Découverte D'Une Putain
Suite de découverte de l'adultère
Je pensais aux paroles de ce salop dAlain qui mavait baisé hier et laisse pratiquement nue dans les bois. Il avait même le culot de me donner rv à 17h30 devant léglise . Il me disait de venir en minijupe et sans culotte , il me prenait vraiment pour une pute ce type. Il oubliait que je suis une femme mariée , une femme respectable , enfin ça cest ce que je mefforçai de penser.
Je ne pouvais pas nier que ce mec que je venais juste de rencontrer mavait fait jouir et que jen réclamais encore. Le fait quil me traite comme une putain devrait me rebuter, il ne pouvait pas me culbuter comme une moins que rien et parti. Je métais bien résigner à ne pas retrouver ce butor, pour qui se prenait-il ce mufle ! Non pas question, jamais plus un con pareille ! mon mari est un homme adorable pleine de bonnes intentions , il me respecte lui quand il me fait lamour.
Bien décidé à ne pas donner suite à ce type je passais la journée à ranger la maison de font en comble , voulant oublier cette écart que je naurais jamais dû faire . je naurais jamais dû aller retrouver ce type, ses intentions étaient claires, il voulait juste profiter de moi , me baiser comme il veut et me jeter. Je devais penser à mon mari, ma réputation, avoir un peu de dignité et de respect pour mon époux et pour moi.
Après avoir remuer et nettoyer la maison de haut en bas pour oublier ce moment indécent, je prenais un bon bain et je me décontractais un long moment ,puis je me préparais . Je finissait les dernières touches de maquillage , me parfumais et descendis dans la cuisine . La porte du four indiquait 17h , a ce moment la je réalisait que je métait apprêtée pour sortir alors que je ne voulais pas , quel démon mavait-il poussé ? Jétais hyper sexy , je portais ma jupe la plus courte des bas et des talons. Une tenue pour attirer les homme comme des mouches, une tenue a se faire baiser comme dit mon mari.
Ma conscience me disait bien de ne pas aller à ce rv, mais une petite case de mon cerveau me poussai, elle me disait vas y ten meure denvie salope. Fait pas ta prude tu ne demande qua te faire sauter comme une pute. Je nécoutais plus ma conscience, je ne pensais plus qua mon plaisir et la jétais garantie den prendre. Jenfilais mon blouson il y avait toujours le papier que je relisait , a oui , la culotte il nen veux pas, je quittais ma petite culotte et partie cul nu sous ma jupe.
Arrivé devant léglise, je vis sa voiture, il mattendait , je me garais à coté de lui . Il ne descendait même pas de sa voiture et me fit juste signe de le rejoindre. En sortant de la voiture je rajustais ma jupe qui était remontée, et je me dirigeai vers Alain .
Bonjour petite pute me dit- il , quel accueil ! Montes à coté de moi salope ! Deux petites phrases deux injures, il mhumilia mais cette humiliation comme la première fois me donnait du plaisir.
Je réalisais que cest ça qui mattire chez cet homme, ce nai pas lui mais sa façon de faire. Sa façon de me parler, son autorité incontestée sur moi. A travers ces yeux je mimaginais, il voyait en moi une prostituée et cela mexcitait.
Je montais à coté de lui et il démarra la peur qui me tenaillait me procurais une douce plénitude . Il ne tarda pas à me dire de remonter ma jupe et décarter mes cuisses, quil voulait voir ma chatte. Si mon mari mavait dit ça de cette façon je me serais fâché. mais avec lui je faisais ce quil me demandait. Cest bien petite pute tu nas pas mis de culotte comme je te lai demandé. Je suis sur que ça te plais de te promener comme ça, désormais tu ne mettras plus de culotte petite pute, tas compris salope. Voyant ce ton menaçant je répondais oui. OUI QUOI ? oui jai compris je ne dois plus mettre de culotte .Voila , cest ça , que tu me retrouve ou non je veux que tu sois toujours le cul nu avec une petite jupe de pute. Je me permettais de posez une question et dis : Même quand je suis avec mon mari ? Tu Comprends ce que je dis ou non, toujours le cul nu , prête disponible.
