Hélène 6. Une Si Longue Attente. 2Éme Partie
Hélène 6. Une si longue attente. 2éme partie
Résumé
Pierre est parti en mission pour une semaine. Pour tromper son attente, Hélène part chez Odile pour acheter des dessous sexy.
Dans la cabine, Hélène joue de ses charmes opulents et sessaye à la cruauté sensuelle sur sa lingère
Récit dHélène
Elle me prend la main, et memporte vers ma première infidélité.
Odile mentraine dans son appartement. A peine claquée la porte de lentrée, elle menlace et membrasse. Nous mêlons nos langues quelques secondes, puis je la repousse avec délicatesse.
Je pose ma main sur son épaule et jappuie doucement.
Elle comprend et sagenouille. Elle lève ses yeux vers moi, dans une supplique muette. Je cligne des paupières. Elle soulève ma jupe, sapproche de mon sexe.
Je rabats mon vêtement sur sa tête. Sa langue me fouille, écartant mes nymphes, mâchonnant mon sexe. Un de ses doigts tente dexciter mon bourgeon.
- Sans les mains. Fais-je autoritaire.
Ses deux mains se posent derrière mes cuisses et elle plaque son visage sur ma vulve. Sa bouche gobe mon clitoris, et laspire. Ma jouissance commence à monter. Mais, sadique, je repousse sa tête. Je me retourne, lui offrant mes fesses.
- Fouillez-moi.
Toujours ensevelie sous ma jupe, elle écarte mon cul de ses deux mains, et enfouit son visage dans ma raie.
Sa langue titille timidement mon anus. Je me plie légèrement en avant et je pousse son visage au milieu de mon cul. Sa langue me pénètre, mais pas assez à mon gout. Jaccentue ma pression. Odile sétouffe entre mes fesses.
La maladresse de ma soumise me laisse insatisfaite, je la libère et je la fait se relever.
- Déshabillez-vous.
Odile est une jeune femme mince et svelte, au moins aussi souple que la cravache de Pierre. Elle a une poitrine menue, avec des pointes très érectiles.
Un beau ventre plat surmonte un sexe légèrement bombé, et complétement épilé.
- Où est la chambre.
Ma belle lesbienne mentraine à côté.
- Déshabillez-moi.
Elle commence par me déboutonner. Elle dégage mes seins de mon soutien, et les mordille. Je me laisse faire, jaime le spectacle cette beauté soumise à mes ordres. Je vais me faire adorer. Je pousse des petits soupirs pour lencourager. Puis elle descend la fermeture éclair de ma jupe, et la fait tomber.
- A genoux, enlevez mes chaussures et débarrassez-moi de mes bas.
Ma lingère sexécute et embrasse mes chevilles, puis suce mon gros orteil.
Je me dégage. Je me dirige vers le lit et mallonge sur le dos, jécarte mes cuisses, lui offrant ma fourche. Elle se précipite sur mon foin intime, elle me hume, puis me lèche. Elle agace mon bourgeon, un doigt mouillé se présente à mon orifice caché, je mouvre, elle me pistonne. Cest trop bon. Je vais me laisser faire.
Elle remonte vers mes nénés. Elle essaie de les engloutir, mais ils sont trop opulents pour sa bouche. Mes pointes se dressent, elle se venge sur elles et les mord doucement. Sa main ouvre mon coquillage, elle enfonce un, deux, puis trois doigts, elle me branle, je linonde de ma mouille.
- Léchez, sil vous plait !
Elle sexécute, suçant ses phalanges comme une gourmandise.
Je me retourne, à plat ventre, sollicitant delle une caresse plus intime. Son majeur se faufile dans mon cratère. Jondule sous son doigté. Mais il men faut plus.
