Une Jeune Asiat Gangbanguée À La Maison
Plusieurs fois Serge eut loccasion de vérifier que la situation vécut mavait terriblement excité, car il avait maintenant tendance à mettre en fantasme dans nos ébats, la situation vécue. Et au contraire des mots, le corps ne ment pas. Il savait désormais que jétais presque consentante, et je ne tardais pas à mapercevoir quil avait utilisé la carte de visite de cet homme. Celle-ci était posé bien en évidence sur la table basse du salon un soir que nous regardions un film à la télévision. Je ne mexplique pas pourquoi je ne lui en parlais pas. Cette carte resta plusieurs jours au même endroit, de sorte que lui comme moi savions que le mensonge ne servait plus à rien.
Je me préparais mentalement à subir les assauts de cet homme devant mon compagnon. Je ne savais pas ce quils avaient manigancé, mais dans ses yeux, javais bien vu que cet homme voulait me sauter, cela ne faisait aucun doute.
Je sus que pour moi le compte à rebours avait commencé lorsque je découvris un paquet, un matin, posé sur la table du salon. Nous étions un lundi, Serge était parti au travail, javais posé un jour de repos à mon travail. Je travaille dans une banque, mais ce nest pas le sujet. Pas aujourdhui en tout cas.
Ne me doutant de rien, je me préparais un café et ensuite jouvris le paquet. A lintérieur, je trouvais une paire de menottes, un bandeau, un gode et de très beaux dessous noirs. Soutien-gorge, string, et jarretelles dans une très belle dentelle. Visiblement ils étaient à ma taille. 85D, 60, 92. Oui je sais petite poitrine, mais très joli cul, chers lecteurs. Vous étiez prévenu au premier récit.
Au fond, un mot : prépare-toi pour ce soir 22h, assied toi sur une chaise, met le bandeau et les menottes à tes deux poignets, dans ton dos. Tiens-le gode à disposition. Ne ferme pas la porte à clef, je ne serai pas là avant 22h30
javalais de travers mon café, je relus le mot.
Il était clair sur ce mot que je devais massoir sur une chaise, menotté, ny voyant rien, et nétant vêtue que de dessous qui signifiaient : « ok, faites de moi ce que vous voulez ».
Plutôt inquiète, jessayais dappeler Serge sur son portable mais cet enculé était sur messagerie... Je tournais en rond dans la maison une partie de la matinée, puis masseyant, je devais bien reconnaitre que le message passé à Serge ces derniers jours était équivoque. Javais eu mille fois loccasion dévoquer avec lui la carte de visite posé depuis une semaine sur la table basse. Je ne lavais pas fait, je me faisais tout doucement une raison, jallais passer un sale quart dheure ce soir
Jallais me faire baiser par cet homme rencontré en club. Point barre.
Jeus cette future soirée en tête toute la journée. La visite dune amie passa inaperçu, incapable que jétais de penser à autre chose. Je me voyais déjà avaler le sperme dun autre, cela me plairait-il ? La soirée passée en club et le souvenir de cette femme pomper un gros chibre mavait tout de même passablement excité. Qui sait ?
Vers 18h, jessayais de manger quelque chose, mais ny arrivait pas, un peu comme au lycée avant un examen. Finalement jallais commencer à me préparer vers 20h. Jy allais très tôt car je passe beaucoup de temps en général pour me préparer. Et cétait aujourdhui un peu comme un premier rencard, sauf que jallais coucher le premier soir, ;)
Jen profitais aussi pour prendre mes précautions. Sachant que jallais être mise à disposition, je savais pertinemment quil allait vouloir passer par derrière. Je nettoyais donc particulièrement cette zone, mais je ne vais pas rentrer dans les détails, vous avez compris.
Je prenais bizarrement du plaisir à passer la belle lingerie que javais reçu, et en me regardant dans le miroir, je ne pus que constater quelle me mettait sacrément bien en valeur. Elle mallait à merveille, et je savais que jallais lui plaire.
22h approchant, je plaçais un verre ainsi que quelques alcools sur la table basse pour mon invité.
Je neus pas trop longtemps à attendre, peut être quinze minutes, lorsque jentendis la porte de la maison souvrir. Puis quelquun déposa des clefs dans lentrée, certainement des clefs de voiture. Etais ce Serge, je lappelais, la soirée était-elle annulée ? Aucune réponse ne me parvint, jétais fébrile, je tremblais malgré les 22 degrés dans la maison.
Une personne pénétra dans le salon, en mocassin me semblait-il, cétait un homme. Je nosais plus prononcer un mot... Je lentendis sassoir pour prendre un verre. Une voix masculine, que je reconnus, me dit merci. Cette voix, que je reconnus, me dit quil savait que sous mes habits de lautre soir, il avait entrevu ce que pouvait être la beauté de mon corps. Et il rajouta que cela allait au-delà de son imagination. Il me dit sappeler Hector. Hector rajouta quil voyait parfois dans certains films pornos, des femmes aussi bandantes que moi.
