Karine Et Moi Pendant Le Stage 3
Karine et moi pendant le stage 3
Au cours de mon stage, jai été invité par la société à me déplacer sur un salon professionnel où chaque industriel expose ses produits et ses nouveautés car le sujet de mon stage allait y être exposé. Une partie du personnel est naturellement convié pour animer le stand et exposer les produits de lentreprise. Il y a deux techniciens, un ingénieur, trois commerciaux, Karine pour ladministratif et laspect financier, le directeur et moi. Enfin il y a aussi Cécile qui est conviée pour assister le directeur lors de conférences ou de démonstrations. En fait cest surtout pour lui vider les couilles le soir car elle na rien à faire de la journée.
Une large partie de léquipe est partie depuis quelques jours pour monter le stand. Karine, Cécile, le directeur et moi-même, nous les rejoignons en train. Nous sommes donc à la gare et nous découvrons que le directeur a eu la classe de prendre deux billets en Première Classe pour lui et Cécile et deux en Seconde Classe pour Karine et moi. Javais remarqué depuis quelques temps quil était de plus en plus odieux avec son personnel mais là je trouve quon touche le fond. Je ne serais pas étonné que ce soit en partie à cause de sa femme qui doit lui pourrir la vie depuis la conversation que nous avons eu pendant la dernière soirée dentreprise. Du coup nous montons dans notre wagon avec Karine. Nous avons deux places cote à cote qui se situent près de lentré du wagon. Karine sassoie près de la fenêtre et donc moi coté couloir. Le voyage va être assez long puisquil dure plusieurs heures. Il va être dautant plus long que le train est plein à craquer et quen plus il y a plusieurs familles avec des s en bas âges qui commencent déjà à pleurer et à faire du bruit (par pitié la SNCF, il faudrait inventer des wagons réservés aux familles avec s !).
Le train démarre et nous partons donc pour plusieurs heures de voyage. Nous discutons avec Karine.
«
- Jespère que le directeur a été aussi radin sur les chambres dhôtel et que je vais devoir partager mon lit avec toi.
- Ne tinquiète pas, même si nous avons chacun une chambre, jai envie de menvoyer en lair et je compte sur toi mon petit stagiaire !
- Tu ne voudrais quand même pas que tout le monde soit au courant que tu te tape le stagiaire ?
- Au pire je crois que je men fiche.
- Tes sérieuse ?
- Oui !
- Et ton mari ?
- Honnêtement, ça fait un moment quil ne me fait plus vibrer. Il doit me prendre une fois par semaine et encore il le fait plus par obligation que par plaisir. Il donne vraiment limpression de sen foutre et de me prendre juste pour pas que je lui fasse de reproche. Depuis que je te connais jai vraiment repris goût au sexe et mon mari ne me satisfait pas du tout. Il est à des années lumières de toi !
- Tu vas le quitter ?
- Je ne sais pas. Sil ny avait pas les s surement que je le ferais mais là cest plus compliqué. Et puis de toute manière tu es là alors je prends mon pied !
- Je sais pas si je serais dans la région pour longtemps.
- On verra ! Pour le moment tu es là alors autant en profiter ! »
En terminant sa phrase, elle pose ma main sur sa cuisse. Elle porte une jupe mais aussi des collants car il fait plutôt frais. Elle fait glisser sa veste quelle avait posée sur la tablette devant elle sur son ventre et ses cuisses. De mon coté, je pose mon sac à dos sur ma cuisse coté couloir et je le bloque avec la tablette. Je pose aussi ma veste sur mon sac et sur moi. Nos vestes se touchent. Ainsi nous sommes plus à labri du regard des autres même sils sont tous occupés à leurs propres occupations.
«
- Je viens davoir mon premier orgasme en publique !
- Si tu veux on va aux toilettes et je ten donne un encore meilleur.
- Ca va pas la tête ! Y a trop de monde et on va forcement se faire griller !
- Mais moi tu ne mas pas encore fait jouir.
