Hétéro Tenté... Le Goût Du Risque.
Jai tenu bon deux mois ! 60 jours à ne plus avoir envie de baiser Julien, le fils de mon boss. 1400 heures à ne plus repenser à ce plan cul de ouf dans la voiture à 3 h du matin. 84 000 minutes où jai vécu en homme hétéro, marié, fidèle et sérieux comme si de rien ne sétait passé cette nuit-là !!!
Vous y croyez ? Ben non, bien sûr ! Dès le lendemain de notre baise torride au bord de cette petite départementale, je recevais un texto de Julien, un sexto serait plus juste, du genre : « Hummm Malik, jai adoré ce que tu mas fait avec ta bonne bite de rebeu, on recommence quand tu veux, le plus vite possible lol ». Jai bandé direct mais jai résisté, je nai pas répondu. Il faut dire que je couvais une belle bronchite qui a calmé ma libido pendant quelques jours
Le week-end suivant, alors que jallais nettement mieux, mes potes me parlent dune soirée danniversaire de lun dentre eux à laquelle je dois assister. Je laisse femme et s à la maison et me voilà parti dans un bar avec un groupe de mecs bien chauds pour fêter lévènement.
On était bien là depuis deux bonnes heures, je navais pas trop bu vu que je devais conduire, je vois entrer un groupe de jeunes dont Julien qui me calcule direct. On se fait juste un petit signe, ils partent à lautre bout de la salle, je le perds de vue. Cest terrible comme, dun coup, mes pensées vont vers ce que je pourrais faire avec ce sacré beau gosse, je suis soudainement excité et jai de plus en plus de mal à me concentrer sur les discussions. Je sens mon potable vibrer, je reçois un texto de Julien : « Je suis en manque et tout seul aux toilettes » avec une petite photo de lui en train de se doigter
Je ne sais pas pour vous mais moi, jai instantanément eu une trique denfer et jai rien vu dautre à faire que de le rejoindre le plus vite possible.
Il mattendait accroupi, dos au mur, face à lentrée, il me souriait puis sest mis à passer sensuellement sa langue sur ses lèvres.
Il me fait une fellation extraordinaire, dun coup, je le vois ouvrir la bouche en grand, me saisir par les hanches et avancer vers moi, toujours plus, je sens mon gland buter dans le fond de sa bouche, heurter la glotte et finalement passer pour entrer dans sa gorge. Son nez est collé à mes poils pubiens, mes couilles sécrasent sur son menton. Instinctivement, mes mains se sont crispées sur sa tête pour appuyer et lentraîner dans cette gorge profonde. Cest tellement bon, je le bloque comme ça pendant de longues secondes puis je relâche sa tête, il ressort, tousse, des larmes coulent sur ses joues, de la salive tombe au sol, il inspire et, sans lui laisser le temps de réagir, jappuie à nouveau sur sa tête et je retourne dans sa gorge.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais, au même moment, jai entendu quelquun faire tourner la poignée puis frapper juste au moment où mon plaisir arrivait, jai posé mes mains sur ses joues et jai éjaculé tout mon foutre dans sa bouche. Jai cru que je ne marrêterais jamais tandis que les coups à la porte se faisaient plus forts. Julien avalait mon jus comme un affamé, jaurais voulu en profiter un peu plus mais le temps nous manquait cruellement.
Enfin vidé, jai ressorti ma bite de sa bouche, je me suis essuyé sur ses joues, jai rangé ma bite, mi molle, dans mon Jeans puis je lui ai fait signe daller senfermer dans une cabine. Jai déverrouillé la porte, je me suis platement excusé auprès du mec qui sagaçait en lui disant que javais machinalement tiré le verrou puis je suis parti rejoindre mes potes comme si de rien nétait.
Quelques bonnes heures étaient passées, javais, à plusieurs reprises, aperçu Julien qui semblait bien samuser lui-aussi. Vers 2 heures du matin, le voilà qui arrive vers moi en me demandant si je pourrais le ramener, il avait lair davoir pas mal bu et préférait laisser sa voiture dans la rue. Je nallais pas le laisser prendre le volant dans cet état et, bizarrement, le voir aussi vulnérable mexcitait à nouveau. Nous convenons que, quand je serais prêt à partir, je lui ferais signe, il repart samuser de son côté.
