Les Bons Petits Vieux
Jai fait la connaissance du couple sexagénaire au cours de plusieurs réceptions. Louise était charmante. Par sa façon dêtre, ses sourires engageants, sa conversation, son élégance naturelle. Au fil de nos rencontres nous avions sympathisé. Et ce fut au cours dune discussion, quils apprirent mon faible pour le ratafia.
- Mais cela tombe bien, me fit René euphorique. Tu sais que Louise est bourguignonne, et que le ratafia na pas de secret pour elle. De mère en fille, elles se passent le savoir-faire. Tiens, même moi je ne sais pas le secret de fabrication.
- Ah oui ! Répondais-je.
- Passe un soir à la maison. Comme ça tu pourras en juger. Quest-ce que tu en dis ?
Dans une époque où je ne crachais pas sur ce breuvage, il métait impossible de décliner linvitation qui mavait été si aimablement offert.
- Oui, cela pourrait se faire.
Je me présentais donc à 20H00 précise devant la porte du domicile du couple. Ce fut René qui ouvrit, avec son épouse derrière lui.
- Oh ! Alain ! Sexclama-t-il, radieux, un sourire tout émail.
Comme si ma venue était une surprise.
- Reste pas là, entre donc, Alain, ça nous fait tellement plaisir que tu sois venue. Fit Louise.
Cétait sans doute vrai. Comme à son habitude, elle était vêtue de façon élégante. Elle portait une robe en cuir, ses jambes étaient gainées de ce que jespérais être des bas noirs. et était chaussée de mules.
Elle me faisait, comme lon dit, beaucoup deffet. Sa tenue mettait en avant une poitrine que je supposais très ferme. Je ressentais en moi un désir qui, vu toutes nos différences, était probablement impossible à satisfaire.
Jai franchi lentrée. Il se dégageait de la cuisine une bonne odeur de pâtisserie. Dans la grande salle de séjour, se tenait côté salon, une jolie table ronde qui avait été dressée de pas mal de bonne chose déguster.
- Installez-vous dans les fauteuils, nous lançâmes Louise, je vais chercher la bouteille.
Alors quelle s'éloignait vers la cuisine, René dit :
- Prends donc place sur ce fauteuil, nous allons avec Louise prendre le canapé.
La maîtresse de maison revint avec une bouteille ambrée dans la main.
- Je fais le service, lança-t-elle.
- S'il te plaît chérie, répondit René à la voler.
Après avoir choqué nos verres, je portais le verre à mes lèvres. Et buvait une gorgée pour le déguster. Cétait sans doute un des meilleurs que javais bus jusquà maintenant, et je le lui fis part :
- Un pur délice ma chère Louise. Mais bien alcoolisé tout de même.
La louange fit roussir ses joues. Sitôt la première bouteille vidée, Louise fut enchantée dallait en chercher une seconde. Lalcool aidant, le déroulement de la soirée avaient pris une autre tournure.
Louise faisait de moins en moins attention à sa contenance. Javais eu les loisirs à plusieurs reprises, de constater quelle portait bien des bas, sans porte-jarretelles pour mon plus grand désarroi.
Très vite des allusions de sexe firent son entrée dans notre discussion. René ne se privant pas à deux ou trois reprises, de poser sa pogne sur le genou de sa femme, sans que cela offusque lintéresser. Tout au contraire, cela avait lair de la satisfaire.
À un moment, je ne sais pourquoi, elle secoua lourlet de sa robe comme si elle avait un besoin de saérer. Ce qui me permit de constater quelle portait une culotte blanche. Je métais pas gêné de river mon regard dessus, sous les yeux de plus en plus brillants de sa propriétaire. Qui prenait désormais plaisir de jouer avec ses jambes. Les croisant et décroisant de plus en plus souvent. Battant par la même occasion lair avec son pied, adorablement chaussé de petite mule.
Hormis ses gestes, Louise senhardissait de plus en plus à des grivoiseries verbales, du genre :
- lalcool ça me chauffe un peu les fesses.
Ça sonnait comme un signal. Celui de débauche. Et René fut le premier à sautoriser une fantaisie plus osez que ce qu'il faisait jusqu'à maintenant.
