Karine Et Moi Pendant Le Stage
Karine et moi pendant le stage
Pour valider ma dernière année détude, je devais faire un stage de six mois en entreprise. Jai fini par décrocher mon stage dans une petite entreprise à 200km de chez moi. Lorsque je suis arrivé, le directeur de lentreprise ma fait faire le tour de son entreprise pour que je rencontre lensemble du personnel. Cela ma permis tout de suite de voir les femmes de lentreprise. Pour être honnête, il ny en avait pas beaucoup car lessentiel du personnel est masculin. Deux de ces femmes ont attiré mon attention.
La première sappelle Cécile. Cest une brune denviron 30/35 ans. Elle mesure environ 1m65 et elle est plutôt ronde. Elle a une jolie paire de seins et un cul très généreux. Elle possède une voix magnifique qui charme tous ceux qui lentendent. La seconde sappelle Karine. Elle est blonde, les yeux marrons. Elle doit faire 1m70 et contrairement à Cécile, elle est très fine. Elle a de très petits seins mais son cul est rebondi sans pour autant être énorme. Elle est moins belle que Cécile mais bien quétant finalement assez quelconque, elle dégage un certain charme. Elle a 37 ans.
Pendant mon tour de lentreprise, chacun me présente son travail mais je dois avouer que lorsque Cécile me présente le sien, je suis bien plus intéressé par ses courbes que par sa présentation. Je suis assis à coté delle et je peux sentir son délicieux parfum. Je mapproche un peu delle et je fini par poser ma main sur sa cuisse mais elle me repousse gentiment. Japprends par la suite quelle est mariée et surtout je vais assez rapidement comprendre quelle est la maitresse du directeur de lentreprise bien que ce dernier est au moins 30 ans de plus quelle.
Jai découvert leur relation un jour où je suis allé voir le directeur. Lorsque jai frappé à la porte de son bureau, personne na répondu mais jai entendu des bruits qui ne mont pas laissé de doute sur les activités du directeur.
«
- Jai une question à vous poser si vous avez le temps.
- Je nai pas le temps, repasse demain, je ne suis pas en forme car je suis malade.
- Très bien à demain et soignez vous bien ! »
Malade ! Mais bien sur. Il était surtout exténué davoir sauté une salope qui a trente ans de moins que lui. Naïvement, je me demande ce quelle lui trouve avant de me souvenir quil doit avoir un très bon compte en banque et quil peut lui donner des avantages. Du coup, jai compris une chose, cest que je ne baiserai pas Cécile. Je vais donc me rabattre sur Karine.
Je ne la fréquente pas beaucoup par le travail. En fait je la vois essentiellement à la pause de midi. Pendant ces déjeuners, jen ai appris davantage sur elle. Elle est mariée et elle a deux s. Cela ne va pas me faciliter la tache pour me la faire mais jai déjà baisé des femmes mariées qui se disaient heureuses en amour. Pendant ces repas, jai plusieurs fois eu loccasion de la frôler, de lui toucher le bras ou de me coller à elle pour accéder à un placard par exemple. Au fur et a mesure, jai constaté quelle se laissait de plus en plus faire. Une fois elle ma fait venir dans son bureau pour mexpliquer une démarche administrative. Jétais assis à coté delle et malgré la présence dune autre collègue juste en face, lorsque jai posé ma main sur sa cuisse, elle na rien fait pour me repousser.
Malgré tout, il nous était assez difficile daller plus loin sur notre lieu de travail et elle ne pouvait pas se libérer après le travail à cause de ses s et de son mari.
Ces deux fameuses semaines arrivent enfin et lorsque jarrive au boulot le lundi matin, je découvre Karine qui porte une robe bien plus courte et sexy que dhabitude. Il sagit dune robe noire à bretelle qui sarrête mi-cuisse. Elle a du boulot alors jentame le mien et finalement nous nous retrouvons tout les deux à la pause de midi. Lorsque jentre dans la salle de pause, elle entame la conversation :
«
- Au moins on ne va pas être séré pendant quinze jours !
- Non cest sur.
- Cest plus relax quand ni le chef ni les autres ne sont pas là.
- Cest pour cela que tu thabilles plus relax ?
- Oui ! Pourquoi elle te gène ma tenue ?
- Pas du tout. Elle te va très bien et elle te me plus en valeur que celles que tu as dhabitude !
