Fleur Veut Ma Bite

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Fleur ressemble à sa mère. Mailin était petite et fluette. Fleur continue a exhiber son corps. Par bonheur, ça se limite à notre maison. Je suis toujours effaré qu'un tout petit cul comme le sien puisse engloutir de si grosses bites. Je commence à perdre contenance.
D'autre part, elle continue d'enquêter sur sa naissance. Les documents qu'elle obtient ne précise pas que je suis son père. Quand on voit sa physionomie et la mienne, on voit bien qu'on n'a rien en commun. La réaction de sa famille thaïlandaise, crée des doutes dans son esprit.
Un jour, on regardait "Le Bossu" à la télévision. On y voyait la jeune Aurore, tomber amoureuse de Lagardère. Elle croyait dur comme fer qu'il était son père illégitime. Fleur a, alors déclaré :
- C'est comme moi !
- Quoi ?
- Pourquoi tu me dis pas que t'es pas mon père ?
- Mais, je suis ton père !
- Je vais faire un test, pour savoir !
On n'en a plus parlé jusqu'à ce fameux jour, où Fleur, à poil, s'est glissée dans mon lit. Je dormais. Avec beaucoup de précautions, Fleur m'a enlevé mon slip, et s'est glissée entre mes bras. Sa poitrine contre la mienne, son bras s'est allongé. Dans sa main, elle a empoigné ma bite endormie. Ses doigts exploraient les moindres replis et cavités. Doucement, la bite prit du volume et se durcit. Fleur descendit au fond du lit. Elle écarta ses lèvres et goba le gland violacé. Les doigts de son autre main, glissèrent à l'intérieur de sa chatte. Une fois bien humide, Fleur remonta à ma hauteur, et introduit ma bite dans sa vulve.
C'est l'instant où mon corps décida de s'éveiller.
- Fleur ! Hurlai-je en me relevant.
- Tu n'es pas mon père ! cria-t-elle, les yeux en pleurs.

- Pour moi, si !
Je m'étais dégagé d'elle.
- Pourquoi tu as fait ça ?
- Papa, j'ai besoin de sexe !
- Et alors ! Avec tous les garçons que tu t'envoies !
- T'as toujours rien compris !
- Qu'est-ce qu'il y a à comprendre ?
- Pourquoi je baise devant toi ? Tu comprends pas que c'est pour te provoquer, t'exciter ? J'ai même envisagé que tu me violes ! Je veux que tu me baises, que tu me prennes par derrière, sentir le goût de ta bite dans ma bouche, lécher tes couilles. Que tous les soirs, tu me déshabilles, que tu me baises sauvagement, jusqu'à ce que tu tombes de fatigue. Je peux tout accepter. Je veux que tu me fouettes, que tu m'humilies.
L'autre jour, j'ai vu sur internet que tu as visionné les images de Charlotte Gainsbourg, dans Nymphomaniac. J'aimerais que tu me traites comme ça. Voir dans la glace, que tu me fouettes, puis que tu m'encules. Avoir l'impression que tu m'obliges à faire toutes ces choses ! Ca me donnerait un plaisir immense. Je veux penser que tu me violes. Tu sais, je le fais déjà avec les autres. Pendant ce temps-là, je ferme les yeux, et j'imagine que c'est toi que je suces, qui me fouette et qui me baise, puis m'encule violemment. Tu n'as pas le choix. Si tu refuses, je m'en irais. J'irais dans un bordel en Allemagne.
Et c'est comme ça, que j'ai accèdé à ses désirs. Je ne sais pas jusqu'où elle veut aller. La semaine dernière, elle a décidé de filmer nos ébats. Elle a institué un rituel. Quand elle rentre de son travail, elle m'invite à une séance télévisuelle commentée, avant de passer à un autre enregistrement.
Les joutes sexuelles provocatrices, avec les jeunes bien montés, ont cessé. Désormais, je dois être disponible pour satisfaire les désirs de Fleur. Et elle est insatiable.