L'Ami Vantard De Mon Mari ...

Mariée avec Jean depuis cinq ans, d’un naturel timide nous nous somment bien trouvés, même si quelquefois j’ai envie de ruer dans les brancards afin de le secouer et de connaitre ‘autre chose’, ne serait-ce que faire des sorties ou inviter quelqu’un à diner pour parler d’autre chose que d’argent ou de boulot
C’est en lui suggérant la dernière hypothèse qu’il s’est souvenu de son meilleur ami perdu de vue depuis longtemps

- Je ne sais pas ce que Jordan est devenu, est-il marié ? Habite-t-il à la même adresse ?
- As-tu un numéro de téléphone ?
- Oui mais depuis le temps il a dût changer
- Si tu n’essaie pas d’appeler tu ne le sauras jamais
- Tu aimerais faire se connaissance ?
- Ça nous changerait les idées un weekend
- Tu sais il est spécial, vantard, sûr de lui, il changeait de nana toutes les semaines
- Il faut le prendre comme il est, nous ne somment pas juges, appelle-le donc
- Pour déjeuner ou diner ?
- Hhooooooo ce que tu peux être pingre, pour diner et dormir a la maison car je suppose que voue allez fêter vos retrouvailles
- OK je l’appelle, voyons … Jordan C …ha, voilà le numéro … allo ?? allo Jordan ? tu ne devineras jamais qui c’est ! jean ? mince alors, comment m’as tu reconnu ? a la voix ? je suis toujours aussi prévisible ? ha … je suis content de t’entendre, toi aussi ? tu es marié ? toujours pas ? moi si ! avec Nadège, une superbe petite nana, si-si-si ! ça te dirait de faire sa connaissance ? alors vient samedi prochain ? tu dormiras à la maison car nous allons fêter dignement ça ! c’est oui ? super ! a samedi soir, surtout n’amène rien !
- Ben voilà ! tu es content ?
- Ça oui, sacré Jordan !
- Je vais acheter de quoi faire un bon petit diner et de l’apéro
- Ha… je pense a une chose … quoi donc ?
- Tu n’as pas grand-chose à te mettre, je veux que tu lui fasses bonne impression
- Ce n’est pas bien important
- J’y tiens, j’ai vu une petite robe bleue à ta taille en vitrine, ha, aussi des sous-vêtements à la mode
- Il ne va pas aller voir jusque là !
- C’est pour ma satisfaction personnelle
- Dans ce cas ! c’est du trente six et quatre vingt cinq B
- Avec cette robe pas besoin de soutient gorge
- Ha bon ? tu ne seras pas jaloux s’il reluque mon décolleté ?
- Venant de lui j’en serais flatté, ça voudra dire que j’ai bien choisi ma femme
- Mon chéri !

Quel homme pouvait bien être ce Jordan ? un vulgaire coureur de jupon ? tout le contraire de mon Jean, enfin nous allions parler d’autre chose que de la famille
Lorsque j’ai enfilée cette robe plus mini que je ne le pensais sur seulement un string tout aussi mini, je me sentais nue, nue et désirable, ça me rendais sûre de moi, mais hélas, toujours aussi timide …
Quand le carillon a retenti mon cœur a fait un bond dans ma poitrine, Jean m’a regardée il était incapable d’aller le recevoir …la porte ouverte nous somment restés quelques secondes à nous dévisager, quelques secondes qui ont parus des minutes, il est d’une beauté …

- Je suppose que tu es Nadège ? ça ne te gêne pas si je te tutoie et te fais la bise ?
- Aucunement Jordan, muuuummmm, Jean avait dit de ne rien apporter !
- Des fleurs pour fêter ta beauté et du champagne pour nos retrouvailles ! où est ce sacripant ?
- Au salon, c’est en face, je vais mettre les fleurs dans un vase et la bouteille au frais

Tandis qu’ils se congratulaient je pensais au baiser qu’il m’avait donné … trop prés de la bouche.

