Troisieme Épisode De Mon Education
Le lendemain, lorsque je me levais pour aller bosser, Serge était déjà parti pour le sien. Un mot mattendait ainsi quun bouquet de fleurs sur la table à manger, le petit déjeuner prêt. Serge avait simplement écrit : « je taime ». Je fus touché de cette attention.
Cest Serge qui devait avoir les clés des menottes car je nétais plus attaché. Je me voyais mal me pointer au taf avec une paire de menottes.
Massoir à déjeuner dans la pièce ou javais subi les assauts de la veille me fit étrange impression. Un mélange de honte et de plaisir. Comment pourrais-je recevoir à nouveau mes parents chez moi ? La sensation de mon cul sur la chaise me rappelait aussi que plusieurs hommes avaient investi mon fondement. Le mot de Serge semblait en tout cas confirmer quil appréciait.
Jallais à mon travail et jévitais la station assise le plus possible. Dans la banque je dirige une petite équipe de cinq personnes, deux femmes et trois hommes. Je sens bien que recevoir des ordres dune femme contrarie les hommes, mais nous avons des relations amicales. Nous nous voyons parfois en dehors du travail, même si je mets une barrière pour leur signifier que je suis leur chef.
Bref, pendant quelques jours, je soufflais sexuellement parlant, mon cul ayant besoin de repos, et Hector le savait.
Mais le répit ne dura pas.
Un soir que je sortais du travail, un jeudi, Hector mattendait dans sa voiture. Il mouvrit la voiture pour me signaler de monter. Il membrassa sur la bouche, y mit la langue. Cétait un moindre mal, sa langue était déjà aller dans des endroits de mon corps encore plus intime. Il ny avait plus trop dintimité avec Hector.
- Bonsoir Patricia, me dit il. Ce soir nous allons avancer un peu ton éducation. Ne tinquiète pas Serge est au courant. Prépare toi à passer au stade suivant..
Je pensais déjà être arrivé et il me disait de passer un stade suivant. Je navais pas idée de ce quil allait me demander cette fois ci
Jeus peur à nouveau.
Nous roulâmes ainsi assez longtemps sur lautoroute en direction de lEspagne, je dirais une centaine de kilomètre. Puis Hector sortit de lautoroute, la reprit en sens inverse et sarrêta sur une aire dautoroute.
Et voici ce quil me dit : « Ce soir, tu vas devoir te débrouiller pour rentrer sans moi à Bordeaux. Mais selon les règles que voici : Tu vas aller te changer dans les toilettes de la station-service et mettre ce que jai amené pour toi. Tu seras peu vêtue mais tu auras un long manteau pour te couvrir. Tu laisseras tes vêtements actuel dans les toilettes. Ensuite tu devras solliciter les personnes de ton choix pour te ramener, leur disant que tu nas pas de voiture pour rentrer sur Bordeaux. Si quelquun te demande comment tu as pu te retrouver sur une aire dautoroute de la sorte, tu devras lui expliquer la vérité, que tu es une jeune femme soumise, que ton maitre vient de te déposer ici pour être copieusement humilié et éduqué. Tu devras faire ensuite ce quil sollicitera de toi en échange de ton retour à Bordeaux. Peu importe comment il te baisera, par contre tu ne dois pas avaler son sperme, mais le laisser se répandre sur ton visage, ton décolleté, le manteau. Et le plus important, tu ne dois pas tessuyer, mais le laisser sécher.
Comme tu es gaulé, tu risques darriver avant moi. Tu donneras cette lettre à la personne qui te ramènera. Tu nas pas le droit de louvrir. Une fois à Bordeaux, appelle moi.
Sur ce, il me demanda de sortir ; aussitôt il reprit la route en direction de Bordeaux.
Bon, il me semblait que je navais plus le choix. Je ne pouvais pas revenir sans mêtre faite copieusement humilié, au risque de déplaire à Serge
Ce que je ne voulais pour rien au monde.
En rentrant dans la station-service, je me demandais comment procéder, je ne pouvais pas me taper un père de famille dans les toilettes et me faire ramener ensuite dans la voiture familiale en compagnie de la femme, voire des s...
Mes choix se résumaient à trouver un homme, seul de préférence. En passant devant les machines à café, je constatais quun jeudi à 20h, il y avait peu de gens sur les autoroutes, à part des camionneurs
Les habits que je devais passer ne laissaient aucun doute quant à mes intentions
Soutien-gorge et string rouge, haut noir transparent, jupe qui arrivait juste sous les fesses. Se pencher était une erreur fatale. Heureusement je pouvais cacher mon corps sous un long manteau noir qui tombait au-dessus des genoux.
Quelle honte : bonsoir monsieur, je voudrais me faire baiser et me faire inonder la gueule de foutre. Et si vous pouviez me ramener chez moi ce serait cool.
