La Nuit De Tous Les Risques : Partie 1

La nuit de tous les risques





9 mai 2021



Cette date était synonyme pour moi à la fois d'excitation et d'appréhension.

Car au cours de ce deuxième dimanche du mois de mai, comme chaque année, le temps était venu de mettre toutes les mamans à l’honneur.

Il est de coutume que pour cette occasion, j’organise une matinée avec les s et ma femme, où elle est bien évidement le centre de l'attention. Ensuite, après le repas, nous prenons la route pour aller passer la soirée chez les parents de mon épouse, où nous dormons sur place.

Et ce qui d’ordinaire était l’occasion d’alimenter mes fantasmes, se trouvait maintenant devenir un vrai coupe gorge si je n’y prêtais pas attention.



Malgré tout, je ne comptais pas me laisser intimider, ni annuler ce rendez-vous pour autant. D’autant plus que mon amante avait, semble-t-il, bien insister auprès de ma moitié pour que nous soyons présents...



C'est avec une certaine anxiété que j'ai donc vu la première partie de la journée prendre fin, et l'heure fatidique arriver. Alors que les s jouaient ensemble dans la voiture, ma femme se pressa contre moi subitement. Son corps pulpeux et désirable collé à moi, elle passa sa main rapidement sur mon entrejambe. Elle me regarda d'un air surpris en constatant l'érection déjà bien entamée que cachait mon jeans. Ce n'était pas le genre de femme à être très active sexuellement, ni à aimer la variété, mais de temps en temps elle aimait saisir l'occasion quand elle se présentait à elle.



Je restai coi sur le moment, tant la situation me semblait vicieuse.



Si seulement elle savait que je bandais parce que je pensais à sa mère... Quelle aurait été sa réaction ? Aussitôt une image à la fois sublime et interdite se grava dans ma mémoire, celle de la mère et la fille dans le même lit, s'offrant toutes les deux à moi.



Cette pensé provoqua un afflux de sang monstrueux dans mon membre, ce qui sembla plaire à ma femme...

Elle se pencha et me glissa au creux de l'oreille.

Vivement qu'on soit seul tous les deux ce soir...

Sa main descendit sur mon paquet qu'elle écrasa d'une poigne de fer, la douleur me fit frissonner de plaisir. Je ne sauterai certainement pas la mère ce soir, mais il y avait de grandes chances que je passe un très bon moment avec la fille.

Le voyage se passa sans encombre, et nous arrivâmes bien assez vite dans l'allée du domicile de mes beaux-parents.

Tandis-que je me garais, mon beau père vint ouvrir la porte. Il était en costume, comme à son habitude. C'est un homme assez grand, et plutôt beau, relativement chic et soigné, dont seuls les cheveux grisonnants trahissent l'âge.

Après avoir échangé les banalités d'usage, et avoir rentré nos affaires dans le hall, ce fut au tour de ma belle-mère de se présenter.

Elle portait une robe ultra moulante blanche, au décolleté relativement sage pour une fois, seule la partie haute de sa poitrine était visible, pas grand-chose d’apparent, mais juste assez pour se faire remarquer, et une paire de talon blanc cassé. Je ne m'en rendis pas compte tout de suite, mais sa lingerie, string et soutien-gorge, était noire, et se devinait très facilement au travers du tissu de sa tenue.

Classique mais aguicheur, exactement comme je l'aimais.



Ils prirent les s pour les amener au salon tandis que je m’apprêtais à monter les sacs dans les chambres du deuxième.

Ma femme s'approcha de moi et me susurra :

T'as vu comment elle est habillée encore ? C’est vraiment pas de son âge, comme d'hab.

Bah c'est pas nouveau, tu la connais hein, et puis elle est encore bien foutue non ?

Elle avait l'habitude que je lui dise ce que je pense de la sorte, même si bien entendu je ne pouvais pas non plus lui dire tout ce que je pensais de sa mère.
..

On l'appela et j'en fus ravi, car cela me permit d'écourter cette conversation, vieille rengaine depuis que nous sommes ensemble, sur le fait qu'elle devrait faire plus attention devant les s etc...



N'aimant pas trop ces réunions de famille, que je trouve très bien pour mes s, mes horriblement ennuyeuses pour moi, je décidai de rester un peu seul en haut sous prétexte d'effec un peu de rangement.

