Christine Ma Belle Soeur (4)

4°) L’apprentissage continue
Son orgasme terminé elle se laisse retomber sur le dos lourdement en laissant ses deux jambes glisser le long de mes mollets comme si tout son corps se détendait et devenait totalement inerte.
Je ne peux m’empêcher d’apprécier les mouvements de ses seins au moment où son dos rencontre le sol.
Mes doigts sont toujours bien profonds dans sa chatte mais j’arrête mes mouvements. Je décide donc de les retirer doucement. Au fur et à mesure que je tire mes doigts vers l’extérieur je vois couler ce flux chaud sur la serviette, une vraie inondation. Christine a régulièrement des soubresauts jusqu’à ce qu’ils sortent totalement. Ils sont entourés de sa cyprine et par curiosité j’approche ma main de mon nez pour en humer le parfum. Je goute ensuite ce jus chaud, pas du tout désagréable ! Finalement je léché mes trois doigts jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte.
Je ne me suis pas aperçu que Christine dans un demi-sommeil me regarde faire.
- Ça va ? lui demandais je
- Oui très bien, je suis épuisé par une telle jouissance, c’était très bon, tu es doué avec tes doigts.
Serais-je aussi doué avec mon sexe pensais je ?
Elle est si belle, allongée totalement nue, détendue. Son corps a encore une autre image ainsi, et ce n’est pas pour me calmer. Instinctivement je la regarde tout en me caressant en douceur la bite encore tellement tendue.
- Je suis contente d’être la première femme avec qui tu puisses t’amuser ainsi, mais tu es loin d’avoir encore tout essayé. Je vois que ce premier épisode te met encore dans tous tes états.
- Oui c’est tellement bon et inespéré ce que je vis, j’ai envie de jouir et de jouir encore. Mais j’avoue que de voir ton bassin de déhancher comme ça sous le plaisir que t’ont procuré mes doigts et la vision de cet explosion orgasmique en direct m’ont fait ressentir quelque chose de nouveau que je n’avais jamais vécu auparavant.

- C’est sûr que te branler devant une cassette est moins réel, ajoute-t-elle avec un sourire coquin.
Je reste silencieux mais énormément excité avec tout cela. Elle n’a pas de tabou et me parle sans détour. Je suis en train de rêver ou quoi.
Je m’autorise à la caresser de nouveau, je pose ma main sur son ventre pour voir si elle accepte cette nouvelle « attaque ». Ses yeux à moitié ouverts, elle ne bouge pas. Je continue donc à la caresser et remonte sur ses seins avec les tétons toujours bandés. Je m’amuse longuement avec, mais très en douceur, je comprends qu’elle est un peu fatiguée.
Après plusieurs minutes de caresses uniquement sur ses seins, elle reprend petit à petit ses esprits et se redresse de nouveau sur ses coudes.
- C’est très agréable ce que tu m’as fait, merci beaucoup, me dit-elle
- C’est un plaisir, j’adore les caresser, non seulement ils sont les premiers que je touche mais ils sont comme je les ai toujours aimés, bien ronds, pas trop gros. J’ai envie de les sucer, les téter… j’ose avouer
- Sois patient, laisse-moi un peu de temps et je te ferai essayer d’autres pistes.
Elle laisse tomber son dos sur la serviette et s’étire de tout son long avec un petit cri de détente. Son corps tendu est encore plus attirant, je le contemple sans relâche de la tête aux pieds.