- Cest gentil. Si ça te plait alors je pourrais mhabiller comme ça sans culpabiliser.
-Ca ne me gène pas du tout. Il faut se mettre à laise.
- Si en plus javais un bon massage ça serait le top ! »
Nous discutons ensuite normalement mais au moment de partir, elle me dit : « cest dommage comme il y personne dautre dans la salle, on ne peut pas se frotter lun à lautre pour passer ! »
En début daprès midi, elle me demande de venir à son bureau. Elle me demande mon avis sur des commandes qui doivent être faites. Lorsque nous avons terminé, je me lève mais elle me pose une autre question. Comme je dois me pencher sur lécran et que je suis derrière elle, je pose mes mains sur ses épaules nues.
«
- Pourquoi tu ne las pas dit plus tôt que tu masses aussi bien ?
- Jai pas de talent particulier !
- Tu te débrouilles tellement bien. Mmmm quest ce que cest bon.
(Je commence alors à faire des bisous dans son cou et mes caresses vont de plus en plus vers ses seins qui pointent à travers sa robe. Au passage, jai remarqué que Karine ne porte pas de soutient gorge. Elle gémit sous mes caresses).
- Mon dieu quest ce que cest boonnnnn. Continue je ten supplie. Ca fait des années que je ne me suis pas senti aussi bien !
- Je peux te faire encore plus de bien si tu veux.
- Ouiiii vas y ! »
Elle sabandonne totalement à moi et si jen crois sa façon de réagir, son mari ne doit plus trop ou pas bien soccuper delle. Pour lui donner encore plus de plaisir, je viens me placer devant elle. Je magenouille et je dépose des baisers sur ses cuisses tout en les caressant. Puis elle écarte davantage les cuisses et pose ses jambes sur son bureau. Elle ne porte pas de culotte et elle mouille tellement que son siège est trempé. Je pose alors ma langue sur son clito. Je lui fais un cunni et je la doigte. Elle gémi encore plus fort et son corps se raidi. Elle me dit que son mari ne lui a jamais fait ça et quil ne la baise pas bien les rares fois où il soccupe delle. Après seulement quelques minutes de ce traitement, elle atteint déjà lorgasme. Je me redresse et je la regarde. Elle a un regard que je nai jamais vu chez elle. Un regard de coquine qui en veut encore. Elle défait ma ceinture et elle baisse rapidement mon pantalon et mon boxer. Elle caresse un peu mon torse mais cest ma bite qui occupe tout de suite son attention. Elle me dit quelle est bien plus belle que celle de son mari.
Je retourne donc à mon bureau mais je nai pas été très efficace. Nous avons baisé tous les jours pendants ces deux semaines. Nous avons baisé un peu partout, sur son bureau, sur le mien, dans le hall daccueil ou dans la salle de pause. Nous avons baisé dans tous les sens, debout, sur nos chaises, sur la table, sur nos bureaux, sur limprimante et même sur des machines-outils. Je pensais quavec le retour des autres, Karine allait reprendre sa vie davant mais jai, pour mon plus grand plaisir, compris que ce nétait pas le cas.
Un matin, elle me demande de venir à son bureau pour régler une affaire. Elle porte un chemisier assez ouvert et une jupe qui sarrête au dessus des genoux. Comme nous sommes toujours en été, elle ne porte pas de collants. Je massois à coté delle et elle mexplique son truc. Je vois que la collègue qui est en face est absorbée par son travail. De toute manière, elle ne peut voir que nos têtes et nos épaules et elle na pas une tête à être cochonne et à se douter que lon peut faire des trucs au boulot. Je décide alors de poser une main sur la cuisse de Karine. Elle fait comme si de rien nétait mais elle écarte davantage les jambes. Je fais alors glissé ma main le long de sa cuisse et je rencontre un bout de tissu. Voila quelle met des dessous maintenant ! Mais cela ne marrête pas et je passe mes doigts dessous. Je caresse délicatement sa chatte. Jenfonce finalement un doigt en elle mais elle serre immédiatement les cuisses et baisse la tête pour cacher les spasmes que cela lui procure. Elle prend mon bras pour que jenlève ma main de sa chatte.