En ressortant des toilettes, plus personne autour des machines à café, à lextérieur un homme séloigne sur le parking certainement vers son véhicule. De loin je le vois passer entre des camions, surement un camionneur. Bof pas très inspirée à lidée de sortir comme ça. Je vois du coin de lil le pompiste qui tente de me déshabiller du regard. Son inquisition me pousse à sortir. Je me dirige vers les seuls véhicules stationnés. Que des camions. Une voiture arrive à ma hauteur, mais ce sont deux femmes qui me regardent furtivement en passant à vive allure.
Il fait nuit, jai un peu froid et je suis seul sur un parking daire dautoroute. Je me résous à passer entre les camions. Seul le bruit de mes talons résonne, tout le monde semble bien au chaud au lit. Les remorques vides sont ouvertes pour éviter les vols.
Soudain jentends un « bonsoir, vous cherchez quelque chose ? » . Je me retourne, cest un homme, la trentaine, plutôt souriant.
- Bonsoir, excusez-moi de vous déranger, je cherche à rentrer sur Bordeaux, je sais que cela peut paraitre étrange mais je suis seule et je suis coincée ici.
Que répondre à cela, à part : « vous minquiétez, comment avez-vous pu vous retrouver seule ici ? », ce quil dit évidemment. Je ne savais pas du tout comment enchainer sur le laïus que mavait pondu Hector, et il dut voir ma confusion. Je réussis à dire simplement : « je suis ici parce que mon maitre la voulu. »
- Votre maitre ?
- Oui.
- Je ne comprends pas.
- Mon maitre
ma déposé ici et ma demandé de trouver quelquun pour me ramener à Bordeaux.
- Jai du mal à comprendre.. Pourquoi a-t-il fait ça ?
- Pour parfaire mon éducation, dis-je la tête basse.
- Votre éducation
- Pouvez-vous me ramener à Bordeaux ?, lui demandais-je timidement.
- Oui demain matin si vous voulez
- Jai besoin de rentrer ce soir.
Ressentant trop de honte à lui dire le reste, jenlevais les mains de mes poches, et naturellement mon manteau sécarta, laissant apparaitre la vue sur ma micro jupe, mon haut transparent et derrière mon soutien-gorge rouge.
Lhomme comprit de suite ou je voulais en venir.
- Et si je tamène, finit-il par dire, que moffres tu en échange ?
- Ce que vous voulez, lui répondis-je.
- Monte avec moi pour voir si nous pouvons nous mettre daccord, dit-il avec un sourire.
Je montais à sa suite dans le camion. Je fus étonné de rentrer dans une cabine aussi spacieuse. Il semblait y avoir en plus une chambre derrière moi, un rideau était tiré. Je lui donnais rapidement la lettre de Hector quil ouvrit. Il la parcourut puis déclara : « cest notre jour de chance ce soir. Fred, appela-t-il, viens voir ce qui nous arrive !! »
Jentendis bouger derrière moi, le rideau souvrit sur un homme dune trentaine dannée également, qui grommelait.
- Putain, pourquoi tu me réveilles ?
- Regarde ce qui est assis dans la cabine.
Lhomme tourna les yeux vers moi, il ne mavait pas vu.
- Qui est ce, dit-il ?
- Notre dessert. Ecoute moi. Un certain Hector, qui nous a écrit cette lettre, fit il en montrant la feuille quil tenait à la main, nous demande de baiser sa petite chienne, Patricia.
- Oui, je dois trouver un moyen pour rentrer chez moi et ce moyen implique de me faire baiser.
Le deuxième homme, Fred, pas surprit du tout, voulut de suite vérifier ma sincérité et décida de commencer à passer ses mains sur mon corps. Voyant que je me laissais faire, le premier rigola et sortit son sexe. Il commença à se toucher pendant que son pote palpait la marchandise.
Il commença par écarter mon manteau et me demanda bientôt de lenlever. Il demanda à lire la lettre, la parcourut, puis dit :
- Ok, on te baise, on te ramène à ladresse indiqué
- Vous devrez éjaculer sur mon visage..., me sentais je obligé de rajouter
- On fera un effort alors, pas de soucis. Je nai jamais baisé dasiate, on ma toujours dit que cétaient de bons coups. Et voyant lespèce de petite pute que tu sembles être, je pense que tu ne vas pas faire mentir la rumeur. Viens par la ma jolie, fit il en mentrainant sur le lit
Tous les deux se déshabillèrent, les deux avaient des queues dans la moyenne, mais plus épaisse que celle qui métaient donné de voir habituellement. Ils ne prirent pas le temps de me déshabiller, comprenant que je ne cherchais pas de la poésie. Je me retrouvais aussitôt avec une bite dans la bouche, et rapidement deux mains viriles remontaient ma jupe, ma croupe bien tendu pour pouvoir sucer correctement le premier. Rapidement celui que je suçais me baisa littéralement la bouche. Mon haut transparent se retrouva rapidement arraché. Jespérais pouvoir sauver mon soutien-gorge.