Devais je prendre cela comme un compliment ? Dans la situation présente, certainement. Je le remerciais tout de même
Il se leva, sapprocha de moi, me demanda si les dessous quil mavait choisi me plaisaient. Serge avait donc donné mes mensurations à cet homme. Je reconnus son bon gout. Puis je sentis sa main commencer à me caresser, je ne protestais pas. Il passa doucement sur mon visage typé asiatique, me dit que « les asiatiques sont souvent de grosses salopes, plutôt soumises ». Et semble-t-il « jétais de celles-là ». Je navais pas trop les moyens de le dédire, car je savais daprès que ce que me disaient mes copines, excepté une ou deux, que jacceptais des choses de Serge quaucune delle naurait accepté.
Puis il repartit sassoir. Jentendis alors du bruit dans lentrée et je pensais que cétait Serge qui rentrait.
- Bonsoir Hector, je vois que tu nous as dégotté un bien joli lot ce soir.x
Là, je fus hyper surprise, je métais préparée à me faire baiser par un homme, mais par deux, qui plus est un black !!??... Je fantasmais comme toutes les filles que je connais sur les bites des hommes noirs, qui ont la réputation dêtre plus grosse que la moyenne. Et malgré ma surprise, plus que ça ma peur de sentir une situation à laquelle je métais préparé toute la journée méchapper, je mimaginais la taille de cette bite. Finalement qui étais-je ? Une belle femme en tailleur la journée et plutôt rangée, ou finalement une grosse salope ? Et comment me voyait Serge, lui qui mavait placé à la disposition de ces hommes ?
Un gode à mes pieds, en petite tenue, attachée à une chaise, peu de chances pour que les hommes présents se disent que je ne suis pas une femme qui aime la bite
Je me résignais à maccepter telle que jétais ce soir... Je remettrais un tailleur demain pour aller bosser.
Les deux hommes prenaient manifestement plaisir à boire, parler de la marchandise en parlant de moi, et en fait je commençais à mouiller malgré mes bavardages intérieurs. Entendre ce black dire quil me prendrait par mon superbe cul me flattait. Entendre encore que javais une bouche faite pour tailler des pipes menchantait quelque part.
Cependant certaines choses ne changent pas et je restais sur la réserve, je me contentais découter, soumise finalement. Peut être..
Hector, finalement décréta quils pouvaient commencer, tant pis pour les autres ?!?!?!. Il me dit alors que ce soir, » jallais sucer de la bite, et à la chaine. Ce soir, le gode ne servirait à rien. Il servirait une autre fois ». Ladrénaline commençait à monter en moi, et avant que je puisse commencer à dire le moindre mot, une bite tentait de sintroduire dans ma bouche.
Puis il me levèrent de la chaise et me firent magenouiller. Hector me dit : « te rends tu compte Patricia, il y a une semaine tu baissais les yeux, te sentant incapable de sucer cette queue qui sortait dun trou, et ce soir tu as ma queue dans ta bouche. » Je crois quà cet instant, je rougis..
Lhomme à laccent africain qui devait surement me fouiller la chatte, tentait depuis que jétais sur les genoux de passer un doigt dans mon petit trou. Il dit sa surprise de constater que son doigt ne sentait pas la merde, mais le savon. Ils rigolèrent tous les deux. Hector me susurra à loreille que jétais encore plus salope quil ne le pensait, et que javais de moi-même changé les règles pour ce soir. Ses va et vient langoureux dans ma bouche minterdisait de lui répondre.
Tout à coup je sentis son sperme dans ma bouche, et avec ses coups de reins rendus chaotique par le plaisir, celui-ci sécoula jusque dans mon cou. Cela lui déplut car il me dit que je devrais apprendre à avaler même avec une bite dans ma bouche.
Jentendis bientôt deux voix différentes faire irruption dans la pièce. Lune delles dit quil me reconnaissait, quil mavait vu dans cette boite à cul. Lautre quil était content de constater que jétais encore plus bonne que ce quon lui avait dit. Il avait toujours rêvé de se taper une Viet
Dêtre considéré comme un objet me plaisait, étrangement.
En attendant javais un black qui sobstinait à passer plusieurs doigts dans mon cul pendant que Hector et les trois autres prenaient un verre.
Un téléphone sonna alors que trois doigts étaient en moi, je commençais à apprécier la séance et à me détendre. Un homme, je ne sais lequel, me mit le téléphone à loreille, cétait Serge. Il me dit quil rentrerait tard mais que Hector allait prendre des photos pour que jai un souvenir
Commença alors une séance photo qui dura un long moment. Cet enculé dut en prendre au moins cinq cent.
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