Ma Jeunesse ; Episode 2 : Frères De Sperme.

Dans l’épisode1, j’ai raconté mes « premiers émois » au Lycée technique. La moitié de l’année scolaire est passée. Nos envies se bousculent mais la peur de se faire prendre et d’être traités d’homos nous freine.
Nous sommes le mercredi précédent les vacances de février. Un surveillant est malade, un autre s’est absenté pour un entretien d’embauche et le club d’électronique est annulé car le chauffage du local est en panne. Je ne vois pas de surveillant et me dirige donc vers notre chambre. Elle est ouverte, bien chauffée. Gildas est là. C’est vrai qu’il prend ses aises avec le planning. A peine suis-je rentré qu’il va fermer à clé derrière moi.
- « Dis Rémi, début janvier, quand je t’ai retrouvé avec Joël, soi-disant à faire les Sumo… Que s’est ’il passé exactement ?
- Mais rien, je t’assure ;
- Je ne te crois pas Rémi, montre-moi exactement ce que vous avez fait.
- Il m’a demandé de me mettre en tenue et comme je ne savais pas il m’a enlevé chaussures et chaussettes, m’a mis torse nu et m’a aidé à enlever mon pantalon.
- Bien, pour vérifier la cohérence, je vais faire ce que tu dis !
En disant cela il me déshabille, je suis en caleçon.
- « Continues à raconter ce qui s’est passé et on vérifie au fur et à mesure.
- Il était déjà torse nu après un combat avec toi, nous nous sommes mis face à face et nous avons commencé la lutte.
- Bien déshabille moi ! »
C’est ce que je fais et nous sommes maintenant en slip pour lui et moi en caleçon. Nous nous mettons en position de combat et les mêmes causes produisant les mêmes effets nous nous retrouvons tous les deux à terre. Gildas est allongé sur moi, j’ai les épaules à terre.
- « Et après ?
- Joël m’a mis une main sur les fesses et l’autre sur un téton. Après il m’a fait une bise sur la joue… C’est tout… et tu es arrivé… »
Gildas me fait la même chose et me dit :
- « C’est bon, je te crois… mais le mercredi où je suis sorti pour un rendez-vous familial, que s’est-il passé ? Ne me ment pas ! fais la même chose !
- Et bien ça a commencé pareil, mais il m’a embrassé sur la bouche… et mis sa langue à l’intérieur, nos langues… »
Je ne peux plus parler, Gildas m’embrasse goulûment, me caresse les mamelons et passe sa main sur mes fesses.

Après un moment Gildas demande :
- « Ça ne s’est pas arrêté là, n’est-ce pas ?
- Non, il a dit d’enlever les slips…
- Fait-le maintenant, les deux. »
Gildas est devant moi, grand et peau mate, le contraire de Joël et il est poilu, surtout autour du sexe avec des poils très noirs. Sa bite est raide, tendue, bien plus grande que la mienne et même plus que celle de Joël que j’ai vue de très près.
Nous sommes complètement nus, corps à corps. Nous avons roulé sur le côté. Il m’ordonne de prendre sa tige et s’empare de la mienne. Gildas continue à me branler doucement et de l’autre main, il caresse mes fesses. Je sens qu’il tente de passer un doigt entre mes lobes.
- « Je l’arrête : Oui, il a fait comme ça mais je n’ai pas voulu qu’il touche mon… et je ne veux toujours pas.
- Tu es sûr ?
- Oui, Gildas, Non Gildas, je ne veux pas !
- C’est bon Rémi, mais tu ne sais pas ce que tu rates ; »
Un bruit à la porte, des petits coups comme un code toc, toc… toc, toc…Gildas se relève et m’ordonne de ne pas bouger et il ouvre la porte à Joël qui ne semble pas vraiment surpris. Gildas referme la porte, il est nu, fier de lui, moi je cache mon sexe. Sans poser de questions, Joël se déshabille. Aujourd’hui, il porte un slip noir en dentelles, ajouré à l’arrière. C’est élégant sur son corps blanc moucheté de taches de rousseur. Gildas lui fait signe de le garder et de se mettre sur son lit :
- « Bon Rémi, on continue, tu avais refusé que Joël te touche le trou du cul, alors qu’avez-vous fait ensuite, montre-moi ! »
Je suis rouge de honte quand je dis que j’ai branlé Joël pendant qu’il me suçait la queue.
