Les Chiens Ne Font Pas Des Chats
Valérie, grande femme blonde et distinguée, un look dhéroïne de la série Desperate Housewifes !! Cest-ce qui me faisait craquer chez elle. 45 ans divorcée depuis de longues années, gérante dun magasin de fleurs.
Elle me faisait envie, je multipliais les allusions de plus en plus appuyées. Elle ne pouvait plus ignorer mes avances, même si ce nétait que des allusions discrètes et non directes, mais elle faisait comme si.
Cest dans le cadre professionnel que je lavais rencontrée. Je lui donnais régulièrement des rendez-vous pour faire un point sur lavancée de son dossier. Je suis avocate dans un cabinet de droit des sociétés et contentieux.
Javais attendu pour lavoir et enfin je lavais eue.
Elle avait cédé alors que nous partagions une coupe de champagne dans son salon, pour fêter la fin heureuse de laffaire qui lavait amenée dans mon bureau. Elle mavait invité à passer chez elle après la fermeture de son commerce, pour fêter ça ! Dans un premier, ça navait pas fait tilt dans ma tête. Cest assez courant, après une procédure longue que les clients souhaitent fêter ça avec ceux qui ont marné sur leur dossier.
Elle portait une robe noire très classe, assez près du corps, ses jambes relevées et mises en valeur par un voile noir.
Sa tenue prouvait que pour une femme de 45 ans elle avait un corps superbe.
Je me faisais mon cinéma, me disant que cette tenue nétait pas anodine, que son invitation nétait finalement pas anodine non plus. Je me disais que tout cela nétait pas un hasard et quelle allait me céder ce soir, que cette invitation était seulement un prétexte.
Mes allusions étaient encore plus marquées que dhabitude.
Je lui avais apporté une rose rouge. Etant fleuriste elle ne pouvait ignorer le langage des fleurs. Je la complimentais sur sa tenue, sur sa beauté aussi (si, si, je vous jure que si !!). Je marrangeais pour lui toucher lavant-bras, comme par inadvertance.
Le grand jeu quoi !
Jusquau moment, où cest moi qui ai craqué, jai posé ma main sur son genou. Elle ne ma pas repoussée, jai approché ma bouche de la sienne, pour un baiser tendre dabord, puis plus torride ensuite. La chaleur venait de monter de 10 degré dans la pièce. De tempéré nous étions passé à chaud, puis à chaud-bouillant.
Jai eu le droit à des « humm Maitre, vous êtes folle, que faites-vous ? » Ou a des « Quest-ce que vous me faites faire Maitre, je perds la tête ? », quand ma langue lui laissait le temps de reprendre sa respiration. Cette femme mexcitait tant, que je me maitrisais difficilement, refusant de lâcher sa bouche, malaxant sa poitrine et ses cuisses à travers sa robe noire.
Je lai, déshabillée sur le canapé ne lui laissant que ses bas noirs. Jadore caresser une cuisse gainée, et sentir ma paume passer du voile à la peau. Je trouve que cest un moment dun érotisme fou.. Chacune ses petites lubies !! Moi je suis une tactile .Une cérébro-tactile.
Jallais mattaquer à sa petite culotte qui restait aussi (provisoirement), quand elle a arrêté mon geste en posant sa main sur mon bras :
- Cest juste pour ce soir, on ne recommencera pas, me dit-elle tout dun coup gênée.
Elle était craquante quasiment nue sur son canapé, les cheveux décoiffés, son rouge à lèvre étalé autour de sa bouche, par la pression de la mienne de bouche et par la quasi sauvagerie de nos baisers, à se poser ce genre de questions !!
- Pas de problème, je suis en couple, cest juste pour une fois, mais jai tellement eu envie de toi.
Jai fait « chuuuttt » en mettant mon doigt sur sa bouche.
Je lai repoussée sur le canapé, me suis allongée près elle, et jai entrepris de lui retirer sa culotte avec mes dents.
Nous avons fait lamour dans le salon plutôt sauvagement (il y a eu un 69 sur le tapis entre le canapé et la table de salon, à un moment), puis dans sa chambre ensuite, plutôt tendrement.
Maelenn étant au Canada, Valérie vivant seule, nous avions la nuit pour nous, elle ma proposé de dormir chez elle, une fois quépuisées, nous avons relâché notre étreinte.
Au matin, elle sétait levée de bonne heure, pour aller chercher une livraison diris et de tulipes au marché de Rungis. Elle mavait dit de rester au lit, de claquer la porte en partant, de ne moccuper de rien.
Jétais dans la salle de bain, je sortais de la douche, le peignoir de Valérie sur moi, quand jai entendu un bruit de clé dans la porte dentrée.
Valérie rentrait déjà ? Super, nous allions peut être pouvoir remettre ça avant de nous quitter !
Je suis sortie de la salle de bain, pour aller à sa rencontre, et je tombe nez à nez avec une jeune fille dans le salon.
- Euh bonjour
- Salut, me dit-elle avec une moue boudeuse, Vous êtes ?
- Laetitia
- Léa, la fille de Valérie, Vous faites quoi ici ?
