La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°872)
Deux soumis appelés au Château (suite de l'épisode N°870) -
Dès le début de laprès-midi qui suivit cette torride nuit, et comme lavait exigé Monsieur le Marquis dEvans, Darla se mit à la disposition de Marie la Cuisinière pour le service de table. Nue comme au premier jour, elle devait servir chaque jour et dès ce premier soir les plats avec seulement son collier dappartenance à son vénéré Maître.
En ce début de soirée, alors que Darla saffairait nue en cuisine à préparer une Foret-Noire en dessert (ce qui était dailleurs sa spécialité pâtissière) Marie lui lança sur un ton sec :
- Laisse ton dessert un moment et va dans le hall dentrée, Monsieur le Marquis ty attend.
Tout se passa très vite dans la tête de Darla, le simple fait que son Maître ait envie de la voir en cette fin daprès-midi, lexcitait déjà. Et cest dans cet état fébrile quelle se hâta à quitter la cuisine pour le grand hall dentrée
Monsieur le Marquis dEvans était là, devant limmense double porte massive fermée. Il était debout bras croisés et imposait Sa domination par Sa position, Son regard, Son charisme. Elle leva doucement les yeux vers les siens. Il planta son regard bleu au fond de son âme. Ce que Darla pouvait y lire lui coupait le souffle. Lintensité de cette conversation silencieuse la troublait fortement et elle sentit son bas ventre shumidifier encore plus intensément. Darla avait reculé jusquà heurter le mur de côté derrière elle. Son souffle était court. Lhumidité entre ses cuisses pouvait difficilement être ignorée. Le Marquis la fixait toujours de ses yeux intenses. Le lien qui unissait leurs regards vibrait dun chaud désir presque palpable. Elle baissa les yeux signe de sa soumission.
Ses genoux fléchirent aussi, cétait le signal quil attendait. En deux enjambées le Noble fut sur elle, Il la plaqua contre le mur à laide de son corps musclé quelle devinait sous Sa chemise.
Le Marquis laissa aller le genou, puis Il la retourna dun seul coup rapide contre le mur. Une main entre ses omoplates écrasait sa poitrine contre la tapisserie murale. Son corps revint sécraser contre le sien. Il empoigna ses mains, dun mouvement circulaire les fit sélever au-dessus de sa tête. Le Marquis maintenait ainsi les poignets prisonniers contre le mur au-dessus de Darla. Le visage du Maître se perdait à lintérieur du cou de la belle, Ses dents mordillaient sans ménagement le lobe de loreille droite de Darla. De sa main libre, Il explora, fouilla lentrejambe trempé pour se retirer aussitôt. Il lui montra sa mouille luisante sur Ses doigts quIl enfonça aussitôt au fond de la bouche de Darla
Les lèvres du Marquis sécrasaient contre la nuque, il lâcha enfin ses poignets douloureux. Ses mains larges lui empoignèrent la taille quelles maintenaient toujours fermement contre le mur. Sa bouche commença à descendre lentement contre la colonne vertébrale. Dun pied quasi impatient, il écarta ses jambes. Sa langue caressait chaque vertèbre. Elle était au supplice et suppliait maintenant sans retenue. Il lécha ses fesses, lentement, puis, enfin, sa bouche se colla sur la région humide, lavala presque en entier, sabreuva de son jus épais.
Le Noble sétait relevé, tirant sur son collier pour la voir de face, la soumise se retourna vers Lui, Il la souleva par les hanches comme si elle avait été une poupée de chiffon, la coucha sur la petite table marquetée du hall. Dune main, elle tenta de retirer les objets qui senfonçaient douloureusement dans son dos. Avant quelle en ait pris conscience, le Marquis dEvans sétait débarrassé de son pantalon. Darla neut que le temps de retirer son bras pour agripper la table quIl senfonça dans un grognement au plus profond de son ventre. Elle poussa un soupir daise, jouissif, la plénitude que dégageait son visage était dun merveilleux éclat.
Darla pouvait sentir le Vit de son Maître en elle par chaque pore de sa peau. Il était imposant, lemplissait complètement. Elle pouvait le sentir glisser contre ses parois vaginales, les forcer allègrement à souvrir à lui. La soumise contractait ses muscles pour le sentir encore plus, pour lemprisonner en elle. Elle le voulait au plus profond, sauvagement, sans ménagement. Et Il lui donnait ce grand plaisir quIl avait daigné lui accorder. À grands coups de bassin, le Noble labourait maintenant son corps et son corps en redemandait. Ses mains empoignaient ses seins férocement. Elle criait son plaisir par des sons quelle ne reconnaissait pas. Mais peu importe, Son Maître la prenait ainsi et Darla ne demandait quune seule chose, savourer ce moment de bonheur intense, savourer les multiples sensations de plaisirs qui montaient en elle.