- « Alors on va faire comme ça mais avec une variante... Vous allez me sucer tous les deux, comme ça Rémi, tu vas apprendre avec Joël ».
Il s’assoit sur son lit et j’imite Joël qui s’agenouille devant lui et le prend en bouche. Comme la tige est prise, j’hésite. Joël pousse ma tête vers ses bourses poilues, je les lèche, les suce mais je n’apprécie pas vraiment tous ces poils dans ma bouche, je les caresse donc avec les mains et fais tourner ses olives entre mes doigts.
Joël lèche maintenant la hampe, il pousse ma bouche sur son gland : « Rappelle-toi comment je t’ai sucé, fait la même chose » ;
Je m’applique donc et nous astiquons le poireau de Gildas. C’est le nom adéquat compte tenu que la touffe qui tapisse son sac fait comme des racines sur l’oignon. Je les sens bien dans ma main. Gildas s’allonge et replie ses jambes alors nous changeons de position. Joël passe au pied du lit… il m’indique de reprendre Gildas en bouche et de lui peloter les couilles, ce que je fais puis il s’installe entre ses jambes, joint sa bouche à la mienne pour astiquer cette belle colonne de chair. Une de ses mains couvre la mienne pour lui apprendre les bons gestes sur le sac autour des testicules. Gildas ne reste pas inactif. Il se branle les mamelons, caresse son ventre et portes souvent ses doigts à sa bouche : « continuez les gars, je n’ai jamais été branlé par quatre mains et deux bouches… » Il ne pense qu’à son plaisir, pourtant je trouve agréable de sucer sa queue quand mes lèvres et ma langue se mêlent à celles de Joël. Ce dernier a maintenant passé une main entre les fesses de Gildas en partant des bourses et en descendant plus bas. Il descend et remonte à plusieurs reprises puis ressort pour prendre ma main et la diriger vers le fondement de notre ami. Je résiste un peu et il me dit que c’est doux comme la poitrine et chaud surtout entre les deux. Je me laisse faire et peu à peu nos doigts croisés s’insèrent entre les lobes. En effet, la sensation est agréable… Tout à coup mes doigts touchent la rondelle et par réflexe je retire ma main ! Joël me fait une bise sur la joue : « excuse-moi, tu n’es pas encore prêt pour ça ! ».
Il me dit alors : « tu dois apprendre que pour bien sucer, il faut beaucoup mouiller ». Il prend une de mes mains, la porte à sa bouche et suce mes doigts, les inonde littéralement de sa salive puis la replace autour du sexe offert… pour mettre ses doigts dans ma propre bouche « je ne lui ai pas touché le trou du cul, c’est propre….
Mouille les bien et continues à le branler doucement ». Curieux sentiment. Nous sommes nus à part le slip ajouré que porte Joël. Mes mains et ma bouche s’aventurent sur le corps de mes camarades. Mes sens sont aux aguets par le toucher de la peau et des poils ; attentif aux conseils que me procure Joël, j’écoute les soupirs et gargouillis comme la musique du bonheur. Ma respiration devient plus ample et je me concentre sur les odeurs d’homme et de sueur que pour la première fois j’aime sentir.
Joël retire ses doigts de ma bouche : « maintenant prend le bien entre tes lèvres, continues à bien saliver et quand tu remontes vers le gland, tu aspires et tu frottes la langue. Tu vas devenir une bonne sucette ! ». Alors que je m’installe pour ce faire, Joël enfile ses doigts mouillés directement entre les fesses de Gildas et me regarde dans les yeux. Je n’y crois pas… Dans cette position, il touche le fond. Gildas a un gros soupir. Joël tourne sa main et semble appuyer. Maintenant il écarte les fesses, et tire la langue… Il ne va pas ??? Si… il lui lèche le fion. Le nez sur le scrotum, Joël lèche l’œillet, tourne sa langue sur le trou du cul offert puis il en pointe le bout sur l’orifice qui s’entrouvre. Il dit : « c’est entré... Gildas, ta rondelle est souple… je vais toucher ta prostate ! ». Je le vois alors entrer son majeur pour le caresser de l’intérieur. Je dois dire que je connais ce vocabulaire depuis mes lectures de l’encyclopédie en 5 volumes… je ne pense pas que les parents y avaient pensé en l’achetant. Gildas souffle de plus en plus fort. Je suis à la fois absorbé par ce que je vois et perturbé par ce qui est nouveau. Toucher sa prostate à travers le canal rectal après avoir léché l’anus… Je me demande s’ils l’ont fait l’autre nuit avant de… et maintenant ?
