Quand Le Chat N'Est Pas Là Les Souris Dansent !
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mon mari dans l'armée de l'air venait d'être muté sur une nouvelle base. J'avais toujours rêvé d'être femme de militaire. Une semaine après notre arrivée, nous fûmes invités à une cérémonie de bienvenue chez le Colonel dirigeant la base. C'était pour mon mari une occasion de se présenter et pour moi un moyen de rencontrer les autres femmes d'officier avec qui je vivrai quelques temps.
J'avais mis une robe noire moulante qui mettait en évidence mes formes. Nous fûmes présentés à Monsieur et Madame le Colonel. Des gens au premier abord, qui m'ont paru tous les deux très froids. Ce qui est normal compte tenu du grade de mon mari qui n'est que Capitaine. La soirée se passa très bien.
Le lendemain j'étais invitée pour le thé avec les femmes d'officier. La femme du Colonel vient, à ma grande surprise, me parler. Nous avons parlé pendant une heure sur la famille, et surtout, la carrière de mon mari. Elle semblait sympathique mais la froideur de cette belle femme, trop sure d'elle, me glaçait.
Mon mari en mission, je me retrouvais donc seule. J'avais l'habitude de ce genre de situation. Je reçus une autre invitation pour un goûter chez Madame le Colonel, ce qui était assez rare, car normalement elle recevait au cercle des Officiers.
Elle vient m'ouvrir elle-même la porte. Je sentis tout de suite quelque chose d'étrange en elle. Elle, qui d'habitude était toujours si stricte, s'était un peu maquillée, notamment les lèvres, avec un rouge agressif. Elle me dit que les autres invitées s'étaient toutes décommandées.
Elle ne me répondit pas et me fit asseoir dans un fauteuil profond et moelleux. Je portais un tailleur avec une jupe qui m'arrivait au-dessus du genou. Etre assise ainsi faisait remonter ma jupe.
Elle vient s'asseoir, face à moi sur une chaise et nous commençâmes à parler. Elle raconta la carrière de son mari, me demanda si je m'intéressais à celle de mon mari.
Son mari avait tous les pouvoirs sur la base. En parlant elle avait toujours cet air dominateur qui me pétrifiait. Tout d'un coup, alors que j'étais perdu dans mes pensées, elle approcha sa chaise de mon fauteuil, releva sa longue jupe écossaise et me dit d'un ton brutal :
- Si tu veux que ton mari n'ait pas de problèmes, Lèches !
Mon cur s'arrêta un instant. Elle venait de me tutoyer et en plus j'avais désormais proche de mon visage cette chatte rasée et charnue. J'étais coincée sur mon fauteuil, me lever c'était m'approcher d'elle. Je n'avais jamais trompé mon mari et cela me semblait impensable, encore plus avec une femme.
- Si dans 10 secondes tu n'as pas posé ta langue sur mon sexe, tu n'es pas prête de revoir ton mari. Je vais le faire envoyer à l'autre bout du monde. ajoute-t-elle.
Comme un robot, malgré moi, je me penchai vers ce sexe de femme. Contrairement à ce que je pensais il sentait bon. Cela m'aida lorsque je dus appliquer ma langue. Elle écarta sa vulve et timidement je donnais des petits coups de langues.
Je commençais à trouver ça agréable. Je fis des petits cercles autour de son clitoris et la léchai en allant et venant jusqu'au moment où elle eut un orgasme. Là, elle desserra l'emprise qu'elle avait sur moi.
Arrivée à la maison, il me fallut du temps pour m'en remettre. Mon mari revint de mission peu après, je ne lui en parlai pas. Nous avons fait l'amour comme d'habitude, sans exploits ni grand orgasme pour moi. Mais je pense ne jamais avoir eu de réels orgasmes avec mon mari que jaime pourtant beaucoup !
Quelques jours après, je reçus une lettre de Madame la Colonel me disant que le lendemain à 14 heures une voiture viendrait me chercher. Il était écrit en rouge "Tenue correcte exigée". Alors que mon mari était encore absent, je mis ma robe noire et attendis la voiture.
