Mireille
Mireille.
Un soir vers les 20h30, mon téléphone sonne, cest Mireille !
Jétais loin de penser quelle me rappellerait après lépisode où je lavais laissée sur son divan à demi nue et avec du sperme qui coulait de sa grosse chatte.
« Tu fais quoi ce soir ? Tu passes un moment à la maison ? »
Je me dis que ça risque de ne pas être facile de discuter surtout avec ce quil sétait passé mais jaccepte et une petite demi-heure plus tard je suis devant sa porte.
Elle mouvre et me donne un gros baiser sur les lèvres. Elle pue la bière ! Et sa tenue ; une nuisette qui ne cache rien de son volumineux corps.
Direction le divan et la petite table où se trouve déjà 2 bières, mais elle boit tout le temps !
Elle saffale et mattire vers elle, sa nuisette est déjà remontée sur son nombril et bien sûr rien ne cache ses parties.
« Je déteste porter des sous-vêtements dailleurs je nen ai quasi pas, cest plus facile ». Ca je lavais déjà remarqué et comme elle dit, cest plus facile, aucun rempart pour la toucher.
Bizarrement, elle ne fait aucune allusion à ma dernière visite.
Elle boit un coup et me prend la main pour la porter droit contre sa chatte que je trouve soudain moins poilue que la fois passée ce qui nest pas pour me déplaire mais qui ne mengage quand même pas pour lui faire un cunni, en effet, si elle se resserre sur ma tête je risque dêtre étouffé.
Un doigt se dirige vers son bouton et je commence à le faire tourner, elle écarte ses grosses cuisses et je mavance plus profondément, cette chatte est comme Mireille, ultra large, à croire quelle se gode avec sa bouteille, mais sa mouille commence à me faciliter lavancement et cest maintenant 3 doigts qui sagitent, je pousse encore un peu, elle sécarte encore et ma main est rentrée ; je tourne et retourne mes doigts dans ce vagin dont je ne touche presque pas les bords vu la largeur.
Et si je lui relevais la jambe sur le dossier ? Cest sans inquiétude que son pied se pose sur le dossier derrière moi, jai dès lors une vue imprenable sur son gouffre, elle pousse pour ma main poursuivre son chemin et je ne manque pas dy aller ; plouf plouf plouf dans les grandes profondeurs, elle se tortille sur ma main et se la rentre et la retire pour lenfoncer encore plus et cest tout le poignet qui est planqué dans sa moule.
Jai envie de plus et je lui passe deux doigts de lautre main à côté de mon poignet, ça rentre encore, 3 puis 4 doigts et ça continue à sélargir, cest maintenant mes deux mains qui lui écartent le trou.
Mes mains en coquille et je peux voir lentrée de lutérus, je pousse un peu et il souvre, je poursuis en profondeur et cest deux doigts qui sy trouvent et Mireille de continuer à geindre son bonheur et de me tenir les mains par saccade toujours plus profond en elle, je suis dans son utérus avec 4 doigts, jose ? Après tout elle maspire dans le fond de son gouffre et ma main est entièrement rentrée
Je ne pensais jamais rentrer là, je suis dans son intérieur jusquà moitié de mon bras et elle continue à me tirer dessus, un fist de ouf, quand sarrêtera cette introduction ? Elle tire et tire, jy suis jusquau coude. Quelques petits mouvements dans son intérieur, elle est pâmée, elle nen peut plus ; je me retire lentement et son vagin reste béant, je nai jamais vu un truc pareil sauf sur internet, mais là devant mes yeux !!!
Je me dis quon peut aussi toucher son cul, pas pour y mettre un bras mais quelques doigts pourraient y trouver refuge.
Sa mouille a tellement coulé que son cul est trempé, je pose un doigt et cest dans le fond comme aspiré, pourquoi ne pas augmenté la dose et direct 3 doigts qui se frayent un passage comme si cétait dans le beurre, je tourne et retourne dans ce trou et je finis par y rentrer toute la main.
Elle empoigne la bouteille vide sur la table et se la fourre au plus profond de sa chatte, je la sens sur ma main qui est dans son fion, pas possible mais elle est dingue cette femme ; jusquou peut-elle aller dans ses introductions ?
Encore quelques mouvements dans son cul et sa chatte et mes mains retrouve la liberté.
Mireille se lève, part à la toilette et reviens vers moi un sac à la main.
Entretemps elle a laissé tomber la nuisette qui ne servait de toute façon pas à grand-chose et se remet sur le divan jambe en lair et sactive dans son sac ; elle en ressort un gode digne dune bite de cheval tant en longueur quen épaisseur quelle se rentre dun trait au plus profond de son vagin, une vraie nympho, et vas-y pour un autre un peu moins volumineux mais quand même et cest dans le fion quil se retrouve ; elle sest empalée sur ces deux trucs : incroyable ! assez pour se détruire lintérieur à vie !!!!
Tellement surpris de ces choses que je nai même pas pensé à bander ni même boire ma bière !
Je me prépare à partir quand elle me demande de lui caresser la chatte encore une fois, je mexécute mais le cur ny est plus, quelques frottements et je me lève pour sortir.
Je ne pense pas que jy retournerais un jour
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