La Factrice.
Lettre quAlice, jolie libertine rencontrée lors de vacances (voir les deux histoires précédentes), adresse à son complice de libertinage.
Mon Matou, mon doux coquin,
Tout dabord, je dois tavouer que te me manques beaucoup
Tu ne me demandes plus devenir bavarder par caméra interposée
Que ce passe til ? Plusieurs semaines sans nouvelles
même pas un petit message ! Je nennuie de toi
et je vais tenter de tattirer à nouveau devant la caméra
Alors, je viens te raconter par courrier ma dernière aventure sexuelle. Tu sais que de temps à autre, jaime bien faire lamour avec une femme : je suis un peu bi sur les bords
mais quand même avec une très nette préférence pour les hommes ! Nen as-tu pas profité coquin ? Et bien, là çà a été un sommet auquel je ne mattendais pas.
Hier matin, alors que vers 11 heures, je sortais de la douche pour me réveiller après une nuit de folie à bavarder sur le site de rencontres coquines (où tu nétais pas !), j'ai entendu la sonnette de l'interphone de mon appartement retentir.
Je me suis enroulée rapidement dans une grande serviette que j'ai nouée au dessus de mes seins et je suis allée répondre. C'était la factrice qui m'apportait une lettre recommandée. J'ai été un peu surprise car d'habitude elle se contente de laisser un avis de passage dans la boîte aux lettres.
Jai ouvert la porte de l'immeuble et j'ai attendu sur le palier qu'elle arrive jusqu'à moi. Ce n'était pas la factrice habituelle. J'ai tout de suite reconnu une copine de lycée que j'avais perdue de vue depuis cette époque. En me remettant ma lettre, elle me dit que c'est le nom sur le boitier de sonnette qui a attiré son attention et qu'elle aussi s'était rapidement souvenue de moi.
Il est vrai qu'à cette époque nous affolions nos condisciples car nous étions les deux seules à porter des tenues hyper sexy qui nous distinguaient des autres filles de notre âge.
Ce que tous les garçons ignoraient, c'est que toutes les deux nous avions une relation avec des hommes plus âgés depuis de longs mois et nous avions su rester suffisamment discrètes pour que personne de notre entourage ne le sache. Cétait des amants réguliers certains étaient même mariés qui nous faisaient de petits cadeaux
Nous ne nous considérions pas comme des femmes vénales
Douze années sétaient écoulées depuis que nous nous étions perdues de vue
Jétais partie travailler à Bordeaux puis jétais retournée vivre en Algarve doù ma mère est originaire. Puis jétais revenue dans la région de Biarritz avec mon copain Tony
Eva a pratiquement terminé sa tournée et nous commençons à bavarder et à raconter notre vie écoulée depuis bientôt ce temps au cours duquel nous nous sommes perdues de vue.
Je la détaille pour voir combien elle a changé. Elle a des formes pleines, une jolie poitrine bien ronde, une taille étroite qui s'évase sur des hanches galbées. Brune de taille moyenne aux cheveux courts, elle m'explique qu'elle a été mariée et a eu deux s confiés à la garde du père depuis le divorce. Depuis, elle vit seule à Bayonne et fait régulièrement des remplacements pour La Poste. Avec ce que lui verse son ex, elle n'a pas à se plaindre.
Quant à moi, si je suis également brune aux cheveux tombant sur les épaules, je suis radicalement différente mais contrairement à Eva, je nai guère changé depuis la fin de mon adolescence. Très grande et à la silhouette longiligne, j'ai une poitrine menue avec des tétons bien saillants (souvenirs des étirements que les hommes leur ont fait subir), des hanches étroites sous une taille à peine marquée.
Je partage librement ma vie avec un compagnon, Tony, qui est assez rarement à la maison.
J'explique à Eva qu'en dehors de missions d'intérim, je suis animatrice pour un site coquin ce qui me permet de gagner un peu plus d'argent tout en assouvissant mon besoin irrépressible de sexe.
Soudain elle vient s'asseoir près de moi sur le divan et m'enlace. Nos bouches se joignent dans un baiser ardent qui nous renvoie bien des années en arrière.