Le Marquis la releva, lui empoigna les fesses, toujours son pieu de chair enfoncé en elle. Darla sagrippa à sa nuque pour ne pas le perdre dun centimètre. Elle faisait aller son bassin contre le membre toujours dacier qui arrachait à son ventre des contractions quelle ne contrôlait pas.
Il la transporta ainsi accouplés dans la cuisine, traversant le hall, passant le couloir. Marie surprise de larrivée de ce couple copulant aisément, se retira prestement par une porte dérobée, laissant son patron à sa libido virile de mâle dominateur. Le Noble plaqua presque brutalement le dos de Darla contre un des immenses frigidaires, senfonçant au plus profond delle, écrasant sa poitrine à la sienne. Puis, alors que la soumise était si près datteindre lexplosion libératrice, Il se retira, la laissa retomber sur le carrelage doucement en la retenant. Elle gémit de rage sans un mot, dun coït qu Il avait cruellement interrompu. Il neut cure de ses réactions, la retourna et lobligea à se plier en deux en poussant sa nuque contre la grande table en chêne massive. Ses seins, son visage étaient plaqués contre la surface dure et froide. Son bassin se tendait dans une supplication sauvage. Le Marquis se refusait, la faisait languir en la maintenant dune main dans cette position inconfortable. Darla pouvait le sentir la détailler, senorgueillir de son impatience.
Au lieu de répondre à ses suppliques, Le châtelain lui écarta les fesses. Sa nuque était libérée de son entrave mais elle nosait pas bouger, intriguée par lattention quIl portait à son anneau postérieur et froncé. Elle sentit une langue sy aventurer, en détailler les contours puis senfoncer en elle. Darla gémit, surprise par les sensations que lui faisait découvrir cette inquisitrice qui la pénétrait. Quand sa respiration saccéléra et que ses gémissements sintensifièrent, ce fut un doigt humide qui força lentrée interdite. Il allait et venait, allait et venait
Elle se sentait souvrir, son cul en demandait plus.
Le Marquis dEvans se retira, présenta son membre toujours durement tendu, leffleura contre la fente humide de son con mais ne sy enfonça pas.
Il accéléra le rythme. Elle pressa une main entre ses cuisses trempées, là où se dressait le petit organe gorgé de plaisir. On pouvait y sentir les battements de son sang. Darla criait sans retenue, grognait, en redemandait. Et le Marquis lui donnait, plus loin, plus sauvagement. Il la prenait comme une bête. Elle se sentait animale, nétait plus que ce corps rabroué quelle voulait enfoncé, défoncé, rempli. La douleur avait fait place à un plaisir abyssal, si intense que Darla croyait défaillir. Se mains empoignaient frénétiquement les côtés de la table, elle bredouillait des mots inaudibles, lui disait non, lui disait oui, lui suppliait darrêter, lui suppliait de continuer encore et encore
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Puis Darla crut que le monde sarrêtait. Tous les muscles de son corps se tendirent à lextrême alors quun éclair explosait à lintérieur de ses yeux. En une longue plainte indéfinissable, son corps meurtri fut secoué de spasmes plus violents les uns que les autres. Elle ne respirait plus. Le plaisir épileptique sembla durer des heures. Lorgasme fut fulgurant, puissant, inouï dintensité
Le Marquis regardait sa soumise quil aimait tant et senfonçait en elle, toujours plus loin, toujours plus fort. Il voulait lui faire encore la faire jouir, la prendre sans fin jusquà ce quelle crie grâce. Oui, cest cela, Il voulait la faire jouir encore dun plaisir dont elle ne soupçonnait même pas lintensité. Il voulait lui faire perdre la tête, la baiser vulgairement, sauvagement. La Noble la tirait par la taille et la propulsait contre son ventre de plus en plus fort. Du fond de son bassin, les convulsions enserrant son membre fébrile eurent bientôt raison de son plaisir. Dans un cri exutoire, le Marquis empoigna ses épaules et se vida par à-coups puissants à lintérieur de ses entrailles. Les longs jets de sperme sépandaient dans le cul de Darla sous des râles puissants du Maître.
Darla se laissa fondre sur cette table, à demi-consciente de ce violent orgasme si intense. Elle réalisa quelle sanglotait de plaisir. Le Marquis retira sa bite gluante, puis Il lui caressa les cheveux jusquà ce que lintensité se soit atténuée. Il la prit alors dans ses bras, lembrassa si tendrement de mille baisers dAmour. Il monta ainsi les immense escaliers et la transporta jusquà Sa chambre et la déposa délicatement sur le luxueux lit. Puis il se coucha à ses côtés. Le Marquis attendrit caressait sa peau doucement, embrassait son front fiévreux. Darla leva les yeux vers lui, esquissa un sourire de bien-être. Ils navaient prononcé aucune parole et tout avait été dit. Darla sombra dans un profond sommeil et comme la veille au soir, elle était heureuse au creux de la poitrine de son Maître
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(A suivre ...)
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