Manon 4
« Jen peux plus, il me rend dingue ! »
Ah, ok. Cétait sérieux.
« Du coup si ça va mal entre vous, est-ce que tes sûre que cest le moment que toi et moi on baise ? »
« Il me rend dingue, parce que jai limpression quil est de plus en plus mauvais au lit. Non faut vraiment quon se voie, sinon je vais craquer. »
Je souriais, à la fois flatté et excité. Manon était une amie que je connaissais depuis le lycée. Elle était vraiment sexy, assez grande, blonde, de beaux yeux bleus et un beau visage ainsi quun corps de rêve. Elle avait une belle poitrine (90c), et des fesses à croquer. Je ny avais pas prêté attention pendant longtemps, parce quelle avait un mec. Mais il sétait avéré que son copain, Karl, était un très mauvais amant, et Manon, plus que lassée de ça, aimait le tromper de temps en temps avec moi, histoire de rompre la monotonie de sa vie sexuelle.
On était en plein dans les vacances dété, et ça avait lair de rendre plus exigeante encore Manon.
« Tas quà passer chez moi quand tu veux, et je moccuperai de toi, lui dis-je. »
« Je passe ce soir. Répondit-elle. »
« Ce soir ? Tes pressée toi. »
« Jai passé un mois et demi en vacance avec lui. Jen peux plus de me taper sa queue molle. Il men faut une bien dure. »
« A ce soir alors ! »
Je me réjouissais de la soirée à venir. Manon était toujours un très bon coup, car à chaque fois morte de faim du fait de la nullité de son mec. Cétait on ne peut plus plaisant !
Le soir venu, on sonna à ma porte. Jallai ouvrir, et bien sûr, cétait Manon. Elle était vêtue de manière outrageusement sexy. Elle portait une brassière rouge, et un mini-short en jean. Cette tenue mettait si parfaitement son corps de rêve en valeur, dénudant ses hanches, ses bras, ses épaules et ses jambes, quelle avait certainement attiré tous les regards sur son passage pour venir chez moi.
« Salut, lui dis-je, tu vas bi... »
Je neus pas le temps de finir ma phrase : elle se rua sur moi, et membrasa très sauvagement, claquant la porte derrière elle. Surpris, je peinai à lui rendre son baiser, et eus surtout limpression de me faire dévorer la bouche. Manon me repoussa dans le salon, jusquà ce quon arrive derrière mon canapé. Elle me poussa par dessus le dossier du canapé, et surpris, je basculai et mécroulai dessus. Manon contourna le canapé, et vins se mettre à califourchon sur moi. Elle mattrapa par le t-shirt, et mobligea à me redresser. Elle membrasa à nouveau comme une folle, avant de me replaquer contre le canapé, frottant ses fesses contre mon sexe tendu à travers mon pantalon, me faisant encore plus bander, au point que ça en fut presque douloureux.
Sans plus de cérémonie, Manon marracha mon pantalon, puis mon caleçon, avant de se débarrasser de son mini-short et de son shorty et de sempaler sur moi avec un petit cri de plaisir.
« Hmm
enfin une queue à la hauteur de mes espérances. Je te préviens jai très faim... »
« Javais remarqué plaisantai-je. »
Elle eut un léger sourire, puis se mit à aller et venir sur moi, davant en arrière, bougeant ses hanches dans un rythme soutenu, me culbutant contre le canapé. Tout en me baisant, elle saisit mon t-shirt, et me le retira. Après quoi, je fis une tentative pour reprendre le dessus, mais elle me tint cloué contre le canapé, et accéléra le rythme de ses assauts, son bassin bougeant souplement. Je poussai un cri de plaisir, et elle même se mit à gémir à pleine voix. Elle glissa un doigt le long de mes pectoraux, puis abdos, et sourit « cest si bon de baiser un mec musclé ! » en guise de réponse, je lui claquai les fesses. Alors, elle accéléra encore le rythme, tout en plantant ses ongles dans mon torse, me baisant si vite que le canapé grinçait sous ses coups de reins. Mon sexe senfonçait en elle à chaque coup, et elle venait cogner le fond de son intimité contre lui, nous arrachant des cris de plaisir à tous les deux.
