Pour Jackie 2

Tu as rendez-vous avec ta nouvelle banquière pour demander un prêt vous ouvrir une boutique de lingerie. Tu es assis devant mon bureau, je t'écoute mais surtout te détaille. Tu portes avec beaucoup de gout un fin chemisier de soie rose un large pantalon de satin blanc. Je te trouve très séduisant et même séduisante. Je me lève de mon siège, vais fermer la porte du bureau à clé puis me pose sur le bord du bureau près de toi.
- Jeune homme votre dossier m'intéresse, mais il me faut plus de précision.
Ton regard n'arrive pas à se détacher de mes cuisses gainées dévoilées par la courte jupe de mon tailleur.
- J'ai besoin de savoir votre implication sur ce dossier...
Tout en te parlant je prends ta main aux ongles faits puis la pose sur ma cuisse.
- Dans la vie il faut parfois savoir saisir.... les opportunités.
Tu hésites ta main tremble légèrement puis doucement remonte sous ma jupe. Très vite tes doigts frôlent la soie de la fine culotte. J'écarte légèrement mes jambes t'aidant dans ton désir de toucher mon minou.
Tu sursautes et me regarde un peu surpris quand tes doigts découvre cette chose dure frémissante.
- Voila jeune homme une opportunité à saisir....
Je me lève un peu, fait remonter ma courte jupe et me repose contre le bureau. Doucement tes doigts remontent le long de mon sexe brulant et commencent un doux massage. Tu écartes la soie, mon sexe tendu jaillit de son écrin. Tes doigts l'entourent et doucement vont et viennent dessus. Je pose ma main sur tes cheveux et te guide doucement vers cette prune luisante que tu rêves de goutter. Ta langue la frôle, tes lèvres la mouille, puis lentement la goute. Tes lèvres s'arrondissent et mon sexe disparait dans cet anneau de chaire. Ta bouche prend la mesure de mon clito frémissant. Je m'allonge le dos sur mon bureau, tu te lèves me gardant dans ta bouche. Je pousse de doux râles de sentir le plaisir approcher. Mon corps se crispe et violement j'inonde ta gorge d'un doux nectar.

Tu continues à me garder en toi, dégustant les dernières gouttes de ma sève. Nos corps se séparent, je mets un peu d'ordre dans ma tenue.
- Jeune homme, je pense que votre dossier est en bonne voie. Venez chercher la réponse ce soir vers 20 h à cette adresse.
- Mais vous travaillez encore à cette heure ?
- Rassure toi, c’est mon adresse personnelle, nous pourrons finaliser cela.
Je te guide vers la porte, avant que tu sortes mes lèvres prennent les tiennes pour un fougueux baiser.
- Surtout faits toi belle ce soir....
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La porte se referme dans mon dos, je reste un moment immobile, tentant de comprendre ce qui vient de se passer. J’ai encore le gout de ton plaisir dans la bouche. J’ai quelques flashs, de ton corps magnifique, de tes jambes interminables, de ton sexe si beau et si doux, du gout de ta jouissance. Je redescends brutalement sur terre lorsqu’un employé de la banque demande si tout va bien. Je lui réponds par l’affirmative et me dirige vers la sortie. C’est une nouvelle joie qui m’envahit, mon projet va aboutir et s’il faut coucher avec toi pour cela qu’à cela ne tienne. De toute façon je rêvais de ça dès que j’ai passé& la porte de ton bureau.
Il faut que je me fasse belle ? Ok, je relève le défi. Je me précipite vers le mini stock que j’ai commencé à consti dans l’attente de pouvoir ouvrir mon magasin de lingerie. J’y trouve rapidement ce que je cherche, en chemin j’ai décidé de ma tenue : je porterai le blanc de la virginité. Je prends donc une guêpière blanche en satin ajourée de dentelle, le string et les bas assortis. Pour la lingerie, c’est fait. Je n’ai pas beaucoup de vêtements mais je trouve une petite robe blanche sans manche avec sa veste assortie, un peu petite mais tant pis. Je prends le tout et rentre chez moi.
Je commence par prendre une bonne douche sous laquelle je procède à l’entretien de mon épilation totale du corps. J’en profite pour faire un bon shampoing suivi d’un après-shampoing.
Au sortir de la douche je me sèche puis m’occupe de mes cheveux bruns. Ils m’arrivent aux épaules mais j’ai une coupe plutôt masculine alors je m’attache à arranger sa, brosse, peigne, sèche-cheveux, j’arrive à me faire un carré avec frange.
Je passe alors la lingerie, elle est douce au touché et à porter. Une fin parée, je m’admire. L’ensemble fait ressortir mes fesses que je trouve très jolies ainsi mises en valeur. J’enfile la robe, elle est un peu petite et je peine un peu à remonter la fermeture. Finalement elle s’ajuste. Elle est un peu courte aussi, elle ne descend que de 2 ou 3 centimètres sous la jarretière de mes bas.
Il est presque l’heure que je parte, un petit maquillage léger, fond de teint, contour des yeux et cils, rouge à lèvres tirant sur le rose, un peu de parfum, j’enfile une paire d’escarpins blancs à talons et je sors. C’est alors que je me rends compte que je ne suis encore jamais sortie ainsi. J’aime porter des tenues un peu féminines mais à ce point et avec d’aussi hauts talons, jamais. Tant pis, j’y vais, je suis belle ce soir, je me suis faite belle pour toi. Je me sens belle et très féminine lorsque je marche jusqu’à ma voiture, je surprends même quelques regards masculins me détailler. Sensation nouvelle et très excitante.
Lorsqu’après avoir sonné à ta porte et tu m’ouvres la porte, tu me détaille de haut en bas et lorsque tes yeux pour croiser les miens, tu me fais un petit sourire appréciateur. Tu me précèdes vers ton salon et je peux à mon tour apprécier ta silhouette. Tu as passé une tenue décontractée, jean moulant qui dessine magnifiquement tes formes, chemisier blanc suffisamment échancré pour apercevoir un soutien-gorge au motif floral très délicat.
Tu m’invites à m’assoir dans le canapé et me propose une coupe de Champagne que j’accepte. Lorsque tu reviens avec les verres, tu te places à mon côté en me disant :
- Comme je vous le disais, votre dossier est très intéressant. De plus, vous avez su saisir une opportunité, d’autres se présenteront surement, il faudra alors aller au plus profond pour les saisir.

