Basculer En Enfer (4)

Chapitre 6 : point de vue de Marion

Deux semaines après mon aventure avec David (mon grand black), que je n’avais d’ailleurs pas eu l’occasion de revoir, son boulot de nuit ne me le permettant pas. Je fus invitée par une amie à une soirée chez Julie.
Je dois d’abord vous parlez de Julie. Elle était réputée pour être la plus grosse salope de mon école, tous les fantasmes auxquels on pouvait se laisser à imaginer, elle les avait déjà réalisées, et même ceux qui ne nous auraient pas effleurés l’esprit. Voilà ce que je pouvais en dire mais je n’avais eu l’occasion de la croiser que deux ou trois fois dans les couloirs de l’école.
Elle faisait des soirées gigantesques dans une maison énorme qui appartenait à ses parents, évidemment très riche. Ces soirées étaient réputées pour virer au grand n’importe quoi, contrairement à la dernière (voir chapitre 1 et 2) et pourtant à celle-ci je finis prise par un mec que je connaissais à peine devant une dizaine de personnes y compris mon mec de l’époque. Je me promis de me tenir tranquille cette fois-ci, je ne veux pas aggraver ma réputation.
Je m’y rendis avec mon amie, à peine arrivée je pus remarquer une foule énorme (on était au moins 120). Plusieurs personnes étaient dans la piscine, certaines toute habillé dont les filles qui laissaient apercevoir leurs seins à travers. Plusieurs gars jouaient à des jeux d’alcool type bierre-pong ou des jeux cartes.
La soirée se déroula très bien, je bus que très peu ce qui me permettait de ne pas faire de bêtise. Deux, trois gars vinrent me draguer mais je les ai éconduits poliment. La soirée bascula lorsque je perdis mon amie, je partis à sa recherche dans le jardin, quand je fus apostrophée par deux gars.
« Ah mais c’est la salope qui s’est fait tirer par Maxime à la dernière soirée ! »
Je virai au rouge, et le mec repris :
« ça te dit de nous tailler une pipe à mon pote et à moi, tu ne seras même pas obligé de le faire devant tout le monde »
Je ne répondis pas au début puis finalement lui dis-je :
« Désolé je ne suce que les grosses bites »
« Voilà qu’elle répond la coquine, attend de la voir avant de juger non ? » Me dit-il
A contre cœur je décidai d’entrée dans son jeu, je me dirigeai vers lui et lui mis ma main sur son membre, je le sentis toute suite se tendre.

« C’est vrai, est-ce que ça vous dit, toi et ton pote, d’aller un peu plus loin à l’abri des regards ? »
« Mais quand tu veux salope »
Je les saisis tous les deux par le haut de leur jean pour qu’ils me suivent, une fois arriver dans un coin tranquille, les deux mecs se déboutonnèrent à la vitesse de la lumière, par peur que je change d’avis sans doute.
Leur deux bites dressaient se tenaient devant, moi je m’agenouillai devant eux puis plaça un mec deux chaque côté de mon visage et je commençai à les branler.
« Pour sucer, il faut utiliser sa bouche » me dit ironiquement l’un des mecs.
« Je t’ai dit, que je ne suçais que les grosses bittes »
Il poussa un petit rire gêné. Pourtant, sa verge était de taille tout à fait normale.
Je les astiquai pendant 5 min, d’une masturbation énergétique. Ils continuèrent à m’insulter et m’encourager à les sucer mais j’avais mon idée en tête. Lorsque je sentis qu’un allé venir je ralentis pour accélérer la jouissance de l’autre, je voulus qu’ils viennent exactement au même moment, cela demander une concentration extrême.
Puis enfin je touchai au but je ne mis que plus de vigueur dans mes branlettes et écarta ma tête de devant leurs bites. Cela eu pour effet qu’ils éjaculèrent chacun sur leurs sexes mais aussi sur leurs vêtements. Ils me traitèrent copieusement de salope.
« C’est bien la dernière fois que vous me traitez de salope, sinon je raconterai à tout le monde d’où provienne ces tâches et de préférences sexuelles pour les garçons c’est compris ? »
« Et pour le sperme que tu as sur les mains ? » Me dit l’un des gars
En simple réponse je portai mes doigts et mes mains à la bouche pour lécher et nettoyer le sperme que j’avais dessus, je détestai ça et n’en manger jamais mais c’est la seule imagination qui me vint.
« Pour vos vêtements ça sera plus dur à enlever ! » Leur dis-je dans un clin d’œil.
Puis me leva et retourna dans la maison.

