La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°865)
Histoire d'une soumission au Château (suite de l'épisode précédent N°864) -
Olivier nu au pied du Maitre venait daccomplir lacte permettant au Marquis Evans de marquer son soumis. Ce soir Olivier passerai sa première nuit au Château, lors de son premier séjour, il avait séjourné dans une chambre, il se doutait pas que cette fois-ci il serait reçu différemment. Le Marquis Evans à lapproche du Château dit à Walte :
- Tu trouveras un endroit approprié à cette chienne en chaleur, mets là où tu sais, elle se fera saillir ainsi immédiatement.
La voiture arriva devant le perron du Château, Walter comme à son habitude vient ouvrir la portière, permettant ainsi au Marquis dEvans de descendre du véhicule.
- Laisse la voiture ici mais amène ce chien en chaleur au Chenil. Mais je te laisse la possibilité de calmer ses ardeurs.
Walter avait donc carte blanche, il se saisit dun collier et dune laisse quil apposa au cou dOlivier. Et cest à quatre pattes en suivant Walter quOlivier quitta le perron du Château. Walter tirait sur la laisse, il avait hâte darriver au Chenil. Il avait pour projet de sodomiser ce nouvel esclave. Et il souhaitait vraiment en profiter. En entrant dans le Chenil, Olivier vit au mur un système de fixation. Il comprit à la position des attaches que cétait une croix de Saint André :
- Debout le chien, sexclama Walter, et écarte les bras et les pieds et penche toi en avant
Si tu bouges trop je tattache, compris !
Olivier obéit en se penchant, il faisait saillir ses fesses. Walter déboutonna son pantalon et dun geste lent descendit son boxer, son sexe était déjà en érection et sapprocha habilement du sillon fessier dOlivier. Celui-ci tremblait autant du froid que de lattente de ce qui allait se passer. Le gland frotta contre ses fesses cherchant le passage, et c'est ainsi qu'il sentit ce pieu vivant investir son intimité sans autre préambule.
Walter dun dernier coup de rein éjacula, il planta ainsi son pieu au plus profond, ses testicules ainsi venait au contact des fesses dOlivier, un coït parfait. Olivier sentit la jouissance de Walter, sa main essaya à ce moment de venir au contact de son sexe, il voulait se masturber pour jouir à son tour. Mais le Majordome surpris son mouvement :
- Espèce de chien, je tai dit de ne pas bouger
Arrête cela de suite, seul le Maître peut te donner la permission de jouir, tu comprends bien cela ?... Tu es un objet maintenant, même plutôt un outil dédié au plaisir de Monsieur le Marquis. Donc tu dois obéir et être bien attentionné aux exigences du Maitre; crois-moi cela va faciliter les choses
Maintenant je vais te dire la conduite à tenir, tu vas dormir ce soir à même la paillasse. Demain, Marie, la cuisinière viendra tapporter de quoi manger. Dici-là, si tu as faim et que tu souhaites avaler quelque chose, mon sperme va bientôt sortir de ton anus. Tu sais ce quil te reste à faire, sur ce, bonne nuit, la chienne !
Walter quitta le chenil laissant Olivier seul
Olivier venait de subir lassaut de Walter, en restant seul il savait que maintenant il allait pouvoir se reposer malgré le peu de confort de lendroit où il se trouvait
La nuit fut des plus fraîches et il ne dormit pas comme il aurait souhaité, entre la fraîcheur et le hululement dune chouette, le sommeil tarda à venir
Le lendemain matin, cest une voie féminine qui le tira du sommeil.
- Allez, espèce de chien réveille-toi, je dois te préparer pour que tu sois présentable à Monsieur le Marquis et son cabinet des Objets, cest la pièce où il aime profiter de Ses soumis. Mais avant il faut que je te lave et surtout que je débarrasse tes parties génitales de tout poil, Monsieur le Marquis aime les zones intimes glabres. Donc espèce de chien, suis moi jusquà la cuisine mais dabord lave toi avec leau contenu dans ce broc et ce savon
Ensuite, à laide de ce rasoir je vais enlever ces poils disgracieux ton sexe en sera plus vulnérable. En fin de matinée tu iras rejoindre Monsieur le Marquis
C'est ainsi que le corps dOlivier commença à se transformer, en premier lieu son sexe dabord qui devint glabre de tout poil. Cette condition remplie, lesclave allait pouvoir de nouveau rencontrer Monsieur le Marquis et dans la pièce nommée Cabinet des Objets. La porte de cette pièce souvrit devant Olivier, cet endroit ressemblait à une bibliothèque avec des étagères sur tous les murs. Mais à la place des livres, il ny avait quune multitude dobjets D/s ! Un immense lustre de cristal flanqué au plafond était fixé à celui-ci au centre de la pièce. Une espèce de chevalet trônait au milieu de la pièce. Assis sur un fauteuil Monsieur le Marquis attendait, à côté de lui sur un plateau Olivier pouvait distinguer un objet dont la forme ressemblait à un pénis. Cétait un godemichet, et dailleurs cette pièce était remplie dobjets dont la destination était purement sexuelle...