Nous arrivâmes devant la maison du Colonel, le chauffeur me fit entrer puis disparut. Je me retrouvais seule au milieu de ce grand salon. Je vis le fauteuil ou la dernière fois je m'étais assise. Tout d'un coup, une porte claqua derrière mon dos :
- J'avais exigé une tenue correcte ! Pas une tenue de petite bourgeoise.
Je me sentis rougir. Elle apparut toujours habillée stricte avec un chemisier et une jupe écossaise. Elle me glissa un billet de 100 euros dans le décolleté et me dit :
- Voici pour ta performance de la semaine dernière.
J'étais pétrifiée. Je voulais partir mais je n'avais plus la force.
- Enlève ta robe, elle ne te va pas. La prochaine fois tu mettras une jupe courte et plissée avec un chemisier transparent.
Voyant que je n'enlevais pas ma robe, elle s'approcha de moi et me l'arracha. J'étais désormais en collant, slip et soutien-gorge. Elle commença à rire :
- Ridicule ma pauvre fille. Des collants. Mets le billet que je viens de te donner dans ton sac et enlève ton soutien-gorge de bonne-sur et ce collant. Je ne veux plus te voir avec un collant. La prochaine fois je veux que tu mettes des bas et un string ! Aller ! Maintenant ! A poil !
Je me déshabillai, je devais être rouge de honte. Je me retenais pour ne pas pleurer. Nue devant elle j'essayais de cacher mon corps. En vain. J'ai seulement deux mains qui ne pouvaient rien cacher de mes gros seins et surtout en même temps, de mon sexe charnu.
- Tu es une belle petite salope. Dommage que ton mari parte souvent en mission. Il ne pourra pas en profiter.
Elle écarta mes bras et commença à me caresser. Elle pinça le bout de mes seins. C'était douloureux mais je sentais un flux monter de mon ventre. Ses mains s'arrêtèrent sur mes hanches et mon bassin avant de descendre sur mes cuisses et mon sexe. Elle le malaxa, et à ma grande honte, je commençai à mouiller.
- Tu aimes ça ma petite cochonne, ça se voit... Viens !
Elle me prit par les cheveux et me tira vers une chambre. Là, se trouvait un fauteuil Louis XV où elle me fit me mettre à 4 pattes, les genoux sur les accoudoirs, les fesses en arrière et les seins pendants. Elle me caressa les seins puis les fesses. Cet élan de tendresse me surpris ! Elle commença à inspecter mon sexe tout en excitant mon clitoris. Son doigt s'éloigna tout d'un coup vers mon anus, elle caressa la couronne.
- Pas très propre tes fesses ma petite cochonne !
Elle ne me dit rien, mais me tira encore pas les cheveux, vers une salle de bain. Elle me fit entrer dans la baignoire et commença à me laver le sexe et l'anus à grandes eaux. J'eus une grande surprise, elle venait de m'introduire un doigt dans l'anus. Curieusement, je ne trouvais pas ça désagréable.
- Bon ! Maintenant essuie toi bien, et ensuite, viens dans la chambre.
En entrant dans la chambre je la vis nue elle était belle. Elle me fit allonger sur elle en 69 et me demanda de lui lécher le sexe, elle continua à me fouiller l'anus. Tout à coup, je sentis un objet entrer dans mon sexe, elle venait de m'enfoncer un godemiché. Nous avons joui en même temps. Alors que je me remettais de ma première expérience de lesbienne, elle me dit :
- Pour cette petite initiation, je te donne 200 euros et ensuite 500 euros pour faire de toi une vraie pute.
Ce petit jeu commençait à me plaire. Je ne travaillais pas et donc je dépendais que de mon mari pour toutes mes dépenses. Je pense que de toute manière je n'avais pas le choix, car elle n'attendit pas ma réponse avant de revenir harnachée d'un énorme phallus en plastique. Je fus quand même un peu effrayée.
- Ton mari en a peut-être une plus petite mais beaucoup d'hommes en ont une comme ça, me cria-t-elle ! "Lèche".
Je dus sucer cet énorme morceau de plastique noir. La forme était agréable et douce (en vérité, je n'ai jamais sucé le sexe de mon mari).