.. et aussi ce regard plongeant …je devais être rouge de confusion et de surprise, ce Jordan est vraiment un bel homme… déstabilisant …

- Alors les hommes ? content de vous retrouver ?
- Nous allons parler du bon vieux temps
- Un whisky nature ?
- Glace merci, dit donc tu as trouvée la perle rare ! Nadège est sublime !
- Merci vieux, venant de toi je sais que c’est sincère ! asseyons nous, prend place à coté de ma femme sur le canapé je vais prendre le fauteuil en face
- Tu prends des risques !
- Tu ne ferais pas ça devant moi ?
- Sait-ont jamais !
- A par ça quoi de neuf ? pas de copine ?
- Inutile
- Et pour l’hygiène ?
- Je n’ai pas dit que je restais abstinent, si tu veux tout savoir sache qu’il y a quinze jours j’ai été invité chez un couple
- Et ?
- Excuse ma franchise Nadège … j’ai baisé sa femme devant lui sans qu’il ne réagisse
- Menteur !

Un blanc s’est installé, je n’ose pas tourner la tête pour regarder Jordan mais dans le miroir d’en face nos regards sont accrochés, j’y lis une sorte de défit

- Tu veux que je vous raconte ?
- Vas-y, fait-nous marrer
- A leur décharge je dois préciser qu’ils sont aussi naïf l’un que l’autre, je me demande même s’ils savaient ce que voulait dire ‘préliminaires’, ils doivent faire ‘la chose’ uniquement par hygiène, à moins que ma ‘visite’ les aient décidés à découvrir autre chose

Cette réflexion sur les préliminaires a gêné Jean, il s’est raclé la gorge en évitant mon regard, Jordan a enchainé …

- J’étais assis comme maintenant sur un divan deux places a coté de la femme qui portait, a part la couleur, une petite robe courte, exactement comme celle de Nadège

Ces mots m’ont faits réagir car je sais que mes cuisses sont à demi découvertes, pas question de rectifier ma tenue ça voudrait dire que je me sens visée

- Le mari fixait sa femme comme pour lui intimer de tirer sur sa robe, mais je crois que ça plaisait a la femme de me montrer ses cuisses, ma main posée négligemment sur mon genou, dans la conversation, a glissé sur le sien comme par inadvertance, j’ai nettement sentis un tressaillement sous ma paume mais aucun refus ou réflexion de l’un ou de l’une, seule la glotte du mari a dégluti , alors j’ai décidé de les pousser dans leurs derniers retranchements, j’ai profité de cet avantage pour glisser ma main a l’intérieur du genou qui s’est légèrement entrouvert

Je rêve ? il fait la même chose sur moi et j’ai la même réaction qu’il décrit, j’ai tremblé de la tête aux pieds et non seulement cela ma culotte s’humidifie, serait-il tout simplement après tester son récit imaginaire sur moi ? Jean doit apercevoir l’intérieur de ma cuisse assez haut car il fronce les sourcils mais n’ose toujours pas réprimander son pote alors pourquoi le ferais-je ?

- Je la sentais chaude comme la braise, je parie qu’a ce moment là je lui aurais ordonné de se déshabiller elle l’aurait fait volontiers devant son mari impassible

Jordan poursuit son monologue sans que nous puissions sortir un mot ou une phrase pour le contredire, soudain il prend ma cuisse pour la poser sur la sienne, cette fois, robe relevée jusqu’à ma fourche jean ne peut ignorer la couleur de mon string et la tache qui doit l’auréoler, plutôt que de se lever pour venir me gifler ou mettre son poing sur la gueule a son copain il déglutie a plusieurs reprises et rectifie sa position dans le fauteuil, a mon avis sa queue doit le gêner dans son pantalon …mon peloteur n’a qu’a se pencher légèrement pour apercevoir ma culotte

- Devant l’impassibilité du mari j’ai décidé de tenter le tout pour le tout, indécemment ouverte elle ne cherchait pas à se dérober aussi j’ai fait remonter ma main ainsi sur la peau satinée de l’entrecuisse jusqu’à toucher du doigt la mini culotte trempée, avoue que c’est troublant non ? tu ne dit rien jean ? a moi ta femme me file le tournis …j’ai bien envie de caresser son abricot certainement juteux, allonge toi sur moi Nadège … la tête sur mes genoux, voilààààà ! écarte les jambes …

J’ai faillis hurler un ‘OOOUUUUIIII’ de ravissement lorsque ses doigts ont accrochés l’élastique de ma mince culotte pour s’infiltrer dessous, les doigts fins ont défrisés ma toison pour accéder a ma fente lézardée, deux doigts s’y sont enfoncés sans peine, jean ne bronche toujours pas de toute façon c’est trop tard je veux être baisée par ce Jordan, il touille si fort mon vagin que nous pouvons entendre des clapotis, héla ça ne dure pas, il retire son majeur et son annulaire et les montrent a qui voudra