- Pas encore mais ça va venir ! »
Karine se redresse mais rapidement sa main arrive sur ma braguette. Elle louvre puis elle défait le bouton. Ainsi elle peut passer sa main dans mon boxer. Ma bite durcie rapidement entre ses doigts qui me branle avec dextérité. Karine regarde par la fenêtre tout en continuant de me branler lentement. Ses doigts caressent aussi mes couilles de temps en temps. Je regarde autour de moi et je peux voir que personne ne semble de se douter que cette femme qui regarde par la fenêtre est en train de me branler. Au bout dun moment, elle accélère la cadence. Je remarque que cela fait près dune demi-heure quelle me branle. Le plaisir augmente et pour ne pas me faire griller, je pose mon coude sur la tablette et je mets ma tête dans ma main. Finalement je fini par gicler sur la main de Karine qui la retire alors de mon boxer. Elle se tourne vers moi et avale tout en me regardant droit dans les yeux.
«
- Il était tant que tu gicles, je commençais à avoir mal au poigné.
- Tu me branlais tellement bien, javais envie que sa dure !
- Tu crois que les gens se sont doutaient de quelques choses ?
- Non je ne pense pas.
- Jai quand même vu un mec qui regardait vers nous pendant un moment.
- Il te matait parce que tu es trop belle !
- Je sais pas il avait un regard du genre : je sais ce que tu fais cochonne.
- Tu te fais des idées.
- Tu crois quils pensent quoi les gens quand ils nous regardent et quils nous voient tête contre tête ?
- Ils doivent se dire que tu es une coquine de cougar qui part en voyage dans le dos de son mec avec son amant !
- Tu es bête ! Si cest comme ça, je vais dormir dans mon coin.
- Mais non reste comme ça. On sen fou des autres. Et au pire cest vrai ce que je viens de dire.
- Oui ! Alors passes ton bras autour de moi et laisses moi dormir pour me remettre de cet orgasme ! »
Karine se blottit encore plus contre moi et je passe mon bras autour delle. Finalement elle dort jusquà notre arrivée à la gare. Une fois à la gare, nous retrouvons le directeur et Cécile. Nous allons récupérer les voitures de location. Nous en prenons deux pour, je cite, « simplifier nos déplacements une fois sur le site ». Je crois surtout quil veut une voiture pour lui et sa salope afin dêtre tranquille. Nous prenons la route car nous avons encore une heure de voyage. Evidement, Cécile est avec le directeur et Karine avec moi. Inutile non plus de préciser que nous avons une Clio alors queux on une Mercedes.
Avec Karine, nous suivons la voiture du directeur. Nous sommes sur une 2x2 voies. Nous roulons depuis quelques minutes lorsque Karine me dit quelle va pouvoir faire plus que me branler car nous avons de lintimité. Elle commence alors à ouvrir ma braguette et à baisser mon boxer comme elle la fait dans le train.
La journée se passe tranquillement mais longuement. Finalement, il est temps de rentrer à lhôtel. A notre grande surprise, le directeur dort dans le même hôtel que nous. Mais il prétexte un repas daffaire pour ne pas manger avec nous et diner à lextérieur. ment, il a besoin de Cécile pour laccompagner sil y a besoin de signer des contrats ! Chacun monte ses affaires dans sa chambre. Je ne sais pas comment les réservations ont été faite, mais nous sommes répartis aux quatre coins de lhôtel. Puis on se retrouve au restaurant de lhôtel pour manger. La conversation arrive rapidement sur le comportement du directeur :
« (Pour le dialogue suivant, K sera Karine, J sera moi et X seront les autres)
X : - Je ne sais pas ce quil a en ce moment mais il est de plus en plus insupportable !
X : - Pourtant les affaires vont bien. Toi qui gère la compta, tu peux le confirmer non ?
K : - Oui les chiffres sont bons ! Il doit avoir autre chose.
X : - Ca doit être un problème de cul.
X : - Carrément, ça doit faire un moment quil a pas du se vider !
X : - Allons un peu de classe, il y a Karine avec nous. Tu nes pas dans ton atelier !
K :- Tinquiète je suis pas pucelle non plus et à force de vous fréquentez je me suis habituée !
X : - Dis quon est des pervers tant que tu y es !
K : - Mais non vous êtes juste des hommes !
J : - Vous la choquez même plus les gars.
X : - En attendant je suis sur que cest parce quil fourre plus le vieux cul de sa femme quil est comme ça. Il doit être en manque.