Soffusquant devant rien, elle sinstalla à califourchon sur les genoux de son époux, tout en gesticulant. Avec lair goguenard qui lui était familier, René lança :
- Doucement, Lulu ! Nous ne sommes pas tout seul !
- Et alors ? Ce nest quAlain. Répliqua-t-elle Je sentais qu'il allait se passer quelque entre nous. Leffet ratafia. Cétait peut-être ce que lon voulait me faire croire. Mais je pensais, et encore maintenant, que lalcool était juste pour eux un prétexte pour sautoriser à sombrer dans la débauche. Elle poussa même le vice à me consulter :
- Comment trouves-tu les dessous que je porte. Ils sont beaux, hein ! Tu sais, tu peux toucher. Elle ne va pas de mordre.
- Mais Lulu, ça ne va pas, voyant. Un beau jeune homme comme lui avec un vieux p
- Mais arrête, coupa Louise, cela ne gêne nullement Alain. Nest-ce pas mon lapin ?
Après un temps de réflexion, elle ajouta :
- il attend que ça. Quon lui donne lautorisation de toucher
- Ma chérie ! Protesta René.
- Bah ! Si ! Bien sûr ! Il sent que je suis toute chose.
- Et bien ma chérie. Quel tempérament !
Puis me regardant dans les yeux, adjoignirent :
- dis-moi, Alain, quest-ce que tu lui as fait pour quelle parle comme ça ?
- Je pense que le coupable est le ratafia. Elle en a peut-être trop abusé. Mais je ten fais pas pour toi, René, je trouve la soirée très constructible.
- Ah bon ! Tu penses donc que cest la faute du ratafia. Alors chérie quattends-tu pour aller en chercher une autre.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, descendant de sa monture et disparut du côté de la cuisine. Quand elle réapparut, ce fut tenant une bouteille en main.
Alors quelle emplissait les verres René enfouit de nouveau sa main sous la robe de sa moitié, en sexclamant :
- Oh ! Je pense comme toi, Alain cette soirée est très constructible.
Louise penchée au-dessus du verre simmobilisa. Elle se figea même la bouteille en l'air.
- Je te sens étonner par le déroulement de la soirée, mon chéri. Tu oublies la discussion que nous avions eue ce matin. Sur la probable venue dAlain. Je tai avoué que cela me rendrait toute chose, et tu n'étais du même avis que moi. Tu te rappelles au moins ce que tu as dit, sur le fait de voir un autre homme me faire plaisir ! Alors comme on a parlé ce matin dexercices pratiques, je me suis dit que cétait loccasion de la mettre en théorie ! Hein !
- Ah ! Toi et ta franchise ! Répondit René.
- Mais cest bien la discussion que nous avons eu ce matin. Oui ou non ?
- Cest vrai ! Fit-il, à contre cur, en portant son regard sur moi, alors que javais les yeux fixaient sur sa femme.
- Jai limpression que tu trouves ma femme désirable, je me trompe .
Je ne pris pas la peine de répondre.
- Ne sois pas gêné, tu sais pour nous cest plutôt flatteur dêtre ainsi admiré, surtout quand cest avec respect et courtoisie.
- Mais vous êtes échangistes. Interrogeais-je. Peut-être libertins, ou quelque chose comme ça ?
Elle se met à rire, en posant la bouteille sur la table.
- Non, non, nous avons simplement, dans notre couple, une complicité tendre et coquine.
Et elle prit lourlet de sa robe à deux mains, et tira létoffe vers
le haut. Faisant apparaître ses genoux, ses cuisses, une bande de chair très pâle, puis sa culotte, dont je vis la main de René fourrageaient dedans.
- Nous y avions pensé, souviens-toi chérie. Dit-il.
- Ah oui, renchérit-elle. Nous avions essayé par petite annonce. Levant les yeux au plafond. Nous avions été déçus
Vraiment pas ça pour nous.
- Ils ne pensaient quà tirer un coup, tout de suite, limite sils se souciaient de ce que ma femme désirait.
- Oui, je vois. Un besoin de vider leur couille, et salut. Moi cest tout le contraire jadore les préliminaires.
Ils séchangeaient un clin dil.
Il y a du bon dans tes paroles. Fit-elle. Cest plutôt tout à ton honneur. Cest rare de rencontrer quelquun qui aime ce genre de pratique. Et toi, mon chéri, quen penses-tu de ce qui vient de dire ? Ça te dirait de me la lécher .
