Joyeux Noël
Il ny a rien de mieux que de te surprendre en venant à Noël et de voir ta mine abasourdie lorsque je te prends dans mes bras.
- Mais tu mas dit que nallais pas rentrer
- Cétait avant quon moblige à prendre des vacances. Jai un cadeau pour toi, mais il va falloir quon aille le récupérer chez les parents, je lai oublié.
- Bravo. Viens, tu vas manger avec nous.
Le déjeuner se passe calmement, pour une première fois que je les rencontre officiellement. Quelques heures plus tard, il est temps daller chercher ton cadeau. Je sais que tu es intriguée, surtout que tu naimes pas particulièrement ça. Mais peu importe. A notre arrivée, la maison est vide, comme je lavais prévu. Ma famille est partie pour la journée chez des amis, nous serons donc tranquilles pour ton cadeau.
Je commence par te bander les yeux devant la porte et te dirige vers ma chambre.
- Je croyais que cétait les cadeaux quon emballaient, pas mes yeux.
- Tu me fais confiance ?
- Oui, mais
Je tembrasse pour te réduire au silence. Mes mains se promènent sur ton corps, me remémorant les courbes de ta silhouette. Tes hanches, tes fesses fermes, tu mas vraiment manqué, et je compte bien moffrir un excellent souvenir de ce jour. Ta robe est pratique à enlever, et tu te laisses faire. Cet ensemble en dentelle blanc me rend fou et je nenlève que ton boxer. A genoux, jembrasse tes cuisses et remonte vers ton clitoris. Tu gémis doucement quand la pointe de ma langue leffleure et je tallonge sur le lit en écartant tes jambes. Je te dévore comme je sais que tu laimes : ma langue qui remonte sur les lèvres de ton sexe, puis qui caresse ton clitoris en petits cercles jusquà laspirer totalement.
- Oh putain oui, oui, oui
Ta respiration est haletante et sentir tes mains sur ma tête mexcite encore plus. Jaime te voir prendre du plaisir sous ma langue. Je te déguste encore un moment, car je te veux humide et très excité pour le reste de ma surprise.
- Prends moi
- Pas encore.
En fait, jen meurs denvie. Mais je me sépare doucement de toi et prends ta boite cadeau. A lintérieur, je retire ton premier cadeau : un gode ventouse vibrant. Je le fixe sur le dossier du lit et te mets juste devant lui, de dos.
- A quatre pattes et suce moi.
Je retire mon T-shirt pendant que tu baisses mon pantalon et mon boxer. Je te fais reculer un peu, jusquà ce que lextrémité du gode soit à lentrée de ta chatte. Je lis ta surprise sur ton visage quand tu le sens, et jappuie sur ton dos pour que tu glisses dessus. Quand il est bien en toi, jactive de légères vibrations.
- Oh mon dieu
- Joyeux Noël
Tu me prends en bouche, ta langue sur mon gland et des sensations presque oubliées me reviennent. Je te sens fébrile car je mamuse avec les vibrations, mais je finis par les diminuer pour que tu puisses enfin me faire la fellation qui me fait envie. Tu me branles en même temps, et ta langue se promènes sur mon gland pendant que tu fais des vas et viens avec ta bouche.je me laisserais presque aller, mais je ne veux pas jouir tout de suite
. Pourtant je nen suis pas loin quand je tarrête.
- Doucement, il te reste encore des cadeaux. Joue avec le premier
Je te regarde aller et venir sur ton jouet, et je mamuse avec les vibrations. Tu vas de plus en plus vite, et je sais que tu vas bientôt jouir. Tes cris remplissent la pièce et je présente ma queue devant toi :
- Ne tarrête pas !
Je te baise doucement la bouche, je détache ton soutien-gorge et caresse tes seins. Tes tétons fièrement dressés, ils se balancent au rythme de tes mouvement. Quand tu tarrêtes de me sucer pour presque te coucher sur le lit, je sais que tu vas jouir. Je relève ton visage pour te regarder jouir, et je pince tes tétons. Je te laisse profiter de cette sensation merveilleuse qui tenvahit et je prends ton deuxième cadeau.
- Tu me fais confiance ?
- Oui
pourquoi ?
- Détends-toi alors.
Je te présente mon index à sucer, et rien que la sensation de ta bouche sur mon doigt rend ma bite en acier. De mon autre main, je pose le bijou sur ta rosette, le faisant aller et venir dessus pour que tu thabitues à la sensation. Puis doucement, je le glisse dans ton anus, ce qui tarrache un autre gémissement. Je le fais aller et venir sans le retirer et tu retires mon doigt de ta bouche pour me dire que tu as vraiment envie que je te prenne. Je le remets en place, et enfile une capote, puis je me glisse derrière toi. Rien de mieux quune levrette pour profiter de cette magnifique vue : tes fesses écartées, le bijou qui brille et qui attire irrésistiblement mon regard. Je te pénètre doucement, mes mains sur tes hanches, et je tallonge presque sur le lit :
- Je ne vais pas tenir longtemps
- Jouis pour moi, cest tout ce que je veux.
Jaccélère légèrement mes mouvements et je sens déjà que je vais jouir. Je marrête un moment au fond de toi ce qui tarrache un cri de plaisir, et je te vois onduler du bassin. Je te laisse faire en me retenant un moment puis je reprends mes mouvements en accélérant et en tirant tes cheveux vers moi. Je finis par te retirer le bandeau, nos peaux qui claquent quand elles se rencontrent, tes cris de plaisirs qui mencouragent à continuer, je finis par me vider dans la capote en me couchant presque sur toi. Je roule sur le dos, presque comme épuisé alors que nous navons pas fait lamour pendant des heures.
Je ne débande pas pour autant et je te vois messuyer le sexe avec une serviette avant de me remettre une capote et de me prendre en bouche (car je sais que tu naimes le sperme dans ta bouche, et moi non plus). Après une vigueur presque totale, tu taccroupis sur moi et me chevauchent doucement.
- Prends-moi comme ça.
Je ne me fais pas prier, une fois que tu as trouvé la bonne position je te prends sur un rythme égale. Te voir ainsi me donne envie dêtre à la place du dildo en même temps que je suis en toi. Je commence à jouer avec le rosebud et tu finis par délaisser le gode. Je sens que je vais à nouveau jouir et je te redresse contre moi, ma main qui serre légèrement ton cou. Lautre main, je la mets devant ta bouche pour que tu me suces les doigts avant que je te caresse le clitoris. Je finis par jouir en te mordant le cou, et tu me rejoins au septième ciel quelques instant après.
Allongés lun contre lautre, je me sens épuisé, et je nai quune envie, rester couché près de toi.
- Tes parents reviennent quand ?
- Aucune idée, mais certainement pas de suite.
- Je vais quand même prendre une douche, juste au cas où.
Je grogne pour exprimer mon désaccord mais je te laisse y aller. Il faut aérer la chambre, et puis jai encore des cadeaux pour toi.
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