La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°867)
Marion au Château (suite de l'épisode N°859)
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Tu viendras à Moi toujours à quatre pattes et tu attendras en position standard prosternée que je daigne te laisser texprimer. Et maintenant, avant de te laisser travailler, il faut que je me soulage, et nai pas envie de perdre mon temps à aller jusquaux sanitaires au fond du couloir, alors à genoux, et ouvre la bouche ! Bois Mon divin nectar !
Toujours en quadrupédie, je suivie dabord Monsieur le Marquis jusquà une petite pièce toute à côté et attenante à Son majestueux bureau. Un petit espace réduit dun mètre sur un mètre pas plus, sans fenêtre et entièrement carrelé du sol au plafond. Au fond dans langle du sol, une petite grille remplaçait le dernier carreau et servait dévacuation. Je vins me placer devant le Châtelain. Je me redressai sur mes genoux, buste droit, mains derrière le dos, jouvris aussi grand que possible ma bouche, mais gardais les yeux baissés, noubliant pas que je navais pas le droit de regarder le Maître plus de cinq secondes, sauf autorisation contraire. Le Noble approcha Sa verge de ma bouche et se vida par jets saccadés, prenant Son temps, soit pour mhumilier plus longtemps, soit pour être sûr que je nen perdrai pas une goutte, ni ne mai. Je bus la totalité de ce liquide chaud, légèrement salé et amer
- Parfait Ma chienne ! Maintenant, va tempaler sur ta chaise. Organise-toi comme tu veux, mais toutes les heures, je vérifierai le nombre de dossiers étudiés, je te poserai des questions sur un au hasard. Si tu te trompes, tu seras sanctionnée. À la fin de la journée, il faut que toute la pile soit étudiée. Ceux à travailler demain sont déjà prêts. Tous ceux qui ne seront pas maîtrisés aujourdhui seront rajoutés à ceux de demain. Et pour aujourdhui nous déjeunerons ici afin que tu ne perdes pas de temps. Exécution ! Jentends ainsi avoir une secrétaire personnelle aussi efficace dans son travail que chienne salope à Mes pieds
Jallais donc à quatre pattes dans mon « bureau » ou plutôt réduit accolé également à celui du Maître.
- Lorsque je claque des doigts, chienne, tu dois immédiatement rappliquer à mes pieds, peu importe ce que tu es en train de faire ! (Sa voix était glaciale. Il navait aucun besoin délever la voix pour que Ses paroles matteignent de plein fouet !) A genoux, main derrière la tête, jai dit ! Maintenant, interrogation !
Il se dirigea vers la petite table me servant de bureau, pris les deux dossiers que javais étudié. Pendant un quart dheure, les questions fusèrent. Si je faisais une erreur, cinq coups tombaient sur mes seins. Javais alors la possibilité de donner une nouvelle réponse. À chaque fois, je sus donner la bonne réponse, sauf à la dernière question. Le Maître exigea que je me mette en position prosternée et mappliqua dix coups cinglants sur mon fessier arrondi, me répétant la bonne réponse à chaque fois.
- Il va falloir que tu apprennes à te contrôler ! Une bonne chienne est capable de retenir tout son qui voudrait passer ses lèvres. Il y a vraiment du travail avec toi, cest une bonne chose que tu sois venue habiter près de Ma Demeure. Ainsi Walter et Marie se chargeront de téduquer correctement ! Maintenant retourne travailler. Et mets le dossier que tu nas pas su maîtriser sur une pile à part.