Pour toute réponse il se mit à fouiller de plus belle dans la culotte de sa femme. Je ne pus résister à la tentation, et envoyais ma
main rejoignait celle de René. Alors quil coula sa main sur le fessier. Moi je moccupais du devant. Débusquant le clito de sa forêt de poils. Il était long comme un téton. Elle était dans la même urgence que moi.
- Tu devais ! Grondais-je en lui saisissant le poignet. Rends-toi compte dans quel état cette seule idée me met
Et je dirigeais la main de Louise vers le devant de mon pantalon, déformé par une bosse. Elle referma doucement ses doigts autour de ma virilité tendue et me regardait avec un petit sourire allumé et gourmand.
- Dans létat avantageux où je te sens, dit-elle dune voix un peu plus rauque, je pense que tu as un grand besoin de mes services.
Comme une furie, elle menleva le maillot, mettant à lair mon torse velu. Puis elle sagenouilla pour môter le pantalon puis le slip. Se retrouvant nez à nez avec mon sexe en érection.
Dune main légère, elle sempara de ma verge dressée. Je la regardais, le cur battant, et le souffle court. Elle commença par une masturbation lente. Laissant de temps en temps traîner son pouce sur mon gland pour le câliner. Jéprouvais vous vous en doutez beaucoup de plaisir.
- Je my prends bien ? Aimes-tu ma manière de te masturber ? me demandait-elle, malicieusement.
Le bien être me coupait le souffle, mempêchait de répondre de manière cohérente. Je répliquais par des mouvements de tête. Avide de découverte, elle prit mes testicules au creux de sa main. Quelle se mit à masser quelques instants avant de caresser à nouveau ma verge. Variant le rythme de ses câlineries. Tantôt très doucement. Tantôt beaucoup plus rapidement. Sachant sarrêter quelques secondes pour faire descendre un peu la pression.
Je tirais doucement sur sa tignasse. Elle me questionna du regard, comprenant très vite mon attention, un afflux de sang lui colora les joues. Elle sétrangla.
- Je
fit-elle
je.
Ses lèvres touchèrent mon gland. Moment exquis. Jaurais voulu qui dure éternellement. Le souffle de Louise courait sur mes
poils. Il fallut quelle prenne sur elle pour que sa bouche veuille enfin me prendre. Descendant autour de ma verge alors que sa langue léchait mon gland. Je nai pas pu mempêcher de pousser un râle de plaisir. Je contemplais avec fascination ma queue qui enfonçait entre ses lèvres. Même si elle était novice en la matière, elle me manipulait plus tôt bien, mon foie. Les picotements annonciateurs du plaisir étaient en train de naître.
De temps en temps elle abandonnait ma verge pour se rabattre sur mes couilles quelle malaxait avec douceur avant de revenir astiquer mon sexe. Je pense que si elle ne sétait pas arrêté je naurais pas pu me retenir de jouir dans sa bouche.
Elle mavait abandonné pour prendre appui sur la table de la salle à manger. La bouche toute gonflée et souillée de salive, elle se tortillait pour faire descendre la culotte sur ses jambes. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, je regardais le sous-vêtement glissait sur ses genoux, sur ses mollets, les chevilles, pour terminer sa course
sur ses mules. Dun coup de pied elle lenvoya valser de l'autre côté de la pièce, du côté du salon.
Retroussant sa robe, elle écarta les jambes, exhibant un buisson touffu poivre et sel niché entre ses cuisses.
- Mais maintenant que jai la chatte à lair libre, il faut me la chauffer ! Qui vient ? Toi Alain, ça te dirait de toccuper dune vieille comme moi. Me proposa Louise, avec un sourire salace sur ses lèvres.
Tu nes pas obligé. Tu sais ! Fit-elle avec un petit rire idiot. Jespère ne pas te choquer, au moins !
Mon regard croisa celui du mari qui me fixait dun il amusé.
- Pas du tout. Il men faut Louise pour me choquer. Je trouve cela très tentant. Mais je navais pas lavalé de ton mari, fis-je en mapprochant delle pas après pas. Au passage, je me suis saisis de la culotte.
