La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°858)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°857) –

Mes yeux papillonnaient, il n’était pas censé être compliqué de se laisser aller. Mais c’était tellement bon d’avoir droit de poser mes yeux sur Lui, que je vénérais tellement, que j’aimais tellement profondément, qu’il était dur de se décider à garder les yeux fermés. Pourtant au bout d’une vingtaine de minutes, Morphée remporta le combat, et je tombais inanimée dans ses bras, imaginant que c’était ceux du Maître me serrant contre Lui… J’étais bien, sereine, j’étais moi… soumise … Le lendemain était un samedi. Mon mari m'avait dit que s'il passait ce serait le soir. Avait-il pensé que nous étions un jour de semaine et que les filles seraient à l’école ? Que leur répondre s'il n'était pas là de cette journée de vendredi ? Elles n'allaient pas tarder à se réveiller. Je me levais donc pour commencer à préparer le petit déjeuner. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant mon mari qui s'activait dans la cuisine ! Je ne savais comment l'aborder alors j'attendais qu'il me voie enfin. Quand ce fut le cas, on resta un moment à se regarder sans savoir quoi se dire. Ce fut lui qui interrompit le lourd silence en premier. Sa voix était froide, sans émotion :

- Je ne sais toujours pas ce que tu attends de moi ! Mais je ne pouvais pas laisser les filles toutes la journée... J'ai peur pour elles ! Comment grandir sainement avec une mère comme toi ?

J'étais sidérée par sa façon de réagir ! Mes filles se portaient bien, jamais elles n'avaient été en contact avec ce monde D/s et je sais qu’elles ne le seront jamais si ma destinée les emmenait vivre au village près du Château.

- Si depuis plus de trois ans, tu ne t'es rendu compte de rien, c'est que je suis discrète non ? Nos filles n'ont jamais rien vu de mon monde. Et cela restera toujours comme ça, je peux te le promettre !

- Ce ne sera pas une promesse difficile à tenir si j'obtiens la garde de mes filles, totalement.

..
- Tu veux divorcer alors...
- Je n'ai pas le choix, je dois protéger mes s ! …

Plusieurs semaines passèrent. Nous vivions en colocation. Après moult disputes entre nous deux, nous avions expliqué comme nous avions pu aux filles, que nous ne nous aimions plus et que j'allais bientôt quitter la maison. J'avais accepté l'aide judiciaire du Maître. Grâce à Son avocat, un des meilleurs du barreau de Lyon, et au travail de mon mari qui faisait qu'il était régulièrement absent, nous eûmes la garde partagée. Mon mari les gardait la semaine, s'il était là, sinon avec l'accord du Maître, je me déplaçais et les gardais. Les week-ends je les passais également en Bretagne, dans une suite à l'hôtel pour pouvoir recevoir mes puces. Les vacances, si leur père était là, elles les passeraient moitié en Bretagne avec lui, moitié à Lyon avec moi dans le luxueux pavillon du village que le Maître me laissait occuper lorsque mes filles étalent avec moi. Il en avait été décidé ainsi pour ne pas obliger mes filles à changer d'école et à s'éloigner de leurs camarades… Pour moi, en dehors des moments où j'allais en Bretagne (les frais des allers comme les retours étaient tous payés par le Maître qui pour me soulager de la fatigue des longs voyages m’offrait et privilégiait des déplacements beaucoup plus rapides en avion tout confort via son jet privé) ou lorsque mes filles venaient me voir, je vivais maintenant près du Château, près du Maître, mon rêve était devenu réalité !

Petit retour en arrière : Lorsque mon mari avait pris sa décision de divorcer, j’avais immédiatement prévenu le Maître. Il avait alors contacté Son avocat. Il avait été très efficace juridiquement. Il avait tout négocié sans laisser une chance à l’autre partie de pouvoir donner son avis, mais sans en donner l’impression. Son aide était un cadeau de Monsieur le Marquis, mais ce n’était pas sans contrepartie ! Lors de nos rendez-vous, je devais toujours me présenter nue, à genoux, mains sur la tête.
Au gré de ses envies, soit l’avocat me ligotait sur une chaise, soit au sol, bondagée avec goût. Il profitait de chacun de mes trous intensivement, tout en préparant son dossier, et à chaque fois qu’il se vidait, soit dans ma bouche, soit dans ma chatte, soit dans mon cul, une nouvelle idée, un nouvel argument, venait étayer son travail. Je me donnais volontiers à cet avocat pervers ! D’abord parce que c’était la Volonté du Maître, et parce que grâce à son travail j’avais une chance de ne pas perdre définitivement mes filles.

Comme par exemple, je me rappelle très bien lors du bouclage de son dossier pour me défendre face à la partie adverse, c’était un dossier solide et très bien ficelé, comme il disait. A cette occasion, symboliquement au moment où il apposait son cachet et signature sur le dernier document du dossier, et alors que j’attendais sagement nue et agenouillée, tête baissée et mains sur la tête, il m’interpella :

- Viens ici petite chienne, tu vas me sucer encore, la pute, dit-il en écartant les jambes pour me laisser de la place, ça fera une belle conclusion à ton dossier enfin finalisé …