X : - En manque ! Laisse-moi rire. Pourquoi tu crois quil est parti à un soit disant repas daffaire uniquement avec Cécile ?
X : - Tu crois quil la saute ? (Nous nous regardons avec un regard complice Karine et moi)
X : - Tu crois que cest Cécile qui va expliquer le fonctionnement des machines au client ou qui va rédiger le devis ? Elle arrive juste à répondre au téléphone !
J : - Elle a peut être dautres talents ! Cest pour cela que le directeur lapprécie.
X : - Tu vois même le stagiaire qui est là depuis quelques mois à compris ! Sors les yeux de ton masque de protection des fois.
X : - Quel vieux déguelasse !
K : - Et quelle salope !
X : - Vas y Karine lâche toi !
K : - Je parle comme vous pour que vous me compreniez mieux !
X : - Cest efficace et excitant aussi.
X : - Calme-toi ! Karine cest pas Cécile.
X : - Tu te taperais pas le vieux toi ?
K : - Ca va pas la tête !
X : - Même pour une belle prime ?
K : - Même pour une belle prime. Rien que de limaginer
Beurk quelle horreur !
X : - Et qui tu te taperais alors ?
K : - Je suis mariée moi monsieur !
X : - Ca empêche pas. Aller dis nous ! (les autres lui mettent la pression)
K : - Ok je vais être franche.
X : - Qui alors ?
K : - Notre petit stagiaire ici présent.
X : - Il est là depuis moins longtemps que nous cest pas juste. Nous on te supporte depuis plus longtemps et on nest pas remercié !
K : - Ecoute, si je devais tromper mon mari, je préfère autant le faire avec le mec le plus mignon de la boite ! Tas qua être plus beau !
X : - Cest pas de sa faute Karine. Même sil est moche il a le droit de baiser !
X : - Oui cest vrai. Mais du coup notre jeune ami sait ce quil va faire cette nuit !
K : - Eh jai dis : si je devais tromper mon mari. Jai pas dis que jallais le faire (elle me jette un regard complice)
K : - Tant pis, tu naura qua te branler tout seul dans ton lit mon ami ! »
Il commence à se faire tard et nous montons nous coucher sur cette joyeuse conversation. Jai très envie de me faire Karine mais elle nest pas au même étage que moi et comme il y avait encore dautres collègues avec elle dans lascenseur, je nai pas pu lui demander son numéro de chambre. Je vais me doucher. En sortant de la douche, je vois que jai reçu un sms. Cest Karine qui menvoi le message suivant : Chambre 214. Fait gaffe Franck est dans la 211. Je mhabille et je prends la direction de létage supérieur. En sortant de lascenseur, je tombe nez à nez avec deux collègues :
«
X : - Quest ce que tu fou là ?
J : - Bah je vais tenter ma chance avec Karine !
X : - Non sérieux ?
X : - Tes con tu vois bien quil se moque de toi !
J - Mais oui je vais juste lui rapporter son chargeur quelle mavait prêté cet aprem.
X : - Ah ok !
J : - Et vous vous faites quoi ici ?
X :- On a vu Cécile et le dirlo arriver alors on est allé voir si Cécile était dans sa chambre mais elle ny est pas ! Je suis sur quelle est avec le directeur en train de se faire prendre.
X : - Dommage parce que moi jaurais bien passé la nuit avec elle pour lui bouffer ses gros seins et lui bourrer son putain de gros cul.
J : - Taurais du faire directeur et pas soudeur pour ça !
X : - Elle doit préférer les mecs riches aux mecs comme toi !
X : - Je sais me servir de mes mains moi au moins !
J : - Tu pourras te branler en pensant à elle alors !
X : - Essai donc de sauter Karine au lieu de te foutre de moi. Viens on va se poster près de la chambre du directeur pour écouter. »
Je vais jusquà la porte de Karine qui mouvre. Elle porte une nuisette noire et assez transparente qui laisse ses petits seins bien visible. Elle a son regard de salope. Elle vérifie que personne ne ma vu entrer puis elle referme la porte. Elle me plaque contre le mur et nous nous embrassons. Je caresse ses cuisses puis je remonte sur ses fesses tandis quelle me déshabille lentement. Après quelques minutes, nous sommes tous les deux nus. Nous allons sur le lit et nous continuons de nous embrasser tendrement. Nos langues sentremêlent. Cest la première fois que nous passons tant de temps à nous embrasser et surtout aussi tendrement. Karine qui est allongé sur moi, prend mon visage entre ses mains et me dit :
«
- Ce soir je veux que ce soit différent.
