Un Plaisir Solitaire Qui Mène À Plus (Prolongations 3)
Je lentends se lever, venir à côté de moi. Je le vois debout et, avec ce sourire que je commence à connaitre, se pencher et membrasser. En ouvrant les lèvres pour le recevoir je sens un liquide chaud tomber dans ma bouche avant que ces lèvres ne se soudent aux miennes et je comprends quil me fait partager le nectar de mon plaisir. Je lavale avec plaisir, je ne suis plus à ça prêt. Lorsque nos bouches se séparent je lui demande si son dessert lui a plu. Il me regarde étonné et me répond : « Mais il nest pas terminé, ce nétait que le trou normand. ».
Sur ce, il va reprendre sa place sur sa chaise, entre mes jambes quil att et pose sur ces épaules. Mais que va-t-il encore me faire ? Il va me faire mourir ! Je sens alors le plug bouger par petits à coups, davant en arrière. Immédiatement mon je sens une vague de plaisir envahir mon bas ventre. Je reste allongé et profite de ce nouveau plaisir. Je le sens maintenant forcer un peu pour sortir et la première boule passe sans trop de difficultés avant de forcer à nouveau pour entrer. Ce petit jeux va se prolonger 5 ou 6 fois, marrachant un gémissement à chaque passage. En fin de compte, je sens la seconde boule quitter mon sexe du moment et je ressens un grand vide. Je le sens alors se lever en gardant mes jambes sur ces épaules et le vide est bientôt combler par son sexe qui simmisce en moi doucement mais ferment, sans arrêt jusquà ce que je sente ses hanches contre mes fesses. Sa queue est plus grosse et plus longue que le plus mais il est rentré sans douleur et cest un nouveau plaisir qui menvahit tandis quil commence à aller et venir en moi doucement, profondément. Parfois il sort complètement me laissant un vide quil comble rapidement en me pénétrant dun coup sec, marrachant un soupir. Et puis, comme plus tôt, tout saccélère, ses mains attnt le haut de mes cuisses fermement et ses mouvements se font plus amples et plus rapides. Il me tire vers son bassin lorsquil mencule et le pousse lorsquil sort et ainsi de suite à une vitesse qui ne cesse de croitre.
Il repose doucement mes jambes et me redresse pour me prendre dans ses bras. Nous restons ainsi un bon moment, le temps de reprendre notre souffle et nos esprits. Revenu à la réalité, je le repousse doucement, nous nous regardons et je lui dis :
- Merci. Je ne pensais pas que lon puisse ressentir de telles choses. Merci pour ce plaisir que tu me donnes.
- Mais de rien. Tu minspires ce soir et ton cul est décidément trop accueillant. Excuse-moi si jai été un peu bestial mais je nai pas pu me contenir, te voir allongé ainsi sur la table, avec ton bustier et tes jambes gainées de bleu sur mes épaules, ça ma rendu fou.
- Tu nas pas à texcuser, cétait intense et très bon. Vien, allons prendre une douche.
Je le prends par la main et lamène ver la salle de bain. Heureusement que jai fait installer une douche à litalienne, nous aurons largement la place pour deux. Je quitte ma lingerie, non sans passer un petit moment à tenter de défaire une agrafe dune jarretelle quil réussira finalement à ôter. Cest alors que nous étions nus tous les deux que je me suis pleinement rendu compte de ce qui se passait. Jétais en train de menvoyer en lair avec un mec et jadorais ça. Leau chaude nous a fait du bien et nous nous sommes méticuleusement savonnés lun lautre en noubliant aucune parcelle de peau, même les endroits les plus cachés furent astiqués.
Finalement, nous nous sommes retrouvés sur le canapé, moi en caleçon et lui en boxer, sagement, sur le canapé pour lui et sur le fauteuil pour moi, devant une nouvelle bière. Au bout dun moment de silence, il me surprend en me disant : « Je crois que je taime bien aussi en lingerie. Jaurais même une petite préférence pour cette dernière. ». Je lui demande alors ce quil aimerait que je porte. Face à son hésitation, je linvite à venir choisir. Je lui présente ma collection et il ne met pas longtemps à choisir une guêpière seins nus en cuir couleur abricot et son string assorti. Pour les bas, il opte pour une paire noire avec de larges jarretières. Je prends le tout et vais me changer dans la salle de bain. Je linvite à rester dans la chambre et à se mettre à laise.