- Euh, jai passé la soirée ici, et comme il était tard et que je navais pas de moyen de locomotion, ta maman ma proposé de dormir ici
Je me rendais compte en le disant que ça sonnait faux. Rien ne plaidait pour moi dans cette affaire. La bouteille de champagne à moitié vide sur la table de salon, les deux coupes avec des marques de rouge à lèvre sur le bord, moi nue dans le peignoir de Valérie et surtout
la petite culotte de Valérie qui trainait encore sur le canapé.
- Ben voyons, me dit Léa en me tournant le dos pour se diriger vers la cuisine.
Alors que jallais rassembler mes affaire pour partir (je comptais emmener la petite culotte de Valérie en souvenir), jentends la voix de Léa dans la cuisine :
- Un café tout de même ?
- Euh, oui avec plaisir
- Venez pendant quil est chaud, dit-elle en déposant deux mugs sur la table de salon, repoussant les coupes de champagne, puis en prenant la culotte de sa mère sur le canapé entre le pouce et lindex pour la déposer sur le sol.
Ma gène était manifeste, je devais être rouge pivoine, toujours nue sous le peignoir et vu les circonstances
Nous sirotions notre café, je me remettais doucement de mes émotions, quand Léa a enfoncé le clou.
- Je suppose que ma mère vous a fait le coup de loie blanche qui cède pour la première fois de sa vie à une autre femme ? Me dit-elle légèrement narquoise
- Pardon, lui répondis-je interloquée
- Oui, elle fait le coup de temps en temps pour se taper une fille !!! Elle les aime un peu plus jeune dhabitude
Je passais sur la pique à peine masquée sur mon âge
La gamine avait peut-être ses raisons dêtre froissée. (Je ne suis pas si vieille tout de même, jattaque ma quatrième décennie, mais je nai pas encore dépassé les 35 !!)
Je nen revenais pas Valérie à qui javais fait la cour pendant si longtemps, pour qui javais déployé des tonnes de séduction, mavait manipulé depuis le début ? Comment je métais faite avoir
Un sourire me vint aux lèvres. Maintenant que jy repensais, Valérie était plutôt douée hier soir, pour une débutante ! Elle savait y faire !!
La petite continua :
- Oh, je peux vous comprendre, ma mère est pas mal foutue
- Bien, je crois que je vais y aller
- Moi aussi je suis bien foutue, je tiens de ma mère non ?
La question ma cueillie.
Javoue que je navais vraiment pas fait attention à ses formes, vu les circonstances et vu ma gêne.
En effet, maintenant quelle en parlait, elle était toute mimi, blonde comme sa mère, un jean moulant qui ne cachait rien de ses jolies fesses, un débardeur qui laissait voir les bretelles de son soutien- gorge rose, lune tombée sur son bras, des petits seins, un joli minois
- Moi aussi, je peux me taper des filles si je veux, me dit-elle
- Euh
Je ne lai pas vu venir. Elle a agrippé le peignoir et la ouvert en grand, son regard fixé sur mon corps nu.
- Eh, tu fais quoi ?
- A ton avis, me dit-elle en me caressant un sein, on va baiser
- Oui, mais tu as quel âge ?
- 18 ans depuis 6 mois, tu veux voir ma carte didentité avant ?
Sa bouche sempara dun de mes tétons pour le sucer, sa main se glissa entre mes cuisses. Mes jambes machinalement souvrir pour accueillir la caresse.
Non, je nallais pas lui demander ses papiers, jallais lui faire confiance.
Je mallongeais sur le dos sur le canapé, lattirant sur moi pour prendre sa bouche, y glisser ma langue.
Ma main passa sous son débardeur pour lui caresser le dos, puis avec peine dans la ceinture de son jean taille basse à la recherche de ses fesses. Malgré que son jean soit très serré, la cambrure de ses reins laissait une espace suffisant pour que jy glisse ma main. Quest-ce quil était ferme son petit cul. Il faut vite que je la déshabille pour en profiter un peu plus de ce petit cul fier, le voir, le toucher, lembrasser, si ça ne leffarouche pas trop.
Et effarouchée Léa ne létait pas. Dailleurs, cest elle qui a provoqué cette situation, on peut dire quelle na pas froid aux yeux. Tout comme moi elle avait dû commencé très jeune à se toucher avec ses copines de classe. Ses gestes et ses caresses manquaient de douceur et de sensualité, elle était assez directe, voir brusque, mais tout ça viendrait avec lexpérience.
Nous avons fait lamour sur le canapé, là où je lavais fait avec sa mère quelques heures avant. Heureusement, elle ne ma pas demandé « Alors, je suis un meilleur coup que ma mère ? », jaurais été bien embêtée pour répondre.
Voilà, en résumé, javais couché avec la mère hier soir, je couchais avec la fille ce matin, puis jallais méclipser, disparaitre, meffacer de la surface de la terre pour éviter les histoires de famille. La situation avait lair assez tendue comme ça entre elles deux.
Jai réussi à partir avec deux trophées tout de même : la culotte de Valérie (tanga en dentelle noire) et la culotte de Léa (string rose), que jai glissé discrètement dans mon sac à main, lair de rien. Javoue les avoir ressortis et les avoir reniflé toutes les deux, une fois dans ma voiture, derrière les vitres fumées.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!