Je me dégage, je lallonge, puis je lenjambe, jenfouis mon visage dans son intimité et je place mon sexe au-dessus de ses lèvres. Nous nous mangeons mutuellement. Je frotte mon minou sur son visage, le maculant de mes secrétions, je bois ses sucs en mâchouillant ses lèvres. Ses soupirs répondent à mes coups de langue. Odile nest pas en reste et elle mamène presque à lextase.
Jécarte alors mes fesses et jenfouis son visage sous mon fessier. Sa langue trouve le chemin de mon anus, et mencule. Son muscle sagite dans mon rectum. Jajoute le plaisir anal au bonheur de dominer cette si belle femme.
Bien assise, jécrase ma belle gouine sous mon sublime croupion. Je veux quelle sente ma chair voluptueuse, je sens quelle suffoque. Je lentends haleter. Je la laisse respirer. Je recommence, alternant et respiration. Je veux marrêter, mais elle en désire plus.
Cest elle qui me prend aux hanches pour plaquer ma chatte ruisselante sur sa bouche, elle me fouille en me buvant.
Elle mappuie légèrement sur une fesse. Je comprends le signal et me soulève à nouveau pour quelle reprenne son souffle.
Sa docilité mérite récompense. Je lui caresse le clitoris, et je pose mon illet sur sa bouche. Elle mhonore en me suçant puis en glissant sa langue dans cet orifice que je noffre quà Pierre. Je me redresse, et lenfouis sous mes fesses, je la domine de toutes mes formes opulentes.
Je sens quelle cherche son souffle sous cet écrasement. Je vais la délivrer. Je lui prends un téton, je serre le clitoris entre mes ongles. Et je tourne. Son cri me perfore. Elle se cambre et sabat. Je mécroule à côté delle, le visage dans son coquillage, le sien dans le mien.
Nous reprenons notre souffle. Odile se retourne et vient membrasser. Japprécie son baiser lesbien. Sa minceur se coule dans mes rondeurs.
- Vous mavez fait si mal. Cétait délicieux.
- Tu comprends maintenant mon attachement à Pierre
Ma tendresse lapaise. Je laisse le temps passer. Jai adoré cette parenthèse entre femmes.
- Odile, il faut que jy aille.
Je me lève, jenfile ma jupe, boutonne mon corsage. Je range mes dessous et mes bas dans le sac. Je rentre le cul à lair, et les seins en liberté.
Jembrasse suavement ma jolie lesbienne.
- On se reverra. Me demande-t-elle
- Peut-être. Fais-je en pensant à mon Chéri et sa cravache.
Arrivée à St Rémy, je me jette sous la douche. Je me récure à fond pour que mon amour ne sente pas les traces dOdile. Puis, je mharnache avec mon nouvel ensemble. Ce qui na rien de facile, je passe le galbe taille à lenvers, les agrafes coté ventre, je les crochète, et enfin je fais tourner lensemble pour le placer correctement. A ce moment, un sms tombe sur mon portable : « Atterrissage terminé, Maison dix-huit heures »
Une heure, mais je ne serai jamais prête. Je boucle mon soutien-gorge à la va vite, Je majuste mes seins pour que mes fraises des bois débordent à peine. Jenfile des bas coutures couleur bronzée et les fixe à lattache.
Culotte or not Culotte, comme disait Sexspeare ? Yes, je lenfile en équilibre dune jambe sur lautre,
Les talons maintenant. Première partie terminée, je me vérifie dans le miroir, tout est en place, le cul, les poupoutes : nickel ! Il va comprendre son bonheur davoir une ronde comme compagne.
Bon, que choisir, robe ou peignoir. Le peignoir, ça fait un peu pouffe qui attend son homme. Donc robe, mais la quelle. Zut, il reste un quart dheure. Et puis un flash.
Jatt une robe de printemps en mousseline et soie, descendant à mi mollet, jaune avec des motifs vert, à la taille serrée par une ceinture et un col en V, avec un châle assorti. Je la retourne et jenlève la doublure. Je la passe, je serre ma taille, et jarrange le décolleté, avec juste un peu de cicatrice apparente. Petit passage dans le miroir. Impeccable : une petite bourgeoise bien sage, comme si jallais à la messe.