- Vise un peu ça jean, mes doigts son reliés par de longs fils de mouille, y’a plus de doutes ta femme veut du mâle, goute a ta cyprine Nadège …. Suce bien …

Comme un conne j’obéis mais sans me forcer, j’aurais adoré que mon mari me le fasse bien avant aujourd’hui …et je trouve ça si succulent que ma langue cherche la moindre trace de mouille entre ses doigts

- Elle est cochonne ta femme ! alors je vais être beau joueur jean, je vais te faire participer …Nadège ? tu va te mettre a genoux aux pieds de ton homme, tu va ouvrir sa braguette et sortir sa bite qui a mon avis est vachement a l’étroit, ensuite tu le prendras en bouche pendant que je t’enfilerais en levrette, c’est équitable non ? pas de contestations ? alors ont y va, inutile de te déshabiller je baiserais ton string, moi je vais ôter mon pantalon définitivement car je suppose que la fête n’est pas terminée

Ce mec a un culot monstre et ça marche, Jean ouvre ses jambes lorsque je me mets a genoux devant sa queue qui déforme la braguette, les deux avant bras sur les accoudoirs il me laisse défaire sa ceinture et tirer sur le zip sans dire un mot, pourtant je vais me faire baiser sous ses yeux par son meilleur ami qui relève déjà ma robe pour dégager mes reins, le string a tordre est baissé a mi-cuisses, son membre frotte ma motte du clito a mon anus sans doute pour mouiller le gland que je devine de bon diamètre, devant ma bouche la queue de jean bat au rythme de son cœur c’est a dire très vite

- Avale sa pine je vais te prendre, pas de regrets Jean ? Alorsvoiillllàààààààààààààà ! wooooouuuuuuuuh ! c’est brulant là-dedans !
- Baise-moi !
- Mais c’est qu’elle parle la petite dame ? !
- Défonce-moi !
- Tu vas être servie, cramponne toi à sa trique

Son membre me remplit la chatte à merveille sa position haute fait qu’il frotte fréquemment sur mon point G que jean n’a jamais su découvrir, je ne vais pas pouvoir me retenir d’exprimer ma joie plus longtemps, une plainte sourde monte en moi, de plus en plus claire et audible pour finir par une explosion de jouissance, j’ai dus communiquer mon débordement a mon mari dont la queue se radie, un nombre de jets jamais atteints a ma connaissance fusent dans ma gorge, par réaction en chaine mon amant improvisé décharge en moi un torrent de foutre qui fait repartir mon orgasme de plus belle, cette fois, la verge expulsée de ma bouche je peut bramer comme une salope… mais… une fois apaisée je baisse la tête n’osant affronter le regard de mon époux

- Ça va mieux chérie ?
- Tu ne m’en veux pas d’avoir cédé à ton ami ?
- En l’invitant j’étais certain que la soirée se finirait ainsi, il a juste pris un peu d’avance le bougre !
- J’avoue que baiser la femme d’un pote avant de diner ne m’étais jamais arrivé ! si nous passions à table ?
- Très bonne idée, à présent tu peux te retirer de la chatte de Nadège, inutile de remettre ta culotte ma chérie

Sa queue ôtée de mon con je ressens un grand vide, les jus mêlés ressortent avec un gargouillis immonde, ma gêne fait rire les deux hommes

- Y’a comme une fuite ?
- Laisse pisser chérie, je vais en profiter pour gouter à vos sécrétions mélangées
- Bouffe la chatte de ta femme, pendant ce temps je vais servir le champagne, cet intermède m’a donné soif

L’attitude de Jean a changé en une minute, jamais je ne l’ai vu aussi avide de sexe, il lape ma foufoune avec la vigueur d’un jeune chien, sa langue tourne autour de mon clitoris comme une toupie, je connais ma troisième jouissance en un quart d’heure, j’ai servi le repas vêtue seulement d’un petit tablier, a chaque arrêts auprès des ‘convives’ a poil je bénéficie de doigts indiscrets dans mes orifices
Le trou normand ? je l’ai servi sous la table…la fin de nuit ? dans notre lit conjugal lovée et partagée entre mes deux amants, au matin, sur le lit baigné de soleil Jordan m’a honorée une dernière fois tandis que jean préparait le petit déjeuner …depuis notre vie a complètement changé, je vis sans culotte