La serviette dans laquelle je suis enroulée est vite tombée, dénouée par des mains qui viennent cueillir mes tétons pour les faire rouler entre les doigts.
Je remonte son polo siglé et d'un geste preste, je fais sauter l'agrafe de son soutien gorge pour lui rendre sa caresse.
Elle enlève rapidement son polo et le soutif et fait glisser son pantalon et son string.
Nous sommes nues l'une et l'autre.
Je découvre quelle a discipliné son abondante toison pubienne en un triangle dont la pointe indique le capuchon du clitoris et monte en s'évasant sur la largeur d'une main. Moi, il y bien longtemps que je me suis débarrassée de cette encombrante toison en la faisant éliminer définitivement au laser dans un institut de beauté en Espagne.
Le divan nous accueille, Eva prenant la direction des opérations (elle a toujours été un peu dominatrice dans nos quelques rapports saphiques) en me couchant sur le dos pour m'embrasser à nouveau en frottant ses seins lourds sur les miens pendant que sa main droite investit ma chatte déjà toute engluée de mes sécrétions.
Que c'était bon de se retrouver ainsi.
Si pour moi faire l'amour avec mon homme ou un autre de rencontre, c'est le pied tellement je les chauffe au point dêtre virils et endurants, la douceur d'une étreinte lesbienne est tout aussi appréciable.
Je me relève en la repoussant doucement pour venir me mettre tête bèche au dessus d'elle pour que nous puissions nous faire minette comme quand nous étions au lycée.
Je gobe son clitoris sorti de son capuchon et de deux doigts j'investis sa chatte.
De son côté Eva n'est pas en reste : Elle me prodigue la même caresse.
En fouillant sous les coussins qui garnissent le divan, je vais chercher un de mes Plug et je lui introduis dans son petit trou plissé où il est entre facilement.
Après quelques mouvements de va-et-vient, je le laisse en place et je continue de lécher sa chatte qui est de plus en plus humide. Nous ronronnons comme deux belles chattes quand Eva me dit soudain :
J'ai envie que tu me baises vraiment, aurais-tu un gode ceinture par hasard ? Ça va faire six mois que je ne me suis pas fait sauter par un homme
je suis en manque !
Bien sur j'ai cet accessoire (et bien dautres tu le sais) pour m'exhiber avec lors de shows privés sur le site. Les mecs sont très excités de me voir harnachée de la sorte. Je vais rapidement dans ma chambre où je méquipe en revenant vers le salon. Eva est déjà en place, en levrette, appuyée sur le dossier d'un fauteuil, m'offrant la vision de ses globes fessiers largement fendus avec mon Plug toujours fiché dans son anus. Je mets une noix de gel sur l'extrémité du gode et d'une lente poussée, jentre dans sa chatte avec une facilité déconcertante. Elle est noyée de cyprine !
Je commence les mouvements de va-et-vient lentement puis de plus en plus vite au fur et à mesure que je sens et entends monter sa jouissance.
De mon côté, le bourgeon opposé à la verge factice exerce des pressions répétées sur mon clitoris. Nous jouissons pratiquement en même temps, laissant éclater bruyamment notre plaisir partagé. Nous nous désunissons pour nous embrasser de nouveau.
En se rhabillant Eva me dit encore :
Il faut que je termine ma tournée. Je reviendrai te voir prochainement !
Oh oui ! Garde le Plug dans ton cul, tu me le rapporteras lors de ta prochaine visite !
Nous nous sommes embrassées une dernière fois sur le palier avant de nous quitter.
Jétais en super forme pour exciter les coquins sur le site jusqu'à 14 heures avant de partir à la plage pour encore profiter des rayons du soleil de septembre.
C'est en repensant à cette rencontre imprévue quelques jours plus tard que j'ai une idée à creuser. Puisqu'Eva est en manque d'homme, je vais m'arranger pour que mon mec (prévenu auparavant) nous surprenne en train de nous gougnotter et lui fasse l'amour.
Qu'en dis-tu ? N'est-ce pas une bonne idée de faire une partie à trois. Je suis sure que mon homme aimera.
Je te fais plein de bises coquines, ton Alice coquine... en attendant ta visite en caméra ou mieux encore
si çà te dit
Alice.
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