Une Vie De Chien Partie Iv Fin !
Les vacances dété étaient presque finies, javais passé le mois daoût à travailler et navais pas eu doccasions de le revoir.
Jétais en train de classer des factures lorsque lécran de mon téléphone salluma. Je jetai un coup doeil vers le bureau de ma collègue. Parfait, elle était plongée dans la lecture dun document apparemment passionnant. Jouvris discrètement mon message, cétait lui. Un sourire se dessina sur mes lèvres, il lui arrivait régulièrement de menvoyer des sms coquins, parfois accompagnés de photos et il adorait le faire pendant que jétais au bureau. Cette fois-ci, à ma grande déception, aucune pièce nétait jointe, un seul lien accompagné dune phrase.
« Ten as envie non ? »
Je voulu ouvrir le lien sur mon portable et jura silencieusement lorsque un message derreur safficha. Je navais aucune connexion à internet dans ce petit village, il fallait utiliser lordinateur. Je recopiai ladresse dans mon navigateur et pria pour que personne ne surveille ce que je faisais actuellement.
Un gros godemichet rose apparu sur mon écran, je réduisis la fenêtre dans la barre des tâches dun mouvement brusque, et regardai autour de moi pour voir si quelquun lavait remarqué. Heureusement, personne ne sintéressait à moi et je pus rouvrir la fenêtre. Lengin faisait une belle taille, le site annonçait 21cm et la possibilité de saider de puissantes vibrations. Il essayait de me convaincre den acheter depuis une semaine déjà, mais je nosais pas. Javais très envie de franchir le pas mais si quelquun tombait dessus ? Je fermais la page et essayai de reprendre mes activités. Bleues, blanches, roses, vertes
Les feuilles se succédaient mais mon désir ne sapaisait pas. Je me voyais déjà gémir de plaisir avec ce gode en moi, une bosse dune belle taille se formait dans mon pantalon tandis que les images se succédaient dans ma tête. Je me rendis soudain compte que javais mis mon marqueur dans ma bouche et que ma langue sactivait dessus.
A peine assis, jouvris lhistorique, retrouvai le site et commandai lobjet. Jenvoyai un sms à Nicolas pour lui annoncer ma décision et me remis sereinement au travail. Dici quelques jours, jaurais un tout nouveau jouet.
Lattente fût longue et difficile, partagé entre lenvie et la peur, jappréhendais autant que jattendais larrivée de mon colis. Finalement, un midi en arrivant chez moi, je vis un colis posé sur mon bureau. Mon ventre se contracta, tandis que je louvrais. Lemballage libera un magnifique objet dune taille impressionnante, rose et légèrement courbé. Je le pris dans ma main et sentis lexcitation monter en moi, il nétait pas aussi doux et chaud que le pénis de Nicolas mais penser quune chose aussi grosse allait pénétrer en moi était un véritable délice.
Jabandonnai mes vêtements et commença à me caresser, mes mains glissaient sur mon torse, jouant avec mes tétons puis plongeaient vers mon sexe avant de revenir les pincer. Jenduis mes doigts de lubrifiant et caressa doucement mon petit trou, je le sentis se contracter à mon contact et le massa doucement. Mes doigts le pénétrèrent lentement, me faisant pousser de petits gémissements. Je me rendis vite compte que cela ne me satisfaisait pas, jattrapai mon jouet et le frottai contre ma rondelle. Je me pénétrai doucement avec, poussant un petit cri de douleur
Il était trop gros, il ne rentrerait jamais. Mes doigts glissèrent et appuyèrent sur le bouton de vibration, le poussant à 50%. Je ne my attendais absolument pas et me redressa brutalement, mempalant sur les 21cm de lobjet. Je pensais ressentir la douleur mais ce fut une sensation dintense plaisir qui jailli de
moi. Mes hanches sagitèrent delles même, marrachant des gémissements de bonheur à chaque fois quil rentrait en moi.
Jétais au paradis, jamais je naurais pu croire que les sensations allaient être aussi intenses. Je poussai les vibrations au maximum et plongeai la tête dans mon oreiller pour mon cri. Le gode allait et venait en moi, frottant contre mes point sensibles, tapant au fond de moi. Jimaginais être sodomisé par un homme, ses mains claquant mes fesses, agrippant mes cheveux
Je devenais fou, mon oreiller était couvert de salive et avait du mal à mon plaisir.
Des coups résonnèrent à ma porte.
« Tu viens à table ? » Demanda ma mère de lautre côté.
Je me redressai, enfonçant par la même occasion le jouet en moi et tenta de prendre une voix normale.
« J
jarrive » Balbutiais-je.
Je priais pour quelle nait pas entendu les vibrations et attrapa mon téléphone. Je voulais le remercier pour me faire ressentir une telle jouissance, je pris une photo de mes fesses, le gode enfoncé en elles. Je nosais pas appuyer sur le bouton denvoie mais quelques coups de rein et un long gémissement eurent raison de moi. Jenvoyai limage juste avant de jouir, une sensation intense monta de mon anus, se diffusant dans tout mon corps et de grosses giclées de sperme arrosèrent mon visage et mon torse. Je descendis un peu les vibrations de mon jouet en glissant ma langue sur mes lèvres. Cétait incroyable, seul un vrai pénis aurait pu me combler davantage. Je me laissai tomber sur mon lit, les vibrations du godemichet continuant à me faire frissonner de plaisir. Mes mains tremblaient quand jattrapai mon téléphone pour y lire sa réponse.
« La prochaine fois, cest moi qui te prendrait comme ça soumis. »
Je me sentais heureux, je navais plus honte maintenant je voulais juste sentir un vrai pénis en moi.
Je profitai chaque soir de ce nouveau partenaire, me procurant des orgasmes de plus en plus violents à mesure que je prenais conscience de mon corps. Malgré de nombreuses photos échangées, je ne pu revoir Nicolas et le jour du départ arriva.
Il me restait une heure avant daller à la gare, je partis en centre-ville pour marcher un peu. Je repensais à cet été, aux nouvelles expériences que javais faites et à ce que jétais devenu
Jaimais les hommes, cétait clair dans mon esprit mais quen était-il des femmes ? Allais-je me détourner delles ? Non. Je bifurquai dans une petite rue et arriva devant un grand bâtiment en pierres blanches, je sonnai et attendis quelques instants avant de voir souvrir la porte. Décoiffée, dans un sweat trop grand et un mini short se tenait la plus belle femme que je navais jamais rencontré. Emilie me sauta dessus et je la pris dans mes bras. Son odeur menivrait, je voulais rester comme cela pour toujours, elle était ma définition du paradis.
_ Je viens te dire au revoir avant de prendre mon train. Annonçais-je avec un sourire chargé de larmes.
_ On se reverra vite. Promis-t elle.
Je lui fis un bisou et lui murmura à loreille
_Je taime
_ Moi aussi mon chat. Répondit-elle avec un grand sourire.
Comme à chaque fois, je narrivais pas à savoir ce que signifiaient ces mots dans sa bouche. Je cru déceler des sentiments profonds dans son regard mais je me détournai, par peur de me tromper. Des larmes coulèrent sur mes joues lorsque je méloignai, je voulais la revoir, lemmener avec moi
Javais peur de la perdre, et je me trompais rarement.
Je réussis à simuler un sourire en montant dans le train mais me tristesse me rattrapa vite. Je passai la totalité du trajet avec limage de ses grands yeux noisette, de ses cheveux noirs et de son magnifique sourire
Je ne parviendrai jamais à men détacher et aujourdhui encore, la simple évocation de cet ange qui séloigne lentement de ma vie fait couler des larmes sur mes joues.
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