- Il vient de me le donner. Juste avec ses yeux. N'est-ce pas René. Renchéris-je, en examinant sous tous les coutures. Quand je trouvais lendroit adéquat, je la portais à mes narines, humant son fumet. Alors que jarrivais à porter de mains de Louise, elle posa les siennes sur mon torse velu, avec douceur. Jétais étourdi par tant de sensations agréables.
Je rendais sa caresse, en posant ma main sur son pubis. Entre les poils rêches, jai tout de suite senti sous mes doigts une chair molle.
- Humm Alain, continue, cest très bon, jadore ça me faire toucher comme ça
avoua-t-elle, tout en me regardant droit dans les yeux.
Un léger sourire flottait sur ses lèvres brillantes. La coquine ouvrait tant quelle pouvait le compas de ses jambes. Faisant saillir son buste avantageux. Cela me donnait envie. Mais avant tout il me fallait m'occuper de la fermeture Éclair qui fermait encore sa robe sur le dos. Je pris entre deux doigts la languette et tirer vers le bas. Au fur et à mesure de la descente du curseur. Les pans de la robe souvraient. Donnant droit à une vision affolante. Une paire de seins aux pointes dressées.
Sur le divan René sétait mis à son aise. Il avait mis à lair, sa queue bien raide, décalotter. Se caressant sagement, les yeux aimantés sur ma bouche, qui suçotait lun après lautre les gros bouts mauves aux larges aréoles très sombres. Elle soupirait de plus en plus. Pour accen ce contact excitant je tétais encore plus fort. Allant jusquà mordiller les grosses pointes de chair, les étirant violemment à laide de mes dents.
Un éclat étrange illumina les yeux de Louise. Nos bouches sétaient rejointes pour un bon gros patin. Une salive alcoolisée passait dune bouche à lautre.
- Tu mexcites tu sais Louise, soupirai-je en pétrissant ses fesses dénudées.
- Alors prends-moi.
Ces mots agissaient chez moi comme un détonateur. Je menfonçais dun coup brutal au fond de son vagin. Elle se cramponnait à mes épaules tandis que je la soumettais à des ruades féroces qui la collaient durement contre la table. Un instinct sauvage sempara de moi.
Son souffle devint plus rapide au fur et à mesure que je martelais son ventre. Assuré de tenir le choc, je la soulevai pour la souder plus intimement à moi. Elle comprit le message en nouant ses jambes autour de ma taille. Chacune de mes mains sur une fesse pour la maintenir, je lui faisais subir mes impétueuses offensives. Jétais dopé au plaisir.
Sans aménagement, ma queue allait, venait, avançait, reculait, pénétré, écartait. Malgré toute ma vigueur, et pour mon plus grand désarroi, Louise ne réagissait pas. Comme si elle était insensible à ce que je lui faisais.
Mon expérience sur ce genre de mésaventure me préconisa de chercher la solution plus bas. Tout en continuant de la besogner, je glissai ma main sur sa fesse. Jusquà pouvoir toucher du doigt la corolle anale. Jutilisais mon index comme une sonde. La pistonnant quelques instants avec mon doigt. Jusqu'à sentir ses muscles se détendre. Un deuxième doigt vint à la rencontre du premier. Deux valaient mieux quun pour assouplir convenablement le trou. Il se laissa assouplir, sélargir.
Il était temps pour moi de changer de gare. À la mesure de mon sexe. Pour cela je la déposais sur la table. Devinant ce qui aller suivre, elle réagissait en essayant de se dérober et dans un cri, dit :
- Non, pas par là
cest sale Alain.
Pourquoi jaurais-je écouté ? Sans aide, je poussais dun coup de reins, mon gland contre lentrée de son anus. Mon membre pourtant plus ou moins lubrifié par la précédente pénétration fit un dérapage incontrôlé. Je me suis saisis de ma queue et la guidais fermement vers son lieu dhébergement, où manifestement je nétais pas la bienvenue.
Quand enfin mon gland a pénétré, la sensation a été si voluptueuse que jai eu du mal à me retenir de crier. Je le lui fis part - Regarde un peu ça. Ton cul est en train davaler ma queue.
Quand je fus enfoncé jusquaux couilles dans le trou du cul dilaté, elle se mit à trembler de tous ses membres. Son rectum se moulait comme un gant autour de moi. Je donnais une impulsion à ma verge, tandis que Louise poussait un gémissement, en secouant la tête.
