La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°870)
Deux soumis appelés au Château (suite de l'épisode précédent N°869)-
e11299MDE fut alors conduit à quatre pattes par le garde dans les sous-sols du château... en passant par des escaliers en colimaçon étroits et abrupts tout en pierre glissante et où la température était glaciale et l'atmosphère humide. e11299MDE avait très mal aux genoux qui frottaient contre la pierre rude des marches descendantes et il tremblait déjà de froid et il se demandait bien ce que signifiait l'ordre de la Cuisinière qui résonnait encore dans sa tête : Emmène cette salope chez les folles. L'homme-esclave le conduisit ensuite le long d'une série de couloirs, poussa une épaisse porte en chêne au vernis délavé et aux gongs rouillés qui grincèrent lorsque le garde ouvrit. Puis il le fit entrer. Cette pièce était sombre et e11299MDE hésita avant de rentrer. Mais l'homme le poussa à l'intérieur.
- Tiens, nous avons de la visite, entendit-il glousser.
- Oh oui, de la chair fraîche ? Un petit cul à dévierger ???
e11299MDE s'accommodait maintenant de la faible luminosité, et apercevait quatre hommes et deux femmes, en petites tenues. L'un des hommes approcha, attrapa la laisse et le tira vers le groupe. Il constata alors que les deux femmes n'en étaient pas, mais qu'il s'agissait de deux travestis en train de s'occuper des hommes.
- Lorsqu'on nous amène quelqu'un ici, c'est qu'il a déplu au Maître, annonça l'un des hommes. Nous allons nous occuper de toi. Garde
. Garde
, appela-t-il.
Un garde ouvrit la porte
- Emmène les deux femelles au cachot. On s'en occupera une autre fois.
Les deux travestis se relevèrent. e11299MDE put voir que leurs sexes étaient bien dressés lorsqu'ils passèrent devant lui pour quitter la pièce.
- A nous cinq, maintenant, fit l'homme qui avait appelé les gardes en s'approchant de e11299MDE.
e11299MDE n'a pas le temps de protester que déjà un homme présente son sexe devant sa bouche et qu'un autre se présente derrière lui le sexe tendu.
Quant à Darla, elle fut attachée par la laisse au cou, au pied du lit du Marquis dEvans dans La chambre luxueuse du Maître des lieux. Une chambre rustique et immense avec tout le confort désiré donnant sur le côté via une large ouverture sans porte sur une salle de bain des plus confortables entièrement carrelée des plus beaux carreaux et à la robinetterie toute en Or. De lautre côté de la chambre, via une double porte massive Son bureau personnel style Louis XV où plus dun récit de la Saga fût écrit. Au fond derrière les hautes fenêtres de la chambre, il y avait une vue imprenable sur le parc du château et plus au fond on y voyait limmense forêt du Domaine qui sétendait jusquaux portes du village à plus de 5 km.
Cela faisait 1 heure de Darla en ce début de soirée attendait la venue de son Maître. Attachés, elle se reposait sur lépais et immense tapis qui recouvrait quasi toute la surface de la chambre. Dans sa tête, elle se repassait les évènements de son entrée dans le château et cela la faisait mouiller. Elle appréciait aussi les effets de la pommade que lhomme-esclave avait passé sur son dos afin datténuer grandement les traces du fouet. Quel prodige cette pommade, aucune douleur nétait présente. Elle regardait autour delle. Elle aperçut parmi les nombreux tableaux aux murs. Un tableau parmi les autres attira son attention, cétait un portait, celui de laïeul du Marquis car il était inscrit sur une plaque de laiton située en dessous de la toile Marquis Charles-Edouard dEvans -1786 Cest le regard de cet illustre ancêtre de son Maître qui fascina Darla. Un regard qui saisi la jeune femme, un regard Dominateur quon oublie pas. Darla en avait des frissons et cest en baissant les yeux face à ce regard fixe mais si envoûtant quelle se dit en elle-même - Quel homme devait-il être pour imposer un tel regard
Cest dans ces émotions fébriles que son Maître entra dans La chambre. Le Seigneur sans un mot toisa la belle et s'assit sur le lit et exigea à Darla de lui ôter ses bottes. Elle s'acquitta de sa tâche avec maladresse tant elle était sur un nuage. Puis il détacha la laisse du lit et emmena Darla jusquà la salle de Bain. Il ordonna à Sa nouvelle soumise de le dévêtir. Toute tremblante de timidité, elle sexécuta encore maladroitement. Le Maître resta immobile et se laissait dévêtir pour lui faciliter son ordre. Quand elle parvint aux sous-vêtements du Marquis, cest très fébrilement quelle fit tomber le caleçon du Noble pour découvrir une volumineuse verge en semi-érection. Lorsqu'il fut entièrement nu, il grimpa dans la baignoire préalablement remplie dun bain chaud et parfumée et demanda à Darla de le laver. Elle avait déjà vu des hommes nus mais le Seigneur était fait différemment.