Je recule dun pas, et je tombe dans la lumière du velux. Les transparences révèlent mon anatomie pulpeuse, emballée dans mes dessous.
Dix-huit heures, Je brosse mes cheveux en liberté, je suis pile-poil prête. Je mallonge sur le canapé.
Je regarde ma montre dix-huit heures dix, un coup dil à la fenêtre, rien
Dix-huit heures vingt, je tends la main vers mon mobile, mais je résiste.
Dix-huit heures vingt-deux, je nen peux plus, je pianote sur le portable
- T ou ?
- Devant la porte. Me répond lécran.
Le téléphone vole et atterrit sur le canapé, je cours à la porte dentrée. Celle-ci souvre.
Pierre est à peine dans le corridor, quune tempête vaporeuse le plaque contre le mur. Je lembrasse goulument, comme une morte de faim, je respire à pleins poumons sa merveilleuse odeur. Nous restons soudés lun à lautre de longues minutes, sans dautre bruit que celui de nos baisers.
Je le libère, lui prend la main, et je lemporte vers notre chambre. Au passage il récupère un gros sac. Je passe dune raie de lumière à lautre, montrant et cachant alternativement mes formes.
Nous arrivons dans notre suite. Mon coquin me bloque devant lencadrement de la fenêtre pour apprécier les effets de lumière. Je me sens admirée, convoitée, désirée.
- Chérie, laisse-moi me laver, ouvre ton cadeau.
Dans ce colis, je trouve trois paquets, un gros, un moyen, un plus petit.
Jouvre le premier. Jy trouve une camisole de soie jaune pâle. Puis un grand pantalon flou, du même tissu, ouvert à lentrejambe, les plis du tissu se recouvrant pour cacher et protéger les zones stratégiques. Au bas du pantalon un galon resserre les chevilles. La troisième pièce est une tunique, à manches longues, descendant jusquen dessous des genoux, se cintrant à la taille puis sévasant autour des hanches, boutonnée du cou jusquau deux tiers de la longueur. Les boutons sont si nombreux et si serrés, que je peux juste glisser un doigt entre eux. Enfin je déplie un grand gilet à emmanchures très large avec un col haut et remontant derrière la nuque. Le tout dans les tons jaunes oranges et blanc, et brodé et sur-brodé avec des motifs de fleurs et doiseaux.
- Cest magnifique
- Ouvre les autres. Me répond-il depuis la douche
Je fais voler le deuxième emballage, et je découvre un splendide turban agrémenté dune grande aigrette, dans les tissus assortis au costume.
Je déballe le plus petit. Il contient les bijoux, pour compléter le costume : collier, grandes boucles doreilles, dautres plus petites, visiblement destinées à être suspendues au turban, une chaine en or pour ma cheville et une autre à ceindre autour de la taille. Tous réalisés en pierres semi-précieuses, dont les couleurs reprennent celles du vêtement, ambre citrine, cornaline, grenat, opale.
- Tu es fou
- Ça tira très bien, ma beauté
Pierre se colle dans mon dos, je sens quil est nu, il mentoure de ses bras, en me prenant les mains, je bascule ma tête en arrière, mes cheveux caressant son épaule
- Je suis ton odalisque, mon sultan.
- Chérie, les odalisques étaient au dernier rang des femmes du Harem. Elles ne rencontraient jamais le sultan.
- Comment tu sais ça ?
- Une voix amie me la soufflé. Toi tu es ma Ba Haseki, ma première épouse, ma sultane.