- Maintenant retourne-toi et met toi à quatre pattes sur le lit.
Elle vint derrière moi en levrette et commença à me caresser les seins et à me pincer les bouts. Je sentis l'objet entrer dans mon vagin qui se dilatait avec l'engin. Au début, ça fit mal, mais très vite, je sentis un énorme plaisir monter. Je me rhabillai avec mon slip et mon soutien-gorge. Je ne pouvais pas remettre ma robe noire, il fallait refaire plusieurs coutures. Elle me donna un pantalon fin moulant en tissus brillant et un tee-shirt de la même matière en noir.
- Met cela, comme ça, tu as plus l'air d'une pute.
- Elle me donna mes 600 euros et appela le chauffeur qui me ramena à la maison.
Dans le rétroviseur, il me lançait des regards vicieux et irrespectueux, il avait certainement lhabitude de conduire des femmes ici. Je pense que Madame la Colonel avait atteint son but. Mon mari partit une fois de plus en mission. Le lendemain, je reçus un appel urgent :
Ce soir une voiture viendra te chercher, Tenue correcte exigée, tu sais ce que cela veut dire maintenant. Tu te laves jusqu'au fond de l'anus. Tu te parfumes tout le corps et tu te débroussailles le sexe. Si tout va bien, tu gagneras 2000 euros !
La voiture vient me chercher. C'était toujours le même chauffeur. J'avais une jupe plissée légère qui allait au-dessus du genou. Un chemiser fin qui lorsque je n'avais pas ma veste laissait voir un soutien-gorge pigeonnant.
A ma grande surprise nous sortîmes de la base et roulâmes un bon quart d'heure jusqu'à un manoir dans un parc. Je fus accueillie par Madame la Colonel qui me fit suivre de nombreux couloirs où je finis par arriver dans une petite salle où se trouvait une autre femme d'officier, un des plus brillants qui avait eu une carrière très rapide.
- Je ne vous présente pas, vous vous connaissez. J'attends de vous la plus grande obéissance pour ce soir. Vous allez entrer sur la scène par cette porte et faire ce que nous vous dirons. Mon mari est dans la salle.
Je me révoltais, là ça allait trop loin ! Elle ne répondit pas et sortit quelques clichés où l'on me voyait me faire prendre en levrette, etc...
- Voulez-vous que ces photos fassent le tour de la base ?
On nous fit entrer sur la scène. Lautre femme dofficier qui avait l'air très expérimentée commença à faire un strip-tease, tandis que Madame la Colonel m'attira sur le côté de la scène.
- Regarde ce quelle sait faire, elle a un mari militaire comme toi.
Elle enleva rapidement ses vêtements pour rester en string, soutien-gorge et des bas à couture. Elle portait de très hauts escarpins. Elle se mit buste nu et commença à se caresser les seins et s'assit sur la scène. Elle se masturba avec sa chaussure. Elle finit par enlever les 2 pour s'enfoncer chacun des talons dans l'un de ses orifices. Lorsque l'orgasme vint, le public, que je ne voyais pas à cause de l'éclairage, applaudit. Ce fut mon tour...
- Et maintenant en première exclusive notre nouvelle. Les enchères.
Avec une telle entrée en matière, j'eus un tel trac que je pouvais à peine mouvoir mes jambes. J'avais l'impression d'avoir des jambes en coton.
Je sentis une main qui me poussa violemment sur la scène. Les projecteurs étaient d'une telle intensité que je sentais le courant d'air chaud qu'ils dégageaient. Je ne pouvais pas voir les personnes qui étaient dans la salle, ni même en estimer le nombre. Je me sentais piégée. Je voulais fuir mais il n'y avait plus d'issue, à part obéir !
Madame la Colonel, était, là, en bout de scène. Je ne voyais qu'elle. Elle me toisait du regard comme à son habitude. Elle portait un tailleur en cuir qui mettait en valeur ses formes. Cet habit inhabituel pour elle, toujours habillée si classique lui allait à merveille. Sa jupe de tailleur s'arrêtait au-dessus du genou et moulait parfaitement ses fesses. Du décolleté de son tailleur sortaient ses deux gros seins. Elle était chaussée d'escarpins noirs à très hauts talons qui mettaient en beauté ses jambes gainées de bas à coutures. Elle me présenta au public.