C’est Gildas qui prend la parole, : « Rémi, tu es distrait, applique-toi, allez-y les gars, je suis bien, plus vite… » Joël avance sa bouche vers les couilles que je tripote toujours. Quand je retire ma main, il les gobe.
Une par une, il les suce, les aspire, mâchouille la peau des bourses sans cesser de remuer son doigt dans le cul de Gildas. J’ai accéléré les mouvements de ma bouche autour de la queue de Gildas, comme Joël me l’a dit je salive abondamment, aspire le gland, enroule sa couronne avec ma langue et du bout de celle-ci je lessive la fente de son méat. Gildas roucoule, serre les poings… Ses muscles sont tétanisés et dans un cris rauque il jouit ! La première giclée me remplit la bouche, c’est un peu salé. Les suivantes nous arrosent Joël et moi. Nous nous regardons… Gildas prend son temps. Joël toujours à l’initiative lape les traces de sperme y compris sur moi et comme j’ai la bouche ouverte ne sachant pas quoi faire de tout ce jus, il m’embrasse sur la bouche en me tenant la tête, mélangeant avec sa langue nos salives et le sperme de Gildas. Il me maintient ainsi jusqu’à ce que nous ayons tout avalé. Joël m’explique : « Pour avoir déjà goûté à toi et à Gildas j’étais déjà votre frère de sperme. Nous étions trois amis, maintenant nous sommes devenus trois frères de sperme en mélangeant nos secrétions ».
Gildas ne donne aucun signe qui pourrait nous faire penser qu’il va nous rendre la politesse au contraire : « je vais faire une sieste ». Alors Joël me prend par la queue, m’entraîne sur son lit retire son slip et m’allonge sur le dos pour se coucher sur moi. Il m’embrasse profondément en bouche, dans le cou, mordille le lobe de mes oreilles et me dit : « nous sommes frères, allons plus loin ensemble ». J’aime son odeur et ses petits bourrelets qui sont comme des petits coussins soyeux. Nous tournons sur le côté, il me caresse le dos et les fesses puis prend mon sexe en main. Je l’imite de façon moins expérimentée. Alors que je le sens bien raide, Joël se détache de moi, me tourne sur le ventre et s’installe entre mes jambes qu’il a écartées. Il me masse les épaules et le cou avant de descendre très lentement vers le creux de mes reins. Ça me chatouille un peu. Il contourne mon cul – j’ai eu peur - masse l’intérieur de mes cuisses, passe la main sous mon ventre et tire par l’arrière mon trois pièces qu’il commence à lécher. Je suis bien, encore du nouveau pour moi. Joël est vraiment très doux et attentionné. Sa langue et ses lèvres remontent régulièrement de mon gland vers mes bourses en passant par la tige. Ses mains tiennent fermement mes deux lobes légèrement écartés… et sa langue s’y promène également. Perdu dans un océan de douceur je me rends compte que parfois mon sillon est mouillé de salive, épongé par Joël avec sa langue. Par petits à-coups, au début imperceptibles, c’est maintenant mon œillet qui est touché… mouillé... cerné… caressé… dégusté. Je respire à fond car le bout de la langue insiste sur le centre et je sens que ma rondelle me trahit. Mon corps et mon cul demandent ce que ma raison ne voudrait pas. La langue insiste sur mon trou et quand elle part sucer mon sexe c’est un nez qui s’y frotte. Que c’est bon et moi qui trouvait ça inconvenant voici peu de minutes. La bouche revient et j’essaie d’élargir l’accès puis c’est le nez, à nouveau la langue puis le nez… Non c’est quoi ? C’est un doigt qui entre ! Je suis pris d’une peur panique devant le risque qu’ensuite une bite suive. Je me dérobe, me