Elle sécroula sur moi, hors dhaleine.
« Oh bordel, quest ce que cétait bon... »
« Tes satisfaite maintenant ? »
Elle me fit un petit bisou dans le cou.
« Oui. Désolée de tavoir malmené... »
« Pas grave, jai adoré me faire violer comme ça ! »
Elle pouffa.
« Tu prendras ta revanche tout à lheure. Mais tas intérêt à assurer ! »
« Ne tinquiète pas ! Je suis toujours prêt à rendre service au demoiselle en détresse
Surtout si elles sont en manque. »
« Je suis pas en manque. Je suis mal baisée, cest pire ! »
« Allons dans ma chambre, et on va remédier à ça... »
Manon eut un sourire à la fois gourmand et incrédule :
« Tes déjà de nouveau dattaque ? »
« Bien sûr.
Elle parut ravie, et me tenant par la main, mentraîna dans ma chambre, en courant presque. Une fois dans la chambre, je la poussai sur le lit. Elle tomba à sur le dos en riant. Je vins sur elle, presque tremblant dimpatience.
« Noublie pas que cest à moi dassurer cette fois ! »
« Joublie pas, fais moi tourner la tête beau gosse ! »
En guise de réponse, je la pénétrai dun coup sec, lui tirant un gémissement de plaisir. Je me mis à aller et venir en elle, tout en lembrassant avec passion. Je descendis le long de son cou, et lui retirai sa brassière, avant de lui masser les seins avec ardeur. Puis, jenfonçai ma tête dans sa poitrine, tout en lui donnant des coups de reins circulaires qui la firent gémir daise. Après avoir bien dévoré ses seins, je men retirai, et me redressant, je me mis à accélérer le rythme de mes assauts, labourant Manon avec force. Ses gémissements augmentèrent à leur tour, mencourageant à aller plus vite encore. Je frissonnai de plaisir, me délectant de la sensation de ma queue, la limant fortement, et me délectant de sentir Manon frémir à chaque aller-retour que je faisais. Elle finit par enrouler ses jambes autour de mes hanches, et me colla contre elle. Javais moins damplitude, mais je lui donnais des coups de reins plus secs, tout en lécrasant contre le matelas, et lembrassant sensuellement, la rendant complètement folle. « Ooooh jadore, continue comme ça, ralentis pas surtout, cest paarfaiit ! » criait Manon. Je la regardai dans les yeux, et vis quelle semblait sur le point de chavirer. Je compris quil était temps de passer à la vitesse supérieure.
Je brisais létreinte de ses jambes, me redressai et la retournai, la mettant à quatre pattes. Puis, je lui donnai une claque sur les fesses, histoire de la stimuler, avant de la prendre en levrette. Je la tenais par les hanches, et me mis à aller et venir en elle très sauvagement. Manon était ballottée par mes coups de butoir, et tout en se tenant aux draps, gémissait à pleine voix.
Manon était étendue sur le lit, comme sonnée par ce qui venait de se passer.
« Cétait excellent, vraiment parfait. »
« Je sais, dis-je dun ton prétentieux, je suis vraiment super doué. »
Manon pouffa devant ma prétention, et se colla contre moi. Nous restâmes un moment étendus et somnolents. Au bout dun moment cependant, le désir commença à revenir. On se mit à sembrasser doucement, puis nos baiser sintensifièrent, et Manon se mit soudain à accélérer le rythme comme une folle, avant de me pousser, et de venir sur moi.
Elle voulut sempaler sur ma queue pour me chevaucher, mais jestimai mêtre suffisamment laissé faire, et la saisissant par les hanches, je la renversai aussitôt. Je la retournai, la mis sur le côté, et vins dans son dos pour la prendre en cuillère. Jenroulai mes bras autour delle, et massai ses seins avec vigueur, avant dentamer de rapides va-et-vient circulaires tout en me collant contre elle, et lui embrassant la clavicule. Manon se mit à gémir et à se tortiller, et fier de moi, jaccélérai le rythme tout en resserrant mon emprise avec mes bras. Mais soudain, Manon se mit elle aussi à bouger tant bien que mal, donnant des coups de reins, participant à cette baise, et la rendant encore plus délicieuse. Je frissonnai de plaisir, et me mis à titiller le clito de Manon pour la stimuler encore plus.