- Voici notre petite novice, elle est ambitieuse surtout pour son mari, sous ses airs de sainte nitouche se cache une vraie petite salope. Elle acceptera tout de vous.
Non ! Moi, je n'étais pas prête à tout accepter. Mais avais-je le choix ? Non !
Elle s'approcha de moi, d'un pas lent et décidé. Je devais paraître bien bête, plantée là comme une gamine. Alors même que j'étais perdue dans mes pensées, un violent coup de cravache sur mes fesses me fit revenir à la réalité.
- Enlève ta veste que l'on voit ce que tu proposes.
Je m'exécutai et elle commença à me pétrir les seins à travers mon chemisier, elle obtint le résultat attendu, mes pointes se durcirent. Je dus ensuite enlever mon chemiser et faire tomber ma jupe. Je devais être rouge de honte, je me retrouvai en string et en soutien-gorge pigeonnant devant des gens que je ne pouvais voir.
J'étais, de plus, humiliée et présentée comme une esclave. Moi, à qui l'on avait donné une bonne éducation chrétienne ! C'était d'ailleurs la première fois que je mettais un string. Contrairement à ce que je pensais ce n'était pas désagréable, c'était plutôt très excitant de sentir ses fesses libres. Le pire vint lorsque j'entendis une voix masculine faire monter des enchères.
- Tu toucheras 10% des gains me glissa-t-elle à l'oreille. Tu as intérêt à faire un effort pour te rendre attractive.
Je ne savais pas quoi faire. Elle m'aida en m'arrachant mon soutien-gorge. Elle me malaxa les tétons jusqu'à la douleur. Je ne les avais jamais vus aussi rouges et sentis aussi durs ! Cela plu au public, les enchères montèrent. Elle me poussa violemment et me fit mettre à quatre pattes, dos au public, là, après m'avoir enlevé mon string, elle entreprit de me masturber en m'appuyant sur le dos pour que mes fesses soient plus bombées.
- Continue toute seule ! me dit-elle.
Je commençai donc à me masturber, je sentais son souffle chaud et la chaleur des projecteurs sur mes fesses. La présence de cette femme qui m'avait initié au plaisir, commençait à m'exciter. Je sentais enfin de l'humidité sur mon sexe.
Je continuais à me caresser frénétiquement quand je sentis 3 doigts de Madame la Colonel plonger dans mon sexe pour en ressortir trempés et aller humidifier mon anus. Je m'y attendais mais j'avais préféré ne pas y penser. Contrairement à son habitude, elle agissait avec tendresse sur mon petit trou et, l'ayant bien humidifié, elle entra un doigt dedans.
- Ecarte bien tes fesses pour montrer au public ta petite marchandise.
Ce que je fis. Elle s'attarda avec son doigt dans mon anus. Ce qui m'avait un peu brûlé au début ne me faisait plus rien, j'en tirais même une certaine excitation.
- Tourne ton visage vers moi, j'espère pour toi que tu as bien suivi mon conseil.
Je le faisais, elle m'enfonça dans la bouche le doigt qui sortait de mon anus.
- Teste toi-même si ton anus est bien propre, dit-elle d'une voix forte de manière à ce que tout le public l'entende !
Elle me força à goulûment sucer ce doigt. Ce que je fis avec plaisir, je découvris avec surprise que ma cyprine mélangée aux odeurs de mon anus avait bon goût. Je suçais son doigt en prenant bien soin de le caresser de temps en temps du bout de la langue. Le contact de son ongle long sur ma langue agrandissait mon plaisir. Les enchères étaient terminées.
- Bon score pour une débutante. J'ai tout de suite vu en toi une vraie petite garce malgré tes airs de dame du monde. Va maintenant t'asseoir auprès de ton propriétaire !
- Comment ça mon propriétaire ?
On me fit descendre de la scène et l'on me banda les yeux avec un foulard de noire. Je fus assise sur un fauteuil de velours.