Alors, je m’avançai à quatre pattes et m’agenouilla devant Lui. Je défis sa braguette et lécha doucement son sexe à travers le tissu de son sous-vêtement, puis, je sortis de l’habit sa verge déjà fort dure et dressée. Je me mordillai la lèvre inférieure puis sortis ma langue et léchais goulument ce beau sexe de la base de la hampe jusqu’au gland. Je fis le tour de celui-ci du bout de la langue puis le suçotais sans m’arrêter de le titiller tout en aspirant ce gland violacé et gonflé. Je commençais à glisser sa belle queue un peu plus loin dans ma bouche, ma langue continuant de tournoyer sur cette verge aux veines saillantes et j’entamais un mouvement de vas et viens avec une régularité la plus concrète et efficace possible. J’alternais entre fellation en gorge profonde et juste titiller le bout du gland. L’avocat vicieux me laissait d’abord faire ainsi quand ensuite il décida de prendre les commandes.
Et c’est donc avec une main sur ma tête qu’il avait empoigné ma queue de cheval et ainsi tenue par mes cheveux il imposait son rythme, également avec une certaine régularité dans son mouvement de vas et viens. Je sentais sa volonté de me baiser la bouche dans son geste imposé. Je posais mes mains soit une sur sa cuisse, l’autre sur la base de son sexe que je masturbais délicatement... J’étais comme excitée par sa main sur ma tête empoignant mes cheveux. J’étais toujours autant excitée, voire même plus, de me sentir une véritable salope à obéir car à la base, c’était une Exigence du Maître d’obéir à cet obsédé d’avocat… Au bout d’un moment, l’excitation de l’avocat ayant monté, il appuya encore plus fortement sur ma tête et entra ainsi son sexe beaucoup plus profondément jusqu’au fond de ma bouche. Surprise et étouffée, j’essayais de me reculer mais la poigne était trop forte car son empoignade sur mes cheveux s’étaient transformée en une puissante étreinte contre son bas-ventre, puisque désormais il avait positionné ses mains derrière mon crâne pour maintenir une forte pression contre ma tête tout contre Lui… Il resta ainsi un moment au fond de ma gorge. J’avais les larmes aux bords des yeux et commençais à haleter par un début d’. Toutefois, j’avais la chair de poule de me faire forcer ainsi ma cavité buccale et une forte chaleur monta de mon bas-ventre trempé d’excitation. Il finit par faire quelques vas et vient profonds qui me faisaient encore suffoquer pour enfin jouir au fond de ma gorge dans un flot de semence qui inonda ma bouche... Le jus de l’avocat était épais et abondant, il avait giclé soudainement, dans de longs râles jouissifs et les jets jaillirent jusqu'au fond de ma gorge. J'avalais sans même réfléchir ces premiers jets de sperme et il finit de se vider dans ma bouche, je m'appliquais même à ne pas en perdre une goutte et à tout avaler, allant jusqu'à nettoyer son gland...:

- Tâche de ne rien perdre ou il t’en cuira chienne salope, tu es une bonne petite pute.
..

J’avalai comme je pouvais et l’avocat se recula légèrement pour finir de jouir aussi sur ma langue les dernières gouttes. Le gout était amer mais je préférai avaler promptement plutôt que ça déborde de ma bouche.

- Continue à nettoyer, dit-il après avoir sorti son sexe de ma bouche.

Je léchai avec attention sa belle queue pour bien la nettoyer et une fois le travail effectué, il claqua des doigts afin de me faire comprendre de reprendre ma place. Alors à quatre pattes, je m’éloignais de Lui, et une fois placée au milieu de la pièce, je me repositionnai à genoux à ma place initiale….

Le Châtelain m’avait loué une chambre proche de l’école de mes filles, le temps que tout soit définitivement réglé. Je pouvais ainsi les voir tous les jours, ne serait-ce qu’un peu. J’avais également commencé mon travail de secrétaire comptable. Travailler m’aidait à passer cette phase qui n’était pas facile. J’étais heureuse de savoir que bientôt je me rapprocherai du Maître, mais c’était dur de quitter mon mari, surtout avec l’image qu’il avait de moi. J’aurai tellement voulu qu’il puisse me comprendre ! Au cabinet, mes collègues me préparaient à mon futur emploi de secrétaire particulière de Monsieur le Marquis d’Evans, en ce qui concernait la partie vanille, personne ne se doutant de notre lien chocolat. Là encore, l’avocat du Maître avait fait fort, mon mari n’avait pu se servir de cet argument contre moi, il n’avait même pas eu la possibilité d’en parler ! Je ne sais ce que ce maître (avocat) avait fait ou dit à la partie adverse, mais jamais il n’en avait été question ! Le Maître n’avait pas pu revenir en Bretagne durant la procédure. Mais Il suivait tout ce qu’il se passait dans ma vie, au travers des rapports détaillés que Lui envoyait l’avocat, mes chefs au travail, et par les nombreuses webcams que l’on faisait, pour que toutes ces histoires ne me fassent pas oublier ce que j’étais et pour qui je l’étais. Et j’en étais tellement heureuse ! Je ne demandais que cela, être toujours plus à la disposition du Maître pour toujours plus le satisfaire. Je m’en remettais totalement à Lui, je savais que tout serait pour le mieux, que ce soit dans ma vie familiale, ma vie professionnelle ou ma vie chocolat…

Grâce à l’efficacité de l’avocat, le divorce avait été prononcé en trois mois. Mis à part la garde des s, et ce qui était effectivement bien à moi avant notre mariage, et qui n’était d’aucune utilité à mon mari et dont il se débarrassait volontiers, je ne demandais rien, suite aux exigences du Maître. Le pavillon qu’Il m’octroyait était abondement meublé et au Château je n’avais besoin de rien, n’ayant droit à aucune possession en propre. La décision était tombée un mercredi. Le lendemain, j’étais convoquée par mon chef direct, qui m’annonça qu’une nouvelle secrétaire arrivait le lundi suivant, et que je devais me préparer pour occuper mon nouveau poste le même jour à Lyon. Lorsque je regagnai la chambre d’hôtel le soir, un mail du Maître m’attendait…

(A suivre …)

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