Dans la salle de bain jenfile ma tenue, jadore la sensation du cuir tendre de la guêpière sur ma peau. Je passe les bas que je fixe aux jarretières de la guêpière. Pour le string cest un peu plus compliqué car il nest pas très extensible. Je me regarde et jaime ce que je vois, cest très sexy. Je laisse tomber le maquillage, jai bien compris le message. Quant à la perruque, ça fait un moment que je lai perdue je ne sais où. Je récupère le kimono qui traine au sol et lenfile. En retournant à la chambre, je passe par la salle et vois le plug sur la table et je pense aux jouets qui sont toujours sur la table du salon. Je vais y jeter un il mais je ne vois rien qui mattire. Il y en a même dont je ne comprends pas lutilité. Au bout du compte, le plug à la main, je me dis pourquoi pas ?
Je vais récupérer le flacon de lubrifiant qui se trouve sur la table de la salle et retourne dans la salle de bain. Vais-je réussir à lintroduire tout seul ? Je descends mon string, prends une noix de gel que japplique sur ma rondelle que je sens encore ouverte et sensible. Je présente le plug, force un peu et la première boule passe mais pas sans douleur.
Satisfait je me dirige vers la chambre. Mon amant sest couché, il mattend étend sur le dos, sous les draps. Il me demande de montrer ma tenue. Jouvre le kimono et je vois tout de suite que cela lui plait. Il me surprend en me demandant de venir me coucher, il est vanné et à besoin de récupérer. Un peu déçu, je quitte le kimono et me glisse sous les draps. Je viens contre lui et me penche pour lembrasser. Je reçois sa langue avec bonheur et nous échangeons un long et sensuel baiser. Lorsque nos lèvres se quittent, il me fait un petit bisou et me souhaite bonne nuit. Je suis un déçu, javais autre chose en tête en venant me coucher. Je mallonge contre lui qui reste sur le dos. Je mendors rapidement, nos ébats mont fatigué plus que je ne le pensais et quelques heures de sommeil ne seront pas volées.
Je suis réveillé dans la nuit par une main baladeuse. Nous avons bougé pendant la nuit et nous sommes en cuillère, lui dans mon dos. Sa main me caresse le torse, sattarde sur mes tétons qui pointent immédiatement, descends le long de ma guêpière, passe les hanches et me caresse le haut des cuisses. Humm ! Quel réveil sensuel. Je le laisse faire jusquà ce que sa main saventure sur mon string et commence caresser doucement mon sexe tendu. Ma respiration saccélère et il sen rend compte.
Mais, loin de sendormir, il continue. Pour ma part, je sombre dans un doux sommeil, bercé par sa main. Main, qui saventure maintenant sur mes fesses, se frayant un passage entre nos corps. Elle sattarde un moment, simmisce entre mes fesses, ce qui me sort de mon sommeil. Un bout inquisiteur se rapproche de mon illet, qui nest protégé que par la mince ficelle de monstring, et jattends sa caresse. Mais cest le frein du plug quil rencontre. Je lavais oublié celui-là. Son doigt surpris, le palpe, en fait le tour et il comprend. « Ho mon coquin » me dit-il. Il att alors le frein et commence à jouer avec. Il le bouge doucement dans tous les sens mélectrisant tout le corps. Je suis maintenant bien réveillé et je respire fort sous ces caresses. A son souffle je sens quil est aussi très excité. Je passe une main dans mon dos, à la recherche de son sexe pour men assurer. Je le rencontre et il est bien tendu. Je commence un lent va et vient sur sa queue, au rythme des mouvements du plug. Je le sens maintenant enfoncer et tirer, les mouvements sont plus forts et sans prévenir, ce sont les deux boules qui sortent lune après lautre marrachant un gémissement immédiatement suivi dun autre lorsque je sens son sexe me pénétrer. Nous navons quasiment pas bougé et il est toujours collé à moi, plus proche maintenant que son sexe ma complètement envahit. Il reste ainsi sans bouger un long moment. Seule sa main a repris ses caresses et je me serai facilement endormi comme sil navait pas commencé à bouger. Très lentement.