J'entendis que lautre femme fut aussi mise aux enchères, je ne voyais rien mais après ce que j'avais vu d'elle en début de séance, je compris facilement quand ses enchères montèrent encore plus haut que les miennes.
C'est difficile de penser que cette femme que j'avais toujours vu très digne auprès de son mari, toujours présente aux après-midi du cercle des officiers, pouvait faire, à l'ombre des alcôves, de tels shows.
Alors que j'étais perdue dans mes pensées, je sentis une main se poser sur mes cuisses. C'était une main d'homme, probablement âgé, elle était grande et rugueuse. La main me caressait tendrement et se déplaçait lentement sur toute la surface de ma peau, c'était à la limite de me chatouiller. Cette main s'attarda sur mon ventre. Arriva ce qui devait arriver. J'éclatai de rire. Une main vint violemment s'abattre sur ma joue cétait Madame la Colonel.
- Personne ne t'a autorisé à rire.
Le pacha à l'air d'avoir de la tendresse pour notre petite ménagère, je connaissais la voix qui avait prononcé ces dernières paroles. Bien sûr ! C'était son mari !
Et le Pacha, terme pour désigner le plus vieil officier de la base, c'était lui qui me caressait depuis plus de 5 minutes. Je me sentis humiliée d'être ainsi exposée et touchée devant et par des gens que je croiserai encore très souvent. Quelle serait leur attitude envers moi lors du prochain bal au cercle des officiers ?
On me fit lever de mon fauteuil pour me faire mettre à quatre pattes sur ce qui semblait être un petit banc recouvert de velours. Mon buste et mon ventre reposaient sur ce banc, tandis que me jambes et mes bras pendaient de chaque cotés. Le banc était légèrement incliné de telle sorte que mes fesses soient surélevées et mon sexe bien exposé.
- Fais-toi pardonner auprès de ton propriétaire.
On me glissa un petit sexe ton mou et tout ridé dans la bouche, mon front était en contact avec un ventre mou et flasque. Je saisis donc le petit vermicelle entre mes mains et commençai à le sucer, il nétait pas très appétissant. Mais c'était un ordre. Je caressais aussi ses bourses bien grosses et velues.
- Elle fait bien son travail, notre petite salope. Regardez-moi ce joli cul de ménagère prude, bien blanc et bien large, appréciez ces larges hanches.
J'étais décrite comme du bétail. Peu à peu, le sexe de mon maître commença à ce durcir. Alors qu'il fut bien dur, on me prit les mains et on me les attacha sous le banc avec de menottes protégées de velours.
Cela devint plus dur de sucer ce sexe, car je glissais sur le banc et le sexe s'enfonçait toujours plus profondément dans ma bouche. Quelqu'un vint s'asseoir sur mon dos face à mes fesses, je sentis sa chatte humide sur le bas de mon dos. Elle commença à me caresser l'entrejambe du haut de mon sexe jusqu'à mon anus.
Elle était en train de m'enduire l'entrejambes d'un gel frais et glacé, elle rentra très profondément dans mon vagin et dans mon anus. Ce gel frais commença à me chauffer tout le bas de ventre et je sentis mes 2 orifices se dilater. Surprise par l'effet, j'avais suspendu mon va et vient. Mon maître me prit par les cheveux et me força à continuer. La femme resta assise sur mon dos et continua à frotter son sexe sur ma colonne vertébrale, pendant ce temps je sentis un sexe masculin se balader dans mon entrejambe.
J'entendais une femme gémir, il devait s'agir de lautre femme. Le sexe était entré dans mon vagin et commençait à me pilonner vigoureusement, je le sentais énorme, il touchait le fond de mon vagin. Je sentis des frissons monter en moi, je mouillais comme jamais, mon anus était dilaté et brûlant, cette bite qui bougeait lentement mais fermement me faisait perdre tout contrôle de moi-même. Je suçais maintenant avec frénésie, quand tout à coup, tout s'arrêta.