Un bon quart dheure plus tard, on décroche enfin, comme cest moi qui pilote, tout le monde monte dans ma voiture ainsi que Julien. Evidemment, et même sil eût été plus logique de le déposer en premier, je me suis débrouillé pour le raccompagner en dernier.
Arrivé chez lui, il se penche vers moi, on se roule une pelle, il me met la main au paquet, il me dit quil a envie de moi et minvite à monter pour baiser dans son lit.
Ça fait un bon moment quon samuse et quon sexcite avec nos préliminaires, il ma bien sucé et mordillé les tétons, léché le ventre, embrassé les cuisses. Moi, je lui ai massé le dos, mordillé les oreilles, léché le dos en suivant la colonne vertébrale, jai embrassé et peloté ses fesses. Ma langue a titillé et lubrifié son trou déjà bien ouvert et mouillé. Ny tenant plus, Julien, dune voix suave et pleine de désir me dit : « Vas-y Malik, mets-la moi, je te veux en moi, jen peux plus ».
Il était allongé sur le ventre, je suis doucement remonté en lui embrassant le dos. Il écartait ses fesses pour moffrir son trou. Mon gland sest posé dans sa raie, je lai guidé pour le placer à lentrée et jai poussé sans marrêter pour menfoncer entièrement en lui, jusquaux couilles. Il avait enfoui sa tête dans loreiller quil mordait, je suis resté en lui sans bouger pour quil shabitue. Il a relevé la tête et ma dit : « Défonce-moi ! ».
Il voulait être défoncé, je lai défoncé dans plusieurs positions ! Je lai pris en levrette, puis les jambes et le cul sur son lit, le buste pendant au sol. Il est venu sempaler sur moi de face et de dos, tantôt cest lui qui montait et descendait, tantôt, je lui donnais des coups de reins secs. Je lai baisé debout, lui dos au mur, les jambes enroulées autour de mes hanches et les bras autour de mon cou. Enfin, je lai couché sur le dos et je lai fini en légionnaire en lembrassant à pleine bouche. Jai joui en lui au moment où il crachait son jus sur nos ventres collés lun à lautre.
Je me suis effondré sur lui, vidé, essoufflé, exténué et en sueur. Il était 3h22 au radio réveil. On a dû sendormir rapidement, sans sen rendre compte. Cest un bruit qui ma réveillé. Jétais perdu puis, dun coup, jai réagi, 4h46, Pascal, le père de Julien se levait pour aller aux toilettes sûrement, jai reconnu sa toux de fumeur. Je suis resté sans bouger, sans même respirer, pétrifié à lidée dêtre surpris à poil dans le lit de son fils. Les idées qui me venaient étaient que jallais me faire casser la gueule et expulser manu militari. Jimaginais les conséquences : le chômage suivi de la fin de ma famille, javais une trouille denfer ! Pendant quil se soulageait, je me suis levé, jai ramassé mes affaires comme jai pu, à la lueur de la bande de lumière qui passait sous la porte. Julien dormait à points fermés, je me suis habillé à la hâte et je me suis plaqué contre le mur derrière la porte. Jai entendu Pascal repasser dans le couloir, il sest arrêté derrière la porte et jai vu la poignée tourner. La porte sest entrouverte, il a passé sa tête, a vu son fiston dormir et, sans bruit, a refermé puis est parti dans sa chambre. Jai eu tellement peur que javais limpression que les battements de mon cur résonnaient dans toute la maison, javais des sueurs froides, mes jambes flageolaient et josais à peine respirer. Je me disais que sil avait ouvert en allant aux toilettes, je serais mort ! Jai dû attendre un bon quart dheure et, espérant quil se soit rendormi, je suis parti sans faire le moindre bruit.
Dans la voiture, jai été pris dun fou-rire de dingue ! Je lavais échappé belle mais quel kiff !
Arrivé chez moi, je suis resté dans le salon et cest endormi dans le canapé que ma femme ma trouvé en se levant vers 8h30. Elle ma même remercié de ne pas lavoir réveillée !
A partir de ce jour et jusquau départ de Julien pour suivre ses études, jai passé deux mois ou 60 jours ou 1400 heures ou encore 84 000 minutes à imaginer des plans incroyables pour baiser avec lui
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!