recroqueville en chien de fusil. Je pleure. Joël me laisse quelques instants et se penche vers moi : « excuses moi… j’aurais dû te demander… mais je croyais que tu aimais mes caresses… Pardonne moi… Laisse-moi t’embrasser gentiment… » Il me fait une bise sur la joue. Je me calme et lui réponds « oui j’ai aimé, oui je te pardonne mais n’essaie plus de forcer mon trou. J’aime tes caresses mais je ne suis pas homo et… le cul, ce n’est pas normal… Enfin c’est ce que je crois ». Gildas semble dormir, Joël s’est blotti contre moi et laisse passer un peu de temps puis : « réconcilions-nous si tu veux, met toi sur le dos, serre les jambes si tu préfères, laisse-moi regarder comme tu es beau. Tu n’es pas homo moi non plus, ni Gildas. Seulement des garçons qui ont des envies, qui ont besoin de découvrir, d’essayer, de se préparer à l’amour. Je sais que tu es en recherche et ce que nous faisons c’est gérer nos pulsions et passer du bon temps ensemble. » il m’embrasse à nouveau au coin des lèvres. Je fonds en larmes à nouveau et lui rend son baiser : « oui, je suis désolé, je veux que tu trouves du plaisir avec moi mais… » Il me coupe : « j’ai compris jusqu’où il ne faut pas aller. »
A ce moment, Joël s’allonge sur moi tête-bêche, prend ma bite dans sa bouche et mes bourses dans ses mains. Je durcis rapidement. Comme son sexe est devant moi, je fais de même. Nous sommes dans un rythme endiablé. Trop d’attente, trop de sentiments qui débordent font qu’il n’y a ni douceur ni préliminaires. Nous nous suçons, nous mordons, nous griffons. Ce n’est ni de l’amour ni de la tendresse, seulement un désir animal, un feu qui dévore. Ce que ne fait pas Joël c’est de toucher à mes fesses. Pourtant ce que je ne veux pas, c’est moi qui vais le lui faire, je deviens fou, je trépigne, tremble de tout mon corps, embrasse son cul et lui enfonce un doigt. C’en est trop, il jouit longuement, m’arrose de semence et m’entraîne dans une explosion des sens, de cris, de jets et d’odeurs de foutre.
Nous sommes repus de plaisirs et restons encastrés l’un dans l’autre. Chacun buvant avec gourmandise le miel de l’autre jusqu’à satiété.
Tout cela a réveillé Gildas… Mais dormait-il ? Il parle : « Belle baise, je vois que la leçon en est restée au 69. Rémi, je te promets qu’avant la fin de l’année scolaire tu demanderas à aller plus loin et sans te violer je te sodomiserais ». Puis il prend une serviette et pars à la douche. Quelques minutes plus tard Joël se lève et lui aussi se prépare pour la douche. Je le regarde et lui dit : « Merci de m’avoir compris, je ne sais pas si un jour je pourrais… mais si ce jour arrive, j’aimerais que ce soit avec toi ». Joël s’approche, m’embrasse et sort de la chambre.
Je suis resté longtemps rêveur dans mon lit. Lorsque Gildas revient, il me dit : « il va falloir faire attention, nos ou vos gémissements ont attiré l’attention et comme Joël est venu après moi à la douche, certains font des remarques et des sous-entendus ». Nous nous sommes donc tenus à carreaux jusqu’aux vacances d’autant que le jeudi lors de la présentation de la nouvelle raboteuse, une grosse machine qui amincit le métal dans un mouvement d’avant en arrière, le lycéen que nous appelons le doyen a proposé au prof que Joël et Gildas fassent le premier essai car ils aiment limer ensemble.
Deux semaines plus tard, nous nous retrouvons à l’école. Je suis arrivé en retard à cause du train. A la récréation Gildas est très entouré et Joël surveille les alentours. Je vais le voir.