En réaction, elle se dégagea soudain de mon emprise. Elle me fit rouler sur le côté, me mettant sur le dos, tout en restant empalée sur moi. Elle était maintenant au dessus de moi, et me tournait le dos. Elle se mit à me baiser avec vigueur, dansant sur mon sexe, bougeant son bassin comme si elle faisait une danse du ventre. Elle gémissait doucement tout en me baisant, et accélérait progressivement le rythme. Jétais un peu surpris par la tournure que prenaient les événements : dhabitude Manon se laissait plutôt faire, là elle semblait avoir envie de me baiser et de prendre les commandes. Jaurais bien repris le dessus, mais la vue de son fessier sagitant sous mon nez, et les sensations de plus en plus incroyables quelle me procurait me donnait juste envie de me laisser faire. Manon se retournait de temps en temps pour me regarder, et me sourire tout en sactivant toujours plus. Je ne tardai pas à pousser des cris, ce qui la rendit fière delle même.
Elle finit par se retourner, pour me chevaucher de face. Elle se mit à aller et venir davant en arrière à un rythme effréné, me baisant comme une furie tout en me regardant droit dans les yeux, une lueur sauvage brillant dans son regard. Ses seins se balançaient au rythme de ses assauts, je voulus les saisir, mais elle mattrapa les poignets, et me les plaqua contre le matelas, avant daccélérer encore le tempo de ses attaques. Ses mouvements de hanches devinrent secs, elle me culbutait en menfonçant dans le matelas, et moi je ne pouvais que gémir devant son adresse. Elle se pencha vers moi et membrassa langoureusement, avant de descendre et de membrasser le cou, puis le torse, avant de se redresser, et de reprendre ses assauts, mais cette fois-ci en bondissant sur mon sexe, allant de haut en bas, me faisant bouillir de plaisir et moffrant la vue incomparable de ses seins qui se secouaient de haut en bas. Je ne tardai pas à crier de plaisir, ce qui tira un sourire coquin à Manon. Elle se mit à se déhancher de droite à gauche, tout en me lançant un regard provocateur
« Alors, tu aimes ce que je te fais ? Tu aimes comme je te baise ? Crie bien, que tout le monde sache que tes à moi !»
Pour appuyer ses propos elle me donna un coup de rein plus fort que les précédents, et je poussai un grand cri. Elle me griffa le torse, et se déchaîna littéralement, allant davant en arrière, bougeant son ventre plat à grande vitesse. Elle devait vraiment être affamée pour me baiser comme ça, elle me violait presque ! Elle nhésitait pas à me griffer, ou à me prendre le menton pour mobliger à la regarder dans les yeux. Ses yeux bleus brillaient denvie, ses joues rougissaient sous leffort, et son souffle se raccourcissait. En même temps, elle tremblait de plaisir, et moi aussi. Je me dis que cétait peut être le moment de reprendre le dessus, et essayai de la renverser. En réaction, elle me mit une gifle et lança : « laisse toi faire je veux te baiser, je kiffe te malmener comme ça ! » et sur ce, elle accentua encore la puissance de ses coups de reins, me faisant tellement de bien que ma vue sen brouilla. Ce quelle me faisait était tellement bon, que je décidai de me laisser aller, et me contentais de subir les puissants coups de reins de Manon, qui nen finissaient plus. Le plaisir augmentait chez nous deux, nous gémissions de plus en plus forts, et nos corps se cambraient sous leffet de lextase qui montait et montait à chaque coup de butoir de Manon. Celle-ci sentit lorgasme approcher, et entama alors le sprint final, et se mit à bondir et rebondir sur moi tout en enserrant mon sexe en contractant ses muscles vaginaux. Je poussai un véritable cri de plaisir, qui se transforma en hurlement lorsque je fus submergé par un terrible orgasme. Manon, jouit en même temps que moi, et après avoir poussé un grand cri, sécroula sur le lit, tremblante de plaisir.
« Oh bordel
jaimerais bien pouvoir faire ça tous les jours, soupira-t-elle. »
Je souris, et me dis en mon fort intérieur que cétait une bonne chose que Karl soit un si mauvais coup.
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