Je retourne à mon bureau un peu déçu mais très excité. Une heure plus tard, Karine passe à mon bureau et me demande de venir laider faire linventaire des pièces qui sont arrivées car le magasinier est en arrêt maladie. Je marche derrière elle en direction du magasin et je ne peux mempêcher de bande en regardant son cul qui est parfaitement moulé par sa jupe. Sur le chemin, je remarque que plusieurs bureaux nont plus de porte et quun artisan est au travail. Karine minforme que toutes les portes sont remplacées par des portes qui assureront une meilleure sécurité. Nous arrivons donc au magasin. Il sagit dun grand hangar qui contient toutes les pièces qui vont être utilisées par lentreprise mais aussi les machines prêtent à lexpédition. Karine referme la porte et mentraine dans le fond du hangar où se trouve un énorme groupe de cartons. Karine me dit alors que le magasinier a eu le temps de faire linventaire avant de partir et quelle a une activité bien plus intéressante à me proposer. Elle tire alors un carton et sengouffre dans le tas de cartons. Jentre à mon tour et je comprends que Karine a construit une sorte de pièce secrète entre les cartons. En fait, elle a posé de gros cartons tout autour dune étagère et elle a vidé un espace entre deux étages de cette étagère. Karine repousse le carton pour combler le trou par lequel nous sommes entrés. La hauteur sous plafond est basse et nous devons rester à quatre pates et encore, en baissant la tête. Mais nous avons assez de place pour nous allonger. Par contre nous ny voyons pas grand-chose car il fait quasiment nuit noire entre les cartons. Je dois avouer que je suis épaté par son idée et je comprends ce quelle a fait pendant ces heures sup de la veille.
Je mallonge sur le dos et Karine vient sallonger sur moi. Elle membrasse à pleine bouche tandis que mes mains parcourent ses fesses. Au bout de quelques minutes nous sommes finalement nus. Karine veut me sucer mais elle manque de hauteur pour se mettre à coté de moi et elle manque aussi de place sur le coté. Nous nous allongeons donc sur le coté et Karine parvient à pivoter pour que lon se place en 69. Je sens sa langue entrer en contact avec ma bite pendant quelle caresse mes couilles. De mon coté, ma langue lèche son clito et rapidement, elle entre dans sa chatte. Elle me demande de la prendre violement comme je le faisais pendant les deux semaines où nous étions seuls. Elle parvient à se positionner contre moi. Ma bite est contre ses fesses. Je la fourre finalement en cuillère. Je passe un bras autour de son cou tandis que de mon autre main jagrippe ses hanches. Je la baise sauvagement pendant de longues minutes. Karine ne peut plus retenir ses cris. Mais comme je ne sais pas si les murs de cartons nous isolent bien, elle place sa bouche contre mon avant bras pour ses gémissements.
Karine, qui est très excitée, me demande de dépuceler son cul. Je suis assez surpris car elle me lavait jusqualors toujours refusé. Je lui demande si elle en est sur et elle me le redemande. Comme nous ne pouvons pas trop bouger, je plonge mes doigts dans sa chatte pour les humidifier et étaler de la mouille jusquà son petit trou. Jinsère doucement un doigt qui rentre assez bien. Je la doigte et je lui caresse le cul un long moment. Jinsère un deuxième doigt. Elle me demande alors dy aller pour de bon. Je place ma bite devant son trou et je menfonce doucement en elle. Elle pousse un cri de douleur mais je continue davancer un peu avant de me retirer. Je refourre ma bite dans son cul et cette fois, je vais un peu plus loin. En prenant le temps, jarrive finalement à entrer ma bite en entier. Je fourre alors Karine comme une salope. Elle fini par prendre son pied même si je sens des larmes couler contre mon bras contre lequel elle plaque son visage pour ne pas hurler. Je fini par inonder son cul. Karine tourne sur elle-même et vient se blottir contre moi.
«
- Merci cétait trop bon !
- Au début tavais pas lair de penser ça.
- Non mais après tu mas fait tellement de bien. Cest vraiment trop bon. Mon mari est vraiment un con de navoir jamais voulu me prendre par le cul.
- Oui je confirme. Faut être un gros con pour ne pas sauter un si joli cul !
- En plus pour débuter, sa bite maurait fait moins mal.
- Tu tes bien ouverte quand même. Jai connu des dépucelages plus compliqués.