- Comment ça ?
- Dhabitude tu me baises sauvagement comme la dernière des salopes et jadore ça. Mais là jai envie de tendresse. Je ne veux pas que tu me baises. Je veux que tu me fasses lamour comme si jétais ta femme.
- Ok si tu veux. Jespère que tu vas pas tennuyer !
- Ca risque pas. Tu sais tout à lheure en disant aux autres que cest avec toi que je coucherais, je me suis rendu compte que je tiens vraiment à toi et que jai des sentiments pour toi. Cest pour cela que je veux que tu me fasses lamour tendrement toute la nuit !
- Alors allons y !
Nous nous embrassons à nouveau. Puis Karine descend lentement le long de mon cou. Je sens sa langue parcourir la peau de mon cou. Elle dépose aussi des baisers au passage. Puis elle arrive sur mon torse. Elle continue de promener sa langue tout me caressant avec ses mains. Elle sattarde un peu sur mes tétons. Sa langue joue avec eux puis elle continue sa descente. Cela fait une dizaine de minutes que sa langue a quitté la mienne et elle arrive enfin sur ma bite. Elle passe sa langue dessus puis elle la pose sur mes couilles. Pendant quelle les lèche, sa main sempare de ma bite et elle me branle doucement. Je reste allongé les jambes bien écartées et je laisse Karine se régaler de ma bite. Elle me suce vraiment très bien. Je profite de ce moment de plaisir. Karine a maintenant ma bite entièrement dans ma bouche. Elle me fait une pipe lente mais à chaque aller-retour, ma bite sengouffre jusquau fond de sa gorge. Elle me fait un bien fou et je ne vais pas tarder à jouir. Je pose ma main sur sa joue. Elle me regarde et elle comprend que je vais gicler. Elle accélère un peu le rythme. Ma bite senfonce dans sa bouche et ses yeux sont plantés dans les miens. Finalement jexplose. Elle avale toutes les giclés qui sortent de ma bite. Puis elle revient se placer sur moi pour membrasser encore une fois.
Nous roulons sur le lit et je me retrouve au dessus delle. A mon tour, jentame une longue descente vers sa chatte. Ma langue se promène dabord sur son cou puis sur ses épaules. Ses seins sont petits mais je mattarde sur ses tétons qui pointent fièrement. Cest ensuite au tour de son nombril et de son ventre dêtre lécher. Jarrive alors entre ses cuisses. Jembrasse lintérieur de ses cuisses puis ma langue arrive enfin sur son clito. Avec mes doigts, je commence à caresser ses lèvres et à les écarter doucement. Puis ma langue entre dans son vagin. Je lui bouffe la chatte avec douceur. Ma langue va et viens dans sa vulve et mes doigts se promènent entre son clito et lintérieur de sa chatte. Karine enroule ses jambes autour de mon dos et ses bras autour de ma tête. Elle me plaque contre sa chatte. Sa tête est en arrière et sa respiration est très forte. Elle pousse même des gémissements. Ils sintensifient tout comme la quantité de mouille qui dégouline delle. Elle gémie de plus en plus et je sens son corps se raidir. Finalement elle atteint lorgasme. Elle me serre encore plus fort contre elle puis me relâche. Je viens me blottir contre elle. Nous reprenons nos baisers en nous regardant les yeux dans les yeux.
