Kary Partie-08
Vendredi 8 avril
-Démarre ta voiture et va prendre lautoroute en direction Est
Dit moi en tout temps ou tu es rendue.
Enfin Maitresse reprenait son contrôle sur moi. Mais quavait-elle en tête. Je ne sais pas, mais cest merveilleux dobéir de nouveau à cette femme pleine de mystère. Je démarre la voiture et mengage sur le boulevard devant moi. Je roule tout en essayant dimaginer ce que pourrait faire de moi cette femme imaginative. Cette fin de semaine je suis en congé, je ne travaille que lundi matin. A-t-elle prévu une fin de semaine pour nous deux. Quest-ce quelle attend de moi. Que de suppositions, et didées qui me hantent. Mais je dois seulement me concentrer sur la voie de ma Maitresse et de lui obéir sans penser. Je suis à elle, et ma seule raison dêtre est de la servir. Oufff! Est-ce que jai vraiment pensé cela
-Je mengage présentement sur lautoroute Madame.
-Parfait, continue et prend la sortie # 42, au feu de circulation tu vas prendre à gauche.
Une fois que jai eu tourné à gauche je me suis retrouvée sur un petit chemin de campagne. Il y avait des champs invisibles dans le noir et une ferme de temps en temps.
-Jai tourné à gauche sur le petit chemin de campagne Madame.
-Continue, lorsque tu vas voir une longue clôture blanche à ta droite, surveille bien, tu vas voir une entrée avec un mur en pierre de chaque côté sur lesquelles il va y être inscrit en grosse lettre Arden, tu entre à cette endroit.
Arden, cétait le nom vanille de Madame. Elle mamenait chez elle. Je me suis mise à trembler et grelotter sans pouvoir marrêter. Cela me rassurait quand même un peu, elle était venue chez moi, mais je pourrais enfin voir chez elle aussi. Cela me confirmait en quelque sorte que cette relation semblait être faite pour durer. Jai tourné dans cette entrée et 30 mètres plus loin je me suis retrouvé face à une grille soutenue par deux grosses colonnes en pierre.
-Je suis devant une
la grille Madame.
-Bien tu vas passer cette grille et immobiliser ta voiture sur le côté immédiatement après.
Pendant quelle me disait ses mots, jai vu la grille souvrir devant moi. Elle sest séparée en deux parties et chacune delle sest engouffrée dans une colonne. Jai avancé pour dépasser cette grille et je me suis arrêtée sur le côté de lentrée. Des frissons incroyables parcourraient mon corps. Maitresse paraissait si jeune. Si ses parents arrivaient à limproviste et nous surprenait.
-Arrête le moteur à présent et fou toi à poil.
Mon sang sest glacé, mais je devais obéir. Pendant que je retirais mes vêtements pour me retrouver dans mon plus simple appareil, jai vu, dans mon rétroviseur, la grille se refermer derrière moi.
-Je te veux nue comme un verre, tu vas garder seulement ton téléphone à la main et tu vas marcher le long de lallée sans tarrêter.
-Oui Madame.
Mon téléphone à la main, jai fermé la portière et commencé à marcher dans le noir sur cette petite rue privée et asphaltée. Je marchais lentement regardant autour de moi nerveusement. De chaque côté du chemin il y avait à tous les 20 mètres environ un petit lampadaire dun mètre de hauteur qui balisait lallée. Après plusieurs mètres jai vu à ma droite des bâtiments de ferme qui ressemblaient plutôt à des garages. Une sentinelle les éclairait. Ils semblaient bien entretenus. À ce moment, si quelquun voulait mobserver, il le pouvait à souhait. La sentinelle éclairait mon corps nue et sans défense. Je me souviens encore de lémotion qui mavait envahi à cet instant, Un mélange de peur, dangoisse et dexcitation. Une fois passé ces bâtiments il y avait une courbe sur le chemin qui mempêchait de voir plus loin. Jai donc continué à marcher. Soudain jai aperçus une grosse maison cossue devant moi.
-Entre dans le garage petite salope.
-Oui Madame.
Juste à lentrée du garage jai été changé en statut de pierre. Le garage était vide. Il y avait seulement une chaise à un mètre de moi, et un peu plus au fond, 2 mètres plus loin, il y avait une cage au milieu.
-Écoute moi bien maintenant salope, tu vas fermer ton téléphone, le déposer sur la chaise, tu vas entrer dans la cage et refermer la porte avec le cadenas qui est sur le plancher juste à côté. Bonne nuit petite salope, exécution
-Oui Madame.
À ce moment précis ma peur a refait surface, mes mains étaient moites. Mais mon désir profond dappartenir à quelquun comme un objet, dêtre sans contrôle sur ma vie était si intense que mon esprit obligeait mon corps à obéir malgré cette situation irrationnelle. Jai donc fermé mon téléphone que jai déposé sur la chaise. Je me suis approchée timidement de la cage. Elle faisait environ .5 mètre par .5 mètre avec une profondeur de deux mètres. Je devais donc my insérer en plaçant les pieds en premier. Une fois que je my suis allongée, je navais pas dautre alternative de toute façon, sa hauteur ne me permettait aucune autre position. Jai pris le cadenas par terre en passant ma main au travers des barreaux. Et je lai fixé aux anneaux de la porte de la cage. Lorsque jai entendu le clic de celui-ci me rendant prisonnière dans cet endroit inconnu mon cur à fait trois tours.
Jétais seule au milieu de ce garage, dans un endroit inconnu, sans savoir ce qui arriverait ensuite. Je métais jetée dans la gueule du loup.
Toutes sortes de pensées se sont bousculées dans ma tête pendant de nombreuses heures. Jamais je ne pourrai dormir dans cet état desprit métais-je dite. Puis un bruit de porte, une lumière, un sursaut
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