La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°854)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°853)
Alors la musique reprit du volume. Je sentis des mains se poser sur moi, tendres, douces, et à mon avis féminines. Et on me soigna les nombreuses stries qui me couvraient. La crème que lon mappliqua mapaisa instantanément ! Et avec le contrecoup de la première étape, je mendormis rapidement tellement je me sentis relaxée, détendue. Au bout dune demi-heure, je fus réveillée par de doux baisers. Mon bandeau et mon casque avaient été retirés. La jeune femme qui mavait conduite ici, me caressait, membrassait, me léchais
Jétais embarrassée, jamais je navais eu de relations intimes avec une femme. Mais je me laissais faire. Dabord par obéissance envers le Maître Vénéré, mais il fallait bien que je mavoue que le traitement que je subissais était vraiment délicieux. Mais lorsquelle vint se nicher entre mes cuisses et que sa langue commença à me lécher et mordiller le clitoris, je crus que jallais mourir dexcitation sur place, tellement les ondes de plaisir mélectrisaient. Jessayais tant bien que mal de ne pas laisser éclater ma jouissance, mais cette demoiselle était experte et cela devenait très sérieusement difficile.
- Jai reçu lautorisation de te faire jouir, murmura-t-elle en me regardant dans les yeux, tu peux donc te laisser aller à lorgasme, tant que tu veux, tu peux jouir, petite femelle ...
Alors je laissais mes cris exploser, je sentais mes sécrétions inonder son visage dans cette fulgurante jouissance autorisée. Mais elle narrêtait pas pour autant son magique cunnilingus. Elle commença même à me doigter profondément la chatte, et je me laissais submerger par un second orgasme. Alors sa bouche revint vers mon visage.
- On dit toujours jamais deux sans trois, petite chienne en chaleur ! Et elle membrassa langoureusement, me faisant gouter à mes propres sécrétions. Elle se redressa, enfila un gode ceinture, avant de me relever les genoux sur le torse.
Le troisième arrêt me réserva une surprise à laquelle je ne pouvais mattendre, au vu de ce que javais vécu sur les deux premiers. Lorsque jentrais dans la station, personne ne vint à moi, aucune affiche, aucun panneau sur la route, je ne savais quoi faire. Je me mis même à compter dans ma tête les stations-services dépassées afin de bien vérifier si je nen avais pas sauté une ! Non aucune erreur, je les avais bien suivies toute attentivement pour ne pas me tromper. Je me décidais donc à aller à la caisse et demander si personne ne mavait demandé. Là, le caissier me tendit une enveloppe sans me dire un seul mot avec un visage impassible et des yeux pervers.
- Après ces deux premières épreuves, la fatigue que cela peut engendrer, et la route quil te reste à parcourir, il te faut reprendre des forces. Va dans la partie restaurant de laire de repos, présente ce mail au guichet et une collation conséquente tattend. Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te loffre. Le Maître.
Quel bonheur ! Effectivement, je me sentais affamée après ces dépenses physiques
Une fois au restaurant, je présentais donc ce mail imprimé au guichet et un homme dune cinquantaine dannées mapporta un plateau en me regardant avec insistance. Son regard me mettait mal à laise. Jétais la seule cliente du restaurant. Il resta tout près à me regarder dévorer tout ce qui se trouvait sur ce plateau. Javais faim, mais il maurait paru ingrat de laisser la moindre chose que le Maître maurait commandé. Je vidai donc le plateau de bon appétit !... Alors que je me levais après avoir tout dégusté jusquà la moindre miette, lhomme me saisit le bras.
- Eh, faudrait voir à ne pas oublier de régler !
- Oh, mais on ma dit que ce plateau métait offert et quaucune somme ne me serait réclamé ! Relisez ce papier si vous ne me croyez pas !
- Effectivement espèce de chienne, mais le pourboire nétait pas compris. Et je compte bien être payé en nature, salope ! Bien quen fait, cest moi qui envisage de te donner du liquide ! dit-il sur un rire pervers. Tiens, lit ce deuxième mail du Maître, que je viens dimprimer juste avant que tu arrives !
- Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te loffre
Sauf le pourvoir quil te faudra régler à la convenance du porteur de ce mail imprimé. Le Maître.
Alors il mattrapa par les cheveux, memmena derrière le comptoir, tirant mes cheveux vers le bas me forçant à magenouiller. Il ouvrit la fermeture éclair de son pantalon, laissant sortir un sexe épais et bien gonflé, et je dus le sucer jusquà ce quil me gicle au fond de la gorge, mais cela tarda à arriver, on voyait bien quil se maitrisait, quil faisait durer le plaisir le plus longtemps possible jusquau moment où il lâcha la sauce ! Il éjacula en de longues saccades jusquau fond de ma gorge sans se préoccuper si jétouffais.
- Ma chienne, tu sais que je ne veux pas te faire prendre de risques dans ta vie vanille, chose à laquelle je me suis toujours engagé, alors rentre, prudemment sans excès de vitesse ! Je minquiète des marques qui doivent être encore très visibles sur ton corps. Tiens-moi au courant Ma belle ! Si jamais il y avait un gros souci, tu es autorisée à ne pas attendre de messages de Ma part pour men envoyer un. Le Maitre inquiet pour toi.
Après lui avoir envoyé un message le remerciant et le rassurant sur ma façon de conduire, je repris la route. Le temps de récupérer mes filles, jarrivais à larsenal au moment où mon mari descendait du bateau.
- Mon dieu ! Mais
mais
quest-ce que cest ? Quest-ce quil test arrivé ?
(A suivre
)
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