Je bande toujours comme un âne. Elle se redresse et elle sassoie sur moi. Elle frotte doucement sa chatte contre mon corps puis elle vient sempaler sur ma bite. La pénétration est lente. Elle garde le rythme quelle avait tout à lheure pendant sa pipe. Elle prend son pied. Elle se cambre en arrière et pose ses mains sur mes tibias. Elle commence à gémir doucement. Elle accélère un peu. Soudain elle se penche sur moi pour membrasser. Je la serre contre moi. Nous basculons pour que je me retrouve sur elle. Ma bite ne quitte pas son trou. Nous sommes maintenant en missionnaire. Je la culbute doucement mais quand même plus rapidement quelle ne le faisait. Je plonge ma tête dans son cou pour le lui lécher. Elle balance sa tête en arrière. Ses mains quittent mon dos pour prendre les miennes. Elle écarte les bras pour moffrir sa poitrine que jembrasse tout en la prenant doucement. Elle pousse des gémissements de plaisir. Elle me demande de la prendre plus fort. Jaugmente la cadence et je la prends maintenant assez fort. Ma langue est toujours dans son cou. Nos mains sont toujours liées de chaque coté de sa tête. Je la bourre de plus en plus fort. Finalement, je la culbute encore comme la dernière des salopes ! Elle crie de bonheur et elle ne pense maintenant plus aux voisins et surtout au collègue qui est dans une chambre toute proche. Nous atteignons lorgasme ensemble. Je me déverse en elle. Elle plaque ma tête contre ses seins et nous restons un long moment dans cette position pour récupérer.
Soudain, le portable de Karine sonne. Cest son mari et elle doit prendre lappel. Elle est assise au bord du lit en train de lui parler. Je la regarde et elle me fait envie. Je me place derrière elle et jembrasse ses épaules et son cou. Karine me repousse dans un premier temps mais elle ne peut pas résister au plaisir que je lui apporte. Je bande de nouveau et je frotte ma bite contre son dos. Puis je me lève. Je suis toujours derrière elle et je frotte ma bite contre sa joue qui est opposé au téléphone. Elle att alors ma bite et elle me force à passer devant elle. Elle reste assise et je suis debout face à elle. Elle commence alors à me branler tout en téléphonant à son mari. Elle devient encore plus coquine lorsquelle enfile ma bite dans sa bouche. Elle fait quelques va et vient pendant que son mari parle et elle retire ma bite de sa bouche pour lui répondre. Je suis très excité de lentendre lui dire des « je taime » et des « tu me manques » alors quelle est en train de me sucer. Elle fini par raccrocher. Elle se lève et membrasse en menlaçant. Mes mains arrivent sur ses fesses que je nai pas encore bourrées aujourdhui. Elle se dégage de mes bras pour poser son portable sur la table qui est dans la chambre. Alors quelle me tourne toujours le dos, je la plaque sur la table.
Son cul mest alors offert. Je me mets à genou entre ses jambes quelle a écarté. Je commence à embrasser ses fesses, puis ma langue arrive sur son petit trou. Je le lèche un long moment puis jenfonce un peu ma langue dedans. Cest ensuite mes doigts qui prennent le relais. Jinsère deux doigts dans son cul et je fais des mouvements assez rapides car je sais quelle adore ça depuis que jai dépucelé son cul dans notre abri en carton. Karine me dit alors :
«
- Cest trop bon chéri. Défonce moi sur la table je ten supplie !
- Je croyais que tu voulais de la douceur !
- Jen ai eu plein. Mais tu es le seul à avoir bourré mon cul et jaime quand cest violent par là !
- Ok Karine, je vais te déglinguer ! »
Jai à peine fini ma phrase que jenfonce ma bite dun coup sec jusquau fond de son cul. Jatt ses hanches et je la bourre violement comme elle le veut. Comme je sais que cela lexcite, je plaque sa tête sur la table avec ma main. Elle mest totalement offerte. Je la défonce sans retenu et elle hurle de plaisir. Ses gémissements sont hyper excitants. Tout en la culbutant, je lui demande si elle en veut encore plus. Evidement, elle répond que oui. Je la tire par les cheveux pour quelle se redresse et je la pousse sur le lit. Puis je latt à nouveau et je loblige à poser le haut de son dos par terre. Ainsi, le lit bloque le reste de son dos et son cul mest parfaitement offert. Je me place à cheval sur elle. Elle pose une main sur mes fesses qui sont en face de son visage. Puis je place ma bite devant son trou et je le fourre encore violement. La position est acrobatique mais quest ce que cest bon. Karine gémi encore plus fort. Jentends des coups dans le mur qui nous disent que le voisin semble dérangé. Mais Karine ne baisse pas le volume pour autant. Je continue de la prendre aussi violement que possible. Karine est terrassée par un orgasme très violent qui la laisse presque inconsciente. Comme je nai pas encore joui et que Karine ne semble pas en état de me sucer, je fais pivoter son corps sur le coté et je me place derrière elle. Je me remets dans son cul et je la saute encore une fois. Elle est complètement dans les vapes mais elle pousse de petits gémissements. Je la saute en cuillère à même le sol. Cette pénétration ne dure pas très longtemps puisque je fini par me vider dans son cul totalement explosé par ma bite.
