La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°859)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°858)
Lorsque je regagnai la chambre dhôtel le soir, un mail du Maître mattendait
« Ma chienne, je te veux au Château dimanche soir ! Exceptionnellement mon jet privé nest pas disponible et donc tu devras prendre la route après avoir déposé tes filles chez ton mari après le déjeuner. Tu arriveras tard, alors tu iras directement au Chenil pour te reposer. Tu laisseras ta voiture devant le perron du Château, tu y laisseras tes vêtements et tout ce qui fait ta vie vanille dedans. Comme à laccoutumée, tu te mettras en tenue de ce que tu es, une simple soumise. A dimanche comme exigé ! »
Mon chef mavait proposé de prendre mon vendredi de congé pour préparer mes affaires pour mon départ, mais ne possédant plus grand-chose, javais refusé. Ce jour passa vite, jallais chercher mes filles chez leur père qui madressa à peine un bonjour. On voyait bien quil ne me les laissait pas de gaité de cur. Jaurai tellement voulu pouvoir parler avec lui, essayer de lui faire comprendre que ma relation avec le Maître navait rien de répugnant, de honteux, et quau contraire cétait grâce à Lui que javais retrouvé confiance en moi, que je mépanouissais. Mais il ne men laissait jamais loccasion, prétextant, dès que jessayais dentamer une conversation, quil avait des choses urgentes à faire ou que ma façon de voir les choses de ma relation D/s sortait de lentendement. Le week-end se passa rapidement, à profiter à fond de la présence de mes filles, et à préparer les petites choses que jemmenais avec moi dans le Beaujolais
Je déposais mes filles chez mon mari puis je pris la route jusquau Château qui se passa sans encombre. Certainement pour ne pas me retarder, je ne reçus aucun ordre sur le trajet. Jarrivais devant la noble Demeure à 23h. Obéissant au message que javais reçu, je me garais devant le perron, je me dévêtis, je passais mon collier, ma laisse, posais mes pinces aux tétons, me bâillonnais la bouche, menfonçais un plug long et épais dans le cul, et je me dirigeais frissonnante vers le Chenil.
- Allez, debout la chienne ! il est 7h du matin, et il faut te préparer pour ton premier jour de travail auprès de Monsieur le Marquis. Et je te préviens de suite, Il est au moins aussi exigeant envers Ses chiens au Château, quenvers ses employés vanille, mais beaucoup plus avec ceux qui portent les deux casquettes !
Sur ses mots, Il empoigna ma laisse et me tira sans ménagement hors de ma niche et du Chenil. Il me conduisit aux écuries et après mavoir à nouveau arrosée au jet deau, il métrilla vigoureusement, en noubliant aucune partie du corps, pas même mes parties intimes à la peau si sensible ! Une fois récurée, il mautorisa à me tenir debout et à mettre des chaussures avant de memmener au Château afin de ne pas gâcher son travail minutieux de propreté. Mais dès le pas de la porte, il fallut à nouveau me mettre en quadrupédie dans une nudité totale. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Là Marie, la perverse cuisinière du Château vint près de moi, après avoir salué chaleureusement le Majordome. Sa main passa vicieusement sur tout mon corps, palpant, malaxant, étirant tout ce qui pouvait lêtre, tétons, lèvres, lèvres intimes
elle fourra sans préparation trois doigts dans ma chatte bien excitée et après quelques vas et viens, me fit lécher ses doigts.
- Tu dois avoir faim et soif la chienne, alors viens te désaltérer à ma source, dit-elle avec un sourire vicieux.
Et elle sapprocha encore plus de moi. Elle resta debout, jambes écartées et me plaquant ma tête entre ses jambes, elle souleva sa robe aux dessous sans aucune culotte, puis elle mordonna de la lécher.
- Eh la chienne ! Maintenant que tu as bien bu, viens vite manger ta pâtée ! Je ty ai rajouté un petit complément alimentaire, qui ne pourra que te faire du bien, vu la longue journée qui tattend !