- « Que se passe-t-il ? »
- « Je surveille l’arrivée des surveillants car Gildas est en train de prouver qu’il n’est pas homo. Il veut que les blagues cessent… Va les voir. »
J’ai du mal à m’approcher car les rangs sont serré, je vois seulement que Gildas montre des photos. Joël vient de siffler et le groupe se sépare. Un surveillant s’inquiète de ce qui a provoqué cet attroupement. Gildas se borne à répondre : « une série de blagues que j’ai apprise durant les vacances » comme le surveillant est perplexe, Gildas ajoute en rigolant : « sur les filles ». L’incident est clos. Le soir Gildas me montre les photos. On le voit aux sports d’hiver, embrassant une fille sur la bouche. Elle est grande comme lui et blonde comme Joël. Sur une autre photo moins nette, ils dansent et Gildas a passé la main sous sa jupe. « C’est un cousin qui a fait les photos ». Il y en a plusieurs comme ça dont une où c’est la main de son cousin qui est… dans la culotte de la blonde. Les autres photos sont prises dans une chambre, la fille est nue, un garçon (le cousin) nu lui aussi lui caresse les seins, Gildas dit qu’il a pris la photo, les suivantes c’est le cousin qui les a prises. Gildas est sur le dos, nu ; la fille est assise sur sa bite et Gildas lui caresse les seins ; la dernière c’est la fille qui est sur le dos et Gildas la pénètre. Il nous explique : « je voulais prouver que je ne suis pas homo et mon cousin voulait être sûr que je suis hétéro alors il a payé une fille, il lui a fait l’amour et j’ai eu droit à mon tour. Sur la pellicule de 36, 4 ratées, j’en ai 6 et mon cousin les autres. Il a payé la grande partie de l’après-midi et j’ai pris 28 photos… J’en avais la bite en feu ».
Voilà qui devrait calmer les sous-entendu en tout cas sur Gildas qui est devenu un mec, un vrai, dans le lycée. Par contre pour Joël et peut être moi, la prudence reste de mise. Le reste du trimestre est calme côté sexe à part quelques séances de branlettes rapides en solitaire ou en ronde et discrètement avec la peur au ventre de se faire surprendre par des élèves ou des pions. Gildas lui semble parle de plus en plus des filles.
A la rentrée après les vacances de Pâques, Gildas est devenu demi-pensionnaire. Il a désormais une chambre en ville car il a un job en ville le Week-end. Il nous a invité à venir un mercredi après-midi! Le deuxième mercredi de mai nous sommes neuf chez lui dont 3 externes. Compte tenu du déplacement j’arrive à 14h30 et devrais repartir à 16h30. C’est en fait un petit studio, je dirais 20 ou 25 m² en tout avec une seule pièce qui fait chambre avec un lit de 140 et coin cuisine. Il y a aussi un placard et une salle de douche – WC. Assis sur le lit, ou par terre car il n’y a qu’une chaise… nous parlons de son organisation, des repas, du lycée et des filles… Evidemment les fameuses photos passent et repassent de main en main. Gildas leur raconte une autre histoire. Cette fois c’est lui qui aurait dragué et emballé la fille puis, après l’avoir bien baisée, il l’aurait offerte à son cousin, lequel, comme un idiot a raté plein de photos. Peu m’importe, l’essentiel c’est que nous soyons tous des hétéros assumés.
Deux mercredi plus tard, seuls Joël et moi sommes invités en toute discrétion. Déjà dans le bus au fond duquel nous nous sommes installés, Joël a posé sa main sur mon paquet et me mordille l’oreille : « j’ai très envie de toi » me dit-il. Heureusement aucun voyageur ne remarque. Arrivés à destination, Gildas nous attend. A peine sommes-nous entrés qu’il referme à clé, les rideaux sont tirés. Joël ne perd pas une minute et m’embrasse sur la bouche tout en déboutonnant ma chemise. Comme il fait chaud, je n’ai rien dessous. Comme je lui rend son baiser, il défait ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Gildas nous coupe : « Bon les gars, que ce soit clair, je suis un hétéro total, j’aime faire l’amour aux filles et aux femmes. Je vous ai invités parce que je vous aime bien. Vous voulez baiser ensemble c’est d’accord ! Alors, si je participe, c’est seulement parce que la semaine je suis en manque de filles. » Joël rigole : « pas de problème, on est tous des hétéros sexuels convaincus ici et il n’y a pas de mal à se faire du bien entre mecs. »
J’ai baissé mon pantalon, Joël remarque : « tu as mis un mini slip aujourd’hui, il est très joli sur toi ». En effet j’ai profité des vacances pour aller discrètement l’acheter en prenant soin que personne de ma connaissance ne me voie. Je l’ai évidemment essayé depuis et me suis caressé dans mon lit, par-dessus et par-dessous le tissu, je me suis branlé et j’ai éjaculé dedans. J’ai sucé ce slip rempli de mon sperme. Je l’ai lavé à l’eau et au savon dans le lavabo de la maison. Le plus difficile a été de le faire sécher, la nuit sur un cintre dans mon placard.