Un peu intimidée, je réponds par un hochement de tête.
- Et puis, tu t’es faite belle.
Enchaines-tu avec un grand sourire. Ce passage du vouvoiement au tutoiement me perturbe un peu mais me soulage également, ça brise la glace.
- Merci, c’est ce que vous, heu, tu m’as demandée.
- Oui, c’est vrai. J’avoue que j’avais peur que tu ne saisisses pas cette nouvelle occasion.
- Mais je suis là. Alors pour mon dossier, tu penses que ce sera bon ?
- Oui, surement, trinquons d’abord.
Nous levons nos coupes, trinquons et buvons quelques gorgées en nous regardant droit dans les yeux. Je sens ta main venir se posée sur ma cuisse tandis que tu reposes ton verre. Tu me caresses doucement la cuisse en jouant à la frontière de ma robe qui a laissé apparaitre la jarretière de mes bas, tout en me regardant fixement. Cette caresse et se regard suffisent à me chauffer le bas ventre et à me donner de légers frissons. Lorsque tu te penches vers moi, je ferme les yeux dans l’attente de tes lèvres. Elles ne tardent pas à se souder aux miennes et nous échangeons un long baiser au cours duquel nos langues se mêlent, se découvrent, se caresses. Ta main est venue se placer entre mes cuisses que j’ouvre instinctivement pour la laisser passer. Elle remonte, s’attarde à la frontière entre ma peau et mes bas. Frontière qu’elle franchie finalement pour me caresser l’intérieur des cuisses. Cette caresse me fait ouvrir plus grand la bouche pour mieux recevoir ta langue et mes cuisses s’ouvrent encore. Lorsque je la sens sur le satin de mon string, que je sens le bout de tes doigts qui commencent à caresser mon sexe excité, j’ai un énorme frisson et je lâche un soupir qui m’arrache de tes lèvres.
- Dis dont mas coquine, tu me parais bien excitée. Puis-je te rappeler que nous sommes là pour le boulot ?
Ta main a mystérieusement disparue de sous ma robe et tu me regarde avec un grand sourire.
- Heu ! Oui, pardon.
Dis-je en me sentant rougir et en me rajustant.