Je me retourne. Pierre na pas mis de peignoir. Il soulève ma robe, et men débarrasse. Il me fait tourner sur moi-même, avec un sourire mi- admiratif, mi- carnassier. Le jaune de mes dessous saccorde à la pâleur ivoirine de ma peau. Il môte mon soutien-gorge, puis me pousse vers le lit, et me place à quatre pattes. Ma culotte glisse jusquà mes mollet. Sa langue honore mes deux orifices et les fouille tour à tour, une main malaxe un téton, lautre froisse mon clitoris.
Je suis sollicitée de toutes parts. Je coule. Il se redresse, et se présente devant ma chatte.
- Non. Prends-moi par derrière !
Il sappuie sur mon illet, qui résiste un instant, puis il souvre. Il sintroduit avec lenteur me laissant déguster chaque instant de ce délicieux supplice du pal.
Quelle merveilleuse dilatation, je le laisse aller doucement dans mon rectum.
Jai limpression de moffrir pleinement à mon Sultan. Puis je me recule, donnant dun petit coup de cul, le signal de la cavalcade.
Je lève les yeux, et rencontre mon reflet dans le miroir du dressing. Quelle image !
Je suis sur les genoux, mes seins ballotent entre mes bras, jai la bouche ouverte, jhalète, mes cheveux coulent sur mon visage. Mon amant me surplombe et me sourit, mi- tendre, mi- sauvage. Jadore cette sodomie si douce. Le spectacle reflété dans la glace menivre. Je vibre de plus en plus sous ses assauts. La main de mon amour capture le sein encore balafré, saisit mon mamelon et le pince en même temps quil me encule de plus en plus violement.
Je pars.
Quand je reviens, mon sultan est en train de dégrafer mes bas, puis mon galbe- taille. Mon corps sébroue, heureux de ne plus être contraint. Mais jai une semaine sans mon homme à rattr.
Je lallonge, jatt sa verge, je lui rends sa vigueur avec mes lèvres et ma langue. Et je mempale, à genoux sur lui. Joffre ma poitrine à ses doigts, il mes pointes, me les tord, me les tourne. Souffrance en haut, plaisir en bas, quel bonheur !
Toute la nuit, nous jouerons avec le corps de lautre. Il est infatigable, je suis insatiable. Après tout, ça fait une semaine que je nai pas connu dhomme, mon homme. Odile ne compte pas.
Nous nous sommes endormis encore enlacés. Midi nous trouve au lit, reposés et repus de lautre.
Je pose ma tête sur sa poitrine.
- Comment as-tu trouvé ce costume ?
- Ce nest pas un costume, mais de la haute couture.
- Comment ça ?
- En Turquie, pour maccompagner et me guider dusine en usine, ils mont confié à une de leurs assistantes de direction. A Istanbul, je lui ai demandé de maider à trouver un costume de sultane. Elle ma proposé daller chez un de ses amis qui est un jeune créateur. Il trouve son inspiration dans la culture ottomane, et il la mêle à une vision plus contemporaine. Cest une de ses créations que je tai ramenée.
- La société avec qui tu négocies te confie à une de leurs assistantes. Voyez-vous ça ! Fais-je ironique.
- Elle sappelle Halise, ça veut dire pure, chaste.
Silence.
Jentrecroise mes doigts avec ceux de mon sultan, puis je dépose un baiser sur son torse, à hauteur du cur. Je repose ma joue sur sa poitrine. Cest le moment de laveu. Sans le regarder, je lâche.
- Mon Chéri, je tai trompé.
Sa main écrase la mienne et se crispe.
- ...
- Mon amour, sil te plait, parle-moi
- Avec qui ?
- Avec Odile !
- Odile ? Cette grande maigrichonne. Raconte ?
Ses doigts se détendent. Et comme Shéhérazade avec son calife, pendant mille et une nuits, je fais le récit de mon aventure. Quand jai fini, je me retourne sur lui et je cherche son regard. Il a son sourire indéfinissable
- Tu vas me punir, mon amour.
- Non, jai une meilleure idée.
- Cest pervers.
- Très
- Chic.
A suivre
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