Alors que je délace mes chaussures pour retirer mon pantalon, Gildas parle à voix basse à Joël puis me demande d’aller prendre une douche. C’est vrai qu’en ce jour de mai, il fait chaud et le bus n’avait pas la clim. Je me mouille, me savonne et comme j’allais me rincer Gildas et Joël entrent dans la pièce dont le verrou est cassé. Ils sont nus tous les deux. Joël s’assoit sur les toilettes et Gildas entre dans la douche : « Rémi, tu vas me mouiller et me savonner… Sans gant de toilette, frotte à la main... n’oublie pas les aisselles, les couilles, la bite et ma raie du cul… Ah Rémi, regarde Joël, rien ne le gêne, même pas de chier devant nous ! » Joël sans pudeur se lève, nous montre son cul et l’essuie avec du PQ. Puis il tire la chasse d’eau et entre lui aussi dans la douche. Nous sommes à l’étroit et ils m’empêchent de sortir.
Je dois maintenant laver Joël tandis que Gildas prépare de la mousse à raser et un rasoir mécanique. Il explique « Comme je l’ai dit à Joël, j’aime ses mamelons blancs, rembourrés et ses tétons qui pointent. Sans son sexe on dirait une fille… Bon les bites ne me déplaisent pas, ce qui me gêne ce sont vos poils autour. » Joignant le geste à la parole il rase le pubis de Joël après l’avoir badigeonné de mousse. Puis il s’adresse à moi : « enlève la pomme de douche et visse à la place le tube qui est dans la boite à savon… réduit la pression de l’eau et enfile le tube dans le cul de Joël pour le laver. » Joël ne dit rien, il écarte les cuisses. J’y vais doucement… Joël contrôle mes mouvements et régulièrement il fait ressortir le tube. Je vois alors couler de ses fesses un mélange d’eau et d’excréments. Après quelques séances l’eau reste claire.
« C’est à ton tour Rémi » me dit Gildas qui commence à raser mon pubis -je n’ose pas protester puisque Joël a accepté- Ce dernier se penche vers moi, m’embrasse dans le cou, lèche le lobe de mon oreille et me dit : « Rémi, j’aimerais toucher tes fesses et ton cul, dis-moi oui s’il te plait… parles plus fort… ta rondelle aussi, juste toucher ! ». Joël me caresse déjà les lobes et le haut de la raie, il me trouble avec sa petite voix et ses bisous. « Oui, je veux bien… que toi… oui, ma rondelle aussi… Oui ». Il me passe la main entre les fesses et effleure mon anus, le caresse, l’écarte et y enfile le tube. Je sens mon rectum se gonfler d’eau tiède puis si vider lorsque Joël le retire. Un eau saumâtre coule entre mes jambes. Gildas a terminé et après avoir remis la pomme de douche, nous nous rinçons abondamment. C’est curieux Gildas, le plus poilu ne s’est pas rasé et il ne s’est pas fait laver l’intestin.
Une fois essuyés, nous nous regardons. Inconsciemment Joël et moi avons mis nos mains devant nos sexes. Sans poils, nous nous sentons encore plus nus. Pourtant mes poils étaient récents mais j’avais l’impression qu’ils étaient comme un rempart ou un pare vue. Gildas embrasse Joël à pleine bouche : « j’aime les pétasses avec des petits seins blancs comme les tiens, des tétons pointus, une boule rebondie, blanche elle aussi. » Puis il me regarde : « N’ai pas peur Rémi, je ne t’obligerais à rien, à toi de donner ce que tu veux. Toi tu es différent, plus viril… C’est ta jeunesse que j’aime, tu es le débutant et on se damnerais pour te posséder… Viens ici, embrassons-nous tous les trois. ». Nos lèvres se cherchent, nos langues se mélangent. Sur et dans la bouche, dans le cou, les épaules les poitrines, les langues s’agitent et lèchent, les dents mordillent. Les mamelons sont excités par les bouches et les doigts. Les trois sexes se dressent pointant comme des cierges qui voudraient monter au ciel.