A l’intérieur, tout avait complètement changé, la soirée avait viré au grand n’importe quoi comme on me l’avait promis.
Une fille, aux formes vertigineuses et en bikini, était allongée sur une table et des gars s’amusaient à la tartiner de diverses choses et mettre de l’alcool dans son nombril ainsi qu’un morceau de citron dans la bouche. Je compris finalement que c’était un tek paf en plus sexy.
Diverses bagarres, éclata à droite à gauche, entre mecs mais j’en vue une aussi avec deux filles .
A une table on jouait simplement aux pokers. Voulant être sage je me joins à eux.
Je m’aperçue que la fille en face deux mois étaient seins nues mais qu’elle se protégeait de ses cartes. Il faisait un strip poker… Un des gars me dit qu’ils venaient simplement de commencer et que si je voulais je pouvais intégrer la partie.
Pour qu’il n’insiste pas, je réponds que je jouerai la prochaine partie.
La partie se déroule, les deux meufs qui jouent se retrouvent très vite nues et sans cartes pour se protéger. Elles ont de petits seins agréables à regarder. Du côté des gars un a perdu et est complètement à poil, les 3 autres sont torses nus.
Je suis à côté de Julien un beau gosse de l’université, je ne peux m’empêcher de mater son torse. Bizarrement je sens que je commence à mouiller et touche discrètement mon entrejambe de temps à autres. Julien ne semble pas prêter attention à moi mais est à fond dans le jeu.
Puis je sens une main se poser sur ma cuisse seulement recouvert d’un collant. Je frissonne à ce contact. Je pose délicatement la main sur la sienne en signe d’approbation. Il s’aventure d’avantage, et caresse l’intérieur de cuisse, je n’en mouille que davantage.
Il semble se déconcentrer et perd le fil, il doit enlever son pantalon à mon plus grand plaisir. Je devine la forme de son membre au repos au travers son caleçon. Il continue son exploration et plaque sa main contre mon pubis, je plaque sa main pour qu’il ne me quitte plus. Toutefois, je ne voulais pas faire de bêtise en venant, alors je lui chuchote à l’oreille :
« Je reviens, toute suite »
Il me sourit, je craque.
Puis je file en direction des toilettes. En passant, à côté de l’escalier, j’entends des cris de jouissance, j’ignore combien ils sont pour faire autant de bruit.
J’arrive devant les toilettes, j’ouvre la porte et quelle fut ma surprise lorsque je découvre, les deux gars que j’ai branlées précédemment dans les toilettes. Un sur les toilettes, l’autre à genoux le sexe de son compère enfouis dans la bouche.
« Oh désolé » Dis-je dans un grand éclat de rire, tout en refermant la porte.
Je me dis que dans cette immense maison, il doit bien y avoir d’autres WC.
Enfin je découvre une grande salle de bain, possédant des toilettes. Seulement dans la douche je vois une fille seins écrasé contre la porte avec un mec la prenant par derrière. Je me dis tant pis, de toute façon je ne venais pas pour uriner mais me remaquiller.
Je reviens finalement près de Julien et m’assied. Il m’affiche de nouveau son magnifique sourire. Cette fois je craque totalement, et je pose ma main sur son sexe. Il fut surpris mais reste sans rien dire.
Il est maintenant 4h du mat, la maison s’est considérablement vidée, maintenant tout doit se passer à l’étage.
Soudain, un jeton tombe, m’accroupi pour voir où il est et je découvre qu’il a roulé sous la table. Je mets la main dessus et lorsque j’entame ma remontée, j’aperçois le sexe de Julien fièrement bandé sous son caleçon.
Je ne peux attendre, reste sous la table et sors sa queue de son caleçon. Je dépose un baiser sur le bout de son gland. Puis le lèche, j’enroule ma langue autour. Je lèche maintenant l’intégralité de son membre, fait plusieurs allers-retours avec ma langue. Il bande totalement et je l’avale maintenant totalement. Je baisse et relève ma tête lentement le long de sa queue, j’adore son goût et pourrait le sucer toute la soirée que ça ne me dérangerai pas. Une goutte de pré-sperme apparait sur le haut de son gland, je la lèche d’un petit coup de langue. Je la trouve déjà meilleur que le sperme des gars que j’ai léchée tout à l’heure. Je referme à nouveau mes lèvres sur son pénis et reprend ma fellation.
Enfin je le sens se contracté et entoure sa bite autour de la nappe pour éviter dans mettre partout.
Je sens du liquide traverser le tissu puis je me rassied et vois Julien transpirer. Cela devait être compliqué de rester concentrer sur la partie.
Finalement il fait tapis et perds la partie. Il enlève son caleçon puis m’embrasse à pleine embouche sans prévenir j’entoure son cou de mes bras et nous embrassons langoureusement. Nos langues se lient ensuite il me prend par la main et m’entraine à l’étage, on cherche une chambre vide mais toutes sont occupés. Désormais j’entends des cris de jouissance seulement à l’étage encore au-dessus.
On finit par trouver ce que l’on cherche une grande chambre avec un énorme lit King Size. Il me pousse sur le lit et m’enlève ma robe puis mon string, se met à me lécher rapidement ma vulve qui était déjà bien trempé puis je lui saisis le visage et lui dit :
« J’ai trop envie de toi, maintenant.. »
Il m’écarte bien les cuisses et présente sa queue à l’entrée de mon vagin avant de me pénétrer doucement, quand il est parfaitement en moi il entame de lent va-et-vient. Je suis aux anges. Il me roule des pelles, m’embrasse les seins et surtout me pénètre de son engin. Je sens toute sa longueur s’enfoncer dans ma chatte, je tressaille et atteint l’orgasme au bout de 4-5 min tellement que j’attendais ça avec impatient. Heureux il m’embrasse de nouveau. Je me délecte de ses lèvres, de sa langue. Je me dégage de sa bite et me place à quatre pattes sur le lit. Je n’aime pas habituellement être prise dans cette position avant d’être dans une relation stable mais là j’ai confiance.
Il se place derrière moi avec son sexe tendu et me pénètre à nouveau délicatement, je pousse un râle de plaisir.
Cette fois c’est lui qui jouit au bout de 4-5 minutes, je sens son sperme s’écoulait dans mon sexe et j’adore ça. Il continue à me prendre pendant quelques minutes mais son pénis rend les armes. Et s’enlacent dans un nouveau balais de langue. On fera l’amour deux autres fois pendant la nuit et puis une dernière fois avant que je parte au petit matin.
J’ai pris un pied d’enfer à m’abandonner totalement à lui.

Le lendemain, je retrouvai mon amie que j’avais complètement oubliée et partîmes ensemble