Je surpris René la queue tendue à lextrême. Un drôle de morceau, quil avait entre les jambes, le René ! Le genre de truc qui devrait faire du bien à une femme.
Je fis coulisser ma queue hors de son cul. Sans pour autant faire sortir le gland. Gardant ainsi le sphincter en bonne dilatation. Les mains en appui sur les hanches de la coquine, je commençais un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans lanus. De savoir, en plus, que jaccomplissais cela devant du mari me procurait une excitation encore plus forte. Autant que voire ma verge coulissait sans effort et ça, sans provoquer de remarques de la bouche de Louise, qui semblait appréciait. Les yeux fermés, je lécoutais ronronner de plaisir. Elle ondulait, venant au-devant de ma verge pour essayer de mintroduire encore plus loin. Ses lèvres laissaient passer des gémissements rythmés sur mes poussées.
- Oui, Alain
Oui, Alain
Oui, Alain
, disait-elle à chaque fois que mon gland lengloutissait et que mes couilles venaient frapper ses cuisses. Encouragé par ses plaintes, je changeais le rythme. Avec des
mouvements plus amples, plus violents aussi.
Cest alors que jentendis des flashs crépitaient derrière moi. Jouvrais les yeux pour apercevoir mon René, appareil de photo en main, immortalisant ce qui devait être la première enculade de Madame.
Il men fallut pas plus pour la dérouiller de plus belle. Sortant totalement ma verge du cul avant de la réintroduire dans le passage maintenant grand ouvert. La violence était si grande que la table avait du mal à se maintenir sur place pour le plus plaisir de Louise.
- Ouiiii
plus fort
Oui plus fort
Ça vient ! Oui ça vient. Cest bon
Je jouis
Oui, Alain, je jouis
Pris de convulsions, lanneau culier comprima la base de ma queue. Cétait du pur bonheur. Je nétais plus maître de mon esprit, ni de mon corps, d'ailleurs. Jaurais voulu retarder ma frénésie, reporter léchéance mais le dispositif sétait emportée. Je sentais linexorable montée de jouissance sans pouvoir retenir mes coups. Les vagues de plaisir me submergeaient. Je poussais des petits cris tant les sensations étaient délicieuses. Jexplosais dans un orgasme ravageur, transférant toute ma jouissance dans son trou du cul. Elle
fut si intense que je dû mallonger sur elle pour ne pas tomber. Tout mon corps semblait planer dans l'air. Alors que derrière mes paupières closes des étoiles brillantes défilaient. Je planais dans un océan de bonheur, imperturbable à tout ce qui mentourait.
Ce fut René qui me ramena à la réalité. Me tirant en arrière. Me faisant sortir des entrailles de sa dame. Jeus tout juste le temps dapercevoir lanus de Louise souvrir et se refermer. Laissant échapper des larmes de sperme, avant que René, sa puissante queue en main, tel un gourdin dressait orgueilleusement investisse à son tour le lieu. Pressé dassouvir une curiosité sexuelle longtemps contenue Il se lança dans un déferlement puissant de va-et-vient dans le fondement de son épouse. Je voyais la poitrine de cette dernière ballotter sous les assauts de son mari. À cette cadence il ne mit pas longtemps à éjaculer. Lanneau culier de Louise s'étirait en restant accrochée au sexe de son époux. Avant de se libérer et de reprendre sa position initiale.
Je n'étais pas moins content dêtre arrivé à la faire jouir. Mais tout cela avait un prix, et un mot : lessivé.
Toujours sur la table, Louise récupérait. Son anus souvrait et se refermait. Elle poussait. Des gaz étaient sortis bruyamment de son cul. Éjectant des guirlandes de sperme. Le spectacle était aussi dégoûtant quil soit fascinant
Quelques jours plus tard, et toujours lors dune réception, jai eu le plaisir de rencontrer à nouveau le couple. Louise ne me quittait pas des yeux comme pour imprimer mon image dans mon cerveau. Elle était belle dans son fuseau noir moulant. Cela me donnait des envies de viols.
Ce fut peut-être pour cela que javais accepté linvitation de passer le soir même prendre un verre de ratafia. Ou pour autre chose. Mais ça à vous de le deviner
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