Nous tombons sur le lit. Joël s’est mis derrière moi. Il caresse mon dos, mes reins, descend vers mes fesses. Il me tourne sur le côté. Gildas s’est mis devant moi et j’imite Joël. Je n’ai pas trop d’imagination. Gildas se déplace lentement pour former un cercle et rejoint le bas du dos de Joël. Ce dernier a inséré des doigts entre mes fesses sans chercher à forcer. Moi, je préfère tirer la queue de Gildas en arrière pour la sucer ce qui amène Gildas à se retourner. Du coup Joël et moi bougeons également. Je peux bouffer la bite et les couilles de Gildas à mon aise et il a l’air d’aimer. De son côté Gildas mange celle de Joël et lui a passé la main dans le troufignon. Joël n’est pas en reste, il me suce bien, c’est un expert, il lèche et aspire… Il pousse un « HOoo ! » de surprise quand les doigts de Gildas le pénètrent plus loin. Je suis gré à Joël de ne pas me forcer, il caresse bien mon œillet. Dans cette position nous restons un moment, c’est doux, c’est fort, c’est bandant.
Pourtant Gildas se relève, badigeonne sa queue de gel, me pousse sur le côté, tire Joël sur le bord du lit, lui lève les jambes, écarte ses cuisses, dépose une noix de lubrifiant sur le trou et appuie son engin sur l’opercule pour le pénétrer progressivement. Je regarde attentivement le gland qui entre puis ressort, entre à nouveau suivi d’un centimètre de la hampe, ressort… C’est maintenant deux en avant et un en arrière comme dans la chanson. Il nous dit qu’il aime pénétrer les filles, c’est pour ça qu’il nous a rasé et caresse ce qu’il appelle le mont de Vénus imberbe de Joël. Je ne reste pas spectateur et pour soutenir Joël, je vais l’embrasser et lui caresser les mamelons.
C’est vrai qu’il a deux petits seins clairs. Il me dit : « Regarde comme Gildas est bien et moi aussi. C’est un bonheur de s’offrir ainsi à la jouissance. Si tu veux mon bonheur laisse-moi te prendre et je saurais aussi t’en donner ». Que répondre à une telle déclaration d’autant que je sais qu’il sera précautionneux avec moi. J’approche donc de sa bite pour la sucer. De son côté Gildas accélère, ses couilles butent maintenant régulièrement sur l’entrée. Il pousse un cri de jouissance ; je regarde Joël dont le corps est tendu comme un arc, la figure crispée avant de se détendre. Son visage apaisé exprime un sentiment de plénitude, ce qui finit de me convaincre. J’embrasse Joël et lui dit : « OUI ! ».
Nous soufflons un moment… Gildas me propose ensuite de relancer la vigueur de Joël. C’est avec plaisir que je le prends dans mes bras, sa peau est si douce, autour du sexe l’absence de poils augmente les sensations. C’est un plaisir partagé de caresser et sucer et comme nous sommes deux à le faire, Joël retrouve vite ses capacités. Il se lève, j’ai compris, il va prendre ce que je lui offre. Il me met à quatre pattes, la tête basse, le cul relevé, les jambes écartées. Gildas s’est écarté, il a compris que ce n’est pas pour lui. Joël me caresse maintenant la bite et les olives, ses doigts sur mon bas ventre effleurent ma peau glabre, je me sens à sa merci. Ses mains écartent mes fesses et sa langue vient fouiller la profondeur.
Il salive largement et tourne autour du trou. Je me détends. Ma peur se transforme en envie. Moi, le garçon qui ne veux pas être homo, j’ai accepté que mon ami devienne mon amant. J’aime l’écouter quand il me parle, j’aime l’embrasser, le caresser, le sucer, j’aime qu’il me dirige. Le bout de sa langue a entrouvert la porte. Il y pose du gel. « Rémi, mes ongles sont coupés très ras, je vais te mettre un doigt » ; « Oui Joël ». Il présente son doigt, doucement il entre, il tourne, c’est bon ; Un peu de temps et quelques mouvements et « Rémi, je vais t’en mettre un autre » ; « Oui Joël ».
