Rencontre Au Fastfood
Comme assez régulièrement, je faisais la queue au McDonalds du centre commercial La Part Dieu à Lyon. Jy prends assez fréquemment mes repas du midi, une à deux fois par semaine. En cette période de solde, il y avait affluence et nous étions serrés les uns contre les autres dans la file. Jattendais mon tour en consultant mes messages lorsque je sentis ce qui ne pouvait être quune main passer sur mes fesses. Cette caresse, rendue dautant plus agréable que jétais épilé du week-end et que je portais un string sous mon pantalon de costume, ma immédiatement électrisé. Ne doutant pas quil sagissait dun geste involontaire, jai commencé à fantasmer. Cest alors que la caresse cest reproduite, plus prononcée cette fois. Je nai pas bougé, je pense même avoir cessé de respirer le temps que la main baladeuse passe dune fesse à lautre. Lorsquelle est revenue, jai eu un petit geste vers elle, pour lui montrer que jétais consentant. Elle malors doucement caressé du plat, menserrant parfois chaque fesse. Elle sest immiscée sous ma veste et seul le tissu de mon pantalon me séparait de sa peau que je sentais chaude. Lorsquelle a senti le haut de mon string, elle sest immobilisée quelques secondes puis du bout des doigts elle a suivi la ficelle, passant entre mes fesses, les faisant trembler de plaisir. Ny pouvant plus jai tourné la tête.
Derrière moi se tenait un bel homme, en costume, un peu plus grand que moi de quelques centimètres. Je lui donnais 45 ans et lorsque nos regards se sont croisés il ma fait un grand sourire, un peu lubrique peut être. Je lui ai rendu son sourire et me suis retourné, mabandonnant à ses délicieuses caresses. Quelques instants plus tard, je lai senti se pencher vers moi il me susurra : « Tu ne voudrais pas que nous allions ailleurs ? Tu veux visiter mon bureau ? ». Lorsquil sest décollé de moi et quil a commencé à séloigner, sans attendre ma réponse, je lai suivi. Cest ainsi que nous nous sommes retrouvés dans son bureau, à quelques pas du centre commercial.
Toujours sa langue dans la mienne, ses lèvres contre les miennes, jai senti ses mains descendre et cest à deux quelles ont repris ce quune avait entamée au McDo. Jondulais sous le plaisir quil me procurait. Je fis tomber ma veste puis la sienne. Je me décollais un peu pour lui caresser le torse, ouvrant sa chemise bouton par bouton. Arrivé au pantalon, je dégrafais sa ceinture, défaisant son bouton et descendais la fermeture éclair. Son pantalon tomba au sol, dévoilant un caleçon qui ne pouvait contenir un sexe tendu qui, du bout des doigts, me semblait dune taille plus quhonorable. Je marrachais alors à ces lèvres et entrepris de descendre massurer de ce que mes doigts avaient sentis. Je descendais doucement, le caressant du bout de la langue, mattardant sur ces tétons tendus, sur ses abdominaux biens formés, son nombril. Jattrapais les bords de son caleçon et le descendais doucement entrainant son sexe avec lui. Il remontât sèchement lorsquil fut libéré de lélastique et je pus admirer un beau sexe de 20 bons centimètres pour facilement 5 de diamètre. Je relevais les yeux, il me regardait avec un sourire satisfait tandis que je commençais à le caresser. Ses toujours en le regardant dans les yeux que jai approché mes lèvres de son gland et que jai commencé à lavaler.
Jai alors entrepris une lente fellation, faisant coulisser son membre dans ma bouche, salivant pour lui donner plus de glissant. Allant et venant lentement, marrêtant sur son gland, le gardant au chaud dans ma bouche tandis que ma langue le massait. Je le sortais de ma bouche, le léchant sur toute sa longueur, remontant, titillant le haut de son gland tandis que mes mains le masturbaient. Finalement jai entrepris des mouvements plus vifs qui ont été interrompus pas ses mains qui, me prenant la tête mont guidées vers ses lèvres. « Arrête, je ne veux pas jouir trop vite » me dit-il en commençant à me déshabiller à mon tour. Lorsque je me retrouvais en string, ces mains se sont précipitées sur mes fesses que plus rien ne protégeait de ses caresses tout en me disant « Tu as un cul magnifique, je nai pas pu résister ».
Sur ce, il me retourne et il se colle à moi, je sens son sexe venir entre mes fesses au creux desquelles il entreprend un lent va et vient. Je le sens frôler ma rondelle tout juste protéger par la ficelle de mon string. Doucement il me penche vers lavant et je prends appuis sur son bureau. Ces mouvements saccélèrent, mon souffle aussi jusquà je le sente descendre en me caressant le dos puis les fesses. Je sens la ficelle de mon string être déplacée sur le côté, lui offrant ma rondelle palpitante. Cest sans attendre que je sens sa langue venir parcourir mon sillon, passer sur mon illet sans sy arrêter mais me faisant gémir tout de même. Finalement, après en avoir bien fait le tout, je sens sa langue se forcer un passage et me prodiguer un divin massage. Je sens sa salive minonder et sa langue me titiller entrant, sortant, meffleurant, maspirant.
Lorsquil se redresse jai très envie de lui, quil me fasse lamour. Je ne suis pas déçu lorsque je sens son gland jouer quelques instants entre mes fesses avant de se positionner et de me pénétrer.
Haletant, je le sens venir se coller contre mon dos, membrasser le cou et il me dit « Quest-ce que tu es bon. Jai pris un pied formidable et toi ? ». Je lui réponds : « Moi aussi jai pris mon pied. Jadore ta queue. ». Là-dessus, je le sens sortir et cest un regret, comme un coup de blues, un manque. Il mapporte alors, sans un mot, une boite de mouchoirs et jessuie sa semence qui commence à couler de mon illet encore béant. Je messuie aussi le sexe enduit de ma propre jouissance tandis quil fait de même. Toujours en silence, comme perdu dans nos pensées, nous nous rhabillons et, sur un denier bisous, je quitte son bureau pour rejoindre le mien dans une tour voisine. Jespère que je le reverrai, ce nest pas tous les jours que lon se fait draguer et que lon tombe sur un baiseur pareil.
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