Alain arrêtait la voiture , nous étions en pleine campagne au milieu de rien , juste une voiture attendait . Il me dit, tu vois la voiture , tu vas aller voir a la vitre coté chauffeur, tu va te présenter et si tu lui plais il va te dire de monter avec lui . Ok !
Je le regardais avec des yeux terrorisés, sans pouvoir dire un mot.
Voyant mon état il fut très gentil pour me rassuré. Il me prit la main et me la caressa ce qui nétait pas dans ses habitude et dit . Annie, ma petite Annie nai pas peur, tu ne crains rien , je connais cet homme cest un homme très gentil , je suis sûr que tu vas lapprécier !
Il mexpliquait, tu sera gentille avec lui , tu écartera bien les cuisses comme tu sais bien le faire, et tu te laissera caresser , taime bien ça non ? Des larmes coulaient de mes yeux , ne pleur pas ma belle , tu es si jolie , ton maquillage vas couler. Il messuyait tendrement en me rassurant de pleins de mots gentils, de petit bisous, il me mettait petit à petit en confiance.
Je tremblais comme une feuille morte, il me dit de lui faire un sourire , jétais dans un état indescriptible , je fis ce sourire entre la joie et la douleur .
Voyant que je me calmais un peu , il me dit, Allez Annie ma belle , fais moi plaisir et nai aucune crainte il ne te fera rien de plus que de te caresser. Pour finir, tu lui fera une petite pipe et cest fini , je serais derrière pour te récupère . Allez ma belle, cest pour toi une expérience unique.
Je lécoutais comme une petite fille qui ne veux pas aller à lécole et que son père lui explique que cest pour son bien, pour son avenir.
Mon cerveau était lavé je ne réalisait plus trop ou jétais ce que je faisait, Alain descendit de la voiture , il mouvrir la porte , me prit par ma main et me fit sortir de la voiture avec grand difficulté . Je tremblais encore, mes jambes semblaient ne plus pouvoir me porter, Alain me réajustai ma petite jupe , mes cheveux , il essuyait une dernière larme .
Allez ma belle, courage ! tu vas être à la hauteur je le sais , Fais moi honneur , je lui ais assuré que tu as une bouche délicieuse, une gorge profonde et que tu avales comme un aspirateur à foutre.
Voila qui me rassurais , jétais un aspirateur à foutre.
Je marchais perchée sur mes talons , dandinant du cul vers la voiture sans trop réaliser ce que je faisais, le vent me caressait sous ma jupe, lhomme baissait sa vivre .
Bonjour, cest toi la pute , comment tu tappel ? ! il me regardait de haut en bas , sortit son bras par la vitre et souleva ma jupe pour regarder mon minou . HA oui, pas mal ! Moi cest Nico , combien la pipe ! Je le regardais comme une dinde, sans comprendre ce qui était pourtant claire à comprendre même pour une dinde.
il rigolait, Non dit-il je plaisante , je me suis arrangé avec ton mac . Nico était un jeunot de la trentaine, bien foutu, bien musclé, belle gueule, un super étalon, mais il semblait aussi prétentieux que labondance de son sperme. Il minsultait comme jamais je nais connue ça quand je le pompais comme une pute. Il qualifia ma gorge de Gorge à bites, et moi de videuse de couilles.
Quand je retournais dans la voiture dAlain , il ne me dit rien , il me tendait un billet de 100 et me dit , le tarif cest 50 mais ça double comme tu avales.
Je réalisais que je venais de faire une pipe tarifée. Alain rajoutait, avec lui cétait double mais avec moi cest gratuit.
Quand je rentrais à la maison après avoir vidé deux mecs, mon mari était arrivé, voyant mon allure il comprit que je lavais encore trompé .
La nuit fut encore formidable, mon mari était chaud, il me baisait comme jaime toute la nuit . Je réalisais que javais réellement fait la putain, que ce nétait plus un fantasme mais une réalité.
Annie
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