On ne fit mettre à genoux, les mains attachées à un très haut tabouret, sous moi il y avait un sexe masculin sur lequel je m'empalai, ce devait être le Pacha. Sur le tabouret était maintenant assise une femme, à l'odeur de son sexe et à la fermeté avec laquelle elle me plaqua la bouche dessus, je compris tout de suite qu'il s'agissait de Madame la Colonel.
Je reconnus aussi ce clitoris si développé alors que le mien était minuscule ce qui m'excita fortement, j'adorais le titiller. Mes brûlures à l'anus furent apaisées dès que je sentis un pénis s'appliquer dessus. A la taille, je compris que c'était celui qui m'avait pénétré auparavant. J'étais prise par tous les trous. Je commençai à apprécier cette sodomie. J'avais aussi été très bien préparée. Les commentaires allèrent bon train autour de moi.
- Regardez comme elle se débrouille bien. Elle a certainement besoin de s'assouplir aussi les poignets.
On détacha mes menottes et je dus masturber 2 sexes, l'un dans chaque main.
Le pacha éjacula rapidement en moi, tandis que celui qui occupait mon anus pris son temps pour venir. Les deux bites que je branlais ne tardèrent à éjaculer elles aussi, Madame la Colonel me força à lécher tout le sperme qui était parti.
Finalement, celui qui me sodomisait jouit en même temps que moi. J'évitai de le montrer de peur d'être punie. Alors que mes orifices dégoulinaient de sperme, je dus lécher le sexe qui m'avait sodomisé. Bien que quelques semaines auparavant je me serais trouvé monstrueuse de faire cela de bonne grâce, maintenant je prenais beaucoup de plaisir à ce jeu. Je fus ensuite conduite dans une chambre les yeux toujours bandés et là je dus passer 1 heure à satisfaire le pacha, au bout de 10 minutes il s'endormit, je l'avais épuisé...
J'ai ensuite été ensuite conduite dans une salle de bain ou enfin on m'enleva mon bandeau. Je pris une douche. Mes vêtements n'étaient plus là. A la place se trouvaient une petite robe noire très décolletée et courte, des escarpins noirs à talons aiguilles. Pas de sous-vêtements. Sur une enveloppe qui contenait de l'argent (mon pourcentage et la somme promise avant), un petit mot était écrit : « Tu n'as pas besoin de sous-vêtements ! A 00h00 précise le chauffeur te ramènera chez toi ». Sois prête sinon.
Il était déjà 23h50. Je me dépêchais à enfiler les bas et la robe, j'avais à peine fini que j'entendis un bruit de clef dans la porte. Le chauffeur mouvrit. Je me pressais. Difficile de marcher avec des talons hauts lorsque l'on n'a pas l'habitude ! Dans la voiture, j'allumais la lumière histoire de remettre de l'ordre à ma tenue ! Je constatais que ma robe était un peu transparente ! Le chauffeur ne rentra pas dans la base, mais s'arrêtant devant la porte, il me lança :
- Mon service est terminé, je rentre. Descends ! Retourne chez toi à pieds.
Je dus donc passer par l'entrée de la base, tout en essayant de garder mon rang de femme d'officier, juchée avec une robe qui cachait à peine mes seins et d'où pointaient mes tétons durcis par la situation. Comme me regarda la sentinelle lorsque je passai sous le lampadaire, je pense bien que l'on voyait encore plus que ça !
Le carré où se trouvaient les logements des officiers se trouvait à l'autre bout de la base, je dus donc traverser à 1h00 du matin toute une base militaire avec des souliers qui résonnaient sur le bitume de telle sorte que tous les hommes que je croisais se retournaient. J'étais plus terrorisée par la réputation que j'étais en train de me faire plutôt que par l'idée de pouvoir être violée !
J'arrivai finalement à la maison. Je venais encore de découvrir une face cachée de ma personnalité : j'étais exhibitionniste. Même si au début, cela m'avait gêné. Le regard de tous ces hommes m'avait excité. J'étais en plus persuadée qu'ils avaient tous appréciés. J'étais tellement excitée que, malgré les douleurs anales, je me masturbai avant de m'endormir. Mon mari nétait de toute manière pas là. Je rangeai la robe et mes escarpins très précieusement, je les porterai certainement encore pour une autre soirée.
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