La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°878)
Deux soumis appelés au Château (suite de l'épisode précédent N°877) -
La soirée sest terminée dans le lit de mon Maître qui ma offert une véritable nuit dAmour et de câlins. Le lendemain à mon grand étonnement, je me réveille non pas dans la couche de Monsieur le Marquis mais dans une pièce que je connais pas et attachée sur une sorte de table, oui ligotée sur cette table, ne sachant à quelle sauce je vais être mangée. Après avoir été baisée par tous mes orifices et dans une nuit quasi orgiaque et fougueuse, je me suis assoupie à Ses côtés et voilà que je me réveille entravée, dans une position inédite pour moi, à moitié nue. Mais le plus surprenant, cest cette femme qui mobserve, lair sévère, juste en face de moi. Je reconnais la Domina de la veille. A ses côtés mon Maître me regarde également en me souriant.
Je suis à plat ventre quand je me réveille de ce sommeil que jaurais voulu plus long dans le creux de la poitrine de mon Maître. Une ou deux cordes font le tour de mon corps. Il me semble que je suis dans une cuisine, mais ce nest pas la grande où officie Marie. Je crois que je repose sur un plan de travail disposé en îlot au centre de la pièce. Mon cou me fait mal. Ma tête est relevée par les cordages qui tirent sur mes épaules et rejoignent mes chevilles. Je suis obligée de plier les genoux, qui pendent de part et dautres du plan de travail, et de lever les pieds. Mon cul ferme remonte dune façon extrêmement obscène. Pour finir, mes bras sont liés dans mon dos. Je me sens impuissante, à la merci de ce couple de Dominants formé pour loccasion et qui se trouve face à moi. Ils nont même pas pris la peine de me bâillonner. Mon Maître me connaissant a du estimer que cela nétait pas nécessaire.
Jémerge peu à peu de ce sommeil qui sévacue doucement. La femme sapproche de moi avec une paire de ciseaux. Jai un peu peur. Je la sens près de mon cul. Je comprends quelle entaille mon petit slip, celui-ci a du être remis sur moi durant mon sommeil car dans le lit de mon Maître, jétais nue comme le jour de ma naissance.
Le Marquis dEvans reste à bonne distance de nous et se contente de nous observer les bras croisés et la tête relevée. Je sens son regard dominateur qui pèse sur mon corps. Le doigt de la Domina se fait plus pressant. Elle en met deux maintenant et, à mon corps défendant, je remarque quelle mémoustille. Je suis excitée quand je sens les premières gouttes de ma mouille affleurer à lorée de ma chatte. Je me transforme en fontaine lorsque la belle femme remplace ses doigts par sa langue. Des deux mains, elle mécarte encore plus la raie et je perçois son haleine sur mon trou, puis le contact froid de quelque chose de métallique, une sorte de petite boule. Je comprends rapidement que cette Domina a la langue équipée dun piercing quelle fait tourner sur mon anus et quelle approche de plus en plus souvent de ma chatte. Mon Maître savance alors vers moi et tire sur les cordes pour me faire relever encore un peu plus la croupe. La femme me mange littéralement tout le sillon, de lanus jusquau sommet de la vulve. Je me surprends à gémir quand elle effleure de son piercing le petit gland de mon clito dressé et quelle le happe avec ses lèvres. Malheureusement, elle me quitte déjà, me laissant un peu sur ma faim
Elle revient vite mais cette fois-ci, ce nest plus sa langue que je sens sur moi. Cest plus mécanique, ça manque de chaleur. Elle menfonce un objet oblong dans les fesses. Je pense que cest un gode.
Après sêtre assuré de ma docilité, Le Marquis dEvans sapproche et me détache. Il est entièrement nu et donc Il a du se déshabiller tandis que la Domina soccupait de mes deux trous. Et je peux voir Son sexe dressé au bas de son ventre. Sa main est posée dessus et jaime à penser quIl se branle pendant que sa convive me soumet. Il me fait comprendre que, même libérée de mes liens, je suis dans limpossibilité de lui refuser mes orifices, dailleurs Il le sait, je nen ai aucune envie. Il me fait alors allonger sur le dos, à même le carrelage du plan de travail. Jobéis, consciente dêtre à la merci de couple pervers mais si délicieux de soccuper de moi.
Allongée sur le dos, je dois exposer la fente de ma chatte, les jambes repliées sur le ventre, les bras passés sous mes genoux. Entre mes cuisses, je peux voir la femme qui savance, ses nichons pointés, une sorte de batte de base-ball à la main.
Le gros nud qui surmonte la batte vient appuyer sur la fente de ma vulve. Il écarte peu à peu les lèvres de mon sexe trempé. La femme le fait tourner, le vrille, le secoue légèrement de droite et de gauche, comme pour massouplir ma chatte trempée. Mes lèvres sécartent, je sens le bout qui pénètre en moi, au risque de me déchirer. Le voilà qui se loge doucement, très doucement dans ma grotte. Ce nest pas fini. Il nest pas encore au fond. La vicieuse pousse encore, élargit le passage en de petits vas et viens qui mexcitent énormément. Cest au tour du premier renflement de mouvrir. Le second suit de près. Cette fois-ci, je suis pleine, bien remplie par ce phallus factice. Cest alors que la Domina commence à le faire aller et venir moins lentement, et ne me laissant pas une seconde de répit. Une fois de plus, je sens le désir monter dans mon ventre.
La Maîtresse savance encore un peu plus vers moi. Elle se met à mouvrir le cul avec ses doigts. Elle me dilate la rondelle. Mon anus palpitant se souvient encore du passage récent du vibro et se montre docile, souple. Bientôt, la Domina fait disparaître trois doigts dans mon conduit anal, puis quatre, cinq ! Mon Maître me triture les seins dune main. Je me sens ouverte par celle de la fille. Je comprends alors quelle me fiste le cul.
Maintenant le Marquis profite du moment pour me présenter sa grosse queue devant ma bouche et je le suce avec force tant je suis excitée. Je suis ainsi remplie par mes trois orifices.
(A suivre...)
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