- Oui mais
»
Karine sinterrompt en entendant la porte du magasin souvrir puis se refermer à clé. Même si nous sommes très bien cachés, nous ne devons pas faire de bruit et nous sommes coincés. Karine massure quelle na mis que des cartons qui ne partent pas avant plusieurs semaines pour faire notre nid damour donc normalement personne ne va toucher aux cartons. Nous entendons deux personnes marcher. Un homme et une femme pour être exact. Karine comprend tout de suite qui ils sont car il ny a que deux clés pour ouvrir le magasin. Une est en sa possession, lautre est au directeur et comme il na plus de porte à son bureau, il a du trouver un autre endroit pour se faire Cécile. Très rapidement sa théorie est vérifiée lorsque nous entendons les voix de Cécile et du directeur. Nous avons un grand moment de stress lorsque nous sentons des cartons bouger. Mais heureusement, elle a aligné plusieurs rangers de cartons pour faire les murs. Les deux amants doivent être en appui sur létagère dans laquelle nous sommes. Nous restons lun contre lautre et nous entendons tout. Voici en résumé et en accéléré (bien que cela est durée dix mminutes maximum) :
«
- Vas-y ma cochonne de secrétaire, suce-moi la bite.
- Oui monsieur avec plaisir.
- Laisse-moi libérer tes gros nibards de salope. »
Nous entendons des bruits caractéristiques dune pipe. Puis Cécile commence à gémir. Il doit lui faire un cunni ou lui bouffer les seins. Puis il reparle :
«
- Lèche moi le cul ma pute adorée.
- Oh vous êtes un coquin monsieur.
- Tes une chienne, je suis sur que tu aimes ça. Et puis ça me fait bander si dur !
- Oh jespère que je vais en profiter après ?
- Tinquiète pas ma petite Cécile. Si je te file une prime à la fin du mois, je veux que ça en vaille le coup alors je vais déglinguer ta chatte de maman infidèle en manque de bite. »
Nous entendons des bruits de langue, des râles de plaisir et finalement les gémissements de Cécile. Il la prend sans retenu et cela fait bouger létagère. Entendre la douce voix de Cécile mexcite énormément même si je trouve quelle exagère un peu dans ses cris. Mais bon, elle doit satisfaire ce vieux pervers qui la saute pour avoir sa prime. Karine est elle aussi excitée par la situation et elle me branle doucement. Finalement elle vient se placer sur moi. Elle sallonge et ma bite entre en elle. Elle plaque sa tête contre mon cou pour ne pas faire de bruit et serre ses bras autour de moi. Je pose mes mains sur son cul et je la pénètre pour notre plus grand plaisir à tout les deux. Au dessus de nous, le vieux ne tiens pas très longtemps et dans des cris assez étranges, il se vide dans Cécile. Finalement ils repartent et lorsque la porte du hangar se referme, jaccélère ma pénétration. Nos corps claquent lun contre lautre et je rempli la chatte de Karine qui jouit puis se relâche et reste contre moi. Nous restons un peu lun contre lautre mais cela fait déjà deux heures que nous sommes dans notre abri cartonné.
Nous nous rhabillons comme nous pouvons. Karine ne trouve plus sa culotte et pour cause, je lai mis dans ma poche. Nous sortons doucement des cartons. Nous ajustons nos habits. Elle tente une dernière fois de trouver sa culotte dans le noir mais finalement nous retournons dans les bureaux. Les autres me demandent comment cela cest passé. Je réponds que je pensais que ça serait plus long et plus chiant surtout ! Avant de débaucher, je retourne voir Karine en prétextant de lui rendre le dossier de linventaire que nous avons fait. Dans la chemise qui contient le dossier, jai ajouté sa culotte et un post-it où jai écrit : « Surplus étrange : Une culotte très humide ». Elle nest pas à son poste. Je demande à la collègue coincée den face de lui dire que jai apporté ce dossier.
Le soir, je reçois un SMS de Karine qui me dit quelle trouve que le travail que jai fait au cours de linventaire est excellent. Tout comme la rédaction et la mise à jour du dossier que jai fait après. Nous sommes retournés de nombreuses fois dans notre baisodrome en carton mais malheureusement, pour des durées plus courtes car faire un inventaire de plusieurs heures chaque jour cest assez louche ! Au fur et à mesure que les cartons des murs étaient expédiés, nous avons remis dautres cartons à la place afin que notre petite salle de baise soit utilisable jusquà la fin du stage. Vous pouvez mes donner votre avis sur ce récit ou poser vos questions à ladresse suivante : Mcpfs@hotmail.fr ou intégrer le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.
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