Découverte De L'Adultère
Je me suis fait dépuceler à quinze ans par un homme marié de plus de trente ans, après lui jai eu plusieurs relations avec des hommes toujours plus vieux que moi qui ne pensaient quà me baiser. Puis à 18 ans jai rencontré François qui était mon cadet de 18 mois .
Je mappelle Annie je ne suis pas un mannequin mais jai toujours attiré les hommes. Il parait que je suis mignonne, souriante, attirante, que jai des yeux coquins et une bouche sensuelle. Les plus grossier disent que je suis BCBG , une bouche à faire des pipes, Annie aime les sucettes me revient souvent aux oreilles.
De puis mon mariage je suis restée fidèle malgré les nombreuses propositions que jai eu. Mon mari aime que je porte des jupes au dessus du genou, voir même plus courtes, il aime voir mes cuisses. Malgré mes réticences au début, jai finie par le satisfaire et je me suis habitué à porter des jupes asses courtes. Cest devenu ma tenue habituelle tous le monde me connais comme ça et je dois dire que jaime ce look qui attire les regards sur mes cuisses. Ça ne me dérange plus de passer pour une salope parce que ma jupe semble trop courte pour une femme mariée. Mon mari maime comme ça, il sest habitué que les hommes dragues sa femme, et moi jadore être convoitée.
Je ne sais pas si cest lâge, mais la fidélité devenait de plus en plus pesante. Je ne sais pas si cest les hommes qui se faisaient de plus en plus empressé à mon égard, ou moi qui était de plus en plus réceptive aux avances. Mais je sentais que je devenais de plus en plus vulnérable, bien que mon mari mhonorait plus que le nécessaire,( deux fois par jours) jinspirais pour de nouvelles aventures. Je me sentais aussi désirée que désirable et plus les hommes me tournaient autour plus ils mexcitaient.
Quand à mon mari , après mavoir fait des crises et des crises de jalousie sétait calmé , sa jalousie sétait transformée en un fantasme bien agréable pour moi. Mon mari savait quil ne pouvait pas empêcher les hommes de désirer sa femme, il sétait résigné à un avenir de cocu et mavait confié quil préférait me partager plutôt que de me perdre.
Jai le démon en moi et quand Alain, un inconnu bien bâti me fit des propositions malhonnête avec un aplomb incroyable, des mots insolents, je succombais a ce macho prétentieux. Il semblait se prendre pour un étalon et avait du sentir que je ne demandais qua me faire saillir. Il ny a pas été par quatre chemins, bien quil me sache mariée, il sadressait à moi comme si jétais une catin. Cétait exactement le type dhomme que je ne pouvais pas supporter, mais je me rendais sans discuter au lieu et heure quil mavait indiqué.
Ce nétait pas le genre romantique que jattendais, à la première rencontre il a donné le ton de cette relation. Cétait la première fois quun homme me traitait ainsi, il me considérait comme une salope et ne se privait pas pour me le faire entendre. Quand a cette première rencontre jai voulu résister quand il ma déculotté au bout de cinq minutes, il ma mise au pas me disant que si jétais la cest que je nétais quune putain . Il ma dit je connais les bourgeoise de ton genre, jais bien vu ton manège et je te dis que tu nes ni plus, ni moins quune petite pute.
Je me disais au fond il na pas tord , je me comporte comme une pute, Il rajoutait , moi, ma femme ne se promène pas avec des jupes courtes , toi tu est une vrai salope. Et pour bien me faire comprendre quil disait vrai il me plaqua contre un arbre et membrocha sans plus de préliminaire.
Je dois reconnaitre que le traitement de ce salop mavait bien fait mouiller et que malgré son gros sexe il me pénétrait sans difficulté. Je me faisais défoncer la chatte comme une vraie pute et j étais ravis de ce quil marrivait. Je me sens toute petite dans les bras de cet homme , il me manipule, me retourne dans tous les sens comme il veut. Il mutilise à sa convenance et à cette première rencontre il ma défoncé mon petit cul que personne navait encore exploré. Jai aussi du le sucer et lécher ses couilles , je ne voulais pas mais jai pas eu le choix , il ma imposé ça comme le reste et malgré ma réticence jai rapidement aimé me soumettre à ses désirs.
Quand il a eu fini de vider ses couilles, quil ma remplit la chatte lestomac et mon petit cul tout neuf, il est partit sans plus se soucier de moi. Il mabandonnait aux milieux du petit bois, pour seul vêtement mes bas et mon porte jarretelle. Je me déplaçais avec difficulté, perchée sur mes escarpins, les talons senfonçaient dans la tourbe. Le foutre épais dégoulinait entre mes cuisses, il coulait le long de mes bas, tombait sur mes souliers. Je pensais : il ma vraiment baisé comme une pute ce salop, il ma défoncé ce fumier, mon cul me faisait mal, je sentais encore sa bitte. Jétais terrorisée car je ne trouvais pas mes habits, les larmes coulaient sur mes joues, jentendis la voiture de mon baiseur partir.
Cette fois jétais seule, toute nue, complètement terrorisée, je ramassais mon petit sac au sol et y trouvais ma clef de voiture. Je marchais avec difficulté dans les fougères jusquà ma voiture, heureusement il ny avait pas dautre véhicule, je trouvais avec grand plaisir ma courte jupe et mon petit blouson sur le toit de ma voiture. Mon corsage, mon soutien et ma culotte avait disparu, mais jétais trop heureuse de trouver de quoi mhabiller un peu, je me voyais mal rentrer nue.
Je rentrais avant mon mari, heureusement pour moi quil ne me trouve pas dans cet état. Malgré une bonne douche mon mari a comme senti un changement en moi, il sentait quil métait arrivé quelque chose. Il avait surement raison car moi-même je me sentais différente, Alain mavait souillé, abusé, traité comme une prostitué et malgré ça javais aimé ça. Il avait comme libéré mon désir de putain soumise que je rejetais depuis toujours.
Jai avoué a mon mari que javais rencontré un homme, mais ne pouvant lui dire ce quil sétait passé, ce que javais ressenti, je lui disais que nous avions juste flirté avec attouchements.
Mon mari sexcitait comme un dingue à imaginer sa femme dans les bras, il me baisait toute la nuit. Plus il me traitait de salope je devenais comme la braise.
Le lendemain mon mari était parti au travail, en fin de matinée, je mapprêtais à sortir faire des courses, jenfilais le petit blouson que je portais la veille, je pensais : allez, enfile ton blouson de pute. Je passais une main dans la poche et trouvais un papier plier, un message y était écrit.
Annie, tu es une sacrée bonne salope ! Retrouve moi demain devant léglise saint martin à 17h30. Tu es ma putain désormais, viens en minijupe et sans culotte, signé Alain .
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