Olivier entendit la voix de Monsieur le Marquis :
- Te voilà de nouveau en ma présence, bien tu vas pouvoir touvrir à dautres formes de plaisir. Enfin, de mon plaisir, pour linstant je souhaite que tu me montre tes talents de petite salope bien soumise. Donc installe-toi sur ce chevalet, je veux que Walter utilise ses talents à ouvrir pleinement ton anus, pour que je puisse obtenir un véritable trou destiné à ma jouissance.
Walter entra alors dans la pièce, il vit Olivier assis sur le chevalet, il allait s'occuper de lui. Le premier gode était déjà de bonne taille, Olivier fut contraint à s'allonger et Monsieur le Marquis commanda de sa voix, le début de l'introduction.
- Allez Walter, tu peux commencer le travail
Walter prit le gode le lubrifia de gel et le positionna et poussa. Olivier cru que son anus se déchirait, Walter savait comment procéder pour ouvrir les soumis. Un geste précis et régulier favorisait l'intromission, Walter aimait savoir que son travail était destiné au futur plaisir de Monsieur le Marquis. Il prenait sa mission au sérieux, Olivier gémit quand Walter commença le va et vient. Monsieur le Marquis avait bien deviné qu'Olivier était comme une femelle, qui aimait faire entendre à son entourage quelle était en chaleur. Olivier en effet murmurait de plus en plus fort :
- Oui, ouii, ouiiiii, ouiiiiiiiiiiiii !
Monsieur le Marquis était satisfait du résultat si rapidement obtenu.
Olivier gémissait de plus belle, ses jambes souvraient de plus belle montrant ainsi son désir dêtre bien pris. Walter voyant cela compris le message, le va et vient devient plus soutenu. Tout dun coup Monsieur le Marquis sexclama :
- Stoppe ! Je veux voir le résultat
Monsieur le Marquis se leva et vint constater si Olivier offrait à son regard un jolie orifice bien rond, ouvert et accueillant. Ce nétait pas le cas, lanus sétait refermé, Monsieur le Marquis conclut :
- Walter continue mais prend donc un godemichet plus grand.
Walter sourit et alla chercher sur une des nombreuses étagères, un gode de plus gros calibre. Olivier de nouveau allait être besogné et ce coup-là, il savait quelle était lobjectif. Le deuxième gode était bien plus grand, il avait été moulé sur le sexe dun chef dune tribu africaine que Monsieur le Marquis avait récupéré lors dun de ces nombreux voyages à létranger.
- Tu vas vois avec un tel engin si tu ne touvres pas plus.
Il introduisit le gode avec vigueur, Olivier gémit encore une fois, pas de délicatesse pour les soumis de Monsieur le Marquis. Le pieu entra et Olivier essaya en soufflant de se décontracter le bût était de permettre lintroduction et éviter dêtre déchirer par lengin, il voulait rapidement arriver au résultat que Monsieur le Marquis exigeait. Walter dun mouvement de va et vient de la main qui tenait le gode sodomisait Olivier, lautre main tout d'un coup gifla la fesse gauche dOlivier. Celui-ci se cabra sous le choc facilitant encore le travail de Walter, celui-ci compris alors quil devait reprendre la fessée, que le godage associé à la fessée allait contribuer à l'obtention du résultat voulu. Et ainsi pendant un quart d'heure Olivier subit une double correction, Monsieur le Marquis attendit encore cinq minutes avant de mettre un terme à l'expérience :
- Bien, bien, regardons maintenant.
Monsieur le Marquis se leva de nouveau, se positionnant derrière Olivier à coté de Walter et dun signe il indiqua à son domestique darrêter le godage. Le gode quitta lanus dOlivier dont les fesses étaient rougies par les coups reçus. Ne voyant pas grand chose Monsieur le Marquis demanda à Olivier :
- Avec tes mains écarte-moi tes fesses, montres-moi ton anus que je veux voir béant
Olivier sexécuta et des deux mains, il offrit à Monsieur le Marquis la vision sur son intimité, son anus formait un rond parfait le godage avait été particulièrement efficace. Le Marquis sen félicita :
- Bien, bien voilà un trou de lopette bien ouvert comme je les aime, c'est dans cette position maintenant que je veux te voir ouvert, disponible, maintenant je te laisse au bon soin de Walter qui va tapprendre les bons usages du Château...
Et c'est ainsi quil quitta la pièce, sans un mot de plus, laissant Olivier qui gardait toujours ces fesses bien ouvertes grâce à ces deux mains allongés sur le chevalet dans une position permettant toutes les fantaisies et prêt à se faire enculer par le Majordome
(A suivre
)
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