Puis ils échangèrent de place mais pour le même calibre dans ma bouche. Ma chatte fut rapidement investi et je fus alors sauvagement baisé, les coups de pilons ne me laissant que peu de répit. Je me retrouvais à nouveau dans une situation improbable, et jadorais ça. Une heure plus tôt, jétais pourtant envahi par la honte. Etant morts de faim les mecs ne mirent pas longtemps à venir. Je leur rappelais de venir sur mon visage, mais ils navaient pas oublié et y prirent plaisir. Quelques petits jets peu abondants. Ils devaient se branler tous les jours. Je fus presque déçu.
Finalement je sauvegardais mon soutien-gorge, javais du sperme dans les cheveux, mon visage et mon cou étaient constellé.
Les deux mecs tinrent parole et me ramenèrent sur le champ, tout content davoir gagné leur soirée. Je mendormais pendant le retour. De retour à Bordeaux, je ne reconnaissais pas mon quartier. Ils mamenèrent malgré tout à une adresse que je connaissais pour y être allé deux fois. Jétais au pied de limmeuble de lun des membres de mon équipe, au travail. Il était 23h30.. Ils me laissèrent là.
Je me rappelais de téléphoner à Hector au bout de quelques minutes.
- Oui Patricia. Alors tu es arrivé.
- Oui.
- Bonne baise ?
- Oui, ils étaient deux.
- Je sais, ils mont appelés, mont remercié.
- Ah ok. Quest-ce que je fais là où je suis, je suis un peu en panique ?
- Serge veut que tu montes chez ton collègue. Il doit juste tamener en voiture jusqu au club libertin ou nous nous sommes vu la première fois..
- Quoi !!! mais ça se voit trop que je viens den prendre plein la gueule, et si il mamène la bas, cest foutu pour moi au boulot.
- Ne tinquiète pas, nous saurons le tenir pour quil ne fasse pas de vague ; vas-y ne discute pas
- Je savais déjà que je ne devais pas discuter, mais là cest chaud pour moi !!!
Il avait déjà raccroché.
Dans le hall de limmeuble je me regardais dans le miroir. Je ressemblais à une pute, du sperme séché sur la peau, heureusement ces deux connards nétaient pas des fontaines. Je réarrangeais ma coiffure comme je pouvais. Heureusement que javais ce manteau, certes qui marrivait au-dessus des genoux mais qui me couvrait bien. Je navais plus que ma minijupe, mon string et mon soutif
Génial
Jallais devoir la jouer fine avec ce petit con de Joël, la vingtaine qui avant que je ne le remette en place, passait son temps à me mater le cul au taf..
Je sonnais à son domicile. Pas de réponse, jétais soulagé je ninsistais pas ; je rappelais Hector, qui, un peu déçu, moi non, me dit de venir en taxi. Alors que jappelais un taxi dans la rue, une voiture sarrête à ma hauteur, cétait Joël
- Salut Patricia, quest-ce que tu fais là ?
Jinvente, je lui dis que je suis tombé en panne et comme son appart nétait pas trop loin je suis venu voir sil peut mamener à lendroit où est Serge. Il me répond de monter. Quand il me demande ou je veux aller, je lui donne le nom de la rue, pas le numéro, je lui demanderais de se garer un peu avant.
Je minstalle à lavant tout en essayant de ne pas trop lui montrer mon visage dans la pénombre. Heureusement il fait nuit noire. Mais rapidement, je maperçois quune forte odeur de foutre émane de moi
jessaye de loccuper avec des paroles, ma pseudo panne, je dérive vite sur le taf
je le remercie pour ce soir. Je me rends compte quil me regarde furtivement. Je suis sûre que lui aussi sent cette odeur reconnaissable entre toutes... Je me rends compte que de là où il est, en tournant la tête, il a une vue directe sur mon soutif à même la peau. Il sait que je suis presque à poil.
Ouf nous arrivons, je le fais garer au début de la rue, je le remercie et le quitte hâtivement et lui dit à demain. En méloignant au bout dun moment je me retourne. Malheur, sa voiture na pas bougé, il me regarde méloigner
Dans la pénombre japerçois Hector, qui mattends devant la porte discrète de la boite. Il me met la main au cul, et semble apprécier laspect de mon visage. Joël ne doit pas en perdre une miette. Soudain sa voiture passe devant nous, il me regarde, le regard troublé, ne comprenant surement pas pourquoi un vieux me met la main au cul. Il a aussi du repérer lendroit devant lequel je suis. Je suis grillée...
- Je te félicite Patricia, les deux hommes que tu as trouvés étaient très satisfaits, ils mont remercié pour ton éducation. Ils mont demandé à pouvoir te rencontrer à nouveau
Qui ta ramené ?
- Joël, mon collègue, il vient de passer devant nous en voiture. Jai terriblement honte, je suis certaine davoir éveillé ses soupçons..
- Ne tinquiète pas, cette situation va au contraire terriblement texciter. Je te connais mieux que tu ne te connais, tu es une soumise dans lâme, fais-moi confiance. La honte est un sentiment qui taccompagne en même temps que ton plaisir...
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