Allongé dans le bain chaud, il se délectait du spectacle, admirant la silhouette de dos de la belle et sa belle croupe. Aucune parole ne fut échangée pendant quelques minutes; puis le Maître demanda à Darla si elle avait déjà été fessée et ce qu'elle ressentait à ce moment-là. Darla lui répondit que non, elle ne connaissait pas la fessée. Le Marquis lui dit alors que l'on pouvait avoir beaucoup de plaisir à recevoir des petites punitions corporelles et si elle était obéissante, Il lui ferait découvrir des mondes inconnus
Il décida de sortir du bain; sous Ses ordres, elle vint le sécher. Darla en était très excitée, à en mouiller, de passer la grande serviette éponge sur le corps de son Maître. Surtout quand elle essuya le sexe et les fesses de Son Maître. Puis suite à Son claquement de doigts et docilement elle le suivit jusqu'au lit où Il s'assit. A Son ordre, elle vint près de lui et Darla se mit dans la même position que tout à l'heure à la fenêtre, simplement que les mains étaient posées cette fois contre le lit, ce qui cambrait le dos de la belle et offrait au Marquis une croupe magnifiquement attirante et bombée.
Le Seigneur passa délicatement une main sur les fesses qui avaient perdues un peu de couleur. Un doigt s'insinua délicatement entre les deux globes; Darla eut un léger mouvement de recul. Le Marquis dEvans lui demanda si elle connaissait le plaisir de la pénétration anale; elle lui répondit par la négative. Alors le châtelain lui parla doucement en lui demandant de lui faire confiance. Il reprit délicatement son exploration tout en continuant à lui parler. Un doigt vint s'insinuer dans le conduit étroit de Darla :
- Sens-tu mon doigt en toi ? Ferme les yeux et laisse-toi guider par le désir qui va poindre. Je t'ouvre délicatement, je rentre et sors et tu n'as pas mal."
Darla respirait fort et découvrait quelque chose de merveilleux, d'inattendu. Le Noble remarqua qu'elle mouillait déjà (ou encore). Il trempa alors deux doigts dans la vulve de Darla, puis les enfonça doucement dans l'anus de la belle.
- Tu vois, Darla, maintenant deux doigts sont en toi ; deux doigts qui écartent bien l'entrée, qui prennent possession de ton abri caché. Aimes-tu cela ? "
- Oui, Maître, j'aime !" répondit la soumise tout en gémissant de plaisir quelle ne pouvait contenir
Maintenant trois doigts vinrent se glisser doucement et allaient et venaient dans l'intimité de la belle qui haletait comme une chienne en chaleur.
- Veux-tu que j'arrête Darla ?"
- Non, mon Maître, je vous en prie, continuez, sIl vous plait ! Jen souhaite davantage ! Je vous désire, vous, mon Maître !
- Non, ma jolie soubrette; pas tout de suite, pour le moment tu fais la connaissance de Mes doigts. Ce sont eux qui vont te donner la jouissance; Je ne te ferai mienne physiquement quand bon me semblera. Je vais maintenant te faire jouir par des plaisirs qui te sont inconnus jusque là ...
Il reprit le jeu doucement et avec une régularité parfaite des " va-et-vient " avec ses trois doigts. Le plaisir fut si fort quelle en cria. Le Maître retira ses doigts Il la fixa droit dans les yeux :
- Crois-tu, belle petite chienne que je me serais aussi bien occupé de toi si tes charmes navaient pas eu deffet sur moi ? Regarde mon sexe dressé! Je vais te montrer à quel point tu as exacerbé mon désir.
Sur ces paroles il empoigna délicatement les cheveux de Darla et lui obligea de le prendre en bouche en plaquant la tête contre Son ventre. Darla sappliquait du mieux quelle pouvait, elle qui désirait tant sucer son Maître, elle était ravie de sexécuter. Puis au bout de quelques minutes, quand il sentit la jouissance prête à exploser, Il se retira de sa bouche et déversa sur son visage un jet tiède et blanchâtre.
- Garde sur toi cette marque de ton appartenance et va te coucher dans mon lit. Mesure le privilège que tu as de partager ma couche. Je vais toffrir une nuit damour comme tu nen as jamais connu.
Et ce disant, il la chevaucha et la pénétra plusieurs fois dans la nuit et dans de nombreuses positions Darla noubliera jamais cette nuit. Ses yeux étaient fermés ou quand elle les ouvrait, elle voyait mainte fois le visage du Maître penché sur elle. Quel prodige ! Elle jouit très souvent et ses cris furent rejoints plus dune fois par les grognements de plaisirs du Marquis qui se répandait en elle de Sa semence, entrecoupés parfois 1 seule petite heure de sommeil, et cela à chaque fois que le Noble reprenait de la vigueur. Elle fut parfois réveillée pour être attachée, ou délivrée, prise dans des positions quelle naurait jamais imaginé et cela toute la nuit, une nuit de perversion, de luxure, de plaisir, damour
Et quelle nuit ! Ce nest quau petit matin où elle fût si fatiguée, quelle sombra dans un sommeil profond couchée la tête au creux de la poitrine de son Maître
Darla était heureuse
(A suivre ...)
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