Je porte Karine sur le lit. Je mallonge près delle et elle se blottit contre moi. Elle est comme anesthésié par lorgasme.
«
- Cétait génial ! Jamais je navais eu un si gros orgasme. Merci beaucoup.
- De rien ça ma fait plaisir. Cest vrai que cétait bon !
- Je crois que jai fait beaucoup de bruit non ?
- Un peu ! Heureusement que tu nhurles pas comme ça quand on est dans notre cachette !
- En même temps cest pas tout les jours quon peut prendre notre temps et ensuite se faire enculer aussi violement !
- Je tavais dit quavec que de la tendresse tu allais tennuyer !
- Faut croire que tu avais raison, je suis faite pour être soumise et violentée !
- Oui peut être !
- En tout cas merci beaucoup. Je taime »
Sur ces mots, Karine sest endormie. Je me suis réveillé dans la nuit et jai préféré retourner dans ma chambre pour limiter les risques dêtre surpris dans celle de Karine. Le lendemain, on se retrouve tous pour le petit déjeuné. Je retrouve Karine dans lascenseur. Nous sommes seuls. Elle membrasse tendrement jusquà ce que la porte souvre. Puis nous rejoignons les autres qui sont en pleine conversation :
«
X : - Ah bah vous arrivez ensemble comme par hasard !
J : - Bah vu ce que Karine a dit hier, jallais pas la laisser seule dans sa chambre !
X : - Salaud tu te lai vraiment faite. Dis donc Karine je croyais que tu étais pas comme Cécile.
K : - Mais arrête dêtre aussi naïf et de croire tout ce quon te dit ! (elle me jette un regard complice)
X : - Ah cétait une blague !
J : - Bon et votre mission despionnage ?
X : - Vous aviez raison. On a entendu Cécile couiner comme une salope.
K : - Vous avez été lespionner ?
X : - Bah on voulait en avoir le cur net. Cest bien le dirlo qui dit quil ne faut pas avoir de doute.
X : - Il lui met cher à cette salope. Elle ma tellement excité que je me suis branlé en rentrant !
K : - On est content de le savoir !
X : - Ah bah enfin voila Franck. Bah tas une tête mon vieux !
F : - Jai pas dormi avant 1h du matin.
J : - Pourquoi ?
F : - Y a une espèce de salope qui a couiner enfin plutôt qui à gueuler pendant des heures.
K : - Je lai entendu moi aussi !
X : - Cétait pas Cécile que tu entendais ? Elle a du casser les tympans des voisins elle aussi.
F : - Je sais pas qui sétait mais elle doit avoir mal au cul aujourdhui tellement elle sest faite fourrée !
X : - Tas pas mal au cul Karine ?
K : - Tes con ! Tu vois bien que non.
X : - Aller avoue.
K : Bon daccord. En fait notre petit stagiaire est venu me rendre visite et on a baisé toute la nuit. Et comme cest le meilleur coup de toute ma vie et bien jai été bruyante !
X : - Cette fois je te crois pas. Tas vu je fais des progrès !
K : - Oui cest bien. (On rigole tous mais avec Karine nous ne rions pas pour la même raison) »
Notre conversation sinterrompt lorsque le directeur arrive et nous dit que nous devons aller bosser. Cécile est derrière lui et ils ont les traits tirés ! Nous retournons au salon pour une nouvelle journée de boulot. Jattendais le soir avec impatience pour rebaiser Karine mais une urgence de la société loblige à retourner au siège. Elle repart donc en train en début daprès midi. Jaurais aimé la ramener à la gare mais cest un autre collègue qui en a été chargé. Le soir, Karine menvoie un sms pour me dire que le voyage aller était bien mieux que le retour. Le salon dure encore deux jours mais je sais que je la retrouverai à mon retour ! Nhésitez pas à rejoindre le groupe facebook ou à me contacter : Mcfps@hotmail.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!