- Donc, premier test. Je dois savoir si tu t’y connais en lingerie.
Me dis tu en te levant. Tu commences alors à te déshabiller et tu es bientôt en tanga et soutien-gorge devant moi. Tu es très belle ainsi, tu dois voir mon désir à mon regard et tu tournes doucement sur toi.
- Alors, qu’est-ce que je porte ?
- Facile, c’est l’ensemble Folie Frivole d’Aubade, coloris bouquet.
- Bravo ! Viens, tu as gagné un bisou.
Je me lève et viens vers toi pour déposer un bisou timide sur tes lèvres qui esquissent un sourire malicieux. Alors que nos lèvres se touchent pour ce que je pense être un petit bisou, tu m’atts par les hanches et me colle à toi, sexe contre sexe. Le bisou se transforme vite en baiser torride et tes mains quittent mes hanches pour venir me caresser les fesses. Ne je pose les miennes sur les tiennes et nous commençons à onduler, l’une contre l’autre tandis que nos mains massent, palpent et caressent nos fesses. Les tiennes sont douces et ferme, je joue avec le boute de tissus du tanga qui se perd entre elles. Tes mains remontent et me font quitter ma veste. A peine au sol, je sens la fermeture de ma robe glisser doucement. Tu te recules alors, t’arrachant à mes lèvres et à mes mains et tu descends ma robe.
- Ho ! Ma coquine, tu es très belle, très sexy. Ce blanc te va à ravir. Tu fais ta petite vierge pour son mari. Vas y montre-moi tourne toi.
- Mais je suis vierge.
Dis-je en me retournant.
- Quel beau petit cul. Tu es parfaite ma belle. Je ne peux pas croire que tu sois encore vierge avec un corps fait pour l’amour comme le tien, s’est impossible. En suçant comme tu suces non, c’est définitivement impossible.
- C’est pourtant la vérité. Je n’ai jamais osé.
Je te sens alors venir te coller contre moi, ton excitation tout juste retenue par ton tanga. Ta main vient se poser sur mon sexe humide me faisant gémir. Tu me quittes alors pour aller t’assoir dans le canapé, tu te places les fesses au bord des coussins, les jambes largement écartées, tu me regardes dans mes yeux toujours avec ce sourire malicieux :
- Viens, remontre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Je viens vers toi, ne lâchant pas ton regard et je m’agenouille devant toi. Ton tanga fait apparaitre les formes de ton sexe je passe ma main dessus je le caresse et je le sens encore gonfler sous mes doigts. Ton clitoris tire sur le tissu de ton tanga... Je le sors, il est bien droit et bien dur je le prend bien fermement dans ma main et je te masturbe en te regardant dans les yeux en passant ma langue sur mes lèvres... Je me rapproche de tes testicules, sorts ma langue et les lèche. Je les prends dans ma bouche et les lèche pendant 2...3minutes...5 minutes... Je sens un filet de plaisir transparent tomber sur le dos de ma main qui te masturbe lentement... Je prends alors ton gland dans ma bouche et je te suce doucement. L’excitation montant, je vais de plus en plus vite, jouant avec ton clito comme une petite salope des films X.
- Ho ! C’est trop bon mais arrête ma chérie je n’ai pas envie de jouir maintenant.
Je te lâche à regret, je vois ton clitoris palpiter, je lui fais un petit bisou avant de remonter vers tes lèvres. Tu m’embrasses doucement, tendrement en reprenant ta respiration. Tes mains sont sur mes fesses qu’elles caressent doucement, au rythme de notre baiser. Lorsque tu bouges, tu m’allonges sur le canapé, tu quittes mes lèvres pour descendre. Je sens ta bouche me faire des bisous dans le coup, descendre le long de ma guêpière, faire des bisous sur mon clito tendu au travers du string que tu descends. Tu t’allonges entre mes jambes écartées et en me regardant tu entreprends de me caresser avant de me prendre en bouche. Ta bouche est chaude, humide, divine. Tes caresses de la langue me font tressaillir de plaisir. Tandis que ta bouche va et viens sur mon sexe ta main caresse mes testicules, les soupèse. Ta main dépasse mes testicules et me masse le périnée. J’ai comme des décharges électriques et mon corps trésaille tandis que je ne peux retenir mes gémissements.
Ta main ne s’arrête pas là, elle continue son exploration et passe entre mes fesses. Lorsque je sens un doigt frôler mon second sexe, je pousse un nouveau gémissement. Pendant ce temps ta bouche ne s’est pas arrêtée, elle s’active même, me titillant le clitoris à une vitesse folle. C’est avec surprise que je me rends compte qu’un second plaisir est en train de monter entre mes reins, qu’il est procuré par deux doigts qui me masturbent. Ce plaisir nouveau est si fort que je ne sens même pas que tu as arrêté la fellation. J’écarte alors plus largement les jambes en remontant les cuisses pour mieux m’offrir à cette caresse. Après de nombreuses minutes au cours desquelles je pense défaillir à chaque instant, tu me fais mettre à 4 pattes sur le canapé. A peine dans cette position je sens ta langue venir me lécher le sexe maintenant ouvert. Cette caresse est si douce que je ne peux laisser échapper un cri de plaisir. Lorsque ta langue me quitte je te sens te redresser et bientôt je sens ton sexe contre le mien. Il me pénètre doucement facilement tant je suis excitée et mouillée de ta langue. Je sens tes mains sur mes hanches qui m’attirent vers toi. Après quelques allers retours je sens tes cuisses contre les miennes tu entreprends alors d’amples mouvements rapides, tes cuisses claquent contre les miennes. Nous crions notre plaisir toutes les deux. Et, dans un dernier assaut qui t’amène au plus profond de moi tu exploses dans un cri. Je te suis immédiatement dans un orgasme et une jouissance inouïe, mon cri se mêlant au tien.
Je te sens t’écroulée sur mon dos et je tombe, allongée sur le canapé, ton sexe toujours au chaud dans le mien. Après avoir repris un semblent de respiration tu me glisse à l’oreille :
- Ma chérie, tu es magnifique, tu es faite pour l’amour.
A cet instant je sais qui je suis. Je me suis toujours cherchée, homme ou femme, les deux me plaisaient. Je comprends que je suis un peu des deux, avec une attirance plus prononcée pour le coté féminin. J’aime les femmes mais celles qui ont un très gros clito. Dans tes bras je trouve ma place tandis que je sens ton sexe sortir doucement du mien.

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