Alors qu'au bout d'une dizaine de minutes je me résignai à descendre, faute d'alibi convaincant, j'entendis des bruits de pas dans l'escalier. Mon cœur s'emballa soudainement, sans que je n'arrive à en déterminer l'exacte raison.

A la façon dont les marches craquaient, il ne pouvait s'agir que d'une des deux femmes de la maison.

Ma verge se dressa à nouveau, comme animée d'une vie propre.

La porte s'ouvrit et ma muse apparut, tout sourire.

C'est ici que tu te caches ?

Elle était sublime, et l'odeur de son parfum enivrait déjà mes sens.

Tu sais bien que je ne suis pas un grand fan de toutes ces réunions, moins y a de monde, mieux je me porte !

Elle se rapprocha de moi en faisant mine de lisser sa robe.

Même quand ta chienne est dans les parages ?

Je ne m'attendais pas du tout à cela, je failli être désarçonner par sa remarque, mais je savais qu'elle voulait jouer. Elle était chez elle, c'était son terrain, et elle avait toujours été un peu rebelle quand il s'agissait de se laisser diriger. Cependant, j'étais déterminer à lui montrer que je n'étais pas encore un de ces soumis sur qui elle avait le contrôle. Après nos, trop rares, rencontres sexuelles, je savais qu'elle me désirait autant que je la convoitais. Elle refuserait certainement de l'admettre, mais je pouvais mettre fin à ce petit jeu n'importe quand, et elle en serait la première déçue.

Tu as raison, lui dis-je calmement.

De la main droite je lui fis faire les derniers pas qu'il restait entre nous.
Tandis que je l’embrassais à pleine bouche, dans un baiser langoureux où nos langues reprirent cette valse qu'elles connaissaient bien désormais, je m'assurais de la maintenir fermement contre moi par la nuque.

Elle se dégagea après plusieurs secondes exquises, haletante et légèrement perturbée à son tour.

On ne peut pas faire ça ici, tout le monde est en bas !

Tu as raison, encore une fois. Tout le monde est en bas. Mais ton maître à envie de se détendre. Et ton rôle de chienne, comme tu le dis si bien, c'est justement de t'assurer que j'ai ce dont j'ai envie, quand j'en ai envie !

Je la sentais moins sure d'elle tout à coup, mais une simple pression sur ses épaules suffit à la faire s'agenouiller.

Je me tenais le dos contre la porte afin de pouvoir bloquer tout visiteur indésirable que nous n'aurions pas entendu. Et pendant ce temps, ma salope, accroupie, défaisait maladroitement la boucle de ma ceinture.

Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer, on l'a déjà fait, et j'ai vraiment envie de me faire sucer ! Si tu es gentille, étant donné que c'est la fête des mères, tu pourras même avoir droit à un souhait que je devrais exaucer.

Ma main parcourait ses cheveux de jais, lui massant le crane pour la mettre un peu plus à l'aise.

Elle prit une profonde inspiration, et sembla retrouver son sang-froid. Cette idée de gage l'avait visiblement remise d'aplomb.

Quelques secondes plus tard, mon pénis était enfin sorti de sa cage trop étroite. Elle l'embrassa doucement tout en la frottant contre son visage. Son souffle chaud contre mon membre m'apaisait, mais je savais qu'il s'agissait du calme avant la tempête. Son autre main caressait mes cuisses, tantôt devant en descendant jusqu’au genou, tantôt derrière en remontant sur mes fesses, de façon délicate et hautement sensuelle. Je ne pouvais masquer mes petits soubresauts, ces petits frissons qui me faisaient trembler sous ses doigts.
Puis vint le moment tant attendu où elle enfourna mon membre dans sa bouche. Je laissai échapper un râle de plaisir malgré moi, car cet orifice était un fourreau divin. Mes mains parcouraient son visage en douceur, car je savais que nous aimions ce contact. Elle prenait son temps, j'aimais ça, mais nous ne pouvions nous permettre de nous absenter plus d'une dizaine de minutes encore.

Les mouvements de mon bassin lui imprimaient une cadence de plus en plus soutenue, lorsque soudain une voix retentit dans la cage d'escalier.

Mon cœur ? Ça va ?

Merde !

Nos craintes se matérialisaient soudain, ma femme demandait après moi, et elle n'était peut-être qu'à quelques marches de la chambre. Je n'avais pas le choix, je devais lui répondre, sans quoi nous serions démasqués. Je mis un doigt devant ma bouche, en signe de silence, et lui fis comprendre que j'allais ouvrir la porte pour répondre à sa fille.