Je repartis dans le réduit. Jeus du mal à me repositionner sur le plug tellement jappréhendais de poser sur la chaise mon derrière strié par les coups. Et javais raison, mon cul chauffait sérieusement. Jessayais tant bien que mal de me concentrer sur les dossiers suivant, tout en gardant une oreille attentive afin dentendre le moindre mouvement dans le bureau du Châtelain qui pourrait annoncer une nouvelle exigence de Sa part. Javais du mal à retenir les informations, entre la douleur de mon fessier, de mes seins et de loreille tendue. Je me surpris de ressentir une véritable excitation en mon bas-ventre face à cette situation qui me faisait donc mouiller. Aussi, javançais moins vite, mais je réussis tout de même à tenir mon objectif. Une fois lheure finie, jentendis le claquement de doigts, et avec précaution, je me relevais pour retirer le plug de ma cavité, et je me précipitais aux pieds du Maître. Les coups sur les seins furent beaucoup plus nombreux. Jessayais de serrer les dents mais impossible de retenir mes cris. Cela dit je réussis à éviter les coups sur mes fesses. Enfin je le croyais
- Bien Ma chienne ! Aucune question à laquelle tu nas su donner finalement la bonne réponse. Cependant, il a quand même fallu que je te reprenne de nombreuses fois. Donc, en position prosternée, tu vas recevoir cinq coups de plus.
Nayant pas de réponses à rabâcher, les coups tombèrent rapidement, mais sèchement me faisant rougir un peu plus mes deux globes, qui nen avait pas besoin.
- Eh bien ! Vu que tu as lair de tennuyer, et que tu tendors, on va commencer ! (Sa voix cinglante, me fit sursauter, et précipiter en position standard !) Et vu que tu te reposais, il ny a pas intérêt à ce que tu ne saches pas du tout une réponse, sinon je peux tassurer que tu le regretteras ! Et pour te réveiller, tu vas avoir besoin dune position moins confortable
Il appuya sur un bouton, et quelques secondes après Walter entra, sur linjonction de son patron.
- Vous mavez appelé, Monsieur le Marquis ?
- Oui Walter, jai besoin dun manche à balai et de huit mini pinces crocodile.
- Bien Monsieur le Marquis !
Très vite, il revint avec le matériel exigé, et sur un signe, séclipsa silencieusement et discrètement. Le Châtelain posa le manche par terre à un mètre du fauteuil de son bureau, Il sapprocha de moi, claqua des doigts pour me faire mettre à genoux, me posa sans ménagement une pince sur chaque téton, puis trois sur chacune de mes lèvres intimes.
- A quatre pattes, chienne ! Va jusquau manche à balai, et place-toi à genoux dessus. Aucune chance que tu tendormes ainsi !
Les pinces me mordaient cruellement toutes ces chaires sensibles, le manche à balai était une à mes genoux posés dessus et paradoxalement cela mexcitait grandement ! Pour compléter mon « inconfort », le Maître menfonça également un long plug épais au plus profond quIl Lui était possible de mes entrailles
Linterrogatoire fut long. Le Marquis prenait son temps pour parcourir les dossiers avant de poser la moindre question, la badine posée proche de Lui sur le bureau. Je faisais des efforts inouïs pour me souvenir de ce que javais étudié. Malgré la douleur, je prenais mon temps pour ne pas avoir à subir pire que ce que je vivais actuellement. Des fois, un coup sec tombait sur mes seins, me laissant penser que légèrement décalé, il aurait arraché une pince au téton auquel elle était accrochée, accompagné dune exigence de précision sur ma réponse. Bizarrement, les efforts que je faisais pour me concentrer, pour me rappeler, me faisaient petits à petits oublier la douleur, sauf lorsque la badine frappait, me la rappelant vivement. Je parvenais à moublier pour nêtre concentrée que sur la satisfaction du Maître qui tenait en des réponses justes de ma part. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, je réussis à ne faire aucune erreur !
- Bien Ma chienne ! (Il avait repris une voix légèrement plus douce) Je suis fier de toi ! Je te voyais mal partie cette après-midi, mais tu tes bien reprise ! Cependant, jattends de toi une meilleure performance demain ! Je veux en arriver à ne plus devoir utiliser cette badine
du moins pour ces raisons-là, rajouta-t-Il avec un sourire pervers. Jaime beaucoup trop les jolis dessins quelle peut faire pour men passer !
Il y eut un moment de silence, pendant lequel Il jouait avec linstrument, le faisant siffler dans lair, mimpressionnant et me faisant, je lavoue, un peu peur, tout en mexcitant encore plus !
- Bien ! Maintenant, suis-moi !
(A suivre
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