, écarte mes jambes et senfonce en moi.
Je nai pas le temps de réagir quil imprime le rythme. Je ne voulais pas
ou plutôt je voulais que Joël soit le premier alors pourquoi pas les deux ? Il se pousse en moi et me pousse dans Joël. Je sens bien la grosseur. Nous ne savons plus ni où, ni qui nous sommes, hommes et femmes, amis et amants, actifs et passifs, donneurs et receveurs
Nous jouissons les uns après les autres. Sperme dans un boyau, semence dans un rectum et foutre sur le lit ! Un jet de lave nous a traversé, un torrent de sueur nous colle. Nous sommes effondrés les uns sur les autres, satisfaits et épuisés. Quelques caresses et nous comparons le goût des éjaculations sur des sexes brillants de sêtre frottés dans des culs propres. Nous dormons un peu dans les bras les uns des autres. Je me réveille, il est 17h 40. Vite une douche, il faut rentrer.
Il est 18h45 dans le car qui nous ramène, nous sommes heureux. Ce soir nous serons en retard pour le diner et surement nous serons punis dune retenue mercredi prochain mais ça vaut le coup. Joël a passé sa main dans ma braguette.
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