Je me dépêchais donc daller à quatre pattes vers lassiette quil venait de poser au sol et de la laper goulument. Jétais affamée, je ne mis pas longtemps à la vider et à la nettoyer consciencieusement avec ma langue
Je me demandais en quoi la journée allait être si longue. Aujourdhui, même si au fond je restais la chienne du Maître, je commençais mon nouveau travail de secrétaire de direction, et donc jallais me retrouver près ou dans le bureau du Noble.
- Ma chienne
À genoux ! Regarde-moi !
(Jobtempérais immédiatement, essayant tant bien que mal de soutenir son regard bleu acier)
Je ne pense pas que tu ais mesuré ce qui allait tattendre. Tout soumis ou soumise MDE en ce Château, a des tâches quotidiennes à effec, en dehors de leur spécialisation. Et ils doivent tous être toujours entièrement disponibles pour quiconque pourrait vouloir se servir des choses et objets que vous êtes tous ! Puis suivant ce quils faisaient dans leurs vies vanilles, ils ont également à faire ce que jattends deux suivant leurs compétences. Pour certains, cela les amène à aller à lextérieur, à passer parfois plusieurs jours loin du Château
Mais toi, tu as la chance de devenir Ma secrétaire de direction, en contact quasi permanent avec Moi et donc tu néchapperas pas aux corvées de Ma noble demeure ! Mis à part aujourdhui, où, dans Ma grande magnanimité, je tai permis de mattendre ici dans le bureau tout ce temps, tu devras suivant le planning que Walter aura préparé, aider aux cuisines, faire partie des équipes dentretien des différentes zones et pièces de ce lieu ancestral, et ce de 6h à 9h du matin.
Le Maître reprit son souffle, puis continua :
- Ensuite, tu auras encore ton dressage de chienne à subir, les corvées du soir que timposera Walter. Quand nous devrons recevoir des RDV professionnels, tu seras prévenue et à lheure exigée tu devras passer la tenue qui sera préparée pour toi et qui se trouvera dans le placard qui se trouve là à ta gauche. Il pourra arriver aussi que tu maccompagnes dans des déplacements professionnels. Ne tinquiète pas, je ferai en sorte que cela ne gêne pas tes tours de garde de tes s. (Le Maître laissa planer un long silence, me permettant dassimiler tout ce que je venais dapprendre et de comprendre ! Effectivement, mes journées nallaient pas être de tout repos !) Et maintenant, aux pieds Ma chienne ! Et suis-moi
Monsieur le Marquis dEvans ouvrit une porte qui se situait juste derrière son bureau. Là se trouvait une toute petite pièce, avec une lucarne pour toute ouverture et lumière, avec une table, un ordinateur, et une chaise équipée dun plug fixé à la verticale.
- Voilà ton poste de travail ! Tant que je nexigerai rien dautre de toi, tu seras assise empalée ainsi toujours pluguée, et tu travailleras ici. Pour aujourdhui, je tai préparé une pile de dossiers à étudier et à mémoriser pour ce soir ! Je compte sur toi pour avoir tout retenu, sinon tu seras sanctionnée. Chaque jour tu auras, en plus des tâches que te demandera ton poste, une partie des dossiers, jusquà ce que tu connaisses sur le bout des doigts tout ce qui touche Mes entreprises. Pour le reste de la journée, comme ce matin, tu es dispensée des corvées, je veux que tu en apprennes le plus possible, le plus rapidement ! Ah, jallais oublier, je ne veux pas que tu me déranges pour rien, mais sil y a quelque chose que tu ne comprends pas, je préfère que tu viennes Me le demander. Tu viendras à Moi toujours à quatre pattes et tu attendras en position standard que je daigne te laisser texprimer. Et maintenant, avant de te laisser travailler, il faut que je me soulage, et nai pas envie de perdre mon temps à aller jusquaux sanitaires, alors à genoux, et ouvre la bouche ! Bois Mon divin nectar !
(A suivre
)
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