C’est un peu difficile, ça me tire et il me faut quelques minutes pour m’habi. Les doigts vont et viennent, tournent et s’écartent faisant se distendre le muscle. « Rémi, es-tu prêt pour trois doigts ? » ; « Oui, Oui ». L’extrémité passe, ensuite c’est douloureux, J’ai débandé ! Il ajoute du lubrifiant et recommence. « Rémi, j’ai élargi au maximum, ça va ? » ; « oui » ; « veux-tu que je continue ? » ; « oui, continue ». « Rémi, tu dois me dire ce que tu veux, dis-moi ce que tu désires… » ; C’est le moment de vérité ; « Joël, je désire que tu… je veux ta bite… Que tu me baises ! ».
Son gland se présente froid, couvert de gel et entre progressivement, tout en douceur. Après quelques aller-retours il accélère. Je suis heureux de lui donner ce plaisir même si pour le moment je reste passif. Dans cette position ses burnes frappent les miennes, sa hampe se fraie un chemin dans le conduit tandis que son gland me ramone. Ça me chauffe. Gildas est allé embrasser Joël puis est venu me masser dos et épaules. Joël se tend, me donne un grand coup de rein et inonde mon cul de son sperme. C’est chaud et agréable. Je lui ai offert ma virginité et il a pris du plaisir avec moi.
« Ce n’est pas fini » dit Gildas « Au bar on ne termine pas sur la tournée du patron, ici on ne termine pas sur le jeunot ». Sans nous laisser souffler, il commence à me caresser, je bande vite. Il me mange la bouche, suce mes tétons, passe du temps sur la zone qu’il a rasée. Joël nous regarde puis intervient. « Rémi, je t’ai promis de te donner du bonheur, c’est le moment de le prendre ». Il s’allonge sur le dos au milieu du lit, cuisses ouvertes et me dit : « Viens, Rémi, n’ai pas peur, je suis bien prêt, entre… ». Je pense à ce qu’a dit Gildas. Joël avec sa blancheur, ses seins, ses taches de rousseur et ses poils rasés serait presque une femelle si ce n’était pas mon ami.
Je prends le temps de lui caresser la chatte, j’utilise ce mot car nous devenons des amants. Je la lui embrasse et la lèche avant d’y passer du gel et d’en mettre sur mon sexe. Je rentre doucement dans un endroit déjà habitué, ça glisse facilement. Ma tige est moins grosse que celle de Gildas. « OUI, continue » me dit Joël. Je m’agite et j’ai l’impression que ma bite grossit, c’est bien mieux que la branlette et même mieux que le 69. A l’aller tout le conduit serre ma hampe, au retour mon gland s’excite sur les parois. Quand je suis au bout le méat semble s’ouvrir. Gildas s’allonge sur le lit, caresses Joël, lui suces le gland jusqu’à ce que les bites soient bien dressées. Puis, il passe derrière moi, j’entends le bruit du flacon de gel, il me bloque les reins, écarte mes jambes et s’enfonce en moi.
Je n’ai pas le temps de réagir qu’il imprime le rythme. Je ne voulais pas… ou plutôt je voulais que Joël soit le premier alors pourquoi pas les deux ? Il se pousse en moi et me pousse dans Joël. Je sens bien la grosseur. Nous ne savons plus ni où, ni qui nous sommes, hommes et femmes, amis et amants, actifs et passifs, donneurs et receveurs… Nous jouissons les uns après les autres. Sperme dans un boyau, semence dans un rectum et foutre sur le lit ! Un jet de lave nous a traversé, un torrent de sueur nous colle. Nous sommes effondrés les uns sur les autres, satisfaits et épuisés. Quelques caresses et nous comparons le goût des éjaculations sur des sexes brillants de s’être frottés dans des culs propres. Nous dormons un peu dans les bras les uns des autres. Je me réveille, il est 17h 40. Vite une douche, il faut rentrer.
Il est 18h45 dans le car qui nous ramène, nous sommes heureux. Ce soir nous serons en retard pour le diner et surement nous serons punis d’une retenue mercredi prochain mais ça vaut le coup. Joël a passé sa main dans ma braguette.

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