Lorsqu'elle comprit ce que j'allais faire, une lueur brilla dans ses yeux, et avant même que je ne m'en ronde compte, mon sexe avait été complètement absorbé dans cette écrin humide et bouillant. Cette pute me faisait une gorge profonde car elle était excitée par le risque que l'on se fasse prendre, ce qui la bloquait cinq minutes auparavant, la faisait très certainement mouiller maintenant ! Je me mordis la lèvre inférieure en regardant cette salope qui bavait comme une chienne en chaleur sur ma queue, et la gifla en souriant afin de lui montrer que j'adorais ce qu'elle était. La poignée pivota sous ma main et la porte s'écarta d'à peine dix centimètres. Je ne savais pas où ma femme se trouvait, et je ne pouvais prendre le risque de trop ouvrir la porte et de lui offrir ce spectacle qu'elle n'aurait supporter.

Heureusement pour nous, elle était hors de vue. Vraisemblablement elle s'en était tenu à la première volée de marches. J'ouvris la bouche mais les mots ne vinrent pas.

Ma muse venait de se saisir de mes couilles de ses mains expertes, et jouaient avec d'une façon que je ne pouvais attribuer qu'à elle seule. Ses doigts virevoltaient sur la surface de la peau, tandis que sa paume écrasait mes bourses avec vigueur. A nouveau, je pouvais sentir l'envie brûlante qui la consumait d'ordinaire.

Oui tout va bien mon cœur !

Je devais trouver une excuse, et vite !

Tu sais où tu as mis les langes ? Je ne les trouve pas.

J'attendis la réponse avec une certaine anxiété, puis je baissai les yeux et vit sa cochonne de mère me pompant comme jamais.

Ils sont déjà dans le salon ! Les s t'attendent, tu sais où est ma mère ?

Elle me fait la pipe du siècle cette vieille garce !

Je viens de la voir passer, elle allait au grenier.

Ok ça roule, je t'aime !

Moi aussi !

Mon entrejambe était recouvert de bave, et mon esclave s'activait toujours avec autant de ferveur.

C'est l'heure d'y aller, tu avales et on descend ma belle.

Elle s’arrêta subitement et me toisa du regard, son visage arborant un air de défi.

J'ai droit à mon souhait ?

J'étais près du but, et je voulais en finir pour ne pas avoir l'air louche, je me résignais donc à lui accorder ce qu'elle voulait. Ses dents d'un blanc éclatant s'alignèrent pour former un sourire magnifique. Elle ne me suçait plus, mais continuait de me branler plus fort et plus vite que jamais.

Alors je vais m'arrêter ici...

Quoi ?!

J'allais la forcer à terminer, en lui rappelant au passage qui était aux commandes, lorsqu'elle continua sa phrase.

Je vais arrêter de te faire du bien, parce que je veux que ce soir, tu fasses crier ma fille. Tu vas la faire crier comme si c'était moi que tu déchirais !

Elle continua de me branler, ses yeux plongés profondément dans les miens.

Je veux l'entendre hurler de plaisir, et je veux qu'elle jouisse, que tu la démontes comme si c'était moi ! Et je veux t'entendre te vider, prendre ton pied toi aussi. Et pour ça j'ai besoin que tes jolies couilles soient bien pleines.

Je n'aurai jamais pu anticiper cela, mais au fond, même si j'étais frustré et légèrement irrité, je devais admettre que cette idée tordue me plaisait bien...

D'accord, mais je veux que tu te fasses sauter aussi ce soir alors. Si je peux entendre tes cris de salope, ma motivation n'en sera que plus grande encore...

Ce n'est pas ta fête, mais je vais y réfléchir. Marché conclu ?

Deal !

Et sans lui demander quoique ce soit, je lui fourrai ma bite dans la bouche, son front plaqué contre mon abdomen. A cause des palpitations parcourant mon sexe, je pouvais sentir mon gland gorgé de désir taper contre la fin de son palet. Je la maintins ainsi jusqu'à ce que je puisse voir des larmes poindre aux coins de ses yeux et qu'elle cherche à se reculer...

Je l’aidai à se relever, et elle m'embrassa à nouveau furtivement avant de me confier :

Elle en a de la chance de pouvoir bouffer cette queue quand elle veut cette petite gâtée !



Cette fin de journée ne s'annonçait pas trop mal finalement.



Même si très clairement, la suite des événements allait prendre une tournure pour le moins inattendue !



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