- Ce que jaime ton cul ! Il est trop bon, chaud et accueillant.
- Cest parce quil aime ta queue quil est comme ça. Si tu savais le bien que tu lui fais, que tu me fais. Jaime la sentir en moi bien profond. Jaime la sentir bouger comme tu le fais.
- Humm ! Jaime glisser en toi. Tu me sens-là ?
- Oui ! Viens ! Prends-moi doucement. Viens fort.
Il senfonce profondément, marrachant un soupir daise. Comme jaime le sentir en moi. Comme jaime ces mouvements lents qui me font profiter de son sexe. Ces mouvements lents me permettent de sentir son gland en moi. Je le sens reculer, venir en buter sur ma rondelle qui lempêche de sortir, je le sens revenir en moi. Je sens tout. Toutes mes extrémités nerveuses sont en ébullition. Le bien-être quil me procure me fait gémir à chacun de ses mouvements. Quand je le sens défaillir, accélérer, je larrête en glissant une main entre nous. Jen veux encore plus.
Il me prend alors dans ses bras et il nous retourne, je laccompagne dans le mouvement et je me retrouve sur lui. Il est sur le dos, son sexe en moi, moi à califourchon sur lui dos tourné. Je comprends, je suis empalé sur sa queue. Il me dit « Fait toi plaisir ». Il nen faut pas plus, dautant que je sens ses mains sur mon dos qui me massent, descendent sur mes fesses. Je commence alors à profiter de se sexe. Je remonte doucement, je sens son gland prêt à sortir alors je me mempale vivement et recommence. Je suis tout à mon plaisir. Je sens le plaisir monter, je sans la jouissance venir. Mon string en cuire me comprime, me fais mal tellement je suis prêt à jouir mais pour rien au monde je narrêterais se plaisir de le sentir glisser en moi. Soudain ses caresses sur mon dos sarrêtent, Je le sens se redresser contre mon dos. Il me prend les hanches et, toujours en moi, me pousse. Je me retrouve à 4 pattes, lui derrière moi, bien enfoncé. Je me sens tellement offert dans cette position.
- Il faut changer pour faire durer. Me dit-il.
- Je veux profiter de ta queue. Prends-moi. Viens, encule-moi fort !
- Tu laimes ma queue, tu la sens bien
- Je perds la tête je nen peux plus, jai besoin de jouir.
- Ho oui ! viens prends moi.
Je sens ses mains sur mes hanches qui magrippent. Il senfonce profondément marrachant un cri de jouissance. Mais il continue ses mouvements lents. Je nen peux plus, je plie les bras, lui offre mon cul. Mais il continue à me ramoner lentement, je vais mourir de plaisir. Ses mains me massent le dos tandis quil va et vient toujours lentement. La sensation de son gland en moi aller et venir est telle que je perds toute notion. Chaque fois que je le sens prêt à sortir, je sens son gland en butée sur mon anneau. Chaque fois quil senfonce je sens son gland menvahir. Je nen peux plus. Je vais à la rencontre de son bassin, accélère le rythme. Il a compris et je le sens plus tendu, ses mains se raffermir sur mes hanches. Je veux quil perde son contrôle, quil me prenne profondément. Je veux jouir en le sentant jouir en moi.
Viens maintenant, fais-moi jouir !
Tu es sur ?
Oui, viens, prends moi, fais-moi jouir !
Il accélère alors en gardant lamplitude de ses mouvements, mes gémissements se transforment en cris de plaisirs tandis quil me ramone plus fort. Je lentends gémir, grogner tandis que ses cuisses tapent contre les fesses. Je le sens se contracter, senfoncer profondément. Je le sens jouir en moi en poussant un râle de plaisir. Une nouvelle fois cette sensation me fait jouir et cest ensemble que nous nous effondrons sur le lit.
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